Examen Contrôle
Examen de contrôle (1)
Je vais essayer de vous faire vivre le dernier examen de contrôle que j'ai subi suite à mon traitement. J'ai cinquante-cinq ans, et comme on me le dit souvent : "bien conservé".
Pas de cheveux blancs, pas un corps d'athlète mais bien entretenu avec mon mètre soixante dix-huit pour environ soixante-dix kilos, harmonieusement bien dessiné. Je suis imberbe sur le torse. Seulement quelques poils sous les aisselles des bras que je rase très régulièrement ainsi que les poils de mon pubis.
Avec mes problèmes de santé, je suis suivi depuis deux ans par un spécialiste urologue. Ce spécialiste est une femme trentenaire. J'ai eu un peu de mal de l'accepter les premières fois, mais elle a une incontestable réputation et beaucoup de charisme. Au fil des consultations et contrôles tout se passaient très bien. Elle est là pour me soigner.
Pour ce nouveau contrôle, en arrivant la secrétaire m'informe que le docteur madame Constance est en congrès et c'est son remplaçant de l'autre clinique qui effeca votre contrôle. Le docteur Constance l'a informé de votre dossier.
Je m'assois dans la salle, et après un très bref moment d'attente, la porte du cabinet du spécialiste s'ouvre et apparaît le remplaçant-spécialiste d'une trentaine d'années. Un très bel homme, malgré sa blouse blanche, une image de silhouette presque irréaliste de mannequin. Un visage bien dessiné, avec un visage aux grains de peau impeccablement soigné, et une coiffure méchée des plus impeccables. Souriant avec de grands yeux verts porcelaine, il m'accueille et me fait entrer dans cette salle que je connais bien.
Il me fait asseoir en face de lui à son bureau, et se présente très rapidement. Quelques questions concernant mon traitement, il prenait quelques notes puis feuilletât mon dossier. Après quelques commentaires réconfortants, se remit à écrire dans le dossier et sur le clavier de l'ordinateur à ses côtés. Levant la tête avec son sourire apaisant me dit :
- Je vois tout de même vous faire un rapide contrôle, n'ayant eu que quelques explications du docteur Constance et lu votre dossier.
Je pense que vous avez l'habitude ?
-Oui, oui ! Répondis-je. - Je dois me mettre sur la table de consultation en ayant ôté chaussures, pantalon, et . . . . sous-vêtement !
-Oui, c'est cela et peut être aussi votre chemise.
Je m'exécute et m'allonge sur la table (comme les fois précédentes. Pendant ce temps il enfile un gant et observe qu'il a une magnifique alliance sur l'autre main et s'approche de la table.
Mais cette fois-ci, il me fait écarter légèrement les jambes. Dans de tels moments et situations si gênantes il n'y a pas d'érection.
Il met du gel sur un doigt du gant et en dépose également sur ma rosette, pour un toucher rectal.
Les fois précédentes je suis dans la même posture et le toucher dure moins de quarante secondes.
Mais aujourd'hui, il rentre doucement son doigt, d'une telle façon que j'en aie des frissons tout le long du dos. Une fois le doigt entré, il le tourne un peu à droite et à gauche pendant quelques longues secondes, accompagné d'un très léger va-et-vient. Cela me fait tout drôle.
-Vous n'avez pas mal où j'appuie - me dit-il avec toujours son visage rayonnant son calme sourire à peine dessiné.
- Non, ça va!
- Ah, c'est bien, il y a une amélioration avec le nouveau traitement, la grosseur est moins importante. Je pense que nous allons continuer la même médicamentation accompagnée des deux séances restantes au Centre.
Ses paroles me réconfortaient et m'enlevaient un poids au moral. Il avait toujours son doigt qui dessinait un autre parcours dans mon rectum. Mes frissons dans le dos avaient repris. Cet examen était nettement plus long que les fois précédentes. Je ne comprenais pas, et donc je lui dis,
-Il ya un souci, docteur ? Votre contrôle est nettement plus long qu'avec le Docteur Constance, et surtout ce contrôle me semble un peu différent.
- Oui, oui, ne vous inquiétez pas, je voudrai vérifier quelque chose. Détendez-vous bien.
