Semaine &Quot;Vide-Couille&Quot; Au Cap
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
-- Nous rappelons que le port du préservatif protège de nombreuses MST --
Fin juin 2013, Michel nous annonce quavec Laure et Edouard, ils ont convenu dune semaine « vide-couilles », ce sont ses termes exacts, pour Marie et moi. Après sêtre assuré que nous sommes toujours partantes, il confirme pour la semaine du 14 juillet. Marie et moi sommes pressées dy être, et nous passons de longues soirées à faire lamour toutes les deux, en parlant de ce séjour.
Le week-end qui précède, nous sommes chez Greg le samedi soir et après une petite partie carrée, ils nous parlent de la semaine au Cap. Michel nous explique quils ont mis plusieurs mois à nous préparer une semaine sexe. Greg poursuit en disant quil na pas été facile de réunir suffisamment dhommes pour que nous soyons prises plusieurs fois par jour pendant une semaine. Laure a mobilisé tous ses réseaux, mais Greg aussi, et Michel continue :
- « Vous allez en chier les filles ! Vous allez être traitées comme des putes pendant sept jours. Vous serez à disposition de tous les hommes qui passerons chez Laure et Edouard, mais on vous amènera aussi vous faire sauter dans la nature, ou ailleurs
Je ne vais pas tout vous dire maintenant pour quil y ait aussi des surprises. »
Greg continue :
- « Par contre, Amélie, impossible de trouver assez de mecs pour te prendre sans capote tout le temps.
Mais les habitués de Laure auront deux soirées pour vous remplir. »
Bien sûr je comprends la difficulté quil peut y avoir et je laccepte. Michel reprend la parole :
- « Pour vos bagages, vous prenez juste des robes ou des jupes, ce que vous avez de plus sexy, inutile de prévoir de sous-vêtements. »
Marie et moi validons leur projet, plutôt excitées par ce qui nous attend. Nous espérons juste que nous serons à la hauteur pour réaliser tout ce quils ont prévu de nous faire subir.
Durant toute la semaine Michel nous laisse dormir toutes les deux sans nous prendre une seule fois, contrairement à ses habitudes, afin de nous laisser en manque. Le vendredi matin il nous annonce que nous partons en camping-car. Nous préparons nos bagages selon les instructions quils nous ont
données. Nous avons fait un peu de shopping durant la semaine pour compléter notre garde-robe, nous avons aussi fait le plein de gel lubrifiant. Je prends une vingtaine de robes et de jupes car je présume quil faudra se changer plusieurs fois par jour. Après déjeuner nous partons pour la semaine la plus folle de notre vie, du moins à ce jour.
Nous arrivons chez Laure et Edouard vers 18h00. Je suis étonnée quils ne soient que tous les deux à nous accueillir, moi qui mattendais à passer à la casserole dès notre arrivée. Laure nous emmène dans ce qui sera notre chambre durant le séjour, je reconnais de suite la pièce où jai été partouzée lors de ma venue avec Greg. Par contre, un deuxième lit a été rajouté dans la pièce qui paraît du coup plus petite.
Deux lits en 160 collés lun à lautre ça laisse assez de place pour samuser à plusieurs. Laure nous demande si nous sommes en forme, elle rajoute que ce soir nous dinons dans un restaurant en ville et quil faut nous préparer. Elle choisit elle-même ce que nous devrons porter. Pour ma part ce sera la jupe la plus courte que jai, bustier très fin et talons aiguilles. La tenue de Marie est similaire. Je me rends vite compte quen marchant la jupe dévoile le bas de mes fesses, et mes tétons durcis déforment le tissus du bustier. Comme il en est de même pour Marie, je me dis que le but est de nous exhiber, et javoue que ça ne me déplaît pas.
Nous dinons dans un restaurant près du port, puis nous partons à pied vers le quartier de Port Nature.
Marie et moi nous amusons de voir tous les hommes se retourner sur notre passage. Nous ne sommes dailleurs pas les seules à être très court vêtues.
