Je Retrouve La Maman Marocaine De Mon Pote
Les années sétaient écoulées depuis cette fameuse journée du mois de juin. Javais muri, baisé un paquet de meufs, et mes tendances à lépoque encore balbutiantes à la domination et le sexe hard avaient totalement pris le dessus sur moi. Javais soif de nouvelles expériences, de trio, de plan dans les caves, chez les couples. Je me souviens de Angelo, un Italien qui vivait à Pantin avec sa femme, mappelait régulièrement pour venir la déglinguer dans sa chambre à coucher pendant quil écoutait à la porte. Et quand on avait terminé, que jouvrai la porte, il me remerciait et fonçait vers elle pour coucher avec après mon passage. Bizarre. En même temps depuis jen ai vu tellement que jai fini par trouver ça presque normal. Javais beau multiplier les conquêtes, souvent dun soir, je gardais toujours le contact avec ceux qui avaient peuplé mon enfance, la rendant plus joyeuse. Notamment Mounir, mon fréro dOujda qui continuait ses allers retours réguliers derrière les barreaux. « Quand on goûte à largent facile on ne peut plus bosser pour un salaire de misère » mavait il dit un soir posés sur les quais de Seine. Si je le voyais toujours régulièrement je dois avouer que cétait moins le cas de sa famille. Son père était constamment au bled, son petit frère et une de ses petites surs sétaient mariés. Sa maman, Malika, restait dans leur appartement du 95 avec la plus jeune. Je lavais recroisée à quelques reprises depuis notre moment dégarement, et malheureusement, ça navait plus jamais été comme avant. Cette deuxième maman qui mavait toujours traité comme un fils navait semble-t-il pas encaissé (sans mauvais jeu de mots) notre partie de jambes en lair spontanée. Pour le mariage religieux de son plus jeune fils, qui avait eu lieu chez eux, elle mavait à peine regardé, et hormis un Salam et un au revoir, aucun mot navait percé ses jolies lèvres à mon égard. Jimagine, que comme moi, elle devait repenser à ce moment chaque fois quon se recroisait.
Le printemps fleurissait les quelques arbres qui résistaient tant bien que mal aux vagues de béton. Les investisseurs aux dents longues cherchaient le moindre m2 constructible pour faire pousser leurs résidences dernier cri. Je descendais chercher du pain, croisant quelques anciens refaisant le monde autour dun café en terrasse. Je les saluais et prétextais une urgence pour ne pas masseoir à leur côté. Si jacceptais, jen avais pour la journée, et franchement je nen avais pas vraiment envie. Alors que je quittais la boulangerie ma baguette sous le bras, profitant des premiers rayons de soleil salvateur après un hiver douloureux, mon téléphone se mis à sonner. « Hola Frérot ! ». Cétait Mounir. Sa voix enjouée et très speed, ne laissait pas de place au doute, il allait me demander un service. « Jai besoin que tu fasses un truc pour moi ». Bingo ! On se connait tellement bien. En à peine cinq minutes, il mexpliqua que je devais le conduire à Genève, son permis encore suspendu, il ne pouvait pas faire le trajet. « Je viens avec la caisse jeudi, on bombarde dans la journée, tu dors là-bas et on repart le lendemain, ça te va frérot ? ». « Pas de souci ». Pour être honnête ça en posait un paquet de soucis. Jétais attendu au taf jeudi et vendredi, je me demandais ce que transporterait la voiture et pourquoi il devait aller là-bas aussi promptement. Mais je gardais mes questions pour moi. Quand un ami a besoin, y a pas à réfléchir.
Deux jours après, nous nous retrouvions sur la route à bord dun petit bolide. Une audi A3 flambant neuve quil avait loué pour loccasion. Je ne suis pas un grand amateur de voiture pour être honnête mais conduire cette voiture, la sensation dès que jappuyais un peu sur la pédale daccélérateur, cétait quelque chose.
Sur le retour, je réfléchissais beaucoup, roulant moins vite mais pas tant que ça, je naurais pas une audi tous les jours entre les mains, alors jen profitais. Dans ma tête tout se heurtait, Mounir, que faisait-il là-bas, est-ce que je transportais quelque chose ? « Arrête de penser à ça, tu vas stresser pour rien ». Très vite cest Malika qui prit toute mon attention. Je ne lavais pas revu depuis plus dun an, et on ne peut pas dire que jen avais gardé un grand souvenir. Alors certes nous nétions pas seuls, mais sa froideur à mon égard laissait peu de place au doute. Malgré lévidence mon esprit pervers reprenait le dessus, je la revoyais à genoux suçant ma queue comme une chienne, hum
« Et si je lui cassais son gros cul ? ».
