Un Rancho En Été.
Cest Alberto qui a dévoilé à Graciela le prochain séjour que nous ferons tous quatre vers les bords de lUruguay. Je lai appris en même temps par JF. Le lendemain nous partagions notre curiosité excessive entre femmes. Aucun des deux maris na voulu donner dexplication, alors nos imaginations ont fonctionné !
Si le plus souvent je nanticipe pas ces jeux, cette fois cest tout le contraire. Je suis dans lexcitation créative, je sais ce que je veux et nous fabulons toutes deux avec Graciela sur les folies qui nous tentent. Emoustiller nos maris de toutes les audaces possibles, les rendre fous de désir des excitations que nous vivrons. On imagine les délicatesses, les finesses de jeux sensuels et sexys en préparant tenues élégantes et dessous audacieux. Encore le temps de quelques achats sur internet pour la discrétion. Les cravaches et menottes de velours seront du voyage, les jouets aussi même si nous sommes certaines que des sexboys seront présents. Graciela est plus quheureuse et joyeuse de la transformation « candauliste » de son mari.
On parle technique et kamasoutra, oui nous sommes prêtes à tout oser, et mieux que prête ! Désireuses de vivre tout ce qui se fait ! Graciela veut brûler les étapes et elle mentraine sans résistance. On se remémore les soumis de Concordia et le beau Jorge à lendurance irréprochable.
Le jour approche et il est temps de redescendre sur terre pour profiter pleinement du séjour en laissant de côté les fabulations. Vivre les circonstances de linstant et en profiter à fond, abandonnées au sexe sans tabou ni retenue. Prêtes ? Oui, nous le sommes, disponibles et disposées, amoureuses et câlines, sans réserve pour les cadeaux qui nous seront proposés.
La température est plus supportable au bout de la route, locéan plus proche rend lair moins suffoquant. Abrité par les eucalyptus le rancho se compose de trois bungalows pour les chambres, dune grande salle et du traditionnel quincho argentin ouvert, et le luxe dune piscine au milieu du tout, entourée de lauriers et dhibiscus fleuris et dun joli bouquet de trois majestueux palmiers.
Tous nous respirons lambiance que lon vient chercher : sensualité, discrétion, atmosphère conviviale. Tous en maillot de bain on sallonge dans les transats. Comme moi Graciela porte une sorte de paréo transparent et vaporeux dont les échancrures ne peuvent quattirer les regards masculins, pour masquer la nudité quils voudraient voir. Plus loin les cuisiniers reluquent en masquant mal leur indiscrétion. Nos maris, en fait, nattendent que cela, que dautres, soumis, voient le corps de leur épouse. Le jeu déjà a commencé, nous nous employons à leffervescence des cerveaux masculins. Les paréos tombent avant la piscine et les maillots de bain flottent sur leau dès que nous y sommes toutes deux, dabord pour nager et laisser apparaitre les croupes puis dans lautre sens pour laisser flotter les poitrines aux tétons pointus par la brise rafraîchissante : sourires et gaieté. Espiègles ensuite lorsquon se rapproche lune lautre pour tenter quelques gestes de danses sensuelles qui laissent apparaître cuisses, bras, seins et fesses luisants des gouttelettes deau, nos rires pour forcer les regards de tous. Le désir est né chez nos maris et nos clins dil rieurs amusent tout le monde, on ne peut avec la distance se rendre compte du désir des cuisiniers mais tout porte à croire quil est aussi évident. Si notre désir est moins visible que celui des hommes nous le ressentons entre les cuisses, et nos cous et nos poitrines rosissent. On joue à se faire flotter lune lautre en caresses échangées, premiers frissons et premiers gémissements.
Le mot de JF : « Nest ce pas Alberto que nous sommes généreux et amoureux ? » la réponse ne se fait pas attendre « il me semble que tu as raison cest le moment doffrir à nos belles un massage relaxant », JF et Alberto en parfaite connivence
Ce quils ignorent cest notre anticipation. Nous savons Graciela et moi ce que nous voulons, nous serons dominatrices au sens où cest nous qui choisirons qui où quand et comment. Epouses perverses nous allons choisir, proposer, imposer, les jeux aux terceros présents. Que nos maris soient stupéfaits de nos audaces. On les veut fous de désir et dexcitation en voyant ceux quon va recevoir et partager avec ces amants dune nuit élus pour nous honorer. On est prêtes aux extrêmes audaces physiques, envie dêtre de véritables coquines. Jouer tous les jeux avec dautres avant de se livrer à nos maris dans lintimité des couples.
