Vacances À Trois
Nous vivons depuis un bon moment avec Martine, notre commune maitresse. Les revenus de notre étude de notaires sont confortables. Le fait de vivre à trois ne crée aucun refus dans le quartier. Arrivent les vacances, cette année nous fermons létude. Le but de nos congés est précis, nous voulons aller vers un endroit libertin. Quel meilleur endroit que Agde : cest ce que choisi mon épouse Aline. Ce nest pas très loin, facile daccès. Elle soccupe des réservations dhôtel, des détails aux quels je ne pensais même pas.
Nous arrivons très tard à lhôtel, vers 22 heures. On nous sert un repas rapide que dévore Martine. Ensuite direction la chambre. Jaurais aimé aller sur la plage pour me tremper dans leau encore tiède certainement. Je me mets nu pour aller dans leau. Mes femmes pensent quavant
...il vaut mieux samuser un peu. Pourtant dans la voiture, au moins Martine à larrière se caressait la figue bien longtemps. Je pense quelle a du se faire jouir plusieurs fois. Aline, plus sage ne sest branlé quune seule fois en sortant dune station service. Moi, sage, je ne me suis rien fait. En tout cas maintenant jattends leur décision : baiser ou se baigner. Cest Martine, le plus indisciplinée, dissipée, qui provoque ma femme. Aline se laisse vite convaincre par lautre chipie. Une main sur la chatte, la voilà partie pour de faire baiser. Oh, pour une fois Martine est raisonnable, elle branle Aline en la laissant debout, elle accepte aussi de recevoir deux doigts dans son vagin.
Elles jouissent relativement vite. Je faisais celui qui ne voyait rien, même si je bandais. Nous avons rejoint la plage proche, elles en pleine forme et moi avec la queue encore raide. Je les prends par la taille, fier davoir deux belles femmes à mes cotés, deux magnifiques femmes je devrais dire. Nous sommes étonnés de voir encore du monde. De loin nous ne pouvons voir si les gens sont nus. Tant pis, nous approchons. Cest Martine qui remarque la nudité des autres.
Elles se mêlent à un groupe de jeunes. Aux cris poussés je comprends quAline est entre des mains adroites. Quand jarrive, elle est sur le sable, une main dhomme sur sa chatte : elle se fait encore branler, pas longtemps. Je le vois se donner à une bite énorme. Javais débandé, je rebande. Aline prend un pied pas possible en se faisant baiser devant moi par un mec. Martine regarde comme moi. Sauf quelle sempare de ma bite, se couche sur le sable, me fit venir sur elle. Sans lâcher ma queue elle arrive à ce que je la baise. Elle est excitée comme une puce : ses talons sont sur mes fesses, ses bras métouffent presque. Ma pine glisse dans son sexe, tout au fond. Elle nest pas satisfaite, elle veut que jaille aux nouvelles de son anus. Elle remet en levrette, dirige toujours ma bite, cette fois sur son cul.
Si aux tous débuts de nos relations elle rechignait à se faire sodomiser, elle y a prit gout depuis. Je suis dans ses reins. Je sens mes couilles contre ses fesses. Elle gémit comme à chaque fois.
Ma femme entend les plaintes de son amantes. Comme elle finissait de se faire mettre, elle vient lécher Martine. Jallais jouir quand Martine me fait sortir de son cul. Mon jet part dans la bouche de ma femme. Elle garde le sperme pour le répartir à part équitable entre Aline et moi.
Nous rentrons dormi, fatigués et par le voyage et par nos baises.
Le lendemain assez tard, nous allons déjeuner, nus bien sur. Je suis entre les deux femmes, mes deux femmes. Elles mempêchent de petit-déjeuner normalement. Aline a lidée saugrenue de me lécher le gland pendant que jessais davaler un croissant. Je suis un peu gêné de bander au restaurant : jai tord, je ne suis pas le seul, juste à coté un couple avec lui qui bande au moins aussi fort que moi. Nous échangeons un sourire crispé. Cest sa compagne qui vient proposer de passer la journée à nous amuser à plusieurs. Les trois filles nous quittent pour rejoindre un endroit où parait-il elles seront tranquilles.
Nous restons au début comme deux cons. Jai lidée de lui proposer de « jouer » nous aussi. Il comprend ce que je veux dire, il est daccord. Sans nous cacher, sur la plage, nous nous couchons. Nous prenons la bite de lautre. Nous nous branlons doucement pour ne pas jouir trop vite. Il voudrait compléter notre jeu par une sodomie. Je nai jamais été enculé, jai peur de commencer : il me rassure, me donne des tuyaux pour laccepter dans le cul.
Il me fait mettre en levrette. Habituellement cest moi qui provoque cette position. Je sens son pubis et ses poils conte mes fesses. Il prend ma bite dans la main. Il commence à me branler, une suite de ce quil faisait tout à lheure. Il pose sur lanus un truc que je ne connais pas, avant de mettre sa bite dessus. Je ne sais comment il fait pour entrer sans me faire mal. Je le sens senfoncer profond. Il me fait mal, pas tellement, mais je ressens cette douleur faible quand il me la met à fond. Je continue à me laisser faire. Il jouit : je sens ses spasmes dans mon ventre. Et là, à mon tour, joublie tout, je décharge. La prochaine fois, cest sur cest à moi de lenculer. Nous allons nous baigner. Nous étions calmes en entrant dans leau : nous sortons en bandant.
Cette fois cest à mon tour dagir. Je le fais tomber sur le sable, je prends sa queue dans mes lèvres un instant. Jen profite pour vérifier le plaisir de la fellation coté suceur. Il bande bien, je le retourne. Cette fois cest moi qui passe ma bite dans sa raie. La différence avec mes femmes est quil est poilu. Je ne prends pas de gant. Je lencule comme il est : à sec. Là je force pas mal et dun sel coup ma pine entre au fond. Il fait un ouf. Je suis en lui, mieux que dans le cul de lune de mes femmes. Je pistonne fort.
Je nai pas le temps de jouir convenablement : je suis attaqué par trois paires de mains : les filles sont revenues après leurs petits jeux lesbiens. Elles veulent caresser mon corps pour augmenter mon plaisir.
Dun seul coup je lâche ma bordée. Lui aussi.
Nous avons rendez vous les cinq ensemble pour une petite partouze sur la sable.
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