Nouvel An
Je me réveillais entre Nina et Émilie. Je navais pas entendu celle-ci nous rejoindre. Après avoir répondu aux demandes de Nina une dernière fois, nous avions joui ensemble et nous nous étions endormis enlacés. Le bruit de nos amis baisant dans le salon nous avait à peine dérangés. Si un moment Nina avait proposé de les rejoindre, bien vite le sommeil fut plus fort et leurs cris de plaisir nous bercèrent.
Il était presque midi quand je me levais. Le salon était un champ de bataille dans lequel se mêlaient bouteilles vides, vêtements froissés et capotes usagées. Le drap dont nous avions recouvert les fauteuil et canapé portait les stigmates de nos ébats. Je me fis couler un café et après avoir enfilé un pantalon et une chemise jallais le boire sur le balcon. Lair était doux pour un 1er janvier. Je regardais la ville se réveiller dans la nouvelle année.en repensant à notre soirée de réveillon. Étions-nous des obsédés ? Des pervers ? Javais fait lamour avec deux mecs et deux femmes. Je métais fait sucer et enculer par deux mecs que javais sucés et enculés en retour, dépucelé le cul de Nina et pris Svetlana en levrette sauvage. Seule Émilie navait pas subi mes assauts et ne mavait pas touché. Jimaginais que les autres avaient eux aussi testé de multiples combinaisons et positions.
Erwann fut le premier à me rejoindre. En simple caleçon il frissonna en venant membrasser. Il se serra contre moi pour se réchauffer et je sentis son sexe contre ma cuisse. La folle nuit que nous avions passée ne lavait pas refroidi et je sentis son érection pointer sous le tissu de son caleçon. De mon côté aussi je bandais et sil navait pas eu si froid je lui aurais demandé de me sucer sur le balcon. Oui, définitivement jétais un obsédé.
Nous rentrâmes et découvrîmes le reste de nos amis dans la cuisine autour dun petit déjeuner. Si Émilie et Nina avaient enfilé culotte et teeshirt, Svetlana se baladait toujours nue et prenait des poses suggestives.
Il navait pas tort. Une fois son café bu, Émilie vint vers moi, membrassa à pleine bouche, et me dit:
Tu ne mas pas baisé hier soir, il est temps que tu te ratts.
Nous laissâmes nos amis dans la cuisine, et partîmes dans notre chambre. Il flottait encore dans lair lodeur de nos ébats entre hommes, et celle des corps dErwann et Félix dans les draps. Émilie sassit sur le bord de lit, ôta son teeshirt blanc me révélant ses petits seins ronds que je ne me lassais pas de voir, toucher, sucer. Je fis glisser mon pantalon. Émilie attrapa ma bite en pleine érection. Elle me branla doucement, mattirant vers elle et sa bouche gourmande qui mavala, me suca, me lècha, joua avec ma queue, mes couilles.
Je préfère ta bite à celle de Félix pour la sucer. La sienne est trop grosse. Avec toi je peux jouer, mamuser sans avoir limpression de m.
Pour avoir moi aussi sucé Félix, je ne pouvais quapprouver.
Mais quand tu la prends, lui dis-je, après la douleur initiale cest un vrai délice, une jouissance absolue.
Elle me sourit sans rien dire, mais je lu dans es yeux quelle savait de quoi je parlais. Nous devions tous les deux avoir mal au cul ce matin. Une douleur bien négligeable en comparaison au plaisir que nous avions pris.
Nous nous retrouvâmes en 69. Et je dégustais son sexe, premier repas de la journée. Son parfum était fort. Reste de ses nombreuses jouissances. Je léchais au plus profond que pouvais aller la langue pour en tirer tout le jus. Jaimais ce gout fort, âpre, excitant. Émilie tout a son plaisir arrêta de me sucer, se laissa transporter par mes caresses et joui dans ma bouche. Un fin jet de son nectar me coula dans la gorge.
Elle se redressa, se mit à quatre pattes et moffrit sa croupe.
Mon cul ou ma chatte, comme tu veux.
Je commençais par sa chatte bien chaude dans laquelle mon sexe gorgé de désir sintroduit sans peine. Je pris mon temps. Je sentais mon orgasme proche, mais voulais faire durer au maximum cette baise du Nouvel An. Émilie gémissait et mencourageait.
Baise-moi, baise-moi fort. Défonce-moi. Fais-moi jouir encore et encore.
Nous transpirions à grosses gouttes. Déchaines, assoiffes de sexe comme si nous navions pas baise depuis des jours. Je retournais Émilie, la fit glisse jusquau bord du lit et plantant mes yeux dans les siens je lenculais dun coup sec. Son petit trou qui avait vu passer la grosse bite de Felix neut aucun mal à accueillir la mienne. Elle cria et jouit une nouvelle fois. Sa chatte pulsait de plaisir, dégoulinante de jus que je regrettais de ne pas boire. Je lui baisais le cul avec force et fougue. Dans un grand coup de reins, je le vidais en elle avant de retomber sur son corps vibrant et chaud. Nous nous embrassâmes longuement avant de nous glisser sous les draps.
Tu crois que les autres baisent, me demanda Émilie ?
Ils auraient tort de ne pas le faire. Avec Svetlana à poil je crois que de toute façon ils nont pas le choix.
Nina nest pas en reste côté cul, elle aime ça, et elle sait sy prendre. Une belle petite salope. Tu las enculée ?
Oui, et elle aime ça. Elle en redemandait.
Tu vois, au début je pensais que notre vie de débauche lui ferait peur, et quelle senfuirait, mais maintenant je suis contente quelle soit aussi libérée que moi. Jadore baiser avec elle.
Je lembrassais. Moi aussi jétais heureux de vivre avec ces deux femmes. Chanceux surtout.
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