Jorge que nous connaissons déjà et Antonio, un nouveau venu, sont les masseurs « recrutés » par JF. Je choisis le petit nouveau pour débuter et mallonge de dos sous ses doigts. A côté Graciela prend place sur le matelas du dais, soumise aux muscles de Jorge et je lentends me dire discrètement « tu aimes la nouveauté...on pourra échanger ensuite ? Histoire de comparer. ».
Nos maris observent mais aussi les assistants des masseurs : les quatre soumis connus sont présents non loin en boxer expressif.
Le massage dAntonio est reposant décontractant, bien agréable et confortable après cette journée de voyage et ce petit en-cas avec Graciela. Pour peu je massoupirais si ses doigts ne venaient malicieusement écarter mes fesses et livrer à la brise et à ses yeux mon intimité.
Les bras sous la tête je vois le visage de Graciela à côté de moi. Ses yeux sont clos, elle profite indiscutablement du massage de Jorge. Sa bouche sarrondit en soufflant, ou son visage se crispe en gémissant, ne laissant aucun doute sur la zone du massage prodigué par Jorge. Cette vision renforce mon excitation et je me retourne pour moffrir entièrement nue de face à mon masseur. Jen profite pour regarder la scène. Jorge a ses deux mains entre les cuisses de Graciela à peine sil me voit tellement il est concentré sur le plaisir quil donne. Il est torse nu, je ne vois pas le bas dissimulé par le matelas. Les quatre assistants ont le boxer tendu, et nos maris les mains occupées sur leur maillot.
Antonio me détaille en bandant allègrement. Il fixe son regard dans le mien et prend mes seins à pleines mains. Il caresse, plus quil ne masse et ne quitte plus des yeux les tétons qui se dressent avant de déposer un baiser sur chacun. Le massage reprend par les épaules, les bras, le ventre, les jambes, revient vers les cuisses quil me fait écarter peu à peu. Dune main il caresse ma poitrine de lautre ses doigts délicatement honorent mes lèvres mouillées. Jatt ses fesses dune main et je la glisse sous lélastique du boxer que jentraine vers le bas. Il le retire et je prends sa queue discrètement au dessous de la hauteur du matelas. Il écarte mes lèvres et me pénètre tout en titillant mon clito. Son autre main pelote mes seins tendus. A mon tour de gémir sans honte ni retenue. Au contraire je tends ma chatte à sa main, cuisses largement ouvertes et je masturbe sa queue raide. Toute à mon plaisir, le cri dextase de Graciela est comme une décharge dadrénaline supplémentaire. Jattire Antonio vers moi pour le sucer mais la hauteur ne le permet pas alors il menjambe et je le suce assis sur moi. Je sens alors entre mes cuisses des doigts qui me fouillent. Jorge a laissé Graciela reprendre souffle et il soccupe de mon tit corps. Je dois faire vite pour assouvir Antonio car Jorge a un rythme délicieux et envoûtant qui complète lentreprise dAntonio, je vais partir je le sens, trop cest trop ! Je crie en jouissant. A peine les yeux ré-ouverts je vois, redressé à califourchon au dessus de moi Antonio toujours rouge, la queue dans la bouche de Graciela. Elle le suce le masturbe et lamène à la jouissance que je nai pas eu le temps de donner mais dont je reçois en partie le fruit entre mes seins et sur le ventre
Sur le chemin de la douche, je vois les quatre boxers auréolés dhumidité des voyeurs et je ne peux deviner si nos maris se sont ou non assouvis. Tout en me rinçant aux côtés de Graciela elle me demande : « Si tu abandonnes Jorge, je men charge ! » On lui fait signe conjointement de nous rejoindre. Nu et bandant comme un brave il me laisse me saisir de son membre alors quil empalme les seins de Graciela. Sans regarder ce qui se déroule au dessus de moi je suce, lèche, soupèse le sexe et les boules du garçon. Graciela se colle à son dos et retient prisonnières les mains du garçon. Il ne peut que subir ma fellation. Son envie était urgente, il me faut peu deffort pour obtenir léjaculation trop retenue, la jouissance lemporte. La douche nous rince tous les trois et coule sur nos peaux assouvies.
