Leslie La61
Leslie LA61 Laure, le journal intime - La métisse du magasin de lingerie
Je vous lai déjà dit, je suis accroc des dessous, de la lingerie fine, jadore ça.
Je nhésite jamais à rentrer dans une boutique de lingerie sexy, pour regarder les nouveautés ou les pièces plus ou moins coquines que je pourrais macheter.
Où que je sois et quoi que je fasse, je porte toujours des dessous, parfois féminins et parfois sexy, souvent en dentelle. Jaime bien aussi ceux qui sont assez transparents et laissent deviner les formes
Bref, des choses très excitantes qui mettent mon corps en valeur.
Ce jour-là, je suis rentrée dans une boutique où lon trouve tous les vêtements et les accessoires pour passer des moments particulièrement chauds. Une jeune et superbe métisse moulée dans une très courte robe en imprimé léopard se trouve derrière le comptoir et me lance un grand sourire plutôt enjôleur.
Moi, je ne pense quà ce que je vais acheter, une splendide culotte fendue et le soutien-gorge coordonné, de couleur bleu marine, pour bien trancher avec ma peau légèrement halée, et mes cheveux de vraie blonde.
Je décroche donc un ravissant ensemble du portant et prends par la même occasion un minuscule slip dont le devant est entièrement transparent, ce qui permettra de laisser apparaître ma fente parfaitement lisse car je suis en ce moment entièrement épilée.
- Je peux essayer ? demandais-je à la vendeuse.
- Mais certainement, la cabine est là-bas au fond dans le recoin, me répond-elle en lorgnant avidement sur mes seins
Dis-donc, elle nest pas gênée, celle-là. À la manière dont elle me déshabille des yeux, je pourrais craindre quelle ait envie de mentraîner dans son lit, elle serait une gouine que cela ne métonnerait pas !
Eh bien, si cest son désir, alors pourquoi pas, son corps est sublime et je me laisserais faire sans crier au scandale !
Perdue dans mes pensées, je me retrouve dans cette cabine dont les trois parois intérieures sont recouvertes de grands miroirs du sol au plafond, pour les narcissiques cest parfait.
Je suis très impatiente de voir comment cela me va et voudrais me contempler longuement dans les miroirs.
Mais, à peine ai-je mis le slip que jentends la vendeuse me dire :
- Alors, ça va ? Montrez-moi comment vous le portez !
Joignant le geste à la parole, elle na même pas terminé sa phrase quelle ouvre soudainement le rideau de la cabine dessayage et me voilà presque nue sous ses yeux allumés !
- Mais cest sexy tout çà, tu es superbe ! me dit-elle en sapprochant les bras tendus
Je suis tellement surprise que jen reste sans réaction. Jadore me montrer nue, mais seulement à mes intimes, et me voilà toute exhibée devant cette jeune métisse qui bondit littéralement sur moi en hurlant :
- Tu es splendide, ma chérie. Tu sais que jai très envie de toi ? ! Laisses-moi un peu sentir comme tu es bonne !
Jen reste bouche bée car, déjà, ses mains se posent sur mes seins dénudés et emprisonnent mes mamelons entre ses doigts agiles, elle les fait rouler pour quils durcissent au plus vite, je suis subjuguée.
Étant bisexuelle, je ne suis pas contre une aventure saphique, alors quand cette chaude jeune fille se met à me peloter sans se gêner, je ne peux que gémir de plaisir.
Jaurai dû protester, hurler, me débattre et menfuir, mais une force irrésistible mincite à rester là, à subir et prendre du plaisir
Elle a déjà posé ses lèvres sur mes seins et se met à les lécher, puis à les sucer avec avidité, je ne bronche pas et je lui dis doucement :
- Oui, viens, fais-moi du bien !
- Je savais que taimais les femmes, me répond-elle.
Alors que je madosse à une des parois de la cabine, par le miroir en face de moi, je la vois sagenouiller et approcher son visage de mon ventre et immédiatement, sa bouche se colle à mon sexe et je sens sa langue qui sinsinue dans ma fente au travers du fin tissu.
