L'Huissier De La Rue Albe
Je dois me présenter chez un huissier, 545 rue Albe. Sur le papier, il est écrit sans rendez-vous. Redoutant les ennuis, je m'y rends immédiatement. Dans ma hâte, j'ai oublié le papier sur la table. Je n'ai lu ni les horaires, ni le numéro de téléphone. J'ai pensé qu'en arrivant là-bas vers 9 heures, je serais de retour avant ma prise de service.
Arrivé à l'adresse indiquée, j'ai lu sur la plaque de cuivre, que l'étude n'ouvrait qu'à 11 heures. Dépité, je décide d'aller prendre un café quelque part. L'ennui, c'est que j'ai bien marché 800 mètres dans cette rue, et que, même dans les rues adjacentes, pas le moindre troquet ou commerce.
Eh merde ! Et en plus, ça caille. Je fais le pied de grue, je tape des pieds par terre et je me tape les bras pour me réchauffer. En face, une porte s'ouvre. Un mec, plutôt beau garçon, m'apostrophe :
- Tu attends l'huissier ? Ca n'ouvre qu'à 11 heures. Et encore, ajouta-t-il, s'il est à l'heure, ce qui n'arrive jamais.
- Comment tu le sais ?
- Ben j'habite en face ! Dit-il en montrant l'immeuble derrière lui.
- Et t'es descendu rien que pour me dire ça !
- Non mais quand je t'ai vu poireauter devant, dans le froid, je suis venu t'inviter à boire un café.
- C'est vrai ? Putain, c'est sympa !
Il ouvre la porte et m'invite à entrer.
- C'est au deuxième, dit-il en montrant l'escalier.
Il brancha la machine à café et ôta son manteau.
- Mets-toi à l'aise. Enlève ton manteau et pose-le sur le canapé.
Il me tournait le dos et commença à se déshabiller. Quand il se retourna, il était en slip et moi, j'avais ôté mon manteau. Je me frottai les mains pour me réchauffer. Je m'étais retourné, gêné qu'il se fût dévêtu.
- Ben merde ! Siffla-t-il.
Je me retournai, il était à poil.
- Qu'est-ce qui se passe ? Demandai-je, en alerte.
- Bordel de merde ! Jura-t-il, avec le manteau, ça ne se voit pas, mais putain quel cul !
- A ce que je vois, répondis-je en désignant sa bite, t'es pas mal non plus !
- Ah ! Quand j'ai froid, je prends une douche brûlante.
Je le regardai plus attentivement. Sa queue était d'une belle taille et son cul était bien musclé. Finalement, pensai-je, pourquoi pas.
- Je veux bien, pourquoi pas !
Je me dévêtis à mon tour et, tous les deux à poil, nous pénétrâmes dans la douche. L'eau chaude coulant sur nos corps était agréable.
- Moi c'est Michael, et toi ? demanda-t-il.
- Alexandre !
- Ca te va bien. T'as déjà vu sa statue sur la place Macédoine ?
- Non, pourquoi ?
- T'as son cul, sa queue, ses couilles...
Il versa du savon liquide dans sa main et m'en enduisit la bite. J'ai bandé immédiatement. Il a souri et a décalotté mon gland. Il s'est penché et l'a pris entre ses lèvres. Dans le même temps, il a glissé un doigt dans mon cul. J'ai serré les fesses pour lui montrer mon assentiment. Il m'a branlé jusqu'à la jouissance et s'est arrêté. Il m'a saisi les poignets et a posé mes mains sur le mur. Il a pris sa bite à la main et a écarté mes fesses avec son gland. Il l'a posé sur mon trou de balle et a repris ma queue dans sa main. Tout en me branlant la queue, il a poussé la sienne dans mon cul. J'ai joui dans sa main et lui dans mon cul.
Je ne voulais pas être en reste, aussi, je me suis mis à genoux et ai pris sa bite dans ma bouche. Mes lèvres glissaient sur son manche, d'avant en arrière. Je crois que ça n'allait pas assez vite pour lui. Il a pris ma tête dans ses mains et m'a fait aller plus vite. Il en voulait plus.
- Serre un peu plus les lèvres ! Souffla-t-il.
Chaque fois qu'il reculait, sa bite sortait de ma bouche et au retour, son gland forçait le passage de mes lèvres. Il avait l'impression de me forcer, et ça l'excitait. J'ai senti qu'il se raidissait.
- Ferme les yeux, me dit-il.
Il sortit de ma bouche et jouit sur mon visage. J'ouvris les yeux et me léchai les lèvres et autour de la bouche.
- Tu aimes ça ? demanda-t-il.
