Leslie La63

Leslie LA63 – Laure, le journal intime - Lesbienne black, suite et fin

Le dimanche matin, je me suis levée tard, comme j’aime le faire après une belle soirée de sexe, même si j’aurai bien aimé finir la nuit avec elle et me réveiller près d’elle.
Petit déjeuner, lecture, douche et me voilà fin prête. J’ouvre enfin mon ordi.
Un message de Patricia, et d’un seul coup tout mon être se réveille. A-t-elle envie de me revoir et me serrer à nouveau dans ses bras, m’embrasser, me caresser et enfin faire l’amour ? Sa peau d’ébène et son odeur me manquent déjà, j’ai envie de sucer son sexe, de la voir et l’entendre jouir…

Dans son message, elle me dit qu’elle viendra, si je le désire me retrouver ce soir, pour une autre soirée d’amour, mais qu’elle viendra accompagnée de son amie Agnès, je n’ai juste qu’à lui envoyer un mail de confirmation ; en cas de refus, je n’ai pas à répondre et tout sera terminé. Elle termine en me remerciant d’avoir été une amante formidable.
J’ai répondu que j’étais d’accord et que si elle voilait elle pouvait venir pour cinq heures.
Juste le temps pour moi de faire un peu de rangement, de prendre un bain et c’est vêtue d’un kimono de soie blanc que je ai ouvert la porte.
Je découvre, accompagnée de Patricia, une jeune femme blonde aux yeux verts, mince avec un sourire agréable, genre petite bourgeoise vêtue d’un tailleur blanc montée sur hauts talons.

Je les fais entrer, elles prennent place dans le canapé et moi sur le fauteuil en face d’elles et je propose un rafraîchissement qu’elles acceptent. En allant chercher les jus de fruits, je prends la décision de profiter le mieux possible de cet instant et d’en faire un moment agréable.
Je rejoins le salon, pose les verres sur la table en prenant soin de me pencher afin d’offrir mes seins à la vue d’Agnès et je sens son regard se poser sur ma poitrine, je me relève et m’assois dans le fauteuil en repliant mes jambes, mes pieds au contact de mes fesses, ma position ayant pour but de faire glisser les pans de mon kimono afin de lui faire découvrir mes cuisses, Patricia elle, les connaît déjà.


Nue sous la soie, je sens la pointe de mes seins durcir à son contact et mon sexe s’inonder sous le regard d’Agnès qui ne me quitte pas des yeux.
Lorsque je croise son regard et je remarque que ses yeux qui ne me quittent pas, alors je la complimente sur son physique en regardant ses jambes fuselées et bronzées. Elle est très attirante et je sens que la soirée va être chaude…
C’est à cet instant que j’entends Patricia dire à Agnès :
- Allez, lèves-toi et déshabilles-toi !

Et Agnès, sans un mot, se lève et déboutonne le haut de son tailleur, qu’elle pose sur le canapé, bientôt rejoint par sa jupe. Patricia me dit alors :
- Agnès est très vicieuse, mais très soumise, il faut la guider.
Je me délecte à découvrir le corps d’Agnès pendant qu’elle enlève son chemisier. Sa poitrine est volumineuse et contraste avec son corps fin, presque maigre et ses petites fesses sont superbes. Mon bas-ventre est en feu mais je ne laisse rien paraître.
Agnès me regarde timidement, je la contemple sans rien dire. Elle passe les mains dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge et laisse apparaître deux seins en forme de poire qui pointent fièrement. Mon Dieu, elle est magnifique !
Je tire sur la ceinture de mon kimono dont les deux pans s’écartent laissant apparaître ma poitrine et mon sexe glabre, nous nous regardons avec passion et je me lève et viens me placer derrière elle, pendant que Patricia se met nue elle aussi.
Plaquant mes seins contre son dos, je sens la chaleur de son corps. Mes doigts glissent lentement sur ses hanches à la rencontre de son string qui bientôt repose sur le sol.
Dans la grande glace du salon, je regarde son sexe surmonté d’une toison blonde, taillée en ticket de métro et son ventre est plat et musclé.
Une vague de cyprine inonde mes lèvres pendant que l’incendie se propage dans mon corps. Mes mains viennent se plaquer sur ses seins dont je pince les pointes et Agnès soupire de plaisir.
Je lui malaxe longuement les tétons en lui étirant les extrémités. Elle gémit et ses fesses viennent se plaquer contre moi et la chaleur de nos corps se mélange.
Peur ou désir, je la sens trembler, Patricia plonge sa tête entre ses cuisses et commence à la lécher, tandis que je l’embrasse dans le cou tout en faisant glisser mes mains sur son ventre à la limite de son pubis que la tête de Patricia m’empêche de caresser.
Mais Patricia se recule et mes doigts commencent à jouer avec ses poils blonds, puis progressent sur l’intérieur de ses cuisses en effleurant son sexe. Agnès laisse échapper des petits soupirs et je sens sa respiration s’accélérer. Je me grise de son parfum et me délecte de la douceur de sa peau.