- « Les filles, vous montez toutes les deux au premier étage, porte de droite en haut de lescalier et vous vous présentez comme les deux putes envoyées par Edouard et moi. Edouard montera vous rejoindre dans cinq minutes et vous ramènera quand vous aurez fini. »
Michel nous ouvre la porte de limmeuble, et bien que très surprises par la soudaineté des ordres nous rentrons seules dans le bâtiment. Nous nous arrêtons, hésitantes, sur le palier intermédiaire, mais un bref échange de nos impressions nous permet de réaliser que la situation est excitante et que de toute manière nous avons voulu ce séjour. Marie frappe à la porte de droite, un homme nous ouvre et elle dit :
« Bonjour Monsieur, nous sommes Amélie et Marie, les deux putes envoyées par Laure et Edouard ». Le gars éclate de rire et nous invite à rentrer en disant : « Les gars, nos putes sont arrivées ! » Il laisse la porte entrouverte et jentrevoie Edouard qui arrive sur le palier.
Rassurée par sa présence, nous nous laissons conduire vers le salon. Il y a une dizaine dhommes en train de boire du champagne, je remarque trois grands blacks, un maghrébin et les autres sont blancs. Je reconnais un des blacks qui était déjà présent chez Laure la dernière fois. Lhomme qui nous a ouvert dit : « Allez les pétasses, foutez-vous à poil quon voit le matos ! » Nous nous exécutons sans rien dire.
Edouard est installé sur un fauteuil près de la fenêtre et il filme la scène avec un petit caméscope. Les gars nous détaillent et commentent nos courbes sans nous toucher en nous demandant de prendre des poses obscènes pour présenter nos orifices. La situation est extrêmement honteuse, mais jaime cette honte qui mexcite terriblement. Le fait dêtre filmées par Edouard, surement pour que Michel et Greg puissent savoir ce qui sest passé, rajoute à mon excitation.
Un des blacks me saisit par les cheveux pour me faire agenouiller et il présente son sexe devant ma bouche : « Suces pouffiasse ! » Je mexécute pendant que des mains semparent de mes seins et de mes fesses.
Les gars se succèdent dans mon ventre et dans ma bouche. On me change de position à volonté et je subis, comme jaime, la volonté de tous les gars présents. Je suis copieusement sodomisée, puis prise en double. Jentends les commentaires salaces qui fusent de partout sans savoir sils sadressent à moi ou à Marie. Jai même droit à mon premier double vaginal qui me donne limpression que mon vagin va exploser. Plusieurs éjaculations dans ma bouche se succèdent, jai du mal à tout avaler, mais je sens des doigts ramasser ce qui coule à côté et venir se faire nettoyer par ma langue. Nos amants sont très violents en paroles, mais je suis manipulée avec beaucoup dattention de leur part, aucune violence physique.
La partie dure ainsi plusieurs heures avant que tous aient pris leur plaisir, jai pour ma part eu pas mal dorgasmes dont certains très forts. Quand tous les gars sont définitivement satisfaits nous buvons une coupe de champagne avec eux. Edouard à remballé son caméscope et nous discutons un peu tous ensembles en plaisantant. Un des gars nous propose de prendre une douche, puis après une dernière coupe nous repartons avec Edouard. Il est deux heures du matin lorsque nous arrivons, tout le monde est déjà couché. Marie et moi nous couchons à notre tour dans les bras lune de lautre et nous nous endormons très vite, satisfaites de notre début de séjour.
Le lendemain matin nous nous réveillons assez tôt car nous avons oublié de fermer les volets et le soleil tape au travers des carreaux. Nous traînons un peu au lit en nous caressant et en discutant de la partie de la veille.
- « Voilà nos petites putes, ça va les filles ?
- Super » réponds Marie.
Greg et Edouard arrivent à leur tour et nous déjeunons tous ensembles avant de piquer une tête dans la piscine. Vers midi, nous mangeons tous six, Marie et moi sommes toujours nues alors que tous sont habillés. A la fin du repas, Michel nous demande daller passer une robe, et de prévoir une serviette pour aller à la plage. Je lui fais remarquer que nous navons pas de maillot, et Greg me répond en riant :
- « Vous nen avez pas besoin, on va à la baie des cochons ! »
Marie mexplique quil sagit dune plage naturiste, et que ce nest sûrement pas pour se baigner quil nous emmène là-bas. Nous enfilons rapidement une robe de plage qui ne cache pas grand-chose de notre anatomie. Nous partons avec Greg et Michel en camping-car, Edouard et Laure nous suivent en voiture. Une fois arrivés sur le parking, nous nous déshabillons tous, vu que cest une zone naturiste, et direction la plage. Marie et moi nous installons sur nos serviettes, à la demande de Michel, il met en place des parasols pour que nous soyons à lombre. Greg nous ordonne :
- « Commencez à vous gouiner, ça va faire venir des voyeurs ! »
Marie commence à me caresser et à membrasser en se collant contre moi, Michel lui demande de se mettre au-dessus de moi tête bêche, et il nous demande de nous lécher. Marie écarte mes cuisses pour bien mouvrir et pose son sexe sur ma bouche. Nous en venons rapidement à gémir toutes les deux. A un moment jentrouvre les yeux et je vois pas mal de monde en cercle autour de nous, surtout des hommes dont certains se masturbent en nous regardant. Jentends Greg parler à certains sans comprendre ce quils se disent.
