Denis Et Alexandra
Denis et Alexandra mavaient invité à diner. Je ne me voyais pas refuser linvitation, mais je craignais de ne pas arriver à me contrôler et de faire une gaffe et de révéler le secret entre Alexandra et moi. Peur non justifiée puisque ce secret nen était plus un.
Alexandra ma raconté ce qui sest passé chez les parents à Noël, me dit mon frère en me servant un verre de vin. Je te comprends, elle est à se damner.
Je devins rouge pivoine. Ce qui fit beaucoup rire mes hôtes. Je pouvais mener une vie sexuelle débridée, vivre avec deux femmes, me faire enfiler par des mecs, mais que mon frère sache que je métais fait sucer par sa nana dans la salle de bain de nos parents me foutait la honte.
Denis me donna une grande tape dans le dos, comme quand on était gamin et quil voulait se faire pardonner dun truc. Nous trinquâmes tous les trois en rigolant. Alexandra et Denis sétaient installés en face de moi, dans un fauteuil trop petit pour eux deux, ce qui obligeait Alexandra à sassoir sur les genoux de mon frère. Ils étaient mignons, visiblement très amoureux. Je leur demandais comment ils sétaient rencontrés.
Chez des amis, une soirée entre potes, un truc banal, commença Denis. Je trainais un verre à la main, discutant avec les uns, les autres. Je passais un bon moment, tranquille, je pensais me souler doucement et rentrer chez moi pour meffondrer sur mon lit quand je lai vue. Tu sais comme dans les films, tu es là tranquille et puis dun coup il ny a plus quelle au milieu de la foule. Magnifique, je crois que cest ce que jai dit. Grande, de longs cheveux blonds, une allure folle même en teeshirt et jean. Elle surclassait toutes les autres filles de la soirée. Jai demandé à mon pote sil la connaissait, il me répondit que non, que cétait lami dune amie, mais quil ne lavait jamais vue. Je le quittais et traversais la pièce pour aller la voir, lui parler.
Jai vu Denis venir vers moi, reprit Alexandra, sûr de lui, il sest planté devant moi, et ma tendu sa main.
Moi, jétais déjà fou delle, en plus quand elle ma parlé, sa voix cassée sexy en diable ma fait devenir dingue. Je navais plus quune idée en tête cétait rentrer avec elle, lembrasser, la déshabiller, lui faire lamour toute la nuit. Nous avons discuté de nous, ce quelle faisait dans la vie, doù elle venait, les trucs classiques.
Il ma proposé de me raccompagner quand jai dit que je partais, jai refusé, je ne voulais pas quil se fasse des idées.
Mais elle ma donné son numéro. Cétait déjà un bon point.
Il ma appelé le lendemain, pour me proposer de sortir, un ciné, ou un resto. Jai refusé. Pas parce quil ne me plaisait pas, mais justement parce quil me plaisait et je ne voulais pas être déçu. Souvent quand on découvre ce que je suis, on prend peur, et je savais que je risquais de lui faire cet effet, il me voyait comme une femme, une vraie, mais quand il découvrirait mon secret, sil ne maimait que pour mon corps
Enfin, comme toutes les filles, elle voulait que je lui fasse la cour, que je la séduise, quon sorte plusieurs fois ensemble avant de passer à lacte. Je nai pas insisté, mais je lai rappelée deux jours plus tard, et là je ne lui ai pas laissé le choix. On a commencé à sortir, les trucs de base, ciné, resto, café, bref, ça a duré deux mois avant quelle accepte que je la raccompagne chez elle.
Je savais quil était amoureux, vraiment, mais je craignais encore sa réaction. Javais tenté de préparer le terrain en disant que javais un truc spécial, mais je ne me voyais pas lui dire que javais une bite et tant quil ne laurait pas vue, je ne saurais pas ce quil ferait.
Elle ma fait assoir dans son canapé, et plantée devant moi, elle sest déshabillée.
Il sest levé, et ma embrassé. Je pleurais. Il ma dit quil était surpris, quil ne sattendait pas à ce que mon truc en plus ce soit ça, mais quil maimait, alors il sen foutait, il aimerait ma bite aussi.
Ils sembrassèrent, ils étaient beaux. Jaurais aimé quils me racontent aussi leur première fois, leur vie sexuelle, mais cétait trop intime, surtout pour le raconter à un frère, comme ça.