Dune main experte, elle me le retire et dégage mon petit bouton quelle se met aussitôt à sucer avec passion. Instinctivement, jécarte les jambes pour quelle puisse sinsérer plus facilement en moi et prends sa tête entre mes mains pour la souder davantage à mon entrejambe
Je lui dis doucement :
- Tu vois que je suis une vraie blonde et je mouille déjà pour toi !
Je nai pas besoin de lui répéter car elle semble être très douée pour ce genre de relations, sa langue, vive et agile comme une anguille, frétille et simmisce dans mes chairs intimes. Pendant ce temps, ses mains sactivent à me malaxer les fesses et je sens rapidement un doigt qui se perd plus bas et vient sarrêter à la frontière de mon anus.
- Tournes-toi ! me demande-t-elle autoritairement.
Comme jhésite, elle répète :
- Tournes-toi, je vais te lécher ton joli petit trou de cul et, toi, dans le miroir, tu te regarderas jouir !
Jai le nez collé au miroir et ma respiration haletante crée un écran de buée qui masque le reflet de mon visage. Maintenant, je me suis entièrement plaquée à la paroi et mes seins sécrasent contre le verre froid. Cest à la fois un peu douloureux mais si délicieusement bon
Le désir grandissant, jécarte toujours plus les jambes pour lui permettre de rentrer toute sa langue dans ma vulve, alors que son doigt est maintenant entièrement introduit entre mes fesses
Je sens tout son visage entre mes jambes, ses boucles doreilles me griffent lintérieur des cuisses et je ne résiste pas bien longtemps à pareil traitement et lui révèle dans un état dexcitation proche de lhystérie :
- Ça y est, je vais jouir, oh oui, je jouis
Et je sens un véritable flot de mouille qui séchappe de mon sexe pour me couler entre mes jambes, cette délicieuse métisse apprécie ma jouissance et savoure pleinement en léchant, aspirant, suçant et ventousant mon sexe enflammé par ses caresses.
La bouche et le visage souillés, le menton englué, les yeux remplis de plaisir, ma nouvelle copine se relève doucement et me dit tout en continuant à me caresser partout :
- Tu es une vraie garce, tu mexcites à fond ! Maintenant, cest toi qui va me faire plaisir !
Sans attendre, elle me tire par le bras et me force à métendre à même le sol du magasin, heureusement recouvert dune épaisse moquette mauve qui en a déjà sûrement vu dautres et fougueusement, elle membrasse en déposant sur ma langue le goût de ma propre intimité puis, mabandonne là en me disant seulement :
- Ne bouges pas, je reviens tout de suite
Je suis étendue sur le dos et contemple distraitement les diverses tenues pendues dans les rayons
A la vue de tous ces trésors, mon imagination semballe et, inévitablement, ma main ségare au bas de mon ventre où mes doigts entrouvrent tout de suite ma fente pour se glisser dans mon vagin encore mouillé.
Quelle situation incroyable, me voilà dans une boutique de lingerie, entièrement nue et trempée de plaisir après avoir succombé aux charmes dune vendeuse et avoir joui éperdument dans ses bras
Je suis perdue dans mes pensées et quelques minutes ont dû sécouler car elle revient soudain en me disant :
- Maintenant que la boutique est fermée, à nous deux !
Elle a revêtu de grandes cuissardes en skaï rouge, contrastant avec la couleur caramel de sa peau, une étroite robe courte très échancrée dans la même matière et un soutien-gorge assorti.
Je nai pas le temps de prononcer le moindre mot que, déjà, elle se rue sur moi en me disant :
- Ne mobliges pas à tattacher, écoutes et sois docile !
Je préfère ne rien rétorquer et mabandonne au jeu car, une domination soft est assez excitante
- Tu vas me faire une bonne minette, mimpose-t-elle.
Elle moblige à me mettre à genoux devant elle et me propose son sexe qui est au niveau de mon visage, elle retrousse sa robe jusquà la taille, elle ne porte rien dessous !
Sa toison pubienne est sombre et frisée, comme celle des métisses, mais la sienne est impeccablement taillée et dégage des relents agréablement parfumés
Je tends la tête et sors la langue au maximum pour atteindre sa caverne secrète et jy arrive et cest un délice car son goût est à la fois velouté, fort, délicat et épicé, nouveau et bien différent de celui de mes autres partenaires, me rappelant celui dAlyssa.