Au bout dun assez long moment, Marie jouit sur ma bouche en poussant un long râle, elle écrase son sexe sur ma bouche ouverte pour que jaspire la mouille abondante. Puis elle sallonge à côté de moi alors que je dois me masturber violemment pour jouir à mon tour. Elle se blottit contre moi en sexcusant davoir joui aussi vite. A peine elle me touche les seins que je crie de plaisir à mon tour. Nous restons ainsi, blotties dans les bras lune de lautre, jentends vaguement que certains voyeurs applaudissent, dautres lancent quelques termes salaces. Puis Jentends la voix de Michel qui dit :
- « Bon, messieurs, le spectacle est fini. Début de labattage à 18h00 à lendroit prévu pour ceux qui veulent. »
Je ne saisis pas ce quil veut dire sur le moment, mais Marie me glisse à loreille :
- « On va prendre cher je crois ».
Quand nous avons repris nos esprits, Laure nous sert un coca bien frais et sassois près de nous. Les trois garçons nous rejoignent à leur tour et se servent une bière dans la glacière amenée par Edouard. Nous restons un moment sur la plage, après nous être baignés une petite demi-heure. Vers 17h00, Laure dit quil est lheure dy aller et nous regagnons le parking. Nous nous habillons et Edouard dit à Michel de le suivre avec le camping-car. Nous roulons 30 à 40 minutes, jusquà prendre un chemin de terre qui senfonce dans les bois. Je suis étonnée de voir quil y a pas mal de voitures stationnées sur le bord de ce chemin. Jessaie dinterroger Marie, mais elle semble plongée dans ses pensées et ne pas mavoir entendu. Michel quitte le chemin et senfonce dans une petite clairière, puis sarrête. Avant de descendre du véhicule il nous lance :
- « Foutez-vous à poil et attendez que je vienne vous chercher ».
On sexécute et on attend un bon ¼ dheure, le coffre latéral du camping-car claque violemment. Je devine que les hommes sont en train de mettre en place lauvent léger sur le côté du véhicule. Comme les rideaux sont baissés, nous ne parvenons pas à voir ce qui se passe dehors, mais vu le brouhaha il doit y avoir pas mal de monde. Je vois Marie prendre un tube de lubrifiant dans son sac et préparer son entrejambe et son anus avec, puis elle me tend le tube en me conseillant de faire de même :
- « Prépares-toi maintenant, après je ne suis pas sûre quon ait le temps. On voulait du nombre et je crois que là on va être servies. »
À peine sa phrase terminée, la porte souvre, Greg et Michel nous prennent chacune par le bras et nous entraînent dehors. Nous nous retrouvons face à un nombre de gens dont je narrive pas à déterminer le nombre, une bonne cinquantaine au moins. Il y a une majorité dhommes, mais aussi des couples. Dès que nous sommes face à eux, jentends un brouhaha de satisfaction parcourir cette foule. Edouard crie en demandant le silence puis il se met à parler à destination des gens présents :
- « Messieurs, comme prévu nous allons mettre ces deux putains à votre disposition pour une séance dabattage, je vous donne les quelques règles de base pour que tout se passe bien. Elles ne sont pas là pour prendre du plaisir, mais pour en donner, donc pas de perte de temps en câlins. Vous pouvez les baiser et les enculer à volonté, mais capote de rigueur. Elles sucent à cru et en gorge profonde toutes les deux et elles adorent se gaver de foutre. Bien entendu tout doit se passer avec respect et courtoisie, pas de violence, et quand on dit stop, cest stop. En cas de problème quel quil soit on met un terme au jeu. Je vous souhaite bonne bourre ! »
Je suis verte de honte au fur et à mesure quil parle et je nose pas regarder autre chose que mes pieds. Jai le sentiment dêtre un vulgaire objet, et je subis la pire humiliation de ma vie. Malgré ça je sens mon entrecuisse shumidifier. Le discours dEdouard est salué par une salve dapplaudissement, et nous voilà traînées vers lautre côté du camping-car.