Denis découvrit le sexe dAlexandra, et explosa de rire. Il sut quil naurait pas dû, mais ce fut plus fort que lui. Il se leva pour embrasser son amie. Il sécha les larmes qui coulaient sur ses joues, sexcusa, la serra fort dans ses bras. Il sentait ses seins contre sa chemise, et malgré ce sexe dhomme contre sa cuisse, il ne pouvait sempêcher de voir Alexandra comme une femme, de penser à elle, et pas à lui. Il lui dit quil sen foutait quelle soit une femme à bite, quil laimait, quil aimerait sa queue autant que le reste.
Alexandra déshabilla Denis, elle se colla contre son corps nu, ferme, musclé, mais sans plus. Il bandait. Elle était heureuse de le voir bander pour elle. Elle sapprocha de son oreille, et lui souffla : « Je vais te sucer comme personne ne la fait avant ». Elle le repoussa sur le canapé, et embrassa son torse, sa langue glissant doucement vers son sexe dur, dressé. Elle joua avec lui, caressant ses couilles, effleurant son gland, retardant le moment où elle le prendrait dans sa bouche. Denis soupirait de plaisir, dexcitation, de frustration. Alexandra se pencha vers sa bite et lavala. Ses lèvres humides enserrèrent le sexe turgescent. Elle le suça doucement, faisant glisser sa bouche lentement, sentant pulser le sang sous la peau. Elle voulait le rendre fou, quil ne puisse plus se passer delle, de sa bouche, de ses seins, de son cul, de sa bite.
Denis explosa de plaisir dans la bouche de sa nouvelle amante.
Cétait étrange, nouveau, intriguant. Il avait gouté les sexes féminins, il aimait lécher les femmes, mais il ne pensait pas quun jour il sucerait une bite de femme. Et que malgré sa maladresse de débutant, il recueillerait le foutre de sa partenaire dans sa bouche. Surpris de ce flot de liquide chaud, visqueux, il cracha le tout sur le sol. Il sexcusa, mais Alexandra lembrassa en le remerciant, lui disant quil nétait pas obligé. Si, il se sentait obligé, enfin non, il en avait envie. Il voulait connaitre le gout de son sexe, laimer.
Denis et Alexandra allèrent se coucher. Ce premier soir, ils ne voulaient pas aller plus loin que ces jeux buccaux. Ils voulaient simplement dormir lun avec lautre, lun contre lautre, et attendre un peu pour aller plus loin. Alexandra embrassa son amant, son amoureux. Elle avait eu si peur, elle était si heureuse. Dans le lit, face à face, ils sentirent leurs sexes se frôler, grossir sous les draps. Ils éclatèrent de rire. Ils étaient trop excités pour dormir. Alexandra se tourna, proposa à Denis de lenculer. Il refusa. Pas tout de suite, pas ce soir. Dabord, dit-il, je voudrais moffrir à toi. Alexandra le serra dans ses bras, et lembrassa. Elle était daccord, mais plus tard, il ne fallait pas bruler les étapes.
Ils se contentèrent de se branler mutuellement, leur foutre souillant les draps dans lesquels ils sendormirent heureux.
Le diner fut charmant. Mon frère et Alexandra avaient préparé un excellent repas. Ils me parlèrent de leur vie à deux. Leur bonheur, qui crevait les yeux. Quand, seuls dans la cuisine, je demandais à Alexandra si mon frère se faisait prendre par elle, elle rit.
Et toi, tu te fais enculer, demanda-t-elle ?
Oui, répondis-je, et jaime ça.
Ce qui le fit encore plus rire. Denis nous rejoint en entendant les rires de son amie, il demanda ce qui se passait.
Ton frère vient de mavouer quil est homo, dit Alexandra.
Non, jai juste dit que je me faisais enculer, avec plaisir. Jaime les femmes, dailleurs je vis avec deux superbes femmes, qui sont aussi libres que moi sexuellement.
Je leur racontais, à mots couverts, ma vie, et ils furent surpris de tout ce que je leur racontais.
Nous nous quitames heureux davoir passé la soirée ensemble. Jembrassais mon frère et Alexandra. Au moment de partir, elle me glissa une carte dans la poche.
Cest une de mes amies, elle devrait te plaire.
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