Ses bras pendent le long de son corps, elle n’ose rien tenter mais savoure son plaisir. Je lui propose sur un ton langoureux :
- Allons dans la chambre !
Agnès se retourne, le feu du désir brille dans son regard. Alors qu’elle ouvre la bouche pour répondre à ma question, je place mon index dessus pour lui interdire de parler. Je la prends par la main et me dirige vers la chambre. Je quitte mon kimono et l’allonge sur le lit.
Patricia nous rejoint équipée d’un gode ceinture en disant :
- Elle adore la sodomie, ne lui refusons pas ce plaisir !
Agnès est sur le dos, je tire ses bras vers le haut et, une à une, j’attache ses mains aux barreaux du lit à l’aide de deux foulards, et je la regarde, sa superbe poitrine montant et descendant au rythme de sa respiration.
Je m’assois à ses côtés, caresse sa joue, son cou et sa bouche, mon sexe s’est transformé en fontaine et je sens mon liquide couler dans la raie de mes fesses. Je caresse sa douce peau, tout en me délectant du spectacle. Mes mains glissent sur sa poitrine, prenant possession de ses seins fermes, Agnès soupire et parfois ses dents mordent sa lèvre inférieure.
Je glisse maintenant sur son ventre plat et musclé, mes doigts le parcourent à la limite de son pubis, son bassin ondule, ses reins se creusent, sa respiration s’accélère et elle gémit sans discontinuer, elle est au sommet de l’excitation.


Mes mains glissent maintenant à l’intérieur de ses cuisses recouvertes d’un fin duvet blond, l’endroit le plus doux de la femme. Mes doigt effleurent ses grandes lèvres, s’égarent sur son ventre et reviennent vers ses cuisses. Je vois son sexe s’ouvrir et perler comme une rose. Je passe un doigt entre ses lèvres en remontant vers son clito et de nouveau caresse son ventre et ses cuisses.
Agnès gémit et m’implore de la faire jouir avant que Patricia ne la sodomise, je dépose un baiser sur sa bouche en lui disant :
- On a tout le temps…
À plusieurs reprises mon doigt glisse dans ce sexe chaud et vient à la rencontre de ma bouche, me faisant découvrir le goût de son délicieux nectar. Je repars dans mes caresses et de nouveau mon index glisse dans sa fente humide et vient se poser sur sa bouche, l’obligeant à sucer mon doigt, lui faisant ainsi découvrir le goût de son intimité. À chaque fois que mon doigt glisse entre ses lèvres, elle cambre ses reins pour avancer son sexe à sa rencontre.
Agnès n’en peut plus, alors je me mets à l’envers à cheval sur elle, mon sexe sur ses lèvres et je plonge ma bouche dans son intimité, me régalant de l’odeur de son sexe avant que ma langue aspire ses lèvres, boive sa liqueur et joue avec son clito.
J’enfile deux doigts dans son vagin et commence à la masturber sans ménagement pendant que ma bouche et ma langue travaillent son bouton de plaisir. Agnès se tord dans tous les sens comme un ver, ses soupirs sont devenus des râles de plaisir. Soudain son corps se tend comme un arc, ses muscles se contractent et sa gorge hurle son plaisir.
Pendant qu’un orgasme puissant traverse son corps, Patricia se met entre ses cuisses grandes ouvertes et sans ménagement plonge le pal dans son anus, pour l’achever.
Agnès, la bouche ouverte, semble chercher de l’air, anéantie par sa jouissance.

Je me retourne pour me remettre sur Agnès et lui offrir mes lèvres, consciente que dans cette position, les reins cambrés et le cul relevé, je me présente de façon indécente aux désirs de Patricia et pendant que ma bouche prend possession de celle d’Agnès et que nos langues s’enroulent dans un baiser fougueux, je sens le gland du pal se poser sur ma rondelle.

Je n’en peux plus, mon sexe est en pleine éruption, mais soudain, Patricia pousse le gode contre mon anneau et le gode entre en moi, m’ouvrant l’anus et me faisant hurler.
Je sens le gode pénétrer mon petit orifice et commencer des va et vient, le baiser d’Agnès et la pénétration du gode dans mon étroit orifice, provoquent l’explosion de mes sens. Je hurle mon plaisir, mon corps se tend, mes reins se creusent et mes mains s’agrippent au drap comme si elles voulaient l’arracher. Un moment intense de bonheur et un orgasme puissant me chavirent. Je voudrais que ce moment ne finisse jamais.

Quand je retrouve mes esprits, Agnès m’embrasse tout en me caressant avec douceur, accompagnée de Patricia.
Nous changeons de position et c’est à mon tour de sodomiser Agnès, Patricia, se laissera à son tour sodomiser, non sans avoir essayer de se dérober, puis nous nous sommes caressées et embrassées pendant de longues minutes.
Puis nous avons fait l’amour plus classiquement, visitant de nos doigts tous nos orifices, allant parfois même à utiliser le gode encore et encore.
La soirée est très avancée quand nous quittons notre lit d’amour pour prendre ensemble, toutes les trois, une douche.
Puis Agnès et Patricia s’habillent, pendant que j’enfile mon kimono et les raccompagne à la porte.
Arrivées dans le couloir, je ne peux m’empêcher de plaquer Agnès contre le mur et me mettre à l’embrasser fougueusement, tout en glissant une main sous sa jupe.
Alors que mes doigts prennent d’assaut son sexe pour la masturber sans ménagement, avec l’impression de la violer, Patricia se plaque dans mon dos et prend possession de mon corps, elle ouvre mon kimono et de ses deux mains me doigte la chatte et l’anus. Agnès de son côté, répond à mon assaut en écartant les cuisses afin de faciliter le passage de ma main vers son puits d’amour, je sens son clitoris gonfler et j’avale ses cris de jouissance en l’embrassant avec passion, tandis que je me cambre sous les caresses de Patricia.

Elles me disent avoir très envie de me revoir et nous nous embrassons une dernière fois. Moi aussi j’aimerais les revoir, l’envie folle de faire l’amour à trois une nouvelle fois.
En les regardant partir, je sais que seul l’avenir le dira…

A suivre…

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