Parti de bon matin, jarrivais en fin daprès-midi sans aucune difficulté rencontrée sur le parcours. Hormis un arrêt pour mettre de lessence et avaler deux sandwichs triangle au thon, rien à signaler. Une fois garé dans le parking, je pris lascenseur. Javais les clés de la maison, mais je fis dabord résonner la sonnette pour ne pas mintroduire chez Malika de cette façon. Je ne savais même pas si elle avait été prévenue. Rien. Je sonnais une seconde fois. Toujours rien. Je fis entrer la clé dans la serrure, pour pénétrer dans lappartement. « Tata ? », « Tata ??! ». Aucune réponse. Jétais seul. Dommage me dis je lespace dun instant avant de reprendre mes esprits. Dans la chambre de Mounir je mis les clés derrière la TV comme prévu tentant de trouver un endroit discret. Après être allé me soulager aux toilettes, je me dis que vu que jétais solo, je pourrais prendre une douche rapide avant de repartir. Après la route, et avant de me taper les transports, ça ferait du bien. Je pénétrais dans la salle de bain, pour me jeter sous leau chaude réparatrice. En sortant, je pris la première serviette qui me passait sous la main quand jentendis le cliquetis de la serrure. Javais laissé mes Stan Smith à lentré ce qui ment lui mis la puce à loreille. « Y a quelquun ? » criait-elle avec un soupçon dinquiétude dans la voix. « Oui tata cest moi ! » dis je le plus fort possible pour quelle mentende. Je neu aucune réponse. Jaccélérai le mouvement. En quelques minutes jétais séché et rhabillé. A peine sortie de la salle de bain, je la trouvais de dos dans le salon en train de mettre des gâteaux et du jus sur la table. Ses formes avaient pris encore plus de volume, son cul, si large, roulait de gauche à droite à chaque fois que ses pieds changeaient de position.
« Viens là, jen peux plus je vais te baiser ». Je la fis sasseoir sur le canapé, joua quelques secondes avec ma queue sur son vagin trempée avant de faire entrer ma queue, « Aaaaaahhhhh » lâcha-t-elle. Cette fois hors de question de prendre mon temps, les coups de boutoirs tombèrent dès le départ. Ses bourrelets au niveau du ventre valdinguaient dans tous les sens, jétais en train de la déglinguer. « Elle ta manqué ma grosse bite avoue ? ». « Ah ! Ah ! Ahh ! ». « Dis-le quelle ta manqué ma grosse queue !! ». « Oh oui !!! Elle est trop bonne ta bite, continue, je suis ta chienne !! ». « Bien sur que tes ma chienne, tes ma grosse pute !!!! ». Je continuais de faire pleuvoir la foudre, la tournant sur le côté pour pouvoir profiter de la vue sur son gros cul qui se balançait. Je le claquais si fort quil devint rouge en quelques minutes. Elle hurlait à chaque coup de bite que je lui assénais avant davoir un premier orgasme, « Ah euh, ouiiiiii, aaaaahhhhhhh ». Je sentis sa chatte se crisper sur ma queue, avant que tout son corps se laisse tomber sur le canapé. Elle haletait, peinant à retrouver son souffle. Depuis notre dernière fois, elle navait pas dû faire beaucoup de parties de jambes en lair, ça se sentait. Etendue sur le canapé, nue, je la trouvais tellement excitante. Et je navais pas joui, hors de question de la laisser sen tirer à si bon compte. Après quelques minutes de repos, je me mis à lui manger la chatte pour la réveiller. Ma langue sur son clitoris eu raison de sa fatigue et elle reprit ses bruits qui allaient du rauque à laigüe. Je dévorais sa chatte toujours aussi bien épilée. Je me délectais de son jus. Je mis deux doigts dans sa chatte avant de les ressortir plein de sa mouille pour les approcher de son anus. Avec mon index je tournoyais sur son petit trou avant dy faire entrer ma première phalange. Elle gémit mais ne protesta pas. Je continuais de la lécher tout en faisant entrer mon doigt un peu plus profondément dans son cul. Je le faisais tournoyer pour détendre ce petit trou qui navait surement jamais été visité. Je le ressortais de temps en temps pour lhumidifier avant de le remettre dans son anus. Il se détendait mais pas assez vite à mon goût, alors je descendis dun étage pour y glisser la langue. Jécartais son gros cul à deux mains pour y faire entrer ma langue. Elle sentait bon et je me délectais de son petit trou. Dabord je faisais tourner ma langue puis je lintroduis. Au début elle ne dit rien mais très vite elle sembla prendre goût à cette pratique, « Huuuum, oh oui, encore, aaahhhhh ». Je crachais dessus tout en y insérant un puis deux doigts. Je sentis quelle se crispait. « Détends-toi, laisse-moi faire, je vais te faire jouir par le cul ». « Mais je nai jamais fait ça et