On rigole comme deux gamines espiègles et fières de leur talent. La soirée commence on ne peut mieux et avant le diner chaque couple, dans lintimité de sa chambre commente ces mises en bouche
sourire.
JF me glisse : « Vous êtes diaboliques toutes deux et délicieuses de sensualité érotique » et moi de répondre « et moi, seule avec toi ? ». Il na pas eu le temps de répondre, devinez pourquoi
sourire.
Il sait choisir les terceros, jolis garçons toujours, le charme indéfinissable, cette réserve, ce respect qui met en confiance, jamais de ces mas-u-vu, de ces machos imbus deux-mêmes. La virilité active, jamais de supériorité écrasante.
La nuit est tombée quand on se retrouve pour le dîiner. Graciela est plus sensuelle et féminine que jamais ! Un bustier époustouflant ! Sa poitrine le rempli si bien. Les seins séparés et fermes, au galbe encourageant, les épaules sur lesquelles glissent les boucles blondes son regard bleu naturel. Le ventre blanc jusque sous le nombril où le pantalon taille basse en larges bandes souvre sur ses cuisses pulpeuses, talons plats, couleurs de vie au soleil. Elle plait aux hommes, je les comprends, dautant que je plais aussi rire ! Je porte un cardigan, aux mailles indiscrètes, qui dissimule peu mes seins nus et libres, une jupe longue fendue côté droit jusquà la taille pour laisser apparaitre la jambe, la naissance de la fesse, la hanche, petits talons pour allonger encore la silhouette. Aucune rivalité, les garçons sont là pour nous deux. Nos maris ravis et souriants de voir leurs épouses plaire et séduire. On se tient, lune et lautre amoureuse du sien, bras dessus dessous, souriantes et guillerettes, la gaîté de latmosphère.
La piscine tamise léclairage, des torches et des lampes discrètes complètent lensemble plus quelques spots soigneusement dirigés vers le matelas et les hamacs
Le parfum des fleurs de jasmin et des kumquats complète harmonieusement le cadre sur une musique discrète couverte par les cigales qui ne dorment pas encore. Les quatre soumis portent bermuda et teeshirt alors que Jorge et Antonio sont en pantalon noir et chemise blanche.
Se restaurer avant la fête ou profiter de la fête en se restaurant ?...
Quelques bulles apéritives pour détendre les âmes, suggérer les audaces, tenter les envies de jeux. On se connait tous, on a chacun des souvenirs communs en tête. Chaque homme a pour le moins un aperçu des audaces dont nous sommes capables et, nous deux, sommes disponibles et dans lenvie de tout oser.
Je ne laisse pas JF prendre linitiative, ensemble avec Graciela on se lève pour danser ou plutôt évoluer sensuellement, suggestives, tous nos gestes calculés pour séduire et exciter nos maris et les hommes alentour. On se caresse, se cajole, se dénude partiellement, juste pour émoustiller. Faire bander les spectateurs. Jeu motivant pour tous, les yeux brillent. Tout en avalant leur salive les hommes imaginent et retiennent leur souffle un peu plus fort. Je sais par JF que son excitation tient aussi aux désirs des hommes pour moi, il aime que je plaise, quon ait envie de moi et ma perversité y trouve son compte. Nos câlins entre femmes sont délicieux, jaime la peau de Graciela son parfum sa douceur. Quelle parcoure mon corps me remplit daise. On échange et partage nos sensations. Nos « candaulistes » vont être servis par leurs épouses coquines, certaines de leur fait, prêtes à tout on se conforte lune lautre dans les audaces.
On attire dun petit doigt malicieux les quatre soumis que lon déshabille entièrement en prenant soin de ne pas toucher les sexes bandés, juste les suivre de regards appuyés, lenvie cependant, on se retient. Mains dans le dos liés au dais, ils pourront suivre chaque détail des ébats à venir. Dominatrices de plus en plus, encouragées par la présence de lautre, par les regards étonnés de nos maris, par leur sourire sans équivoque.