- Pas spécialement, mais je sais que ça excite les mecs !
- Tu fais ça souvent ?
- Quand le mec me plait !
- T'as déjà vu l'huissier ?
- Non, jamais ! J'ai reçu un papier, je sais même pas pourquoi !
Michael eut un petit sourire.
- Quand t'auras fini, tu reviendras me voir ? Si tu dis oui, je t'attendrai...
- Je crois pas que j'aurai le temps. Faut que j'aille bosser.
Nouveau sourire. Il regarde par la fenêtre et s'écrie :
- Tiens ! Ton copain est arrivé. Je le crois pas, c'est la première fois que ça arrive ! Dépêche-toi avant qu'il ne reparte.
Je dévale l'escalier et je sonne chez l'huissier. Un trentenaire beau comme un dieu vient m'ouvrir.
- Alexandre ? Senquit-il. Passez dans mon bureau !
Le téléphone sonna.
- Oui ! J'ai un client. Vous pouvez venir, on le prendra ensemble. Il raccrocha.
Enlevez votre manteau, mettez-vous à l'aise. Il me regarde et dit :
- Levez-vous !
J'obtempère.
- Retournez-vous !
- Pourquoi ?
- Parce qu'on m'a fait une description de vous et je voudrais vérifier !
Je me retourne et j'entends :
- Ah oui !
Je me retourne de nouveau.
- Alors ?
- Alors, déshabille-toi, à poil !
On sonne à la porte. Il laisse la porte ouverte et se dirige vers l'entrée.
- Continue, enlève tout !
De retour, j'étais torse nu. Il me regarde et dit :
- T'as fait la connaissance de Michael !
- Et alors ?
- Je t'ai dit à poil ! Enlève-moi tout ça ! Putain, il avait raison, t'as un cul !
Il fait le tour du bureau. Au passage, il ramasse mon slip et le fourre dans sa poche. Il appuie sur une touche du clavier de son ordinateur, et une porte cachée s'ouvre dans le mur. Michael est assis, à poil sur un matelas. L'huissier me pousse à l'intérieur. Il me traine vers le matelas et pesant sur mes épaules, il m'agenouille devant Michael.
- Mouille bien, sinon tu vas souffrir !
L'huissier commence à se déshabiller. En slip, il s'approche de moi.
- Regarde-moi ! dit-il.
Je relâche Michael et lève les yeux vers lui.
- Tu suces et t'avales !
Je tire sur le slip et sursaute.
- Je pourrai jamais !
Le monstre était large comme mon poignet.
- On va voir ça !
Contre le mur, sur une étagère, il récupère une fiole transparente. Dessus, il est écrit :
" LUBRIFIANT"
- Tends ta main !
Il y verse un peu de liquide.
- Astique-la bien ! Tu vas la prendre dans ta bouche et après, tu l'auras dans le cul !
J'ai enduit sa bite de son huile et il m'a saisi par les cheveux.
- Ouvre ! Dit-il d'un ton impérieux. Seul le gland put entrer.
L'huissier mit ses mains sur sa nuque et avec ses reins, il poussa sa queue dans ma bouche. J'étais en train de m'.
- Respire avec le nez, ça va passer !
Quand il en eu assez, il me prit par la main et me plaça face à Michael. Me montrant sa bite dressée, il rugit :
- Assis !
Je m'empalai sur la bite de Michael et celui-ci glissa ses mains dans mon cou. Il me serra sur sa poitrine et ses mains passèrent de mon cou à mon cul. Il écarta mes fesses et l'huissier se mit à genoux. Je glissai mon visage dans le cou de Michael, quand l'huissier s'enfonça dans mon cul. Je poussai un cri. L'huissier tendit mon slip à Michael qui me le fourra dans la bouche. Bien huilée, la grosse queue pénétra tout entière au fond de moi. L'huissier me labourait les fesses. Ses coups de boutoir me faisaient monter et descendre le long de la bite de Michael.
Quand enfin, ils eurent joui en moi, ils restèrent tous les deux, fichés bien à l'étroit dans mon cul.
Je suis repassé à l'adresse quelques temps plus tard. Il n'y avait plus d'huissier. J'ai sonné à toutes les portes de l'immeuble, tous les gens m'ont dit que l'appartement du deuxième était vide depuis longtemps. Je suis parti. En me retournant, j'ai eu un petit coup de blues, tempéré par une formidable érection.
Finalement, j'ai fait les agences immobilières du quartier, et j'ai loué l'appartement. J'ai mis des rideaux à la fenêtre, mais tous les jours, je me branle en regardant la porte d'en face et en pensant à tout ce qui s'est passé.
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