La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°257)
Suite de l'épisode N°255 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -
Le Maître a décidé, pendant deux bonnes minutes, de faire siffler la cravache dans lair. IL sait très bien quen agissant ainsi, IL augmente la pression dans le corps de Sa soumise qui doit être partagée entre angoisse et excitation. Dailleurs, IL a bien remarqué la moiteur qui a envahi ses mains et sûrement son bas-ventre, mais le plus visible reste ses seins qui dardent avec les tétons sortis. Thaïs se tient comme son Maître le lui a demandé, debout, le corps bien droit mais les jambes écartées. La tête également relevée et bien à la verticale dans laxe de la colonne vertébrale, elle a posé ses mains sur le sommet de sa tête, paume à plat et les doigts entrecroisés pour pouvoir sagripper fortement et résister à lenvie de bouger. Elle a fermé ses yeux en plissant les paupières pour être sûre de les garder clos, car elle ne voudrait pas risquer de mécontenter encore plus son Maître Vénéré et de se voir infliger un doublement de la punition. Elle est prise entre le remord de sa faute qui lattriste parce quelle sait que son Maître en a été courroucé, mais en même temps, elle ne peut sempêcher de ressentir lexcitation qui monte en elle. Ses bras pliés au dessus de sa tête avec ses coudes repoussés vers larrière, elle est consciente du fait que cette position lui fait cambrer le corps et surtout fait ressortir sa poitrine projetée vers lavant avec ses deux mamelles généreuses qui pointent comme deux monts majestueux, larges mais fermes, séparés par une vallée où il doit faire bon venir y loger la queue.
Elle sent le regard de son Dominant puissant comme si elle pouvait lapercevoir à travers ses paupières fermées, et pourtant elle perçoit à peine le bruit de ses pas quand le Marquis dEvans tourne tout autour delle. Elle entend par contre très intensément les sifflements de la cravache qui fendent lair, une fois à droite et une fois à gauche, ou plus aléatoirement.
Ces deux minutes passées en préliminaires, bien plus excitantes que terrifiantes pour Thaïs, nont pas non plus été inutiles pour mettre Thierry en condition, malgré certains petits morceaux de glaçons qui nont pas encore totalement fondu autour de son sexe, dont les poils alentour sont encore tout mouillés de leau glacée quil a reçue quand le Marquis Edouard dEvans lui a jeté sur son ventre et sur ses attributs turgescents lintérieur du seau à champagne. Il a encore la chair de poule car il trempe dans ce bassin dhumidité très froid qui lencercle et qui sest en partie infiltré dans les draps du lit. Mais de voir la femme quil avait baisé la veille ainsi exposée, tout près de lui, juste en face de lui, totalement nue et immobile, consentante et prête à recevoir sa punition sans broncher, cette Isabelle pour laquelle il avait très vite eu de trop forts sentiments lui faisant perdre la raison, il ne peut rester de marbre.
Et la vue du Noble, avec sa prestance aristocratique, en costume impeccable qui semble avoir été taillé dans les plus belles étoffes, au regard bleu fixe qui ne lâche pas sa soumise épiant le moindre de ses mouvements désordonnés, cravache à la main fendant lair avec force comme pour séchauffer le poignet, tout cela lui procure une forte excitation quil ne peut contenir une fois de plus, malgré la honte quil avait déjà ressentie le matin même, à bander ainsi sans retenue sous les commentaires peu élogieux et très sardoniques du Marquis dEvans face à son exhibition si impudique de sa virilité gonflée et prête à éclater. Même si le spectacle na pas encore vraiment commencé, Thierry sent sa queue qui se redresse déjà inexorablement à chaque simulation de coups de cravache, achevant de faire tomber les derniers morceaux de glaçons fondus qui avaient trouvés refuge dans les plis de son pénis recroquevillé. Il ne peut toujours pas contrôler cette partie de son anatomie masculine. Encore attaché et bâillonné sur le lit, il se prend à espérer que le Marquis dEvans restera concentré sur sa soumise quIL doit corriger et oubliera totalement sa présence, en lui laissant au moins le temps de laisser sa queue dégonfler et revenir à une taille plus réduite. Il tente donc de se faire le plus discret possible, sans bouger dun millimètre et respirant tout doucement. Mais cest bien mal connaître le Dominateur expérimenté qui avait anticipé les réactions du malheureux toujours contraint de profiter de la vue de la soumise qui attend dêtre châtiée.
- Thaïs, Je ne sais si cest toi et ton corps de femme plantureuse qui lui fait de leffet, mais notre petit chien de businessman est déjà reparti au garde à vous avec une queue dressée qui visiblement nous montre aussi ce quil est vraiment encore une fois. Je sais que tu ne peux pas le voir, alors Je te le raconte, pour que tu limagines.
Les joues de Thaïs se mettent à rougir malgré elle. La soumise était concentrée sur la punition que son Maître devait lui infliger et elle avait fini par oublier quelle nétait pas seule dans la chambre en présence de son Dominant. Elle se trouve exhibée devant un étranger qui est en train de la mater cruellement, ce qui le fait bander aussi. Un sentiment dautant plus étrange quelle a été son amante à plusieurs reprises, mais alors, elle agissait sur lordre de son Maître et ne pensait quà exécuter la mission quIL lui avait confiée. Mais à cet instant là, elle ressent avec une certaine gêne le regard excité que porte Thierry sur son anatomie offerte aux coups de son Maître. Et pourtant elle sait que le Marquis dEvans a souhaité quil en soit ainsi, puisque sa propre punition va servir de première leçon inculquée à celui qui a de fortes chances de devenir prochainement un nouvel esclave faisant partie du cheptel du Châtelain. Ce nest pourtant pas la première fois quelle se retrouve à la demande de son Maître en présence dautres soumis et soumises, devant exécuter Ses ordres ou se soumettre aux moindres désirs de son Maître le Marquis dEvans, qui lui impose parfois de donner du plaisir ou daccepter den recevoir dun de ses frères ou sur de soumission, et tout cela bien sûr sous le regard amusé et excité du Maître qui se régale toujours de voir les esclaves de Son château lui obéir au doigt et à lil.
Mais le Marquis dEvans ayant suffisamment pris un malin plaisir à son petit jeu pervers qui à fait monter la pression et lexcitation, tant dans lantre déjà humidifié de lintimité de la femelle, cuisses ouvertes, que dans le phallus mâle qui lui fait face et qui offre encore une belle grosseur à la vue inquisitrice du Marquis, ce qui a pour effet de faire plonger aussi sec le menton de Thierry sur son thorax.
(A suivre
)
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