Hong Kong 4
Le grand jour est arrivé, l'apothéose. L'histoire d' Ô ! La salle est pleine à craquer. Premier tableau, l'entrée à l'école. Un acteur connu frappe à la porte. Une petite lucarne s'ouvre :
- Bonjour, vous amenez Ô ?
- Oui !
La voix nous ouvre l'entrée. A peine la porte refermée, l'homme me passe la main sur les fesses. Je sursaute. L'homme me retourne vers lui, s'agenouille et passe ses mains sous ma robe. Il saisit ma petite culotte et la baisse jusqu'à mes pieds. Il la prend entre ses doigts et la déchire.
- Vous n'en n'aurez pas besoin, ici !
L'homme me fait entrer dans une petite pièce et tente de m'embrasser. Je me recule. Il m'att par le bras, s'assoit sur une chaise et me couche en travers de ses genoux. Il trousse ma robe et m'administre une fessée douloureuse et humiliante.
- Vous ne devez jamais refuser un homme ! La prochaine fois, vous serez fouettée.
Il me remit sur mes pieds et se leva aussi. Il me déshabilla entièrement et dit :
- Ce sera votre tenue, tout au long de votre séjour chez nous !
Mon supposé fiancé était parti. L'homme me reprit par la main et me fit passer dans une autre pièce. Un garde armé d'un fouet me prit par le poignet et me précéda dans un couloir. Arrivés devant une autre porte, il me dit :
- Sauf si on vous le demande, vous ne devez pas regarder les hommes que vous croiserez ! Tout manquement à la discipline sera puni par le fouet. Je serai l'exécuteur. Si un homme vous demande une faveur, vous devez vous exécuter. En dehors du personnel, bien sûr ! Si vous n'avez pas bien compris, dites-le maintenant, je ne le répéterai pas.
Il ouvrit la porte et j'entrai. Une femme mesura mon tour de cou et s'en fut un instant. Quand elle revint, elle portait un collier de cuir muni d'anneaux.
- Voilà, dit-elle. Vous jetez la clé dans le puits. En faisant cela, vous montrez que vous êtes ici de votre plein gré. Une caméra filme toute la pièce pour bien montrer que personne ne vous y oblige. Vous garderez ce collier jusqu'à ce que votre mari vous l'enlève.
La femme me ramena à la porte d'entrée, le garde m'attendait.
- Suivez-moi, un pas derrière ! Marchez les yeux baissés !
Un pas résonna dans le couloir.
- Bonjour Ô, dit une voix. Vous pouvez relever la tête, je suis le Maître. Jolie touffe, dit-il en passant ses doigts sur mon pubis. Une main suivit la courbure de mes fesses. Ô, vous êtes une belle femme. Faite pour donner du plaisir aux hommes. Vos lèvres entourant un sexe mâle doit être un spectacle émouvant. Je viendrai voir comment vous évoluez.
Se retournant vers le garde, il dit :
- Elle n'a pas encore de bracelet. Elle n'a pas encore été fouettée ?
- Non Maître, dit le garde, tête baissée.
- Alors montrez-moi !
De sa besace, le garde sortit une balle en plastique dur, trouée en son milieu. Une lanière en cuir y était passée. Le garde vint vers moi et dit :
- Ouvres la bouche !
Il introduisit la boule entre mes dents et noua le cuir dans mon cou. Il releva mes bras et les posa contre le mur. Il me prit par les hanches et m'écarta légèrement du mur.
Le premier coup m'arracha un mugissement étouffé par la boule. Mes fesses sursautèrent. Au deuxième coup, je serrai les dents au maximum. Je ne voulais pas donner au Maître, la satisfaction de m'avoir brisée. Avec sa grande expérience, celui-ci s'en aperçut. Il me prit par la main et me fit mettre à genoux.
- Garde !
La pine dans ma bouche, je levai un regard suppliant vers lui.
- Vous devez garder les yeux baissés, dit le Maître. De plus, je ne suis pas satisfait de la fellation ! Il faut vous éduquer !
Il se tourna vers le garde :
- Il faudra la fouetter tous les matins à 10 heures, après que je l'aurai prise.
La lumière s'éteint, le temps d'aménager le nouveau décor. On me passa des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles. Quand les projecteurs se rallumèrent, deux femmes drapées dans des robes transparentes me tenaient chacune par une main. Elles me poussèrent entre les colonnes d'un portique. Elles étaient hérissées de crochets. Elles soulevèrent mes bras et accrochèrent mes poignets. On m'a fouettée pendant une dizaine de minutes. Mon corps se tordait sous les coups, surtout les fesses. Elles se tendaient vers le fouet, semblant en vouloir encore. Des commentaires fusaient. Je ne comprenais rien, mais les écrans étaient explicites :
- Putain ! Salope !
- Arraches-lui la peau ! Plus fort, elle aime ça !
Je me laissai pendre au bout de mes poignets pour faire croire à l'épuisement. Puis vint la grande scène. D'un chaudron, s'échappait de la fumée, factice bien sûr. Les deux femmes me prirent par les hanches pour m'empêcher de bouger. Le fameux acteur qui m'avait "amenée", apparut.
Il se saisit du tisonnier et le présenta à mes yeux. Sur les initiales, il y avait de l'encre. Quand il le posa sur mes reins, je poussai un hurlement. Je ne sais pas comment ils ont fait, mais les hauts parleurs diffusèrent le grésillement de la peau qui brûle et on en a même senti l'odeur. Dans mon dos, les lettres rouges brillaient sur mes reins.
Je suis restée dans cette position jusqu'à la sortie du dernier spectateur.
J'ai dormi pendant 15 heures. Le lendemain, Monsieur Fong est venu me voir.
- Chère Madame, ce fut au delà de tout ce que je pensais. Ces trois tableaux m'ont rapporté plus que la bourse pour toute l'année dernière. Je vous remet votre part avec votre billet de retour. Vous avez un corps magnifique. Vous êtes très belle quand vous faites l'amour, surtout à plusieurs, dit-il avec un petit rire. Si un jour vous revenez nous voir, j'organiserai un spectacle digne de vous et de votre imagination.
L'avion de la Cathay Pacific s'élança sur la piste qui me ramenait chez moi, avec des photos et des films de mes prestations, et surtout avec des sensations qui tiendraient haletante de nombreuses nuits.
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