Sous lauvent, il y a deux grands matelas épais posés à même le sol sur lesquels nous sommes poussées sans ménagement. Un cercle se forme immédiatement autour de moi et je suis mise à quatre pattes par deux gars, et plusieurs sexes cognent de sur mes lèvres pour que je les suce. Je sens des mains me toucher de partout, mouvrir fermement. J'ai la bouche pleine, un sexe dans chaque main que je masturbe et un gars se place derrière moi pour me sodomiser dentrée. Il y a tellement de monde autour de moi que je ne vois même pas Marie, mais jimagine quelle est dans la même situation que moi. Jentends des bribes de phrases, parfois des ordres :
- « suce pouffiasse ! Elle est bonne ! Son cul est un boulevard
. »
Les gars se succèdent sans répit dans tous mes orifices, parfois je suis prise en double. Quelques-uns éjaculent sur mon corps, dans ma gorge, je sens aussi des capotes quon vide sur mon corps. Parfois jentends la vois de Greg ou de Michel qui semblent réguler le « trafic ». Plusieurs fois jai des orgasmes,
jentends parfois Marie crier sans la voir.
À un moment je dois crier pour dire que jai besoin daller aux toilettes. Greg fait reculer tout le monde, et me tend mes espadrilles. Comme je veux rentrer dans le camping-car, il me dit :
- « Non les putes ça pisse dehors devant tout le monde. »
Et il mentraîne à quelques mètres puis me fait accroupir face à tout le monde. La situation est si humiliante quil me faut au moins cinq minutes avant dy arriver. Puis je suis ramenée sur le matelas et le balai reprend de plus belle. Au bout dun certain temps, les rapports deviennent douloureux et Greg, toujours vigilant annonce la fin du jeu. Il demande à tous ceux qui sont en train de se masturber au-dessus de moi de marroser copieusement. Marie sallonge à mes côtés et nous nous retrouvons sur le dos avec un cercle dhommes en train de se masturber au-dessus de nos corps épuisés. Les giclées se suivent et nous recouvrent, certains saccroupissent pour nous jouir dans la bouche. Je distingue deux ou trois femmes dans le groupe qui nous regardent. Puis au fur et à mesure quils se sont vidés, les gars sen vont et le cercle diminue jusquà ce quil ny ait plus personne. Nous restons un long moment allongées, couverte de sperme qui nous coule partout.
Laure sapproche de nous et nous demande si ça va, suivi de nos trois hommes. Tous nous félicitent et nous remercient du spectacle que nous avons donné. Michel nous propose de prendre une douche dans le camping-car pendant quils rangent lauvent. Ils doivent me porter car je narrive pas tenir debout sur mes jambes. Après une courte douche, je mallonge sur le lit à larrière, et alors que je commence à sommeiller, épuisée, Marie se blottit contre moi, son corps nu contre le mien. Jentrevois Michel poser une couette sur nous et en moins de deux minutes nous dormons profondément.
Lorsque je me réveille le lendemain matin, nous sommes toujours dans le camping-car et Marie dors encore. Je remonte légèrement le rideau et je vois quil fait déjà soleil. Les volets de la maison sont encore fermés, ils nont pas du oser nous réveiller en rentrant. Je referme le rideau et je me blottis contre Marie en la caressant. Elle se réveille doucement et se serre un peu plus contre moi tout en souvrant à mes caresses. Nous nous embrassons tendrement et nous nous masturbons mutuellement tout en douceur. Marie jouit la première sous mes doigts, puis me fait crier à mon tour. Nous parlons longuement de la soirée de la veille, elle a aimé tout comme moi. Aucune de nous deux ne sait combien dhommes lont prise. Pour ma part jai mal à lanus, et Marie mapplique délicatement la crème apaisante quelle a dans son sac à main. Puis je lui fais de même et nous finissons par nous rendormir.
Il est près de dix heures quand nous rejoignons les autres pour le petit déjeuner au bord de la piscine.
Tous sont aux petits soins pour nous, et sempressent de demander dans quel état nous sommes. Je les sens rassurés de savoir que nous sommes en pleine forme, ravies de la soirée de la veille et surtout bien décidée à poursuivre laventure. Nous restons ainsi toute la journée à bronzer et à profiter de la piscine. Seuls Greg et Michel partent une petite heure faire quelques courses. Pour le soir ils nous annoncent une soirée restaurant, suivie dun plan sexe surprise, mais moins intense que la veille afin de nous laisser un peu récupérer.