Elle me laisse faire pendant quelques minutes, et commence à la satisfaire, quand je lentends doucement gémir.
Puis, après avoir joui, elle me fait mettre à quatre pattes par terre, en disant :
- Petite traînée, je vais te sodomiser !
Et soudain je mouille à nouveau comme une fontaine !
Elle exhibe un gode-ceinture noir, de belle facture, veiné et très réaliste dont elle se ceint la taille. Une bonne vingtaine de centimètres de long et assez épais, bien rigide.
Je suis toujours en position infamante, par terre, à quatre pattes et tournée les fesses vers elle. Elle sapproche, mécarte brutalement les jambes puis ouvre un tube de vaseline dont elle menduit généreusement lanus en disant :
- Maintenant, je vais te le mettre dans le cul !
Sans plus tarder, aussitôt, je sens cet énorme mandrin sur ma rondelle et qui senfonce lentement entre mes reins remplissant progressivement ton mon conduit anal. Malgré la vaseline le gode pénètre avec difficulté et je crains quil ne me déchire lanus
Cela me fait frissonner de douleur et, en même temps, aussi de plaisir.
Ce délicieux supplice dure assez longtemps pour que je savoure pleinement laction de cette lubrique vendeuse.
Après un long moment de va-et-vient savamment distillé pendant lesquels jai à nouveau joui à plusieurs reprises et donc mouillé abondamment ses doigts puisquelle me branlait le clito en menculant, elle se retire doucement, mallonge sur le dos et se place en soixante-neuf au-dessus de moi, en disant :
- Suces le gode pendant que je te broute le minou en même temps !
Nous finirons de nous faire lamour lascivement avec un double gode, magnifique ustensile, long de quarante centimètres, les bouts en forme de gland solidement introduits mutuellement dans nos chattes, en se tenant face à face.
Le plaisir est total car nous pouvons nous rapprocher suffisamment pour que nos pubis se touchent, et chatte contre chatte, les jambes ouvertes et imbriquées lune dans lautre, nous avons jouis, intensément et simultanément
Après avoir éperdument joui toutes les deux comme des folles, et alors que ma compagne remet un peu dordre dans le magasin, je me relève comblée et presque au bord de lépuisement, rassemble péniblement mes affaires et vais me rhabiller dans la cabine dessayage et dont, par réflexe, je referme pudiquement le rideau !
Elle se moque de moi gentiment et me dit :
- Quelle drôle didée, tu nas plus grand chose à me cacher, tu sais !
En retournant à la caisse, elle prend soin de rouvrir sa boutique et cest au moment où je mapprête à men aller après avoir payé mes achats que le carillon de la porte dentrée retentit et une cliente entre en disant :
- Bonjour, je voudrais faire plaisir à mon petit copain et cherche un petit ensemble en dentelle sexy, pourriez-vous me conseiller sil vous plaît ?
- Sans problème, réponds la vendeuse.
Heureusement quelle avait pris soin de fermer, car nimporte qui aurait pu nous surprendre pendants nos ébats
- Tinquiète pas, me dit-elle, javais pris la précaution de fermer la porte et de mettre mon petit panneau, « je reviens dans quelques minutes », ainsi nous avons pu nous amuser tranquillement
La cliente qui vient de rentrer est une très jeune fille, frêle et visiblement timide, la vendeuse sempresse de lui dire :
- Vous pouvez aller dans la cabine dessayage, jarrive tout de suite car jai exactement ce quil vous faut, je vous rejoins immédiatement
Elle me lance un clin dil complice en me remettant discrètement mes achats avec en plus le gode ceinture dont elle vient de se servir pour me baiser et que jai décidé dacheter, et me dit :
- Quand tu te serviras du gode, penses à moi, et reviens quand tu veux
Elle me laisse sortir de la boutique et je lentends fermer la porte à clef derrière moi.
Je me retourne et la vois afficher le panneau « Je reviens dans quelques minutes », je souris en pensant à ce qui attend sans doute la timide jeune fille...
A suivre
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