Visite Médicale Corsée

Aline doit passer une visite médicale obligatoire. J’y vois une occasion de participer à une œuvre de salubrité et de sexe ; surtout de sexe. Je sais que c’est une dame qui est médecin. On dit qu’elle a des meurs particulières. Je voudrais savoir comment elle arrive à « lever » des amitiés particulières féminines.
Arrive l’instant le plus caché de la visite : sur une table d’auscultation. Aline est en beauté particulièrement auourhui. Elle connait la réputation fausse, sans doute. Elle préfèrerait que ce soit vrai pour gouter une fois au moins aux caresses d’une autre femme. Moi, je suis curieux de la voir se faire caresser.
L’instant fatidique arrive. La toubib me laisser entrer avec ma compagne dans la pièce où elle va procéder, avec difficulté. Il faut qu’Aline insiste. J’ajoute que je voudrais simplement assister à la visite très complète. Elle se doute bien de ce que je veux.
Aline est nue, un peu gênée, pas tellement finalement. Elle est les bras ballants, elle attend la suite, comme moi.
Dure réalité. Aline est couchée, les talons bloqués dans les étriers. Je le vois ainsi pour la première fois. Elle me fait bander rien qu’en l’examinant rapidement. Je lui prends la main comme si elle allait souffrir. Elle voit bien que je bande, ne fais rien pour me calmer. C’est là que le toubib sort le grand jeu.
Elle me demande de me mettre nu moi aussi. Là je suis gêné : je n’ai pas l’habitude d’être à poils gratuitement devant un inconnue. J’obéis quand même. Elle regarde ma queue bien dressée, ne dit rien sauf à ma femme :
• Vous avez de la chance, il est bien monté. Il vous la met où ?
Là, Aline est sacrément gênée, elle pourrait lui dire que je la baise que je ma suce ou que je l’encule.
• Il me la met dans la bouche.
• Alors qu’il vous la donne pendant que je regarde l’effet sur votre sexe.
• Mais...
• Sucez-le, c’est facile, sinon je le fait devant vous.
C’est à moi d’ajouter que je ne demanderais pas mieux.

Aline me fusille du regard. C’est pourtant vrai que j’aimerais être sucé par la bouche d’une adepte de Sapho. A moins qu’elle ait des vues sur Aline, ce qui ne m’étonnerait pas.
Nous pouvons parler et Aline être examinée. Je regarde comment la médecin procède : elle écarte les grandes lèvres, fait ressortir le clitoris, s’y attarde assez pour faire gémir Aline. Pourtant elle ne se sert que d’un seul doigt. Je m’approche pour remarquer que l’autre main est aussi active. Elle caresse doucement les bords de l’anus.
Et ma chérie de tortille, gémit doucement. Elle me prend la main pour que je l’accompagne dans son voyage sensuel. Son visage se crispe se déforme pendant qu’elle jouit.
Et moi, je dois rester en route, isolé sans jouissance ? Sans le vouloir je m’approche un peu trop du médecin. Je bande toujours comme un âne. Je me vois réduit à me masturber sans honte. Je n’ai pas le temps de pratiquer ce sport quand je sens la bouche de la femme m’avaler. Elle me lèche mieux qu’Aline. Elle sait comment faire avec les hommes, même si visiblement elle préfère les filles.
Et puis, dégoutée sans doute elle m’oublie. J’ai la queue isolée. Je comprends pourquoi, elle se tourne vers la chatte d’Aline. Les lèvres se collent au sexe. Elle doit la lécher à voir le visage de ma chérie qui se décompose encore une fois. Son gémissement final est plus fort. La bouche coquine ne la quitte pas, elle continu. Je m’approche comme je peux. A vois la position du nez de la lécheuse, je comprends qu’elle lèche plus bas.
• Chéri, elle me lèche le cul, c’est bon, j’aime.
• Aime, jouis ma chérie.
• Et toi.
• Je me branle.
• Jouis sur moi.
Ce doit être un beau tableau, la tête d’une femme dans les jambes de ma femme qui attend que je jouisse sur elle.
Ma main droite entoure ma queue. J’ai pris le prépuce, je le fais descendre devant le visage de mon épouse qui regarde, intéressée. Elle attend le moment où elle recevra ma semence.
Elle en ouvre la bouche. Je m’approche d’elle, je me masturbe plus vite pour hâter l’orgasme et quand il arrive je lui donne le bout du gland. Mon jet fuse vers sa bouche. J’en perds un peu en route, mais elle a reçu le principal. Elle avale le sperme en souriant. Elle n’a pas fini de tout avaler quand elle se crispe encore en jouissant.
Enfin nous rejoignons le cabinet proprement dit. Je remarque les traces de cyprine sur le visage de la toubib. Et celle de sperme sur celui de ma femme.
En sortant Aline avoue qu’elle a prit son pied comme rarement.

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