En début de soirée, Michel nous demande de nous préparer et de nous habiller en tenue sexy bien sûr. Puis nous partons pour le restaurant dans un village proche dAgde. Je suis un peu surprise car il sagit dun restaurant routier vu le nombre de camions garés sur le parking. En rentrant dans la salle je vois que tous les hommes présents se retournent sur notre passage, surtout Marie et moi qui sommes détaillées de la tête aux pieds. A peine installés à table, on nous sert le premier lentrée. Le reste du repas se passe très vite, pas le choix, on mange ce quon nous sert.
Au moment où nous finissons le café, Edouard se lève et va saluer deux maghrébins quil semble connaître à une table voisine. Ils sont grands, plutôt costauds, une quarantaine dannées et on voit bien à leur dégaine que ce sont des routiers. En revenant à la table, Edouard glisse un mot à loreille de Michel et se rassoit. Puis les deux gars viennent à notre table, et lun deux dit :
- « Cest combien pour tirer un de vos deux putes ? »
Il dit ça en désignant Marie et moi ! Je sens comme un haut le cur me serrer le ventre. Michel répond :
- « Bah des putes comme elles cest un euro pour une heure.
- Ok, mon pote et moi on prend les deux alors » puis il pose une pièce de 2 euros sur la table.
Michel lui dit :
- « Affaire conclue, elles sont à vous pour 1 heure. »
Celui qui a payé me saisit par le bras, et lautre saisit Marie et ils nous entraînent dehors. Je le suis sans rien dire mais je ne suis pas rassurée. Il ouvre la porte de son camion et me fait monter dans la cabine en me pelotant les fesses quand je suis sur le marchepied. Je vois Marie dans le camion garé face à face du mien, elle subit la même chose. Puis il me fait monter dans la cabine, et me pousse directement derrière le rideau, sur ce qui doit être son lit. Je passe sur les détails car ce ne sera pas pour moi un souvenir impérissable. Le gars me baise et me sodomise pendant une heure qui me parait une éternité. Il est brutal, me fait mal plusieurs fois. Je prends sur moi, je pousse quelques gémissements de complaisance pendant quil me pistonne. Quand il a terminé son affaire il me demande de vider sa capote dans ma bouche, je le fais mais je suis à la limite de lécurement. Quand il me jette littéralement de son camion je suis soulagée.
Jentends Marie qui crie de plaisir dans le camion den face et jen suis un peu jalouse. Je rejoins les autres qui attendent à quelques mètres de là autour de la voiture. Nous devons attendre une bonne demi-heure avant que Marie nous rejoigne. Une fois rentrés, elle et moi discutons de lexpérience, elle a adoré. Son amant a été également un peu brutal avec elle, mais je sais quelle ça, un peu plus que moi en tout cas. Il nous reste, du coup, suffisamment dénergie pour faire longuement lamour toutes les deux.
Nous aimerions bien que Greg et Michel viennent nous rejoindre, mais ils sont accaparés par Laure qui profite deux cette semaine. Nous nous endormons en nous demandant ce que nos hommes ont prévus pour nous le lendemain.
Les deux jours qui suivent sont plutôt banals, nous sommes offertes une fois dans un sex-shop à quatre hommes qui se révèlent peu imaginatifs et le lendemain nous sommes baisées dans une boîte échangiste.
Mais nous avons affaire surtout à des couples dont les femmes regardent leurs maris nous prendre. Certes la soirée nous offre quelques amants corrects, mais rien dexceptionnel.
Laure nous annonce que les quatre jours qui restent se passeront à la villa. Ses amis black à qui javais eu à faire lors de mon précédent séjour venaient passer quelques jours pour soccuper de nous à temps plein. Certains passeront plusieurs jours sur place, dautres passeront ponctuellement
Elle nous prévient que nous passerons ces quatre jours à disposition de ses amis.