On offre une séance deffeuillage, chaque vêtement glisse lentement, poitrine dissimulée par les mains de lautre, pubis enveloppé dun pan de tissu, puis peu à peu on dévoile, et peu à peu nos caresses deviennent plus intimes. Nos peaux frémissent, le plaisir devient souffles profonds, les ondulations sonores. Allongées sur le matelas, on profite lune lautre, lune de lautre. On goûte, lèche, embrasse, contourne, le sexe de lautre, lune après à lautre, puis ensemble un 69 féminin. Nos visages luisent de nos mouilles quand on senfonce encore entre les cuisses ouvertes en grand. Voir les hommes, voir leur tension, vérifier notre attirance, notre capacité à faire bander, être désirées par tous.
Mutines on se sourit et dun même mouvement de doigt on appelle Jorge et Antonio. Je mentends dire : « Déshabillez-vous messieurs ». Ils obéissent et sans honte les voilà nus et tendus. Graciela les fait allonger à nos côtés. Chacune le nôtre pour commencer. Je prend en main le sexe dAntonio, pas très long, plus court que ceux que jai connu, mais large, vraiment bien large, ce nest pas fait pour déplaire, sourire. Chacune donne du plaisir à son tercero, seuls les mouvements du lit et quelques râles ou souffles puissant témoignent de la présence de lautre, trop occupées que nous sommes par notre propre enthousiasme à bien faire. Jimagine parfois les vues offertes aux soumis et à nos maris, lorsque nos croupes se relèvent pour que nos bouches engloutissent au mieux le sexe de lamant. Je me redresse avant quil ne soit trop tard et massois de dos sur le membre dAntonio qui me pénètre pour la première fois. Je savais que la taille allait me remplir cest bien le cas, jaime, oui jaime cette sensation particulière quand mon ventre souvre, sécarte, se dilate sur un sexe qui me rempli. Son passage force lentrée, nos sexes se complètent. Je plisse les yeux de plaisir, passe la langue sur mes lèvres, mon plaisir est évident. Je monte et descends sur le gourdin dAntonio qui coulisse dans mon sexe trempé, je mouille son bas ventre et ses cuisses de mon envie grandissante. Face à moi un soumis tend sa queue raide, il ne peut quespérer. JF plus loin est rouge et haletant. Alberto tout autant lorsque Graciela sempale à son tour. A peine si elle peu me sourire tellement elle est à son plaisir. Je vois ses seins lourds bouger sauter au rythme de ses montées et descentes. Je ne peux regarder plus longtemps lenvie dans mon ventre me fait me concentrer totalement sur mon plaisir et celui dAntonio à me prendre. Je profite, je sens la chaleur monter, je sens la tension du sexe dAntonio, il joue dun doigt autour de mon petit trou sans entrer, juste contourner. Je me penche encore plus et maccroche aux hanches du soumis et je suce comme je peux sa queue quil tend à ma bouche. Ce mouvement même maladroit le ravit et excite encore plus Antonio qui me défonce maintenant. Sa queue me bourre, son doigt est entré dans mon petit trou, je ne peux plus me retenir, lui non plus, dressée redressée je descends dun coup sur le membre qui me prend. On jouit dans un cri commun, je me trémousse en absorbant le foutre qui coule en moi. Encore empalée les cheveux en bataille la peau luisante de sueur je souris à JF rouge, souffle profond, visage crispé par la jouissance, il me semble. Je sens peu à peu la queue dAntonio sortir de mon ventre et sans changer de place jassouvis comme il se doit le soumis. Graciela et Jorge ont semble-t-il suivi un rythme identique, elle est accroupie devant son soumis quelle fait éjaculer peu après. Le sourire de coquine quelle me destine, yeux et bouche plissés, en dit long sur lintensité de son plaisir et le niveau dexcitation perverse atteint.
Véritablement ces scènes de partage avec un tercero devant le mari nous transportent dans un ailleurs indicible. Je suis convaincue que toutes les femmes, rêvent, fabulent, fantasment au moins une fois de le vivre. Nous avons la chance que nos couples puissent jouer ces pluralités. Les terceros émoustillés de prendre une femme devant son mari, sont attentifs, à lécoute, désireux de donner au mieux, bien faire et profiter de ce partage insolite.
Lattitude dAlberto que je croise en retournant vers la salle de bain de la chambre est une évidence de sa satisfaction. Je donne un baiser à JF.
