Fantasme D'Un Soumi Handicapé.
Depuis bientôt 10 ans je suis paralysé des 4 membres suite à un accident de la route. Seuls mon cou et ma tête ont encore de la mobilités. Pour la moindre de mes envie ou besoin je dois demander de laide, ne serais-ce que pour boire, manger et même me gratter loreille
Je vie seul dans mon petit appartement en périphérie de bordeaux. Je ne travaille pas, je suis très casanier, je passe beaucoup sur mon ordinateur. Mes journées sont rythmé par le passage de mes auxiliaires de vie. Elles arrivent le matin à 9h pour me donner une douche, me faire manger, s occupé de lappartement et touts les autre acte de la vie quotidienne. Elles repartent généralement vers 13h après le déjeuner pour revenir de 19 à 22h pour le dîner et me coucher. Grâce à la domotique et l'aide de mes auxiliaires je suis complètement autonome, pour faire mes courses, choisir mes repas et diverses sorties.
Nous sommes le vendredi 10 septembre 2019 vers 9h15. Comme touts les jours je suis réveillé depuis peut de temps lorsquelle sonne pour la première fois chez moi. Mon auxiliaire habituel à dus démissionner pour des raisons personnel. Je lui ouvre la porte à laide de la domotique, je lui laisse quelques instants pour entrée et poser ses affaires puis je lui demande de me rejoindre dans ma chambre.
Je suis allongé sur le dos, une des rare position qui me sois confortable. Entièrement nue sous mes draps pour éviter les escarres
Une fois la lumière allumée je découvre une grande femme dorigine africaine, forte, dune dizaine dannée de plus que moi, avec un jolie visage. Elle est habillé en jean avec avec des bottes qui lui remonte jusquau genoux, un pull en haut qui laissais deviner de jolies rondeudeures. Un léger décolleté surplombait une opulente poitrine.
- « Bonjour je suis Koudia, votre auxiliaire pour la journée, vous avez besoin de quelque chose ?
- Enchanté Koudia, moi cest Mathieu. On va ce tutoyer ce sera plus simple.
- Daccord, jai lhabitude de travaillé avec des personnes âgées ou le vouvoiement est conseillé.
- Je veux bien un thé sil te plais. tu trouvera tout dans la cuisine dans le placard au-dessus de lévier. Tu peut te faire un café ou un thé si tu veux. »
Elle revient après quelques minutes avec deux tasses. je lui explique comment remonté le dossier de mon lit médicalisé, puis nous faisons connaissance en buvant tranquillement ce petit-déjeuner. Elle mapprend quelle est congolaise, elle vie en France depuis quelques années. Cela fait six mois quelle travaille avec cette agence, et deux ans comme auxiliaire de vie. Elle connaît de ce faite les gestes pour me manipuler
un peut avant 10h je lui demande de me doucher, pour cela elle doit me mettre sur le coté et glisser un filet dans mon dos. Une fois de retour à position initiale, elle accroche au lève-personne les quatre sangle du filet prévus à cet effet. À laide de la télécommande elle actionne la machine pour me lever doucement du lit. Elle na plus quà déplacer jusque dans la salle de bain et me déposer sur le chariot douche. (un brancard avec une housse en plastique qui remonte sur les barrières de chaque coté. Légèrement incliné et avec une évacuation deau aux pieds). Durant le trajet jen profite pour admirer ses jolie courbes.
Après mavoir installé et fait chauffé leau, elle marrose les pieds en me demandant si la température me convient. Je lui répond que je nai plus de sensibilité dans le corps, quil faut quelle remonte jusquaux épaules pour que je puisse sentir. Une fois leau réglé elle me lave entièrement en commençant par les cheveux, le visage puis en descendant progressivement. Lorsquelle arrive à ma toilette intime je tourne la tête vers le mur, par pudeur, gène ou timidité je ne sais pas trop, et je la laisse faire son travail. Nos regards se croisent timidement.
Elle me sèche, après que je lui ai dis quel vêtements je voulais mettre, elle mhabille et minstalle sur mon fauteuil roulant électrique.
Dans laprès-midi lagence qui gère mes auxiliaires de vie mappelle pour savoir comment cela cest passé ce matin avec la remplaçante. Je le répond que tout cest bien déroulé, quelle connaît son travail et est très professionnelle. Du coup lagence la met sur mon planning un week-end sur deux. Elle commencera dès demain.
