Le Combat
Pour faire simple, je suis sortie trois semaines avec un homme, un véritable Apollon! Il était musclé et beau comme un Dieu, attentionné et bienveillant avec moi. Je l'ai sincèrement aimé je crois, même si je me doutais que ça ne durerait pas. Une fille moche comme moi avec quelqu'un comme lui... Malgré ses mots tendres, je n'arrivais pas à me débarrasser de mon scepticisme... J'avais raison... Au bout de ces fameuses semaines, je l'ai aperçu tripotant et embrassant à pleine bouche une fille au physique de mannequin parfait. Elle était en TD avec moi. Une fille sympa mais qui, apparemment, allumait mon copain depuis un bon moment. Je n'ai pas lutté. Je n'avais pas les armes nécessaires. Elle était le genre de filles qui ondulent des fesses en mini-bikini à la plage tandis que moi j'étais plutôt de celles qui n'enlèvent leurs vêtements que pour plonger dans l'eau et les remettent le plus vite possible pour ne pas exposer le "truc" qui leur sert de corps. C'est pourquoi, comme je le disais plus tôt, je n'ai pas lutté. J'ai pris mes affaires qui restaient chez lui et me suis tirée. Malheureusement, j'étais obligée de le croiser à la fac et c'est comme ça qu'il réussit à m'amadouer. J'étais stupide, amoureuse et malheureuse alors je n'ai pas résisté très longtemps. Je me suis remise avec lui.
Cependant, un jour, quelqu'un frappa à ma porte. J'ouvris, m'attendant, par habitude, à trouver un livreur avec un paquet à remettre à mon voisin ou quelque chose comme ça. J'hallucinai lorsque je découvris la fille que mon copain avait tripoté l'autre jour.
"Salope!! Je vais te démonter!!! Sale pute!" hurla-t-elle avant de se jeter sur moi comme une furie
Trop choquée pour réagir, je reçus une claque ainsi que ses ongles pointus plantés dans mon avant-bras droit. Ses ongles me sortirent immédiatement de mon immobilisme. J'attrapai aussitôt ses deux bras mais reçus un coup de pied. Sentant l'énervement monter en moi, j'usai de quelques techniques de self-défense et plaquai cette folle furieuse au sol.
"Salope! Fille de pute! Lâche-moi que je te détruise!! Je vais te les faire bouffer tes gros nichons connasse"
Là, elle commença sérieusement à me taper sur les nerfs! Je m'assis sur son ventre (85kg ça l'empêcherait de se relever cette crevette!!) et maintins ses épaules au sol.
"Ca ça qu'il te fait? C'est ça qui te fait jouir salope?"
Disant cela, elle m'empoigna les seins et me les malaxa! Evidemment, je n'avais pas de soutien-gorge vu que je n'avais pas l'intention de sortir de chez moi... Ah elle voulait jouer à ça!! Je plaquai un baiser sur sa bouche et commençai à jouer avec son sein gauche. Son jeu de mains accéléra. Elle commença à jouer avec mes tétons qui durcissaient (contre ma volonté!). Je passai ma main sous son tee-shirt et dégrafai son soutien-gorge. Elle se débattit.. à tort! C'est grâce à ça que je réussis car son dos se souleva plusieurs fois. Furieuse elle fit descendre sa main vers mon pantalon de sport et la fit entrer. Un tressaillement involontaire me parcourut.
Enervée, je malaxai à mon tour son sein gauche puis puis jouai avec son téton qui, à ma grande surprise, était dur avant même que je l'asticote. Sentant le moment propice je le pinçai. Je sentis un frisson parcourir son corps. Sa main glissa sur mon entrejambe. Stressée, je m'allongeai sur elle. Mauvaise idée... Sa main fut effectivement coincée mais ses doigts avaient à présent libre accès à mon sexe. Tendue, je fis la première chose qui me vint à l'esprit. J'attrapai sa tête dans mes mains. Elle se débattit mais je l'immobilisai. Mes yeux accrochèrent son regard. Je crus sentir qu'elle se débattait un peu moins violemment. Je déposai un baiser le plus tendrement possible sur ses lèvres. Je sentis ses mâchoires se relâcher un peu. Aussitôt, ma langue pénétra plus profondément. Ses doigts se glissèrent dans mes cheveux. Stressée, je me préparai à sentir la douleur...
Oh surprise, sa langue jusque là immobile vint jouer avec la mienne et... j'aimais ça.
"Oui! Oui!! Encore!"
Je sentis mon sexe dégouliner d'excitation. J'attrapai mon sein droit et le malaxai.
"Oui! M... oui!"
Ca y est! Je sentis son orgasme se libérer et, brûlante d'envie, je léchai son sexe et le liquide. Je me redressai ensuite et vint frotter mon sexe contre le sien. Mon petit bout rencontra le sien. Aussitôt ma partenaire enroula ses bras autour de mon cou et m'embrassa langoureusement puis m'allongea sur le dos.
La suite me livra l'orgasme le plus magique que j'ai connu. A la fin, nous nous endormîmes, sa tête contre mon ventre moelleux, ma main gauche sur sa joue avec mon pouce la caressant et ma main droite sous son bras. Au petit matin, elle s'habilla puis s'en alla, sans un mot. Depuis, nous ne nous parlons pas. Nous n'osons même plus nous regarder.
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