Leslie La60
Leslie LA60 - Laure, le journal intime - Le gros sexe du copain de mon amie Perle
Bon, cest vrai que jattire souvent les regards des hommes avec mon physique de rêve et javoue que cela me plaît.
Je venais de quitter mon dernier petit ami, beau gosse mais qui ne valait rien au lit et narrivait pas à assouvir ma libido débordante de lépoque
Enfin ma libido tout court, car ça ne sest pas calmé.
Mais laissez-moi plutôt vous raconter ce qui sest passé après
Je fus invitée à une soirée où comme dhabitude les hommes sétaient rapidement retrouvés, un verre à la main en train de parler de leurs passions, tandis que leurs épouses, compagnes ou petites amies du moment se prélassaient dans les chaises longues du jardin en déblatérant de leurs fantasmes sur les célébrités plus ou moins connues.
Moi, je memmerdais et jallais dun groupe à lautre essayant de le temps et attendre le moment opportun de tous les planter là et retrouver mon chez moi
Cette soirée métait pénible, ne trouvant pas ma place dans lun, ni dans lautre groupe.
En tout cas, je songeais sérieusement à partir et aller me coucher avant même la fin de lapéritif, lorsquune conversation accrocha mon oreille et mon intérêt par la même occasion.
Les filles, sans doute grisées par la haute teneur en alcool du petit vin doranges maison, avaient dévié des sempiternelles coucheries de stars vers un thème bien plus intéressant, le sexe tout court et comment elles voyaient cela dans leur vie.
Lorsque je mapprochais dune oreille attentive, je compris quelles en étaient aux performances et mensurations de leurs hommes respectifs qui, à quelques mètres de là, ne se doutaient pas que leurs attributs étaient le centre de la conversation, décrits publiquement avec force détails et à grand renfort de gestes.
Un peu à lécart de la discussion, je riais doucement en sirotant mon verre de vin, en observant chacune de ces femmes vanter les mérites de leurs apollons, les soupçonnant den rajouter un peu, voire beaucoup, sur les détails techniques.
Pour ma part, je me disais quil valait mieux que je nentre pas dans la conversation, car mes expériences passées mavaient donné den voir de toutes sortes, je parle de queues, et jai pensé que certaines femmes exagéraient sans complexe sur la taille du membre de leur compagnon.
Cest à ce moment-là que je me rendis compte, quisolée dans son coin, la timide Perle rougissait, et ne participait pas à la conversation, je fis donc le tour du groupe pour me rapprocher delle et me poser sur le transat laissé libre à ses côtés et je lui murmurais :
- Ça na pas lair daller toi, quest-ce qui tarrive ?
Perle est vraiment une amie et nous allons souvent au cinéma ensemble, quand son homme est en déplacement pour son travail.
Perle, vit avec son compagnon, Karl, un bel homme, grand et fin, blond à la peau très blanche et elle est une femme mince et blonde comme les blés, sans trop de formes, presque garçonne.
- Je ne comprends pas pourquoi parler de lanatomie de nos hommes, comme sil ny avait pas de discussions plus intéressantes, me répondit-elle. Et de plus avec tous leurs gestes, cela devient vraiment indécent.
Je lui souris dun air entendu, en demandant ;
- Nous sommes entre nous, dis-moi, ton Karl, il est comment ?
Elle se mit à rougir et nosa pas répondre.
- Allez ! Tu ne vas pas faire ta timide avec moi, ça restera entre nous.
Elle rougit encore et je la vis qui voulait bien en parler, mais pas à tout le monde.
Timidement, elle jeta un coup dil circulaire pour voir si personne ne la regardait et, rapidement, mindiqua avec ses deux mains un engin dune bonne vingtaine de centimètres.
- Non, jy crois pas, dis-je.
- Attends ce nest pas le pire, me dit-elle.
Et regardant autour delle à nouveau, elle mindiqua, avec ses deux mains, un diamètre trop large pour une seule main !
- Waouh, mais comment fais-tu pour toccuper dun tel engin ? lui demandai-je.
- Bah, jai un peu de mal avec la bouche, mais ça mexcite tellement, que par le bas ça passe très bien, mais je naccepte pas la sodomie, enfin pas encore...
