Une Soirée Qui Aurait Pu Être Gâchée Suite Et Fin.
Nous allions pouvoir passer aux choses sérieuses. Avant nous sommes retournées dans le salon principal. L'ambiance avait changé ainsi que les comportements. R., le mari de V. était en grande conversation avec une splendide brune aux yeux verts, au corps splendide. Elle avait pour seul vêtement une combinaison en "fishnet" laissant passer les longues pointes de ses seins et permettant de voir que sa brune toison était taillée en forme de cur Ils devisaient comme lors d'un cocktail mondain à la différence près que d'une main il tenait une coupe de champagne et que de l'indexe de l'autre il lui caressait la pointe d'un sein; dans le même temps elle avait sortie sa verge du pantalon et faisait aller sa main de manière à dégager puis à recouvrir le gland.
Ils n'étaient pas les seuls à avoir des conduites "bizarres"; plus loin un autre couple, elle vêtue d'une jupe minimaliste lui arrivant au ras de la fente et de longues cuissardes passait un doigt, qui se voulait distrait, tout le long de sa fente tandis que lui masturbait lentement un sexe de belle taille.
L'ambiance commençait donc à prendre une tournure éloignée de la réunion purement mondaine. Nous nous sommes frayées un chemin jusqu'à un des buffets, slalomant entre des couples qui se frôlaient, se caressaient et autres mignardises de bon aloi. V. avec sa tenue attirait bien des regards tant masculins que féminins, elle affichait un air très détaché qui était feint, car en faite, elle repérait les "proies" qui pouvaient l'intéresser.
Nous avons parlé de banalités avec quelques couples qui nous semblaient intéressants, prêtant autant d'attention à l femme qu'à l'homme, nos cavaliers faisaient de même dans leur coin.
Dans cette athmophère assez particulière régnait déjà des prémices de sexe mêlées aux parfums et eaux de toilette de prix des uns et des autres.
A l'autre buffet, R. et son "fishnet" semblaient être entrés dans une phase plus active; elle n'allait pas tarder à les conduire dans les salons privés c'est elle qui décida, en le tenant fermement par la verge, tel un skipper tenant la barre franche d'un voilier, de le piloter vers l'un des salons.
Les gens se rendaient de plus en plus nombreux vers les salons privés, nous avons toutes les quatre fait de même. V. avec sa robe et sa banane remportait un franc succès. Il faut dire que les femmes avaient rivalisé dans l'érotisme de leur tenues, même certains hommes avaient fait de même, l'un deux en particulier portait un smoking blanc dont le pantalon comportait un hublot transparent permettant de découvrir une verge de très belles dimensions. Je n'avais encore jamais vu de tenue pareille.
Nous sommes passées devant le "donjon" en y jetant un simple coup d'il. Il y avait deux croix de sait André au fond de la pièce, sur l'une d'elle une fille avait pris place et présentait son coté pile dans l'attente de recevoir des coups de martinet sur les fesses; sur l'autre un homme se faisait malmener le sexe par une amazone vêtue de vinyle rouge, assise sur le dos d'un autre, entièrement nu, à quatre pattes, un collier autour du cou et une longue laisse que tenait la "dominatrice" et dont elle avait entouré la verge du crucifié avec l'extrémité!! A mon goût triste spectacle!
La "chambre des plaisirs saphiques" était beaucoup plus intéressante pour nous. De grands canapés étaient disposés le long des murs et le centre de la pièce occupé par un vaste lit d'au moins trois mè-
tres sur trois et sur lequel il était possible de s'ébattre tout à loisir. Déjà des corps s'ébattaient en se tortillant comme un nid de vipères, les râles qui servaient de musique de fond ne laissant aucun doute du plaisir que prenaient les protagonistes.
Nous avons décidé de nous y rendre plus tard et de commencer par le salon des couples. La disposition était à peu près le même que dans celle des "plaisirs saphiques", l'éclairage tout aussi tamisé, à la différence près que le lit était plus une estrade dont la hauteur permettait aux hommes de se tenir debout pour besogner les gentes dames installées à l'extrémité du bord, allongées sur le dos ou le ventre. Beaucoup de places étaient déjà occupées; au centre la levrette régnait en maître tout autant que la sodomie. Dans les canapés contre les murs ils étaient un havre de repos pour permettre à certains de reprendre des forces tout en profitant du spectacle très propice pour ranimer les ardeurs.