Son doigt était toujours introduit avec différents mouvements. Une certaine sensation de bien-être se faisait sentir. Mes frissons devenaient de plus intenses et successifs. Je ne disais rien. Je me sentais une certaine chaleur m'envahir. Il s'était déjà passé presque trente minutes sur la grande horloge au dessus de la porte.
J'en oubliais son doigt, je me laissais faire.
Il posa sa main non gantée qui avait l'alliance sur mon ventre et continuait à faire mouvoir le majeur de l'autre main. Quand tout à coup mes jambes furent prises de petits tremblements.
Le docteur me cassa le silence en disant :
- Les séances au Centre, n'ont rien altéré, vous avez de la chance, vous avez encore toutes vos facultés.
Mon contrôle était donc nécessaire pour cette vérification de fonctionnement. Il n'y a plus qu'à attendre s'il est complet.
Et je sentis son doigt se mettre en forme de virgule et faire un mouvement comme lorsque l'ont dit vient, vient.
Mes jambes se mirent à trembler plus rapidement et même à se soulever de la table d'osculation. Pour ne rien dire ou exprimer, ma main gauche serrait la table médicale et de l'autre le fermais le poing. Après quelques minutes supplémentaires, je me suis surpris à soulever le bas de mon corps à plusieurs reprises tellement les sensations de bien-être s'intensifiaient.
Malgré ses manipulations, mon sexe ne s'était pas dressé mais avait seulement un peu grossi. Le remplaçant ne bronchait pas et me regardait dans les yeux. Il se passait quelque chose. Il me lança
- Ne vous en faites pas, ne vous inquiétez pas, çà va aller et bientôt tout sera terminé.
L'extrémité de son doigt était probablement positionnée sur ma prostate et la caressait et la massait par des caresses irrégulières en rapidité et en intensité.
Mon visage qui devait être maintenant complètement rouge sans compter le haut de mon poitrail. Ma vision se troublait par instants et ma tête se mit à aller à droite, à gauche.
Ma crispait de plus en plus la table. Involontairement, je voulais crier, mais j'ai fermé la bouche qui était entrouverte, pour serrer mes lèvres avec les dents. Mon corps fut pris de très importantes secousses qui le faisaient se soulever pour retomber violemment sur la table, et ce à plusieurs fois de suite.
Je me contrôlais de moins en moins, puis à un moment mon corps s'est complètement arcquebouté et j'ai poussé un cri incroyable avec un long hurlement à l'instant où je sentis le long de ma cuisse gauche une certaine chaleur, plusieurs giclées que je n'avais jamais eu mais chose incroyable mon sperme sortait à flots de mon méat qui me donnèrent des consultions de plaisir.
Je n'avais jamais senti un tel orgasme, je n'avais jamais eu un plaisir si intense, mais surtout jamais si longtemps et si abondamment de semence.
Il m'a fallu un moment pour que je redevienne moi-même ? Quand même content et assez vexé
Je pris la parole d'un ton un peu sec
- Qu'avez-vous fait ? Ce n'est pas un contrôle ? Vous vous rendez compte ?
- Je voulais contrôler si les séances du traitement n'avaient pas diminué ou altéré cette belle fonction d'éjaculation avec sa phase plaisir.
- Vous faites cela à tous vos patients pour contrôler ?
- Pas ment, mais lorsque je commence l'examen cela m'excite alors que je suis marié, mais d'observer l'excitation et la gêne de ceux-ci me donne du plaisir au point que j'ai éjaculé lorsque vous cambriez tout à l'heure. Du coup j'ai plein de mon sperme dans le slip. J'en ai partout, et je suis tout mouillé.
- Votre comportement discret, malgré tout ce que je vous faisais, m'incitait d'aller plus loin et aussi de voir votre joli corps onduler et entendre ce cri de délivrance m'excite bien J'ai fait percevoir cette extase à plus d'un hétérosexuel et homme marié. Ils m'ont toujours remercié de cette découverte. Certains prennent un autre rendez-vous pour réitérer cette caresse si peu connue et pratiquée.
C'est tellement intense - Vous devriez essayer. C'est indescriptible.
Eudes
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