Première Expérience Gay
C'est la première fois que je viens sur ce site. Je l'ai découvert par hasard en recherchant sur internet des hommes qui avaient vécu la même chose que moi...
Je m'appelle L. (par discrétion je ne mettrai pas mon nom, ni celui des différents protagonistes), j'ai 26 ans. Je ne suis pas particulièrement beau, ni super bien foutu. Je suis un jeune homme comme vous en croisez plein dans la rue. On me dit « charmant ». Je suis châtain, 1m78 pour 72kg. Avec des lunettes, ce qui me donne un côté « intello ».
Information de taille : je suis pacsé. Avec une fille. Nous sommes très amoureux. Je suis complètement hétéro. Enfin... c'est ce que je croyais... jusqu'à cette nuit de la Saint-Sylvestre...
Comme tous les ans, je fête la nouvelle année avec mes potes. 5 supers amis : A., L., M., K., et D. Je connais A. et L. depuis la primaire. M. et D. depuis le lycée. Et K. depuis la fac. Cette fois, la fête se passe chez moi. Ma copine est infirmière et elle est de garde cette nuit. Elle doit nous rejoindre dans la nuit. Le matin devrais-je dire. Vers 1-2h du mat'. J'ai l'habitude de faire la fête sans ma copine, alors cela ne me gène pas vraiment.
Il est 19h, mes potes arrivent. On boit, on fume (pas que du tabac...), on parle de nos copines (pour ceux qui en ont, D. et K. étant célibataires), on se marre, on joue à la console. Bref, on fait la fête. Vers 23h, G. (ma copine) appelle. Elle rentrera plutôt vers 5-6h. Je suis déçu.
Le compte à rebours commence.
- 10 9 8 7 6 5 4 3 2 1 0 !!!! BONNE ANNEE !!!! crions-nous tous en cur.
Voilà nous sommes en 2014. On ouvre le champagne et on refume un joint. Je commence à mal me sentir (le mélange alcool et drogue...). Je sors alors un peu dans la cours pour prendre l'air. K. me rejoint.
- Tu n'as pas l'air dans ton assiette mec !
- T'inquiète ça va aller.
- Héhé !! Depuis que t'es avec ta meuf, t'as plus l'habitude de te lâcher. (rire) C'est pour ça que je reste célibataire. (clin dil). Même si être en couple, ça a peut avoir du bon, n'est-ce pas... (regard en coin).
- Mouais...
- Bah quoi !! Avec G. vous devez baiser comme des bêtes. J'me souviens quand t'étais célib'... Tu baisais toutes les meufs que tu croisais !
- Avec G. c'est plus pareil. Depuis qu'on est pacsé, ben...
- Ben quoi ?
- Avec G., on baise plus beaucoup. Elle est trop fatiguée avec son boulot.
- Depuis combien de temps vous n'avez pas... ?
- 6 mois... je crois...
- Putain mec !! Tu dois avoir des cloques tellement tu te branles !!! (éclat de rire)
- T'es con ! Mais, j'avoue c'est pas faux... Je suis trop en manque. Ce soir elle devait réaliser un de mes fantasmes pour le nouvel an...
- Vas-y raconte (sourire)
- Elle devait me rejoindre dans la chambre, me bander les yeux et m'attacher les mains. Elle devait porter juste un string et sa blouse d'infirmière. Et s'occuper de moi.... (rougis)
- Putain !! Tu vas me faire bander ! (éclat de rire).
-
- Bon aller, arrête de chialer ! Viens faire la fête ! Elle te le fera quand elle rentrera !
- Elle sera trop crevée...
- Mais non... Tu verras. Elle va te chevaucher (rire). Fais moi confiance, tu vas passer la nuit de ta vie... (clin dil).
Il est 3h30. Nous sommes tous les 6 défoncés. On décide alors d'aller se coucher. A. et D. sur le canapé dans le salon. L. et M. dans la chambre d'amis. K. sur un matelas dans le bureau. Arrivé dans ma chambre, je me dessappe direct. Je ne garde même pas mon boxer. Je n'ai même pas le courage de prendre une douche. Je m'allonge sur le lit, sans me glisser dans les draps. Et je m'endors profondément...
Je me réveille. Combien de temps ai-je dormi ? Aucun idée. Je ne vois rien. J'ai quelque chose sur les yeux.
- Putain ! Qui est là ? Qui me fait ça ?
-
- Répondez !
Les mains quittent ma queue. Je sens un visage s'approcher du mien. Quelqu'un chuchote à mon oreille.
- Je t'avais dit que tu passerais la nuit de ta vie. Laisse toi faire et tout se passera bien...
- Putain, K. Arrête ! Dégage !!
- Ne crie pas, tu vas réveiller les autres... Tu ne voudrais pas que tout le monde te vois comme ça...
- Je leur expliquerai ! Je leur dirais que t'es une tapette !
- Ne t'inquiète pas, ils le savent déjà.
- Qu'est-ce que tu racontes ?
