J'Ai Payé De Mon Corps
Je suis désespérée, maman est convoquée chez le proviseur pour discuter de mon avenir dans létablissement. Jai fait une grosse bêtise : quelquun ma prise en photo à mon insu, avec un portable, dans une posture équivoque... dans les bras du prof de sport
Ce ne serait pas si grave que cela si celui-ci navait pas la main sous ma jupe et aussi dans ma culotte
Aucun doute possible, car ma jupe retroussée prouve le péché ; ma jambe relevée laisse voir les doigts que lon suppose entrés dans ma chatte, on peut même voir que je suis blonde naturelle. Très belle prise de vue, mais très compromettante
Je nai pas avoué toute la vérité à maman.
- Ne panique pas, Laurène. Bien sûr, cest grave dembrasser un prof dans létablissement, mais je ne vais pas te jeter la pierre, car dans ma jeunesse, il mest arrivé à peu près la même chose
Avec le conseiller dorientation
Evidement, je ne vais pas te donner tous les détails ! Je vais essayer darrondir les angles avec le proviseur. Je ne te promets pas dy arriver, mais, surtout, on ne dit rien à ton père avant de connaître la décision finale.
- Daccord maman, je men veux tu sais...
- Ne regrette rien, ça fait des souvenirs
Aaah, cétait le bon temps !... Êtes-vous allés plus loin ?
- Non
- Alors cest moins grave que moi avec le conseiller
Mon Dieu quil était beau
Et doué
Je comptais bien user de mon charme sur ce vieux bourru qui ne sest jamais privé de mater mon décolleté à chaque réunion de parents délèves. Il bave devant les femmes ; derrière ses lunettes rondes, ses yeux pervers parlent pour lui, sil pouvait nous baiser toutes, il ne sen priverait pas. Aussi, pour le rendez-vous, qui ne se fera pas en présence de ma fille, j "oublie" de mettre un soutien-gorge, il pourra apercevoir mes aréoles sous mon corsage opaque
Jespère le faire bander
Dès mon arrivée, il me bouffe des yeux.
- Bonjour, Madame F., entrez, asseyez-vous.
- Bonjour Monsieur le Proviseur
Je massois en négligeant de tirer sur ma jupe, qui découvre largement mes cuisses.
- Vous êtes toujours aussi belle
Comme votre petite Laurène
Cest justement elle le cur du problème
- Oooh, ce nest pas si grave ! Avec le professeur, ils nont pas beaucoup de différence dâge, un baiser, ça na rien de sexuel
- Un baiser ? Vous navez donc pas vu la photo ? Laurène ne vous a pas tout dit ?
- Expliquez-moi ?
- Eh bien
Ils se touchaient
- Quel genre dattouchements ?
- Comme deux amants
- Ce nest pas clair
- Je vais appeler le professeur mis en cause, il vous expliquera mieux que moi.
Deux minutes plus tard, un jeune homme beau comme un dieu entre, la tête basse. Je comprends ma fille : qui résisterait à ce mec ?!
- Monsieur L., expliquez à Madame F. ce que vous faisiez avec Laurène, sa fille.
- Jeee... Je la touchais
- Vous lui touchiez quoi ? Comment ? Et où ?
- Ça cest passé dans les vestiaires du gymnaste, Laurène mavait chauffé pendant tout le cours
- Quappelez-vous « chauffer » ?
- Elle me montrait ses cuisses, et même plus, je savais que ce jour-là, elle portait une petite culotte blanche
- Ça peut arriver par accident de montrer son slip
- Non Madame, personne nécarte ses cuisses furtivement en regardant un homme droit dans les yeux.
- Cela vous faisait de leffet ?
- Je suis normalement constitué, vous devinez ma réaction
- Vous aviez une érection ?
- Madame F., un peu de décence !
- Cest pour mieux comprendre la suite
Vous avez donc coincé ma fille dans un endroit discret ?
- Cest plutôt le contraire, cest Laurène qui ma attendu à lentrée du vestiaire pour hommes, nous étions apparemment seuls, elle sest pendue à mon cou
Elle sentait bon, elle sortait de la douche, ses cheveux encore humides bouclaient, je lai embrassée... Elle a répondu à mon baiser, sa jambe sest enroulée très haut autour de la mienne, je sentais son pubis bombé sur ma
- Sur votre verge ?
-Oui
- Et alors ?
- Cétait plus fort que ma volonté, ma main est passée sous sa jupe, la culotte était là, brûlante, humide, lélastique ne collait pas bien à son aine, elle a ouvert encore plus son entrejambes, jai glissé deux doigts sous le tissu et caressée sa toison soyeuse
- Nous navons pas besoin de tant de détails !
- Laissez-le sexpliquer, Monsieur le Proviseur, il sagit de ma fille ! Et après ?
- Mes doigts ont été littéralement aspirés dans sa vulve trempée
- Arrêtez voyons ! Moi aussi je suis un homme, et ce récit me fait de leffet !
- Je crois quil nous fait de leffet à tous
Même à moi qui suis une femme
Fermez la porte afin que nous ne soyons pas dérangés.
- Que voulez-vous faire ?
- Que le professeur reproduise les mêmes gestes sur moi, je veux une reconstitution parfaite afin que tout soit clair, quen dites-vous, Messieurs ?
