Changement De Situation 3
Moi de mon côté je me suis enfermé dans mon entreprise et jai commencé à jouer avec la vidéo surveillance de létablissement. Cette pièce était impressionnante, un mur entier était recouvert de moniteurs, sur chaque moniteur quatre images avec dans langle un n°. En composant ce n° sur un clavier limage apparaissait sur le grand écran central. Il y avait des caméras partout, dans le parc bien sûr mais aussi dans la maison, dans les studios, dans les chambres, même dans les salles de bain. Je me suis amusé comme un petit fou à les espionner pour savoir ce quelles me préparaient.
Les premiers mois furent très agréables, je vivais toujours seul dans mon appartement et régulièrement jallais coucher chez lune ou lautre pour une nuit damour torride. Jétais très bien. Mon entreprise marchait très fort, mes employés étaient ravis des nouveaux locaux. Moi, je partageais mon temps entre mes trois maitresses, la pièce de vidéosurveillance et mon travail.
Au bout de quelques mois leur ventre étant devenu trop gros pour que je puisse prendre mon pied avec elles, je les ai laissé se reposer et jai appelé Mira pour linviter à un petit repas au restaurant. Elle a été tout de suite daccord.
Le soir dit je suis passé la chercher à son agence, quand elle est sortie pour fermer la grille, je lai observé, elle avait un visage sublime, un corps magnifique, cétait un petit canon, Géraldine avait peut-être raison, son style et son habillement faisait ressortir son côté salope mais ça me plaisait bien, cest exactement ce qui me manquait en ce moment en raison de leur grossesse. Elle sest approchée de ma voiture, a ouvert la portière.
- Bonjours, ça va ? Vous vous plaisez bien dans votre nouvelle maison ?
- Oui, cest très agréable de vivre au calme de la campagne.
- Et Marie Christine, quest-ce quelle devient ?
- Elle vie avec nous la bas, elle est enceinte, comme ma femme.
Tout en parlant je démarre et roule doucement.
- Quel mâle chanceux vous êtes.
- Non, pas si chanceux que ça, je déteste les bébés. En plus elles sont tellement grosses maintenant que nous ne pouvons plus batifoler ensemble.
- Vous êtes en manque si je comprends bien.
- Oui, on peut dire ça.
- Cest pour ça que vous mavez appelé ?
- Un peu, oui, il faut bien tenter sa chance.
- Pourquoi nous allons au restaurant ?
- Ça se fait en général.
- Tournez la, et arrêtez-vous la sur ce parking.
Pendant que jarrêtais la voiture sa caresse sest faite plus fort, elle a ouvert mon pantalon et sest mise à me masturber. Au bout dun petit moment elle sest penchée sur moi et sest mise à me sucer en me caressant. Jai rapidement jouis dans sa bouche, elle a tout avalé.
- Voilà, jai mangé, si vous me raccompagniez chez moi pour un dernier verre ?
- Bien sûr, vous habitez ou ?
- Pas loin, par là.
Je roule un peu, entre dans une rue.
- Voila cest ici.
- Mais cest la maison de Marie Christine ?
- Oui, cest moi qui lai acheté. Jai aussi repris tous ses meubles, ils étaient quasi neuf et elle nen avait pas besoin. Entrez et servez-vous un verre vous savez ou cest, je monte me mettre dans une tenue plus décontractée, ces talons toute la journée, ça me tue.
Dans le salon rien navais changé, je me suis servi un verre et installé dans le canapé. Quelques minutes plus tard, elle est redescendue. Elle était magnifique, ses cheveux châtain avait été détaché et tombait sur ses épaules, elle portait une petite nuisette presque transparente qui laissait deviner sa poitrine magnifique et bien ferme qui tendait bien le tissus un ventre plat et musclé ainsi quune ombre plus sombre qui mindiquais quelle ne portait pas de culotte.
- Tu peux men servir un ?
- Bien sûr, viens tassoir la.
En sasseyant sa nuisette est un peu remontée et du meuble bar ou jétais je pouvais voir sa toison entre ses jambes entrouvertes.
- Marie Christine avait raison tu es très doué.