». « Ferme là et laisse-moi faire » répondis je sèchement alors que je continuais mon traitement. Elle me semblait prête alors je la mis en cuillère, sur le côté, pour y aller doucement. La meilleure méthode pour commencer. Je mis mon gland contre son petit trou avant de pousser. Elle mordillait sa lèvre inférieure au moment où mon gland disparu derrière son illet brun. Je mis dabord la moitié de ma queue avant de la faire ressortir et de refaire la procédure plusieurs fois pour quelle shabitue à la taille de lengin et à cette nouvelle sensation. « Aie
hum
.ça fait mal, doucement ». Je ne voulais pas la déchirer complètement. Après quelques minutes, les gémissement reprirent le dessus, « hummmm, comme ça cest bon, oui continue.. ». « Taimes ça tu vois ? Je tavais dit que jallais te faire kiffer par le cul ! Tu veux que jarrête ? ». « Non, arrête pas, continue ! » me dit elle comme réveillée par cette pratique nouvelle. Encouragé je commençais à lui défoncer son cul de plus en plus vite, de plus en plus fort. Son anus était totalement dilaté et mon chibre allait et venait très facilement. Mais ça ne me suffisait pas, je voulais la démolir. Je la fis se mettre à 4 pattes par terre avant denfoncer ma queue dans son cul, « arrrgghhhhh » lâcha-t-elle. Je commençais à la défoncer jusquaux couilles, claquant son gros cul flasque qui balançait dans tous les sens, « taimes ça que je te casse le cul grosse pute hein ??!!! ». « Oh oui, encore !!!! Défonce-moi le cul !!!! ». Je continuais comme un animal, jétais déchainé. A intervalles plus ou moins réguliers je lui mettais une grande gifle dans la gueule. Un moment je lui mis la tête sur le sol avant de mettre mon pied sur sa gueule tout en continuant à lui défoncer le cul, jétais en transe et elle aussi. Elle hurlait, et son trou du cul se serrait de plus en plus sur ma queue jusquà ce que sa chatte se mette à gicler sur le sol du salon. Elle tremblait de partout, à moitié inanimée sur le sol. Il fallait que je gicle. Je lui fis tourner la tête, encore allongée par terre, « je vais tout te cracher dans la gueule, ouvre ta bouche ». Ce quelle fit et je déchargeais une quantité folle de foutre qui vint dans sa bouche mais aussi recouvrir son visage. Je mis ma queue encore dure dans sa bouche pour quelle la nettoie. A ma grande surprise, malgré la fatigue évidente, elle laspira et la nettoya comme si cétait une friandise. En me relevant, je me rendis compte que du sperme avait coulé sur mon pied situé à côté de sa tête. Je le pointai du doigt, « nettoie sale chienne ! ». Elle regarda et sans un mot commença à lécher le sperme encore chaud sur mon pied. Voyant le plaisir quelle semblait prendre, je me mis à genoux et récupéra avec mes doigts le sperme sur son visage pour lui faire lécher. Elle passait sa langue sur mes doigts, ne laissant aucune goutte.
Après être repassé par la case douche, Malika était déjà rhabillée comme si de rien était. Avant de partir je lui dis quon devrait remettre ça plus souvent mais elle ne répondit rien, me remerciant simplement dêtre passé tout en me raccompagnant à la porte. Dans le rer du retour, je repensais à notre folle après-midi, me rendant compte que je ne lavais pas ménagé. « Putain tas enculé la mère de ton pote ! ». Jaurais sûrement dû être gêné, mais pour être honnête, je neu aucun regret.
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