Chaperon Rouge
Rouge est son nom. Chaperon son nom. Il commence à faire nuit. Si elle ne sétait pas attardée, elle aurait pu donner plus tôt le panier contenant des provisions : petit pot de beurre, croissants, lait etc. Et la grand mère Mémé serait satisfaite. Mémé attend, Rouge n'est pas encore là. Mémé sait ce qui s'est passé : ce n'est pas la première fois que Rouge est en retard. Elle se laisse aborder trop facilement dans les bois par un type, Grand Loup. Mémé comprend le retard, elle même de son temps, elle fréquentait un jeune qui n'avait en tête que les fesses, celle de Mémé.
Elle cédait facilement à la tentation ; c'est bien meilleur de se faire tringler que de se masturber. Et si Rouge est attitrée par une paire de couilles, pourquoi lui en vouloir, d'autant plus que Grand est joli garçon.
Mère Grand en pensant à ce qu'elle faisait avant commence à s'exciter. Il y a longtemps qu'elle ne se sentait pas chaude ainsi.
Elle enlève le plus gros de ses vêtements, se couche sur le lit. Elle passe sa main vers le bas, vers sa chatte qui ne sert plus, hélas depuis tant de temps.
Elle se souvient des amours, des sexes d'hommes qui l'on pénétrés. Particulièrement d'un : large, long, tellement doux à lécher après qu'elle se soit faite baisée. Mémé a un besoin urgent de se remplir le vagin. Ses doigts ne suffisent pas ? Elle se relève cherche dans le frigo un substitut : une belle courgette fera l'affaire. Elle la passe un moment sous l'eau chaude avant de se la mettre.
Elle se souvient des orgasme passés quand elle entre le légume dans son vagin. Elle le rentre à fond pour le laisser en place un long moment pour bien se remémorer ses propres baises.
Elle se voit la première fois qu'elle jouissait avec une vrais bite en elle. C'était tellement bien , tellement bon qu'ele en voulait toujours plus, comme maintenant : la courgette n'arrête pas les va et vient. Elle se souvient aussi de ses nombreuse sodomies.
Instinctivement la courgette change de place.
On toque à la porte. Mémé n'a que le temps de remonter les draps sur elle. Rouge entre, pressée comme toujours. Un poutou sur les joues, Rouge dépose son panier sur la table.
Mémé parle avec une voix rauque : elle a toujours la courgette dans le cul, elle a envie de se faire jouir. Et cette petit Rouge n'a pas l'air de vouloir partir.
Comme vous avez une voix bizarre, mère grand.
Je sais : je suis enrouée.
Ce n'est rien alors. Je vais vous laisser en paix.
Ouf pense mémé. Je pourrais finir de me branler. A peine Rouge sorti, la main reprend son travail de sape. Mémé ne se tient plus, elle arrive au terme de sa masturbation : elle sait qu'elle va jouir. Enfin son sphincter assure les mouvements qui prouvent que la jouissance est bien là. Mémé laisse le légume en elle. Elle voudrait bien recommencer quand à nouveau on toque à la porte.
Mémé pensait revoir Rouge. C'est Loup qui entre. Grand fait parti de ses garçons qui non seulement savent baiser, mais en plus mettent longtemps à jouir. L'idéal pour une femme, surtout Mémé dans l'état où elle est. Loup cherchait Rouge absente évidemment. Mémé a toujours envie, elle ouvre les draps, se montre nue. Loup regarde le corps, le trouve agréable. Pourquoi pas coucher avec Mémé.
Loup sort sa queue, la montre à Mémé qui la trouve à son goût après l'avoir goûter avec la bouche. Loup ne peut se mettre nu, il est entraîné sur le lit : Mémé le veut de suite. Une belle et grosse, presque trop grosse queue entre, là où il faut.
La suite est que Rouge ne profite jamais de Loup. Drôle de moralité. Ah, ces contes pour ?
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