Je nen croyais ni mes yeux ni mes oreilles, je ne pouvais détacher mes yeux de ses mains, qui avaient décrit un engin pareil. Soudain, je me tournais vers le groupe des garçons et je vis Karl, debout au milieu des autres, les dépassants dune tête avec sa toison blonde et je limaginais surtout nu, imberbe, avec une queue qui lui descendait jusquau milieu de la cuisse.
Perle surprit mon regard et, loin de soffusquer, me sourit dun air complice en disant :
- Et puis comme nous sommes échangistes, il passe ses ardeurs sur dautres femmes que moi, ça me fait du repos et je vais avec dautres moins membrés que lui
- Et avec moi ? lui demandai-je, tu serais daccord pour une partie de jambes en lair.
Elle se mit à rire elle aussi, mais ne répondit pas tout de suite, prenant son temps elle me dit :
- Ce nest pas un problème, cela fait un bon bout de temps quil a des vues sur toi !
Alors là, cest moi qui ne dis mot en sentant mon sexe qui palpitait déjà denvie.
La timide Perle, faisait de léchangisme et se faisait tirer par dautres hommes, comme elle cachait bien son jeu, mais, en me regardant dans les yeux, elle me demanda ;
- Ça te dirait ce soir quon temmène chez nous ?
- Et comment donc, lui dis-je.
- Cest Karl qui va être content, bon, jarrange tout et surtout tiens-toi prête !
Troublée et anxieuse à la fois, jai repris le cours de la soirée en ayant hâte quelle finisse. Toutes les cinq minutes, je jetais un il en direction de Karl, et je ne pouvais lever mon regard de son short, qui avait lair bien rempli.
Plus tard, avant que tous les invités ne fussent partis, Perle me fit un clin dil, signe du départ imminent, juste le temps de saluer tout le monde et me voilà dehors dans ma voiture prête à suivre Karl et Perle.
Je dois vous avouer que dès que je me suis installée dans ma voiture je nai pu mempêcher de me caresser, juste pour me soulager un peu et me mettre dans de bonnes conditions.
Mais il est temps de démarrer, Karl et Perle viennent de partir et cest fébrile que je les suis, Perle se retourne de temps en temps pour me faire un petit signe complice et vérifier si je suis toujours derrière eux.
Une demi-heure plus tard, je suis installée dans le canapé cher eux et Karl est assis en face de moi, Perle nous prépare une boisson en cuisine.
- Alors parait que tu mouilles pour moi ? me demanda-t-il.
- Parait aussi que tu bandes pour moi, lui répondis-je.
Mon sexe est déjà en feu, et de là où il était, il pouvait tout voir de mon sexe minutieusement épilé et entièrement dévoilé à ses yeux, javais enlevé ma petite culotte dans la voiture et ma mini-jupe était largement retroussée sur mes cuisses.
Et, sous son regard, au lieu de fermer les cuisses, comme laurait fait nimporte quelle femme sage, je les ai écartés encore plus, en le fixant droit dans les yeux.
Perle est arrivée entre-temps, et nous voyant elle dit :
- Mais quest-ce que tu regardes comme ça, espèce de cochon ? Tes en train de mater sous la jupe de ma copine !
Je mouille déjà comme une fontaine à lidée de ce quil va se passer.
Je me lève et remonte ma jupe sur mes reins, montrant mon minou épilé à Karl en mapprochant de lui.
Perle continue en disant :
- Allez, fais-lui un bisou pour te faire pardonner.
- Oui, embrasses mon sexe, dis-je, en posant ma main sur sa tête et en lapprochant de ma vulve brûlante.
- Et nhésites pas à y mettre ta langue, rajoute Perle.
Je sens déjà le jus de mon sexe commencer à couler le long de mes jambes tellement je suis excitée. Il avance de nouveau sa tête et pose plusieurs baisers à la suite. Enhardi par ma réaction, il pointe sa langue sur mes lèvres lisses. Ce contact mélectrise.
- Cest trop bon, continues
Perle, la timide, a perdu tout contrôle et se montre sous un nouvel aspect, elle se dessape en vitesse et une fois nue, se place dans un fauteuil et se met à se branler en nous regardant.
Karl, à mes pieds, voyant que je lâche le contrôle, suite aux sensations quil me provoque, prend de lassurance et empoigne mes hanches pour leur imprimer un mouvement davant en arrière. Je me frotte littéralement sur sa langue qui fouille les moindres recoins de mon sexe.