Le lendemain matin, il est à peine 8h00 quand nous nous levons, il y a un peu de vent dehors et il fait plus frais que la veille. Je décide donc denfiler une robe, Marie se contente dun grand paréo quelle noue au-dessus de sa poitrine. Seul Edouard est déjà debout et a préparé le petit déjeuner. Vers 9h00 Greg, Michel et Laure nous rejoignent au moment où les deux premiers invités arrivent. Ils prennent un café avec nous et je me retrouve assise sur les genoux de lun deux. Ses mains caressent déjà mes cuisses nues, il membrasse et me dis quil a envie de me prendre. Je pars vers la chambre en le tirent par la main. Le second nous suit avec Marie, et ils nous demandent de commencer à nous « gouiner » devant eux.
Marie se colle à moi et nous nous caressons pendant quils se masturbent devant nous, en nous caressant de temps en temps. Marie se met en position de 69 au-dessus de moi, chacune de nous se met à gémir en titillant le clitoris de lautre du bout de la langue. Un des deux garçons me caresse les seins en frottant son sexe contre la chatte de Marie, puis il la pénètre dun coup. Il me demande de continuer à la lécher pendant quil la baise doucement. Le second prend sa bouche en me glissant deux doigts dans la chatte. Puis il lève mes jambes à léquerre, se couche en travers du lit et prend, Marie enfouit sa tête entre mes jambes et commence à me titiller le clitoris avec sa langue. Celui qui la baise décide de changer dentrée et la sodomise dun coup, alors que je continue à la masturber avec ma langue. Nous jouissons presque en même temps tous les deux. Je suis encore en plein orgasme quand le gars sort de son cul et senfonce dans ma gorge pour y lâcher sa semence Je parviens à tout avaler, et pendant quil me fait nettoyer son sexe, le second jouit dans mon ventre à son tour. Les deux garçons se rhabillent et nous laissent allongées côte à côte en train de reprendre notre souffle. Nous nous regardons en riant, la journée commence bien !
Vers 11h00, quatre garçons de plus arrivent, je les reconnais de suite comme étant de ceux qui mont déjà prise. Jen parle avec Laure, qui me dit que tous ceux qui seront là durant ces quelques jours mont déjà prise lors de ma dernière visite. Plus quatre ou cinq que je ne connais pas. Elle mexplique avoir dû faire une sélection dans tous les hommes quelle connaît pour ne retenir que ceux qui pourraient nous baiser sans préservatif, comme demandé par Michel et Greg. Nous discutons tous ensembles en buvant lapéritif, et japprends que les quatre qui viennent darriver sont de Carcassonne. Ils seraient très intéressés davoir nos coordonnées sur Toulouse où ils viennent souvent. Nous échangeons nos numéros de téléphone. Lun deux mentraîne derrière le local de la piscine pour que je le suce, ce que je fais avec délectation. Marie et moi sommes là pour satisfaire ces messieurs et nous sommes sollicitées très souvent, une grande partie de la journée et de la soirée nous la passons au lit. Certains arrivent, dautres ne font que passer, mais ils reviendront le lendemain ou le surlendemain. Pour ma part, je finis la journée vers minuit, remplie de sperme et épuisée. Après une bonne douche, je me couche et je mendors très vite, alors que Marie est encore en train de crier de plaisir avec son partenaire dans le lit dà côté.
Le lendemain matin, je suis réveillée par deux nouveaux arrivants qui souhaitent que je moccupe deux rapidement. Ils mont apporté le petit déjeuner au lit, et jai encore un croissant à la main pendant que je suis prise en levrette. Les orgasmes senchaînent jusquà 13h00 et je finis par arriver à me lever pour manger. Marie est aussi en train de se faire prendre sur le bord de la piscine. Jai à peine le temps de manger que je retourne au lit.
Tout le reste de la semaine se passe ainsi et je ne vois que la piscine, le coin repas, mon lit et ma salle deau. Je suis en main la plupart de la journée. Nous repartons le dimanche midi, épuisées mais comblées. Pendant plusieurs jours, ni Marie ni moi nenvisageons de faire lamour avec Michel
Nous avons surtout besoin de récupérer, seules toutes les deux. Le reste de lété se passe sans rien dextraordinaire, boulot, baise avec Michel ou Greg et bien sûr plaisirs sans cesse renouvelés avec Marie.
Je descends juste un fois en Août à Carcassonne retrouver les quatre garçons rencontrés chez Laure. Je passe un merveilleux week-end au lit avec les quatre. Bien évidemment ces quatre-là deviennent pour moi des amants réguliers. Ils sont blacks comme jaime, ils me font jouir comme une folle et ils me prennent sans capote. Je peux donc madonner à ce que jaime, me faire remplir de sperme.
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