- Ils le savent. Je leur ai dit il y a quelques semaines. Mais toi, tu es le plus homophobe de nous. Tu ne supportes pas les pédés. Alors j'avais peur de te le dire. Mais tout à l'heure tu m'as dit que tu étais en manque. Alors je vais te prouver que 2 hommes ensemble ça peut être super. Laisse toi faire. De toute façon, tu ne peux pas bouger. Tu n'as d'autre choix que de me laisser faire. Et si tu insistes, je te bâillonne en plus. Et je pourrais même devenir violent... C'est ça que tu veux ?
- Non, bien sûr que non. Tu peux me toucher, vas-y ! Tu n'arriveras jamais à me faire bander !
- On prend les paris... ? (rire)
- C'est pas un jeu K. Ce que tu fais s'appelle un viol.
- C'est pas un viol si t'es consentant.
- Je ne le serais jamais !!!
- Ah oui, tu en es sûr.. ?
K. recommence son travail sur mes couilles. Il les malaxe. Aucune fille ne m'a jamais fait ça. Il appuie son doigt juste entre les couilles et le cul.
- Alors, c'est toujours un viol.. ? (rire)
- Arrête, s'il te plait, K. arrête. Je ne veux pas. Je m'en fous que tu sois pédé. Mais moi je ne le suis pas. Je ne le serai jamais.
- T'es pas le 1er à me dire ça. Et à la fin, ils m'ont tous baisé comme des chiens. Tu finiras pareil. Fais moi confiance.
Sur ce, il reprend sa besogne. Il fait rentrer ma queue dans sa bouche. D'abord à moitié. Il suce. Il suce divinement bien même ! Mais qu'est-ce que je raconte !! Je peux pas aimer la bouche d'un mec... Il continue. Enfonçant de plus en plus ma queue. Il est en gorge profonde. Je le sens. Il étouffe un peu, mais ne lâche pas ma queue. Il bave littéralement sur ma queue, la lubrifiant parfaitement. Il joint maintenant à cette gorge profonde un mouvement de va-et-vient avec sa main. Mon prépuce glisse parfaitement grâce à la salive. Ma respiration s'accélère. Mon souffle se fait plus irrégulier. Il avait raison : je commence à prendre mon pied. Les restes d'alcool et de drogue me plongent dans un état second.
Bien malgré moi, je commence à accompagner ses mouvements de mon bassin. Il en profite alors pour passer ses mains sous mes fesses. Il les att, les masse, les malaxe, les pétrit. Je suis aux anges. Je commence à gémir. J'ai l'impression que mes gémissements l'encourage à me sucer encore plus vite.
- Arrête K.
-
- Arrête, je te dis, je vais partir...
Mes paroles ne le ralentissent pas. Au contraire. Il y met encore plus de fougue. Il me suce comme si ça vie en dépendait. Je sens la sève qui monte. Je me retiens. Je ne pas qu'il me fasse juter. Je ne veux qu'il ait cette satisfaction ! Non, hors de question.
- Je sais que tu veux lâcher la sauce mais que tu te retiens.
- Parce que je ne suis pas pédé ! Aucun mec ne me fera gicler !
- C'est ce qu'on va voir...
Il remet ma queue dans sa bouche, et me branle encore plus fort. À chaque mouvement vers le bas, sa main tourne autour de mon manche. Comme une hélice. Et sa bouche aspire mon gland. Avec sa main toujours sons mes fesses, il m'encourage à faire des mouvements du bassin. Ma queue rentre et sort de sa bouche. Je baise sa gueule comme si je baisais ma copine. Mes poils pubiens doivent lui recouvrir le visage. Mes boules claquent sur son menton. Mon corps rentre en trans.
- Je vais juter K. Arrête tu vas tout te prendre dans la gueule ! Tu ne veux pas ça quand même.. ?!?
Il appuie encore plus fermement sur mes fesses, pour que je pénètre encore plus profondément dans sa gorge. Comment peut-il faire ça.. ? Et moi alors.. ? Je perds complètement le contrôle.
- Putain, mais t'es une vraie salope toi !! Tu aimes ça la queue hein !! Tu veux mon jus ?!? Et bien tu vas l'avoir !! Je vais tout cracher au fond de ta gorge !!
Disant cela, je sens le sperme remonter de mes couilles, traverser toute ma queue, et sortir en plusieurs puissants jets. Mon corps se raidit. K. veut se retirer. Il ne peut contenir tout ce sperme dans sa bouche. Mais j'enserre sa tête entre mes cuisses.
- Ah non, p'tite pute ! T'as voulus mon jus. Tu l'as !! Alors tu vas bien tout avaler !
Je le sens déglutir à chaque jet. Je relâche progressivement mon étreinte. Mon souffle retrouve un rythme normal. Ma queue est toujours dans sa gorge. Elle aussi reprend une taille normale. K. se retire doucement. J'entends la porte de la chambre s'ouvrir. Il sort. Et me laisse là. Les couilles vidées. La queue encore luisante de salive. Les yeux bandés. Et le mains attachées....
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