Ma Vidéo Surveillance
Ce matin au réveil je bandais comme un fou, jai réfléchi et me suis rendu compte que cétait normal, il y avait quelques jours que je navais pas pratiqué mon sport favori. Jai déjeuné, fait ma toilette, je bandais toujours, je suis parti dans la salle de vidéosurveillance pour chercher laquelle de mes maîtresses serait susceptible de me calmer. La première que jai vu, cétait Marie-Christine, elle était en train de changer une couche, ensuite Géraldine, en pleine tétée tout comme Ursula. Décidément ces bébés ça chamboule complètement notre vie. Je passais dune caméra à lautre quand jai vu Béatrice, la commerciale de lautre jour arriver en voiture. Je lai suivi avec mes caméras jusquà son bureau. Là, elle a posé sa serviette, sest assise sur sa chaise et sest mise à se caresser en regardant un dossier. Javais trouvé ma victime, en plus elle devait se protéger pour accepter que les ouvriers jouissent en elle, cétait la femme idéale pour calmer mes pulsions, belle, qui aimait le sexe. La femme parfaite. J'ai rejoins mon bureau et lappellais par le téléphone pour lui demander de venir me voir.
Elle entra. Au lieu de lui proposer de sasseoir, je lui dis :
- Déshabilles-toi
Elle ma regardé avec des yeux éberlués sans rien faire, jai insisté.
- Déshabilles-toi vite.
Comme elle ne réagissait toujours pas, je me suis levé, approché delle et jai sorti mon chibre bandé en lui disant :
- Suces-moi, je sais que tu aimes la bite.
- Mais monsieur, cest de labus, je me plaindrai.
- De labus et les ouvriers que tu détournes, cest quoi, je ne les paye pas pour te baiser moi !
- Comment vous savez ça ?
- Jai mes sources, déshabilles-toi et suces moi, je vais voir si je te garde ou si je te vire.
Elle sest déshabillée langoureusement en posant ses vêtements lun après lautre sur la chaise, elle était très belle.
Quand elle sest mise à me sucer, jai compris quelle voulait que je la garde, elle me prenait jusquau fond de sa gorge en me caressant les couilles, je navais jamais eu autant de plaisir sur une fellation.
- Je vous garde à lessai, il va falloir que vous passiez me voir tous les jeudis soir environ deux heures pour un débriefing jespère que ça vous convient ?
- Oui, monsieur, cest très bien.
- Rhabillez-vous et partez travailler.
Je métais trouvé une bonne occupation pour le jeudi soir.
Le lendemain comme je membêtais un peu et que javais envie dun peu de sport, jai appelé Mira, elle était chez elle et navait pas de rendez-vous pour la journée, je lai rejoins chez elle. Quand je suis entré, je lai vu, magnifique, nue sous sa nuisette transparente. Je ne savais pas si chez elle, elle était toujours habillée de la sorte ou si elle sétait changée pour me recevoir mais jai adoré sa tenue et je me suis mis à bander tout de suite.
- Le pauvre Jean Marc à besoin de voir Mira ?
- Oui, jai énormément envie de toi.
- Le pauvre Jean Marc sest fait mettre dehors par ses femmes ?
- Non, pas par elles mais par les bébés, elles ne sarrêtent pas de soccuper deux et plus de moi. Jai besoin quon soccupe de moi.
Elle a retiré sa nuisette pour mapparaître entièrement nue et a murmuré :
- Viens bébé prendre ta tétée avec Mira.
Puis elle ma mis un de ses magnifiques tétons dans la bouche. Pendant que je suçais avidement elle dégrafait mon pantalon pour libérer mon chibre et le branler. Au bout dun petit moment elle a dit :
- Viens, suis moi dans la chambre, je désire assouvir ta soif. Tu vas me téter le vagin je suis sure que tu boiras plus que sur ma poitrine sèche.
Jai retiré complètement mon pantalon que javais aux chevilles et je lai suivi dans la chambre. Elle sest couchée sur le lit, a écarté les jambes en disant :
- Viens boire mon jus.
Je me suis exécuté, je lai léché et caressé jusqu'à ce quun jet de cyprine me remplisse la bouche puis je suis remonté sur elle et je lai pénétré. Dans ses gémissements elle me disais :
- Fais attention, je ne prends rien Ah ! ah !!!! oui !!!!!! ne restes pas, non !!!!!! restes encore !!!!!!! ah !!!!!!!!! encore, je vais jouir !!!!!!! encore un peu !!!!! ah !!! oui !!!! je jouis !!!! continue aaaaaah ! encore !! reste encore un peu !!!!! ahhh !! cest bon !!!! encore !!!! je jouis encore !!!! continue !! oui !! oui !!!encore !!!