Le lendemain ce passa calmement, nous somme tout les deux timide et réservé, nous ne discutons pas beaucoup. Je regarde discrètement ses jolies formes, mais à un moment ou je my attendais pas elle cest retourner alors que javais les yeux rivés sur son fessier. Je me suis senti gêné, honteux, je commençais même à rougir. Elle la vu et compris pourquoi. Elle a juste souri et on est passé à autre chose.
Le dimanche matin, Koudia minstalla à la douche. Elle lave le visage, puis le torse, une fois arrivé à la toilette intime, je tourne la tête comme dhabitude. Après une ou longues minutes elle me frottait toujours le sexe, intrigué je la regarde faire et je voie quune érection à débuter, je regarde ensuite son visage. Elle fixait le mur, plonger dans ses pensés le regard vide
- « Je dois être suffisamment propre » lui dis-je pour la sortir de ses songe.
- « Désolé jai mal dormi cette nuit, jai du mal à me concentrer aujourdhui » en voyant létat de ma verge elle ajouta : « Je croyais que tu ne sentait rien ?
- Cest vrai je ne sens rien mais ça fonctionne toujours
- Daccord
Elle posa son doigt à la base de mon cou et me demande :
- « tu le sens là ?
- Oui » elle descend son doigt dun centimètre environ.
- « Et là ?
- Oui toujours »
Elle continu comme jusquà être deux ou trois centimètres au-dessus du téton.
- « Et là ?
- Non je ne le sens plus.
- Ça doit faire bizarre
- Le plus étrange cest sur les bras, je vais sentir uniquement le contacte, mais pas la chaleur, la texture ni la douleur...
- Effectivement cest étrange. Sinon tu as une copine ?
- Non je suis un célibataire endurcie, et toi ?
- Non je suis seule, je fais peur aux hommes apparemment . Tu est puceaux ?
Je commence à être gêné, à rougir, jai une éducation catholique ou le sexe était tabou.
- Non plus je suis célibataire depuis un peut plus de huit ans et on samusait bien. Comment ça tu fais peur aux hommes ? Moi je te trouve jolie.
- Ça jai bien vu ! Je suis trop exigeante. Et lorgasme tu le ressens ?
- Non Malheureusement
- Ça doit être dure
Tu ne dois plus être intéressé par le sexe alors...
- Si toujours, le psychologique joue beaucoup, je prend du plaisir autrement et jaime donné du plaisir. » Je rougi de plus en plus, Elle le voie et souri.
- « Comment prends tu du plaisir ?
- Je suis très sensible au niveau du visage, du cou...
- Jarrête avec mes questions, je voie que tu est mal à laise. »
Elle a terminé ma toilette et mon installation au fauteuil en discutant de sujets des plus banale. Elle est revenue le soir pour mon repas et je ne lai pas revue durant quinze jours. Pendant son absence jai beaucoup pensé à elle. Je me posais plein de questions : est-ce que je lui plais ? Jai une chance de la séduire ? Comment je dois my prendre ? La différence dâge sera t-elle un problème ? Elle ne veux peut-être pas mélanger personnel et professionnelle
Et je sais très bien comment je vais réagir face à elle, je serais incapable de faire le premier pas, de lui faire comprendre mes envies. Je suis tellement réservé, à chaque fois ce son mes ex qui mont abordés.
Le week-end arriva enfin, elle sonna à 9h. Jétais déjà réveillé, je lattendais. Koudia entre dans ma chambre avec un grand sourire. Elle est vêtue dun chemisier noir avec un décolleté plongeant et une jupe qui lui arrive aux genoux. Après les politesses dusage, elle me sert mon thé et pose un paquet de biscuits à coté ma tasse avant de sasseoir à coté du lit.
- « Je tai apporté des gâteaux, il faut que tu mange un peut plus.