Nous étions désormais nues, comme les autres participants, nous avons vu R. qui enfonçait son membre à la base du cur de la toison de "fishnet" avec beaucoup d'ardeur et des "han" de bûcheron à chaque poussé tandis que son bassin remuait en cadence pour mieux enfoncer le pieu qu'elle savourait à en croire ses gémissements. Ses deux mains étaient occupées à masturber des garçons qui se trouvaient de part et d'autre, chacun s'occupant d'un sein et sa bouche à elle allait de l'un à l'autre pour en sucer le gland avec gourmandises. Tous les quatre arrivèrent quasiment en même temps à l'orgasme. Elle avala l'un deux tandis que l'autre inondait ses seins de longs jets blancs. R. s'était vidé en elle et l'une de nos amies s'est précipitée pour en presser le gland afin de recueillir les dernières gouttes de sa liqueur. V. est allée s'installer entre les cuisses de "fishnet" pour laper, avec délectation le sperme de son mari, mélangé aux sécrétions de cette jolie fille.
Je regardais ce spectacle et l'envie d'une bite dans ma fente devenait de plus en plus forte d'autant plus que je caressais mon bouton à jouissance. J'ai senti un sexe se frotter contre moi et me suis penchée en avant pour présenter ma fente à ce visiteur inconnu. L'une de nos amies s'est allongée devant moi pour m'offrir sa chatte dont la toison où des gouttes de mouille brillaient comme des gouttes de rosée.
- Tu as aimé la bite de mon mari ?
- Elle était délicieuse.
- Alors maintenant laisse moi aller boire son jus à ta source.
Je me suis retournée en écartant bien mes jambes et elle est venue aspirer le sperme qui dégoulinait de fente tout en malaxant mon clitoris avec son pouce. J'ai senti une onde de plaisir m'envahir et savais que j'allais avoir un autre orgasme. A ce moment là un autre garçon m'a présenté un pieu bien raide en me demandant de le faire couler dans ma bouche. Je me suis exécutée avec entrain et mon bassin suivait le rythme de la langue qui me fouillait de plus en pus profond. L'orgasme allait arriver et j'ai pris la queue, que j'avais en bouche, en main pour la branler vigoureusement. Je voulais sentir le sperme jaillir contra mon palais en même temps que je m'écroulais, vaincue par un orgasme intense.
Mes trois amies n'étaient pas restées en reste pendant ce temps et, d'un commun accord, nous sommes allées sur un canapé pour reprendre un peu de force après les moments d'intense jouissance que nous venions de vivre. Fort heureusement des boites de kleenex étaient disséminées çà et là pour nous permettre d'essuyer nos chattes et nos cuisses dégoulinantes de mouille et de sperme. L'une des amies a fait venir deux autres filles avec lesquelles elle avait fait quelques "cochonneries" et dont les maris étaient occupés à explorer d'autres vagins.
Une fille sur un canapé se caressait doucement la fente dont s'écoulait un petit ruisseau de mouille.
Nous avons pensé, toutes les cinq, qu'elle serait parfaite pour se joindre à nous à fin de former un bel hexagone de tripotages et de suçage.
Pendant près d'une heure nous avons enchaîné orgasmes sur orgasmes, nous doigtant les une les autres, nous suçant, nous masturbant. Nous ne savions plus qui fait quoi et à qui mais du moment que la jouissance était là! Nous étions même le point de mire d'autres participantes tellement nos râles, cris, halètements étaient fort. Nous avions perdues tout sens des réalités pour ne devenir que des machines à plaisirs.
Pour reprendre un peu nos esprit nous avons décidé d'aller à l'un des buffets pour nous rafrîchir d'un peu de champagne.
En sortant du salon je restais figée. Devant moi, un sourire aux lèvres, Eric le directeur commercial de la boite de mon mari. Il participait souvent avec sa femme à ces soirées, mais que faisait-il là quand je le savais parti à Tokyo.?
- Que fais-tu là Eric ?
- Comme toi je suis venu me distraire, cela fait du bien après les heures de vol, j'ai pris un vol régulier puisque l'avion est en panne.
- Mais Michel est resté là bas avec son "fruit vert" de Clémentine.
- Je ne sais pas. Me dit-il avec un sourire en coin.
Furieuse que lui soit là et que Michel n'ai fait aucun effort. Je me suis dirigée vers le buffet bien décidée à boire non pas une coupe de champagne mais une bouteille entière.
Arrivée dans le salon des buffets je me suis arrêtée nette, figée par la surprise.
Michel devisait avec un couple.
Je me suis jetée à con cou.
- Mon amour toi aussi est rentré avec Eric.
- Je n'allais pas t'abandonner pour une telle soirée, Clémentine, (encore elle), et bien assez grande pour ramener l'avion avec Mathias et Romain.
- Viens mon amour, déshabille toi vite. Ma citerne à foutre est presque pleine mais elle ne le sera vraiment que lorsque tu auras giclé en moi!
Cette soirée aurait pu être gâchée, elle se terminait en apothéose !!!
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