On profite un peu de la table et de quelques bulles avec déjà de beaux et bons souvenirs. Nos maris nous cajolent et nous suggèrent de nouveaux jeux en rigolant mais surtout en espérant
On minaude toutes deux pour se faire désirer un peu mais lenvie au creux du ventre, au chaud des cuisses, nous titille.
Délurée ce soir, jentraine mon JF et Jorge vers la piscine « allez venez ! ». Vole mon peignoir, je nage nue pendant que ces messieurs quittent bermudas et chemises avant de me rejoindre. Un baiser à JF, une caresse sous marine au membre de Jorge. Une autre encore pour quil me saisisse les épaules et son visage sous leau embrasse mes seins. Je sais quils lui plaisent plutôt. Sourire. Son regard insistant et fréquent je lai remarqué ! Je garde serrées les mains de mon mari. Les éclaboussures à lautre bout témoignent des jeux de Graciela. Je flotte maintenue par JF alors que Jorge vérifie tout de ma peau du bout de ses doigts taquins. Délicieux et enivrant ! Je jubile, profite honteusement du désir de Jorge et de lamour de mon mari. Mes baisers à lun, mon corps à lautre. On se rapproche du bord. JF sassoit sur la plage pieds dans leau, sexe indécent à ma bouche. Jorge soccupe de mon ventre, de mes cuisses et déjà de mon sexe qui se remplit deau. Ses doigts me font vibrer et jai du mal à me concentrer sur le plaisir de mon mari. Jorge palpe ma poitrine en approchant son sexe de lentrée du mien. Il le dirige et entre lentement en faisant sortir leau et prendre sa place. Je ne quitte pas mon mari des yeux, je veux quil comprenne ce qui se passe sous leau. Ma bouche souvre en O quand le membre de Jorge a pris toute sa place en moi, mes doigts crispent les cuisses de JF et je peux de nouveau le prendre en bouche. La sensation si particulière du sexe sous leau, le va et vient qui chasse leau et le membre raide qui entre et sort lentement. Jorge serre mes fesses les maltraite et jaime ça. Il me pilonne retenu par la pression de leau. Je peux prendre le temps de mon mari et lui donner du plaisir alors quil voit les mouvements de Jorge et quil sait quil me pénètre. Je mapplique au bien être de mon mari ce qui me semble-t-il émeut Jorge qui se vrille au fond de moi. Je veux la jouissance de mon mari et je lobtiens. Satisfait, satisfaite, je laisse Jorge se dépenser à mon plaisir. Jai appris à maîtriser le mien et je sais très souvent accompagner mon amant au bon moment, jouir avec lui, partager ce moment tellement exaltant de lorgasme. Sentir la semence menvahir quand je pars, palpiter ensemble ces secondes qui suivent la furie.
La furie freinée par leau, le ventre plein cest bon de sentir Jorge qui me veut. Je me prépare à sa jouissance, la mienne retenue. Il tient mes seins, un dans chaque main, et coulisse en moi. Puis une main glisse jusque vers mon clito quil tapote tout en continuant ses mouvements daller retour. Je sens la queue se raidir encore, ses mains agrippent mes hanches, il senfonce et se bloque au fond de moi, chevillé à mon corps. Je serre son membre, mon vagin laspire, le suce. Je crie en plongeant mes yeux dans ceux de JF au dessus de moi et Jorge me prend. Orgasme brûlant, larmes, avant le sourire à mon mari en sortant de ma petite mort. Jorge reste encore un peu en moi, je le garde. Quand il méchappe je me jette au cou de mon mari et lui crie mon amour. Blottie contre lui, je suis bien, heureuse et amoureuse. Graciela joue encore avec Antonio et deux soumis sur le matelas. Prise en sandwich, elle se trémousse et tente de sucer la queue tendue devant elle. Je savais quelle voulait vivre cette expérience nouvelle. Graciela, une femme déterminée et heureuse
Rire
Alberto se masturbe devant cette scène dorgie.
Au matin, après nos câlins torrides de couple, je dis à JF que je ne ferais plus lamour quavec Lui, plus de tercero, Je laime je ne veux que LUI. Je crois que son sourire veut dire quil le savait déjà
A moins quil ne doute
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