Entretien D'Embauche

L’homme assis à son bureau, tourna la tête et regarda par la fenêtre la pluie qui battait sur le carreau. Il n’était que 15 heures, mais il aurait tout aussi pu être 19 heures tant il faisait sombre. L’homme sursauta, alors que le coup frappé à la porte le tirait de sa contemplation. Il soupira, encore un candidat pour le poste : ça faisait plusieurs jours qu’il faisait passer des entretiens d’embauche et il n’aimait pas ça. La porte s’ouvrit et révéla une silhouette, une femme mince, élancée qui avait de très longs cheveux raides. Lorsqu’elle s’avança et que Paul put enfin la voir à la lumière des néons, il s’aperçut que c’était une très jeune et très belle femme, d’origine asiatique, maquillée et habillée avec goût. Elle portait un petit pull noir moulant et une jupe verte pomme au-dessus du genou qui était prolongée par des collants noirs et des Doc Martens du même vert. Mais, le plus surprenant chez elle, était ses yeux : d’un bleu très clair, ils fixaient Paul avec un air de défi. Il la salua, se présenta et lui désigna le coin salon de son bureau où ils s’assirent face à face. Paul remarqua que, lorsqu’elle s’était assise, sa jupe s’était remontée sur ses cuisses et, alors qu’elle croisait les jambes, il aperçut son porte-jarretelle. Il était troublé, les yeux bleus, la chevelure auburn, les longues jambes gantées de noir, les porte-jarretelles ... Il ne savait où regarder. Il voulait abréger cet étrange entretien, si bien qu’il arriva très vite à la dernière question : « Pourquoi, pensez-vous que vous méritez ce poste ? Qu’est-ce qui vous démarque des autres candidats ? » demanda-t-il, tout en se penchant sur le formulaire devant lui, prêt à noter sa réponse. « Je suis très investie » elle marqua une pause « dans tout ce que je fais. » Il releva la tête et vit qu’elle le regardait, intensément, il sentit une chaleur monter en lui, « tout ? » lui demanda-t-il en souriant d’un air moqueur. Elle souleva subrepticement un sourcil, se pencha et enleva ses chaussures.