Je nen pouvais plus, jétais au bord de la jouissance totale, je me suis retiré.
- Nooon !!! reviens !!! cest trop bon !!! encore !!!!encore un peu !!!!!!!
Jai replongé en elle.
- Ahhh !!! ahhhh !!!! oui, cest bon !!!!!!! je jouis encore ahhhhhhhhhh !!!!!!!!!!!
En catastrophe je suis sorti pour lui inonder lentrée du vagin. Elle sest levée et est partie à la salle deau. Pendant que je reprenais mon souffle jai entendu le bruit de la douchette, jétais bien, je mendormais. Cest sa bouche et ses mains fraîches sur mes parties qui mont réveillé. Elle me suçait et me caressait pour que je bande de nouveau. Quand jai été bien raide elle ma dit :
- On recommence, cest trop bon, mai noublie pas, je ne prends rien, tu te retires.
- Bien sur, je me retire comme tout a lheure.
- Avant, tout à lheure tu as failli jouir en moi.
- Cest toi qui a insisté pour que je revienne en toi quand je suis sorti la première fois, si tu recommences et quil arrive un accident il ne faudra ten prendre quà toi.
- Non, fais attention, ne me mets pas en cloque cest tout ce que je te demande.
Sans un mot je suis revenu sur elle et je lai pénétré, cétait doux serré, chaud, humide à souhait, jétais bien en elle, je bougeais juste un tout petit peu en la caressant pour faire monter son plaisir. Rapidement elle sest mise à râler
- Ahhh ! cest bon !!!!! vas-y plus fort !!!!!!jaime !!!!!!
Jai amplifié mes mouvements en continuant de la caresser.
- Ahhhh !!! jaime !!!!! plus fort !!!!!! ahhhhh !!!!! je taime !!!! continue !!!!!! ouiiii !!!!
Jai passé mes mains sous ses fesses et je me suis mis à lui dilater la rondelle. Jai à nouveau senti une inondation sur mon bas ventre, jai relevé ses jambes à la verticale et je me suis enfoncé au plus profond. Quand jai butté contre le fond de son vagin elle sest tétanisée puis elle sest mise à crier des mots sans suite. Je sentais tout son vagin se contracter sur moi, je suis sorti.
- Nooonnn !!!!! reste encore !!!!!! cest trop bon !!!!
Jai replongé dans ses fesses, mes doigts avaient bien préparés le terrain, je suis entré sans forcer. Tout en lui pistonnant lanus, jai pincé avec mes doigts son petit bouton, un cri strident ma vrillé les oreilles et un jet puissant ma à nouveau arrosé. Je suis sorti de ses fesses pour quelques aller et retours au plus profond de son vagin. Elle était secouée de spasmes, cétait merveilleux, je sentais que jallais jouir, je suis ressorti pour replonger dans ses fesses et je me suis vidé. Ça a été tellement fort que je me suis écroulé sur elle quasi comateux. Ce nest quun très long moment après que jai roulé sur le côté pour mendormir profondément. A mon réveil, la nuit était déjà tombée, je me suis rhabillé puis jai fait un gros câlin à Mira pour la réveiller et lui dire au revoir.
- Non, ne pars pas, restes avec moi, on recommencera, tu me donnes tant de plaisir que je ne veux pas que tu partes.
- Je dois partir pour rentrer chez moi.
- Non, restes.
Et en disant ça elle me caressait lentre jambe. Je me suis remis à bander.
- Tu vois, même ton chibre demande à rester.
- Non il faut que je rentre, elles vont sinquiéter puis il faut que je me repose un peu, jai du travail demain.
- Elles ne sinquiéteront pas, elles sont occupées avec les bébés et ton travail il peut attendre un peu. Restes avec moi cette nuit.
- Non, si tu veux être avec moi cette nuit viens avec moi, chez moi.
- Et quest-ce quelles vont dire en me voyant ?
- Rien, jhabite dans lentreprise, elles ne sauront pas que tu es là.
- Daccord, je mhabille et je te suis. Mais promets moi de bien me faire jouir chez toi.
- Oui, promis, jai juste un petit truc à contrôler au bureau en arrivant et je te fais jouir comme jamais. Promis.