Jai relevé la tête en continuant de pistonner son sexe de mes doigts
- Elle ta parlé de moi ?
- Oui, depuis longtemps, à lépoque elle était encore mariée, elle ma proposé de venir un jour chez elle pour que je te rencontre et que tu me fasses jouir. Je ne sais pas pourquoi, je ny suis pas venu, jai peut-être eu peur.
- Peur de moi, pourtant tu as une sacrée réputation.
- Ah bon, peut-être à cause de mes tenues, mais je nai pas beaucoup daventures qui durent si cest ce que tu veux dire.
- On ma parlé de toi comme dune dévoreuse dhommes.
- Oui, bien sûr, jaime bien le sperme et jen bois pas mal comme tout à lheure mais cest sans suite. Ce que les filles naiment pas chez moi cest que je me fais sodomiser pour ne pas avoir de risques de bébé, je ne prends rien, jai essayé la pilule mais ça me faisait grossir alors je préfère les pipes et par derrière comme ça pas de risques, ce sont deux truc que la majorité des filles détestent, cest pour ça quelles mont fait cette réputation.
- Tu es une victime de ta réputation, cest sûr.
Elle sest mise à râler plus fort jai baissé la tête pour prendre entre mes lèvres son petit bouton. Ses cris se sont amplifiés et jai été arrosé par un puissant jet de cyprine. Une fille fontaine, mon rêve. Je me suis mis à laper goulument tout le jus qui sortait delle en continuant de pistonner sa fente de mes doigts. Rapidement ses gémissements ont repris de plus en plus fort et un nouveau jet ma empli la bouche. Je ne tenais plus, jai sorti mon chibre et me suis enfoncé en elle. Ses gémissement de plaisir ont repris, cétait merveilleux, je sentais mon chibre barboter dans une grotte marine remplie de jus.
- Fait attention, je ne prends rien et je ne veux pas être comme ta femme et Marie Christine.
Jai continué de la pilonner pour la faire jouir une nouvelle fois puis quand jai senti la sève monter je me suis précipitamment retiré pour me lever et mettre mon chibre dans sa bouche et la lui remplir de mon plaisir. Tout essoufflé, je me suis avachi sur le canapé à côté delle. Elle nest pas restée inactive longtemps, ses mains sont venu sur mon sexe pour me branler, comme je me suis remis à bander, elle sest levée et ma retiré mes chaussures et mon pantalon puis elle sest assise sur mes genoux et ma retiré ma veste et ma chemise. Comme je me retrouvais entièrement nu je lui ai retiré sa nuisette et me suis mis à jouer avec ses tétons. Doucement en me caressant elle sest relevée et empalée sur moi. Cétait magique, javais ma bite bien au chaud au fond de son ventre et ma tête dans sa poitrine. Nous sommes restés un bon moment comme ça, sans bouger, puis elle sest mise à faire onduler son ventre en gémissant. Jai à nouveau senti une inondation quand elle a jouis puis elle sest relevée, a dirigé mon sexe vers son anus et sest à nouveau empalé sur moi en me disant a loreille
- Vas-y fort, je veux sentir ton jus minonder les tripes.
Je me suis activé, elle a jouis presque comme si je la prenais dans le sexe puis jai explosé et me suis vidé complètement en elle. Jétais assommé par la jouissance, cétait une super maitresse. Il faudra que je vienne la voir plus souvent.
Le mois suivant Ursula a eu des contractions et elle est partie accoucher dune petite fille, trois mois plus tard ça a été le tour de Marie Christine qui elle aussi a accouché dune fille enfin une vingtaine de jours plus tard ce fut le tour de Géraldine, encore une fille. Cest à la clinique quils nont rien compris à chaque fois cest moi qui les ai accompagné et qui ai assisté à laccouchement. Pour Ursula pas de problèmes, on ma présenté comme le papa mais pour Marie Christine cétait la même équipe et quand on ma présenté comme le papa il y a eu comme un malaise.
Avec ces trois bébé de plus dans la maison, les pleurs et les biberons, je nai pas résisté longtemps et me suis enfermé dans mon appartement ou je pouvais jouer au calme avec ma vidéosurveillance.
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