L'Homme Du T E R

J’ai trente huit ans, a part mon mariage avec Rônin qui m’a fait deux beaux s, il ne m’est jamais rien arrivé d’extraordinaire dans la vie, les s a élever dans les meilleures conditions, le boulot, la bouffe, le ménage, au lit rien de sensationnel, pour couronner le tout, nous habitons ‘au bout du monde ‘ en pleine montagne, pour aller travailler je prends un vieux ‘t e r ‘, notre village est un terminus
Toute la semaine la tempête a soufflé, occasionnant de nombreux dégâts, nous somment vendredi soir, j’ai hâte de rentrer, dans le wagon je suis seule, ou presque, il me semble avoir aperçue une tête a l’autre bout, et cette micheline qui roule lentement, de plus en plus lentement pour finir par s’immobiliser dans un tunnel, mince alors, quelle poisse, nous ne somment plus qu’a quelques kilomètres de la gare
Dans le haut-parleur une voix nasillarde fait une annonce qui m’angoisse

- Mesdames messieurs un incident est survenu, des rochers encombrent la voie, par mesure de sécurité nous allons rester dans le tunnel en attendant la fin des travaux qui peuvent durer quelques heures, je vous recommande de vous installer confortablement, pour préserver le chauffage nous allons couper l’éclairage, la société vous présente ses excuses

Que faire ? Il ne me reste plus qu’a m’allonger sur la banquette, mon manteau roulé en guise d’oreiller, je suis obligée de replier les genoux, sinon mes pieds dépassent dans l’allée, ça y est il fait noir ,très noir, je ne vois pas ma main a vingt centimètres, ma jupe retombe sur mes cuisses, peut importe, qui pourrait voir mes fesses dans cette obscurité, mon esprit de met a vagabonder , et si c’était la fin du monde ? que font les gens lorsqu’ils savent qu’ils ne leur reste plus que quelques heures à vivre ? J’ai lu dans des bouquins qu’ils faisaient l’amour, pauvre idiote ton mari est à dix kilomètres !
Soudain j’ai cru sentir un souffle chaud sur ma jambe …pas de panique c’est ton esprit qui fait des siennes ! … et cette main sur mon genou c’est aussi mon imagination ?
Est-ce la ‘tête’ que j’ai cru apercevoir en tête de voiture ? je n’ose pas parler, après tout Élodie tu es seule au monde dans ce tunnel, il ne t’est jamais rien arrivé de spécial dans ta vie de mère au foyer, qui pourrait découvrir que tu as mis un coup de canif dans le contrat si tu te laisse faire ? …….

mon dieu, la main progresse entre mes cuisses, a quoi bon résister, ne le nie pas, tu a envie de te faire toucher par ce ‘fantôme’, alors écarte tes genoux, laisse ces doigts écarter ta culotte, que ça fait du bien lorsque mes poils sont caressés et mes lèvres ouvertes, je ne peut réprimer un gémissement quand je suis pénétrée par plusieurs phalanges, mon bassin va même a la rencontre des coups de poignet de plus en plus rapides , le souffle chaud perçu tout a l’heure se fait ressentir, cette fois entre mes cuisses
Mais …. Qu’est-ce c’est ? Une main se pose sur mon bras ‘on’ m’entraine le poignet, le dos de ma main vient d’effleurer quelque chose de long, dur et chaud.. ma parole, c’est une verge ? elle ne peut pas appartenir a celui qui fait glisser ma petite culotte sur mes hanches ? ‘Ils’ seraient donc deux ?
Si je ne soulève pas mes fesses mon slip va craquer …quelle merveilleuse sensation de sentir le nylon quitter ma peau, je sens ma chatte sourdre d’un liquide poisseux, il y a bien longtemps que je n’ai pas mouillé sans longs préliminaires
Pendant ce temps ma main c’est refermée sur le cylindre vivant, mon majeur et mon pouce ne se rejoignent pas, c’est dire la grosseur de cette queue ! Ça me change de Rônin…. D’instinct je fais coulisser la peau afin de découvrir le gland, je suis un peu dépassée, ou concentrer mes désirs ? Entre mes cuisses une bouche vient de se coller à ma vulve tandis que la queue avance vers mon visage, j’ai envie de me faire lécher et de sucer cette bitte venue de nulle part
Ça y est c’est chose faite, l’un s’est enfoncé dans ma bouche et l’autre farfouille autant avec ses doigts qu’avec sa langue dans mon antre liquéfié, pourvu que cet arrêt dure des heures ….
J’ai joui silencieusement sous les merveilleux attouchements vaginaux quand mes caresses buccales déclenchent une éjaculation abondante et poivrée, le temps que je reprenne mes esprits, j’entends des mouvements feutrés et des murmures, suis-je déjà délaissée, c’est finit ?
Non ! Mes jambes sont soulevées et reposent sur des épaules larges, je reconnais l’imposant diamètre velouté qui m’écartait la mâchoire forcer sur mon col vaginal, une queue frotte ma joue, je ne me fais pas prier pour la gober, rien à voir avec la précédente, mes lèvres et mon nez sont chatouillées par le pubis fourni de l’homme, un diton vient a mon esprit ‘ : ce que l’homme ne peut faire avec sa queue, il le lèche … ça se confirme, ayant jugé sa queue insignifiante il a préférer laisser la place
Comment exprimer ce que ma chatte reçoit ? Elle est littéralement écartelée, allongée, e, pas un millimètre de muqueuse n’est épargné, je serre autant que je peu mes muscles sur cette matraque de chair, je suis limée tantôt délicatement, tantôt virilement, ce n’est plus de la mouille qui suinte de mes lèvres, c’est un torrent visqueux, dans quel état vais-je retrouver le dos de ma jupe ? Surement comme une serpillère, au diable, c’est trop bon, mon manteau cachera la tâche
L’homme grogne et lâche des gros mots, prononcés autre part ils me vexeraient mais là je les prends pour des compliments
Ma fellation doit être efficace car je suis gratifiée d’une seconde éjaculation, moins gouteuse et moins abondante, liquide, insipide, j’en ai un haut le cœur, il se retire, je peu enfin me consacrer entièrement a mon baiseur hors norme, je donne des coups de reins puissants, nos ventres s’entrechoquent, l’orgasme se précise, voutée autant que je le peux j’attends le cataclysme, il arrive en même temps que le sien, des fusées brulantes frappent le fond de mon ventre et débordent de mon vagin, il retire sa bitte poisseuse et l’essuie sur ma toison brune , puis c’est le silence…je fouille a tâtons dans mon sac a main pour récupérer des mouchoirs afin d’essayer de faire disparaitre les traces de mon adultère en surface, car a l’intérieure je suis dévastée, ha, ne pas oublier un bonbon a la menthe pour rafraichir mon halène au gout de foutre, ma culotte ! Ou es ma culotte ?? Disparue, tant pis l’un des deux a voulu garder un souvenir !
Depuis combien de temps somment nous bloqués, soudain le haut parleur grésille la lumière se rallume, mon dieu je vais devoir affronter le regard de mes amant, je risque un œil… personne …c’est bizarre, pourtant si je passe les doigts sur ma moule ce n’est pas un rêve qui l’a mise dans cet état

La micheline redémarre enfin pour cinq minute des derniers kilomètres, sur le quai j’aperçois une ombre, j’empreinte le souterrain pour gagner le parking quand …

- Serais-ce a vous cette petite culotte madame ???? je l’ai trouvée dans le wagon

A SUIVRE …

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