Pendant ce temps, jai lâché sa tête pour prendre en main ma poitrine dure aux tétons dardés par lexcitation, et jentends près de moi Perle gémir de plaisir, je libère mes seins de la robe et commence à les pétrir sans ménagement.
Karl me fait allonger pour avoir plus de latitude et continue ses jeux de langue, pendant quil use de ses doigts pour pénétrer mon vagin dégoulinant de cyprine.
Je soulève mon bassin en cadence pour venir à la rencontre de ses doigts investigateurs. À ce rythme-là, je ne tarde pas à sentir la jouissance monter jusquà exploser littéralement, alors que je plaque la tête de Karl sur mon sexe pour quil continue, pendant que mon corps est secoué des spasmes du plaisir.
Épuisée, je me laisse tomber dans le canapé et je vois Perle venir vers nous et menjamber pour mettre son sexe sur ma bouche en disant :
- Allez, suces-moi et fais-moi jouir pendant que mon homme se prépare avant de te prendre
Perle ne sera pas longue à jouir sous mes coups de langue, juste le temps pour Karl de se mettre nu et de me présenter lobjet de ma convoitise.
Il me présente peu de temps après un long membre chaud et puissant et je le branle aussitôt, et constate que Perle ne mavait pas menti, ni exagéré, il est gros, non énorme, je narrive pas à lentourer entièrement de mes doigts, alors je sors ma langue au maximum et je la passe sur son gland.
Karl a fermé les yeux et gémit de plaisir.
Mes lèvres palpitent déjà à lidée de sentir cette colonne de chair à lintérieur, je prends lobjet en main et commence à lécher la hampe sur toute sa longueur et dune main, je soupèse ses bourses, énormes et lisses, il doit se les raser.
Ma main court le long de lengin, et je prends le gland en bouche.
Karl gémit à la sensation de ma langue chaude sur son gland. Jessaie de gober toute sa tige, mais elle est tellement grosse que je narrive même pas à la moitié, je suce et lèche ce gourdin comme une salope, alternant les passages dans ma bouche avec les caresses de ma langue, branlant lanimal énergiquement sous les gémissements de ma proie et sous les yeux de Perle.
Je sens quà ce rythme, Karl ne va pas tarder à venir et cest justement ce que je cherche, je veux quil explose entre mes lèvres, mais Karl se dégage et positionne son membre devant ma petite chatte, je prends son engin dans ma main et commence à frotter mon clitoris avec.
Karl recommence à gémir de plaisir et matt les fesses pour imposer son rythme, alors je présente son membre à lentrée de ma grotte.
Le calibre est vraiment en dehors de toutes les catégories que jai pu connaître auparavant et jappréhende un peu, mais mon sexe est tellement lubrifié par lexcitation que lentrée se fait en douceur.
Je nen reviens pas de pouvoir faire entrer un tel engin en moi. Je me sens incroyablement remplie par cette colonne de chair qui vient buter contre le fond de ma matrice.
Il laisse passer quelques secondes, pour mhabi aux dimensions exceptionnelles de sa queue et se met doucement à aller et venir en moi. Il joue à me pénétrer uniquement du bout de sa hampe un moment avant de mempaler complètement.
Mais soudain je mentends dire :
- Prends-moi par derrière, mon salaud, je veux te sentir me défoncer le plus loin possible.
Il ne se fait pas prier et tandis que je me retourne, il se place derrière moi, sa queue à la main. Il me lenfonce petit à petit, centimètre par centimètre, savourant sa supériorité qui lui donne accès à des plaisirs interdits. Je crois que la vision de mes fesses offertes à ses caprices lexcite encore plus.
Maintenant cest à grands coups de boutoir quil me prend sans ménagement. Me tenant par les hanches, il me défonce en jurant.
Je suis surprise quand je sens son pouce simmiscer dans ma petite rondelle et bien quhabituée à ce genre de caresses, cela déclenche en moi un nouvel orgasme.
La pression monte de plus en plus, Karl me perfore à tout va, déclenchant de nouvelles sensations, Karl ne tarde dailleurs pas, lui non plus, à jouir sous ce traitement, et nous poussons ensemble un long râle de plaisir.
Perle a joui en nous regardant, sous la caresse de ses doigts, elle me regarde et me demande :
- Alors heureuse ?
- Comblée, que je réponds sans un gémissement.
- Attends quil soccupe de ton petit trou, me dit Perle avec un regard vicieux.
A cet instant je sais que la nuit va être longue
A suivre
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