Nous sommes partis chacun dans sa voiture, en arrivant, je lai faite entrer dans ma chambre et je suis reparti dans mon bureau pour contrôler grâce à la vidéosurveillance ce qui se passait à la maison. Ursula, était sur son lit et se caressait doucement, le bébé semblait dormir dans un couffin à côté delle. Marie-Christine et Géraldine dormaient profondément ainsi que mes s dans les studios. Tout était calme, après avoir regardé une nouvelle fois Ursula se donner du plaisir toute seule sur son lit, je suis parti retrouver Mira dans la chambre. Elle sétait déshabillée et dormais sur le cêté, nue en travers du lit. Je me suis déshabillé à mon tour et je me suis couché tête-bêche face à elle, je me suis mis à lui embrasser sa touffe. Inconsciemment elle a écarté les jambes jen ai profité pour passer mes mains et en pistonnant son vagin et son anus avec mes doigts je lui tétais son bourgeon. Le plaisir qui la envahi a du la réveiller, je lai senti prendre mon chibre dans sa bouche et me le pomper énergiquement en le masturbant. En gémissant de plaisir, elle sest retournée pour passer sur moi puis elle ma presque étouffé avec son sexe en senfonçant mon chibre au fond de sa gorge et en me malaxant les couilles. Sous lintensité de cette caresse, et linondation de mon visage par un jet de cyprine, jai failli jouir, il ma fallu faire un très gros effort de concentration pour ne pas éjaculer au fond de sa bouche. Elle ma relâché et ma dit :
- Ce qui est merveilleux avec toi, cest que tu te contrôles bien, habituellement quand je fais ça à mes amants ils se vident complètement. Pas toi, je taime, tu es le jouet sexuel idéal pour moi.
- Moi, ton jouet sexuel ?
- Oui, tu ne peux que me faire jouir et rien dautre, tu as un tel contrôle de toi et tu fais tellement attention, ce nest pas comme les autres hommes que jai connu qui prenaient leur plaisir sans trop penser au mien ni au fait que je ne me protégeais pas, à cause deux jai du faire deux interruption de grossesse, avec toi, je ne risque pas de tels déboires, cest pour ça que je dis que tu est mon jouet sexuel préféré.
- Je préférerais que ce soit toi mon jouet et ne pas avoir à me contrôler en permanence, tu sais, cest très dur de résister. Mais jy suis obligé, que ce soit avec toi ou les autres, je suis en permanence obligé de contrôler. Il ny a quavec ma commerciale Béatrice que je peux faire tout ce que je veux sans me soucier de quoi que ce soit.
- Quoi, tu as une autre maîtresse, Géraldine, Marie-Christine, et moi nous ne te suffisons pas ?
- Tu oublies Ursula. Oui, cest vrai, vous ne me suffisez pas, vous êtes toutes les mêmes, vous ne prenez rien pour vous protéger et cest moi qui dois me contrôler en permanence. Les rares fois où je croyais être tranquille et jouir normalement, elles se sont retrouvées en cloque alors maintenant, je ne fais plus confiance à personne, je me contrôle en permanence avec vous, il a bien fallu que je me trouve un jouet moi aussi, un jouet qui accepte tout ce qui me passe par la tête sans rechigner, ce jouet parfait cest Béatrice.
Elle sest avancée sur moi pour mettre son sexe sur le mien puis elle sest mise à faire onduler son bassin en tenant mon chibre contre sa fente et tout en mempêchant de la pénétrer, elle se frottait contre moi, elle me branlait avec son minou en se donnant à elle aussi du plaisir, ses gémissements samplifiaient comme si je la baisais alors que je nentrais pas en elle. De mes mains je lui caressais le dos et la poitrine. Elle sest mise à râler très fort et a jouis en minondant le bas ventre de son jus. Je nen pouvais plus, profitant de son accalmie après son orgasme, jai poussé un peu sur mon chibre pour quil se présente à lentrée de son vagin et je me suis enfoncé en elle. Sous cette pénétration elle sest remise à gémir et à faire bouger son bassin au rythme de son plaisir et elle ma chevauché de plus en plus vite, de plus en plus fort en gémissant jusquau moment où jai poussé sur ses fesses pour la désarçonner et exploser.
- Tu vois, tu es le jouet parfait. Avec toi, je ne risque rien.
Elle sest couchée à coté de moi et on sest endormi dans les bras lun de lautre.
A suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!