- Cest gentil, mais je nai vraiment pas faim le matin désole
- Ce nest pas mon problème, regarde comme tu es maigre, on voie tes cotes, je vais te remplumer moi ! » dit-elle avec un grand sourire tout en me mettant un gâteau dans la bouche pour mempêcher de répondre. Je ne supporte pas quon me dise quoi faire dhabitude, mais la, je ne sais pas pourquoi, jai pris sur moi et jai manger. Peut-être juste pour lui faire plaisir. Lorsquelle me donne à mangé jai les yeux juste en face de son décolleté. Je rêve dy plonger la tête et dembrasser se jolie poitrine. Après mon petit-déjeuner cest lheure de la douche. Elle commence part menlever le drap et les couvertures pour mettre le filet du lève-personne. En voyant mon érection elle souri et me dit :
- « Je vois que ma tenue est efficace.
- Désolé je contrôle rien
» Je suis rouge de honte
Elle cest mise a rigoler et ma emmené à la douche, elle ma lavé pendant que lon discutais de tout et de rien. Au moment de ma toilette intime, comme à mon habitude, je détourne le regard. Du coin de lil, je lai vu frotter tendrement ma verge et mes bourse jusquà ce quune seconde érection ce produise. Ce qui arriva relativement vite, trop timide pour réagir je la laisse faire sans dire, en espérant quelle aille plus loin. Malheureusement elle cest arrêté la, puis elle ma rincé et elle a pris le temps de finir de me préparer. Elle ma demandé ce que je voulais manger, me la préparé puis donné avant de tout laver et de partir pour laprès-midi.
Le lendemain fut à peut près pareil. Elle me force à manger, et samuse à me faire bander durant la douche. Les quinze jours suivant sont long, le temps ne passe pas...
Le samedi arriva enfin, Koudia est habillé dune robe qui met en valeur en ses formes. Elle me sert mon petit-déjeuner, et déjà le drap commence à bouger au niveau de mon entre jambe. Elle a attrapé ma verge à travers le drap et a fait quelques va et viens en me disant :
- « Je voie que tu est content de me voire ! » Elle relâche mon sexe et commence à me donner à manger.
Je suis rouge de honte mais je prend mon courage à deux mains pour lui répondre :
- « ça me frustre que tu me touche comme ça et que tu tarrête la, jai les hormones qui me travaillent
- Cest le but, jaime excité les hommes, juste pour mamuser.
- Cest dure, jaimerais aller plus loin...
- Peut-être un jour, si tu est sage.
- Cest vrai ? Tu es dure en affaires !
- Oui ! Jaime avoir le contrôle. Que les hommes soit à mes pieds
si tu fais ce que je te dis tu serra peut-être récompensé
- Daccord je ferrais ce tu veux.
- Commence par me vouvoyer .
- Daccord si vous le souhaitez.
- Mange et tais toi maintenant. »
Régulièrement durant le repas elle me caresse pour que mon érection ne redescende pas. Elle ma ensuite emmené à la douche, en veillant à ce que je ne débande pas et ce tout le long de ma toilette. Une fois séché je lui demande :
- « Tu
euh non Vous pourriez me mettre mon jean bleu avec ma chemise qui va avec ?
- Tu apprend vite. Je te propose quelque chose : Sois tu me fais confiance, tu me laisse faire et je vais te faire découvrir des plaisirs que tu naurais jamais imaginé... Sois on oublie cette matinée et on reprend une relation professionnelle.
- Daccord je vous fais confiance » Je lui ai répondu après un moment dhésitation. Je ne savais pas à quoi mattendre, mais depuis le temps que je nai pas eu de contacte physique jétais prêt à tout.
- « à partir de maintenant cest moi qui contrôle tout, tu nas plus ton mot à dire.
- Daccord.
- Daccord qui ? » Suivis dune dune petite gifle.
- « Daccord Madame Koudia
- Cest mieux. »
Elle à ensuite choisie mes vêtements et ma habillé. Après mavoir coiffé elle ma fait une tresse. Elle sais que je naime pas ça, mais jai rien dis. Pour mon repas, je nai pas eu mon mot à dire, jai acquiescé. Le dimanche cest passé de la même façon, Elle a tout décidé à ma place et je me suis fait giflé à chaque erreur ou début de rébellion. Pour la première fois jai aimé perdre le contrôle.
Dans les jours qui suivent, lagence dauxiliaires mappelle pour me dire quil y a un changement dans planning. La personne qui travaille la semaine est en vacances, et comme Koudia a demandé à venir plus souvent chez moi, elle travaillera du lundi au vendredi durant au moins trois semaines. Cest avec le sourire aux lèvres que je raccroche.