Paul était surpris, il ne comprenait pas ce qu’elle faisait, mais avant qu’il put dire quoi que ce soit, elle s’était déchaussée et tendit le pied droit qui vint se poser directement sur son entrejambe et entreprit de masser la bosse qui tendait son pantalon. Paul était interdit : si l’attitude de la jeune femme le laissait sans voix, il venait de prendre conscience de sa propre érection. Pendant ce temps, la caresse se fit plus appuyée, plus rapide, et la chaleur qui montait dans son abdomen le fit réagir. Il attrapa sa cheville dans le but de l’écarter et de mettre ainsi un terme à l’entretien mais, le contact soyeux du bas de la jeune femme le fit chavirer, il remonta ses deux mains, lentement, très lentement et, rencontra le galbe de son mollet, le creux de son genou. Elle frissonna, mais il ne s’arrêta pas Il dut se pencher pour pouvoir continuer à avancer ses mains, une fois parvenu au haut de sa cuisse, il rencontra la peau de la jeune femme. A ce contact doux et froid, il s’arrêta un instant, au bord de perdre ses moyens puis, il entreprit de lui détacher son porte-jarretelle. Tout aussi doucement que précédemment, il lui redescendit le bas le long de sa jambe. Il s’arrêta à la cheville et elle souleva son pied, interrompant ainsi sa caresse, pour qu’il puisse retirer le bas. Il lui embrassa le pied, puis le mollet, le genou tout en faisant glisser ses mains sur sa cuisse. Il attrapa alors sa deuxième jambe et entrepris à nouveau de la libérer du bas qui l’enserrait. Quand il eut fini, elle lui attrapa les poignets, l’obligeant à la lâcher, il releva la tête vers elle et noya son regard dans le sien. Elle lui lâcha les poignets qu’il laissa retomber sur le long de son siège, puis elle plaça chacune de ses mains sur ses cuisses à lui et se mit à genoux sur le sol, sans le lâcher du regard. Elle se pencha vers lui et l’embrassa, fiévreusement, presque violemment, elle lui mordit la lèvre inférieure, lui enserra la langue avec la sienne ... Tout, son odeur, la douceur de sa peau, la pâleur de son teint, la pression de ses lèvres sur les siennes, tout chez cette femme lui faisait perdre pied.
Alors qu’elle l’embrassait elle défaisait sa ceinture et déboutonnait son pantalon. Alors qu’il entendait le bruit de la braguette que l’on abaisse, elle interrompit son baiser. Avec douceur, elle passa ses mains entre sa veste et sa chemise et d’un geste, fit glisser la veste sur le dossier. Il se laissait faire, et même, il accompagnait ses gestes comme pour l’aider à le déshabiller. Elle lui enleva ensuite sa cravate et déboutonna le premier bouton de sa chemise. Puis, elle s’éloigna un peu et se pencha sur son pantalon qu’elle fit glisser jusqu’à ses chevilles. Au pantalon succéda le boxer. Son sexe se dressait vers le visage de cette presque-inconnue, qui s’en saisit de la main droite alors qu’elle écartait ses jambes de l’autre main. Sa main gauche trouva ses testicules qu’elle entreprit de masser alors que l’autre main glissait doucement mais avec fermeté sur sa verge. Elle se pencha et sa bouche remplaça sa main sur ses bourses qu’elle avala. Paul poussa un soupir, avança le bassin vers elle et recula sa tête sur l’appui-tête. Après plusieurs secondes de ce traitement, la bouche abandonna ses testicules, la langue remonta le long de verge et au terme de sa course, titilla son gland. Paul ferma les yeux, alors que son sexe durcissait douloureusement dans la main de la jeune femme. Elle goba son gland et joua avec, tout en secouant de plus en plus rapidement et vigoureusement la hampe de son partenaire. Elle s’arrêta, se pencha pour faire disparaitre tout le sexe de Paul dans sa bouche, chaude et merveilleuse. Il entendit le tonnerre qui faisait écho au plaisir qu’il ressentait alors qu’une jeune femme inconnue lui faisait la plus belle fellation de tous les temps, il ouvrit les yeux et se pencha vers elle pour constater qu’elle le fixait d’un air gourmand. Paul glissa ses doigts dans ses cheveux, à l’arrière de sa tête et entrepris de lui dicter un rythme en poussant gentiment de la main la tête de la jeune femme toujours plus loin, vers le sexe si exigeant. Alors que le rythme s’accélérait, la pression des lèvres de son amante se faisait plus forte, Paul soupirait bruyamment tandis qu’elle jouait de sa main gauche avec ses bourses et que sa main droite suivait sa bouche sur la verge.
Paul perdait ses moyens, ses doigts se crispèrent sur les cheveux de la jeune femme qui s’écarta soudainement de son sexe pour ne plus avoir que son gland qui reposait dans sa bouche ouverte tandis que sa main droite se faisait toujours plus rapide sur sa hampe. Elle ne lâchait pas Paul du regard et tendait sa bouche vers lui pour que, lorsqu’enfin un violent orgasme lui saisit le bas ventre, il put voir son propre foutre inonder l’intérieure de sa bouche. Elle continua quelques secondes à s’activer sur sa verge pour retirer les toutes dernières gouttes d’un nectar qu’elle semblait apprécier, puis, entrepris doucement de nettoyer le sexe de Paul qui sentait déjà une nouvelle chaleur l’emparer. Alors que la jeune femme se relevait, il pensait à regret que l’entretien était fini, mais elle fit glisser son petit pull au-dessus de sa tête et dégrafa son élégant soutien-gorge en dentelle noir pour délivrer deux petits seins ronds qui semblaient se tendre de désir vers Paul. Elle se glissa entre ses jambes pour se retrouver debout, la poitrine à la hauteur de sa bouche. Il sentait son sexe se frotter contre la jupe de sa partenaire alors qu’il s’emparait de ses deux petits seins fermes et les menait à sa bouche.

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