- Ça ne regarde que vous après tout
Personne ne nous dérangera, faites ce quelle demande, Monsieur L.
Je parcours les deux mètres qui me séparent du jeune professeur et maccroche à son cou. Il tremble de tous ses membres lorsquil menlace, et en me collant à lui, je remarque son érection. Nos bouches sunissent, chastement au début, puis ma langue force le passage de ses lèvres. Il se décide à me faire goûter la sienne ; comme Laurène, jenroule ma jambe très haut sur sa cuisse. Le proviseur assis derrière nous souffle comme un buf, il doit apercevoir mon string bleu clair
Le jeune homme hésite à passer sa main sous ma jupe, je frotte lascivement ma chatte sur la bosse énorme, ça y est ! Sa main caresse ma fesse avant de venir chercher la couture du sous-vêtement.
Il peine un peu, car contrairement à celui de ma fille, mon string prend juste. Après mavoir arraché deux ou trois poils, il atteint enfin l "objet" du délit : deux doigts sinfiltrent en moi, je me pâme, mais soudain, deux mains forcent le passage entre le prof et moi, des doigts nerveux dépattent les boutons de mon corsage
- Aaaaaaaaah
Depuis le temps que je rêvais de peloter ces beaux nichons
.
- Huuummm
Monsieur le Proviseur, que faites-vous ?!
- Je vais faire ce dont jai envie de faire depuis longtemps avec ta fille qui nous excite tous
Nest-ce pas Monsieur L. ?
- Cest sûr ! Quelle petite aguicheuse !
- Eh bien nous allons voir si sa mère est aussi allumeuse !
- Jurez-moi que ma fille ne sera pas inquiétée pour son écart de conduite, et quelle ne saura rien de ce qui va se passer ici !
- Tout est oublié voyons ! Laissez-moi baisser votre culotte, continuez à lui caresser
la moule, Monsieur L
Le corsage ouvert, le slip aux chevilles, je subis les attouchements des deux gars.
- Appuyez sur ses épaules, faites-lui avaler votre membre, ainsi, je vais pouvoir lenfiler facilement
Docile et consentante, je me plie en deux. La belle queue déjà sortie est à portée de ma bouche, je la saisie et me tapote les joues avec avant de la laisser entrer dans mon palais. Ma jupe est rabattue sur mes reins ; mes pieds sont à peine écartés que le proviseur cherche ma fente du bout de son gland mafflu. La bite nest pas longue mais très épaisse, je suis bien remplie par les deux bouts. Un court instant avant de trouver le bon rythme, et mes amants sen donnent à cur joie. Lun pousse des râles de bûcheron et claque mes fesses en bourrant ma chatte, et lautre savoure ma fellation en grognant et en palpant mes seins. En venant, je ne pensais faire quun peu dexhib, mais finalement, je ne suis pas déçue de la tournure des événements
- Oh putain, cest si bon que je vais décharger !
- Allez- y, je vais prendre votre place, jaurais limpression de baiser Laurène, elles ont le même cul rebondi
Juste le temps de tout lui balancer dans la gorge et je change de trou
Aaaaaaaaaaaah ouiii
- Huuuuuuuuum, oui
que cest bon ! Elle est très serrée
- Appuyez vous sur le bureau chère Madame
Huuum, vous avez mis le paquet, ça lui coule à lintérieur des cuisses
- Ne faites pas le difficile, à lheure quil est, vous pourriez être au chômage !
- Cest vrai
Merci, Madame F., pour votre sacrifice
Courbez-vous davantage, quand je vois votre entrejambes souillé, jai bien envie dessayer vos deux trous
- Faites comme vous voulez, mais faites-moi jouir !
Bien campée sur mes jambes, jattends quil me pénètre. Son membre entre facilement dans ma chatte restée entrebâillée, tandis que ses doigts assouplissent mon anus. Je sens le souffle du proviseur sur mes reins, ce vieux salaud se repaît de notre accouplement.
- Vous avez vu comme elle recrache du jus ?
- Cest sa mouille mélangé à votre foutre
- Cest vrai que javais les couilles pleines
Vous allez lenculer ?
- Oui
- Allez-y maintenant, je regarde
Je vais maintenir ses fesses écartées
Ce vieux porc tire sur mes lobes pour ouvrir mon anus, la queue quitte mon vagin qui se ressent du vide. Je nai pas le temps de me morfondre, le gland fait son passage entre mes reins, je nai pas refusé, car mon mari prend cette petite porte lorsque jai mes règles. Je me donne totalement au jeune homme ; de temps à autre, je serre mes sphincters, jagis comme ça quand je veux faire décharger plus vite mon mari, et ça marche, car à chaque pression, la queue du prof réagit en se cabrant.
- Ça coulisse aussi bien que dans sa chatte !
- Elle doit être habituée, sa technique va me faire exploser
Ouiiiiiiiii aaaaaaaaah
- Moi aussi je décharge
Tiens, je vais juter sur son cul ! Ooooooooooooh
!
Je suis restée courbée sur le bureau pour récupérer, tandis quils échangent leurs impressions.
- La mère est super bonne, est-ce que la fille est aussi branchée cul ?
- Je ne sais pas
Pour le savoir, il faudrait la convoquer
- Et faire une nouvelle reconstitution ?
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