Les quelques jours qui ont suivit mont parues interminable. Jétais à la fois impatient, inquiet et excité. Le dimanche soir je nai pas réussi à mendormir avant 5h du matin. Lorsque Jentendis la sonnette retentir, je me suis réveillé en sursaut. Lexcitation ma fais oublier la fatigue. Elle est entrée, habillé dun jean et des cuissardes pour le bas, et un pull en haut. Elle ma apporté mon petit-déjeuner, Je lui ai dis que lon devra aller faire des course cette après-midi, comme touts les lundis, et quil faudrait me faire une liste pour ne rien oublier... Avec un grand sourire elle me répond quelle va s occupé de ça. À la fin de mon repas, Elle retira les draps qui me recouvrent, je suis entièrement nue. Elle enlève son pull pour me montrer un chemisier blanc à moitié transparent laissant deviner un soutien-gorge noir. Elle séloigna ensuite pour attrapé un papier et un crayon pour commencer la liste. Elle prend son temps pour faire linventaire de mes placards, et passer devant moi. Je commence à avoir froid et malgré cela je voie ma verge se redresser doucement. Une fois terminé elle memmène à douche, comme dhabitude elle mexcite pour que mon érection dure toute ma toilette. Elle mhabille, minstalle au fauteuil et me donne à mangé avant quon parte faire des courses.
Arrivé au magasin elle prend un panier et je la suis dans les rayons. Elle commence par se diriger vers les sous-vêtements féminin. Elle choisit un ensemble rouge, très aguichant, à sa taille et me caresse la joue avec en me demandant si jaime cette texture. Je suis très mal à laise, je commence même à rougir. Je lui répond en bégayant que je trouve cela très agréable. Elle le pose sur mes genoux et en att un autre noir, tout aussi aguichant avec un tanga pour le bas. Elle le pose également sur la joue :
- « Et celui-là ? Tu laime ?
- Oui beaucoup. »
Elle pose le deuxième sur mes genoux puis on ce dirige vers les cosmétiques féminin. Elle me choisit un gel douche qui sent bon la femelle comme elle aime dire. Elle prend également un rasoir et de la mousse, Je la suis ensuite récupérer e de la nourriture pour la semaine, lorsquelle att un avocat le lui dis que je naime pas ça. Elle ma regardé avec un sourire en me disant quelle sen fou. Je baisse les yeux et ne dis rien. Elle termine mes courses, je la suis, on se dirige vers les caisses. Elle vide le panier sur le tapis roulant. Timidement je lui dis .
- « Il reste la lingerie sur mes genoux.
- Ah oui tes sous-vêtements » cris t-elle pour me mettre mal à laise et elle à réussit.
Elle att ma carte bleu, paye puis on rentre chez moi. Le soir venue elle revient pour mon dîné. Elle me prépare lavocat juste pour membêter. Elle pose lassiette sur la table et me dit quelle a cadeau pour moi. Elle se dirige vers son sac, cherche un peut et y ressort un martinet qui a pour manche un gode dun jolie diamètre. Elle me fouetta une fois sur chaque joues :
- « Ça cest pour avoir donné ton avis dans le magasin, Salope. Maintenant tu a intérêts à finir ton repas. »
Je mexécute, et je mange ce quelle me donne. Lentement, difficilement mais jy arrive. Puis je mange le poisson et les légumes quelle ma préparé. Elle fait la vaisselle, range et mabandonne pour la nuit.
Le lendemain matin, après avoir préparé mon petit-déjeuner, elle le pose sur la table devant moi. Elle sort de sa poche une culotte quelle me pose sur le visage.
- « Tu aime mon odeur ? Cest celle que javais hier, jai bien mouillé dedans en me disant que tu allais me la nettoyer ce matin. Lèche la, tu va bosser un peut toi aussi. » En me disant cela elle sapplique à présenter à ma bouche la parti qui à caressé son intimité toute la journée de la veille. Une forte odeur a envahit mes narines. Je suis à la limite du haut de cur mais je me retiens et je lèche le tissu du mieux que je peut. Jai trop peur de me faire fouetter. Je lhumidifie avec ma salive et je continue à laver ce sous-vêtements. Après de longues minutes elle retire sa culotte de mon visage et me donne enfin à mangé.
Elle memmène ensuite à la douche et sort un rasoir pour me raser la barbe. Elle me dit quon ferra ça tous les matins, car elle souhaite que jai une peau de bébé. Ça va me changer moi qui ai lhabitude de faire ça à la tondeuse et moins dune fois par mois. Puis elle descend sur le torse, je me retiens de justesse de protester, elle le voie.
- « Petit à petit je vais faire de toi une femelle, tu vas voire, tu vas aimer.
- Ça va loin la quand même, je ne mattendais pas à ça
- à voire létat de ton sexe depuis ce matin tu ne ma pas laire mécontent. Je nai pas eu besoin de le toucher pour quil me fasse honneur.
- Oui mais.
- Tais toi, de toute façon tu na pas le chois. Sinon on arrête tout et je demande à bosser ailleurs.
- Bon daccord vous pouvez continuer.
- Je préfère ça. »
Une fois mon rasage intégrale terminé elle me donne ma douche. Avant de mhabiller elle me dit que je sens la femme, je suis imberbe comme elles, je devrais donc avoir les même vêtements. Elle va ensuite chercher les sous-vêtements noirs acheté la veille. Je navais pas fait attention mais ils sont à ma taille contrairement aux rouges qui sont à la sienne
Elle me met un jean et une chemise par dessus. En me disant quon va aller doucement. Après mon repas elle laisse à mon sort pour laprès-midi.
À son retour, le début de soirée ce passa calmement. Elle ma donnée à mangé puis elle ma mit au lit. Une fois installé et déshabillé, elle jette ma chemise sur mon visage, éteint la lumière puis sort de la chambre et ferme la porte. Je reste comme ça un long moment. Dans le noir, entièrement nu, le froid commence à me saisir. Je me demande si elle est encore la ou si elle est parti
Les yeux fermés, je mendors doucement lorsque jentends la la chasse deau ce déclencher. Elle me rejoint ensuite dans la chambre. Je sens le matelas bougé, elle monte sur le lit. La chemise remonte doucement, me découvrant bas du visage.
Je sens qu'elle me caresse la joue, elle passe sur mes lèvres. Lorsqu'elle force et entre dans ma bouche je comprend que c'est son pied. Elle me demande de le sucer. Malgré le dégoût je m'exécute et la laisse introduire son orteil que je caresse avec la langue. Un peu après elle se retire. Je sens qu'elle pose un genoux de chaque coté de mon visage. Ses fesses sur mon torse, sa délicate odeur intime m'enivre. Je ne peut pas me retenir de caresser doucement sa puissante cuisse avec ma joue. À son ordre j'avance la tête et je commence à lécher son sexe. Je découvre une pilosité naturelle très humide, au goût salé. Je recule lorsque je comprend.qu'elle ne s'est pas essuyé en sortant des toilettes.
◦ « lave moi je t'ai dis ! M'ordonne t'elle en me collant le visage contre son sexe. »
Je mexécute et lèche du mieux que je peux, dabord sur sa toison, je nettoie chaque goutte. Je lui caresse les lèvres du bout de la langue, de chaque coté. Je fais le tour de son clitoris. Puis je mintroduis, doucement, aussi loin que je peux pour laver lintérieur. Une fois propre je continue à lécher pendant de longues minutes. Je suce son clito. Jusquau moment ou je sens son plaisir gicler dans ma bouche et sur mes joues. Jen avale une partie et je joue avec le reste. Je létale sur son sexe pour bien le lubrifier. Elle se frotte contre mon visage. Je sens sa jouissance couler sur ma figure. Jen ai partout. Elle se replace sur ma bouche et je reprend mes caresses. Lorsquelle fut satisfaite elle se relève et descend du lit. Je lentend se nettoyer et se rhabiller. En me recouvrant du drap et des couvertures elle me dit :
- « Je laisse avec mon nectar sur le visage pour que tu pense à moi toute la nuit. »
Elle ferma la porte et sorti de lappartement. Toute la nuit lodeur me rappela ce délicieux moment. Jai hâte dêtre à demain matin pour la revoir.
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