Soirée Surprise, Poursuite Des Dilatations Et Jouissance Extrême

Nous entamons la semaine suivante en comptant les jours qui nous séparent de son départ pour l’étranger ( quelle salope). Je me suis dit aussi que j’allais essayer de rester sage jusque là et qu’après j’allais me rattr. Nous devions partir toutes les 3 à Lyon dès le lendemain matin. Je m’étais ennuyée tout le we. Karine avait sa tête des mauvais jours et Sophie avait des séquelles de son vendredi après midi. ( je vous en reparlerai).
Malgré tout je pensais dire que le déplacement durerait jusqu’au vendredi pour avoir du plaisir le jeudi soir en rentrant en me tenir comme une petite sainte le we.
Nous avons travaillé tard le lundi et sommes partis à la fraiche le mardi matin.
En arrivant nous n’avons pas une minute pour lever le nez.
Le soir venu, Karine me dit en aparté « je pourrais venir parler avec toi après le repas sans te déranger », moi « bien sur ». Sophie était vraiment fatiguée je lui lançais « ton vendredi après midi, il a l’air d’avoir été intensif, tu as trouvée le bon cheval on dirait » Sophie était gênée, elle me répondit « oui oui ».
Nous remontons, allons dans nos chambres respectives, Karine me téléphone pour venir me parler.
Arrivées à la gare de Lyon à Paris, nous nous disons à demain, Karine me dit en me faisant la bise « bonne soirée » je lui réponds par un large sourire.
Didier m’attend comme prévu, je l’embrasse comme une chatte en chaleur, il me dit « c’est un très bon bisous , j’adore , tu as envie » je lui réponds « oui j’ai envie que tu me fasses jouir »
Il me tend un plug assez large en me disant « met le » Moi « ça ne peux pas attendre d’arriver » Didier « non, retire ta culotte et met le de suite »Nous sortons de la gare, je me dandine sur le siège pour retirer ma culotte en remontant ma jupe, je lèche le plug et m’assois dessus. Il entre d’un coup en me faisant un peu mal, mais en activant mes sens. Didier ne perd pas un instant, il me met la main entre les jambes et me caresse.

L’effet simultané du plug qui bouge dans mon cul et de ses caresses me déclenche un orgasme violent et intense. Je lui dis « arrête arrête je vais encore jouir »
En arrivant dans le parking, Il voulait me baiser dans l’escalier de secours, je lui dis « non attend chez toi ce sera mieux contre le mur »
En arrivant, il me plaque contre le mur, comme j’adore, et me prend directement et me pilonne sans ménagement. Je jouis sans discontinuer, je l’embrasse à pleine bouche pour mes cris tellement c’est bon. Je me retrouve à 4 pattes sur le fauteuil dans l’entrée et il recommence. Je tends mon cul comme une chienne pour qu’il entre au fond de moi. Didier à juste la bonne longueur pour aller au fond de moi dans cette position sans me défoncer. Il finit par jouir, je sens le sperme qui coule en moi, c’est très bon.
Nos prenons un douche, nous ne sommes que tous les deux, je suis plus que ravie. Il vient me rejoindre dans sa chambre, avec une robe, normale, vue la longueur rien d’affriolant, un soutien gorge balconnets sans bretelles, il en raffole, un porte jarretelle, des bas et une paires de bottes à talons aiguilles, assorties avec la robe. Il me dit « tu mettras tout ça ce soir » et ressort. Je m’habille et une fois prête, je me regarde dans le miroir, je suis sexy classe, comme il aime. La robe est fendue derrière et l’on peut voir le haut de mes bas lorsque je bouge les jambes. Les bottes sont en cuir retourné bleues marine et montent jusqu’aux genoux. Lorsque je le rejoins la table est mise, nous dinerons aux chandelles. Je me dis quel romantisme. Didier étant nul en cuisine, tout vient du traiteur. Le diner est arrosé par du champagne de grande marque. Nous dinons, nous rions, il est très attentionné envers moi. Je mouille comme une folle, je n’ai qu’une envie, c’est de le sentir au fond de moi. Lorsque le dessert arrive, il me tend un cadeau « c’est pour toi » moi « pourquoi, nous fêtons quoi » Didier « nous fêtons notre diner, toi et moi » je me dis « qu’est ce qui lui arrive » j ‘ouvre le paquet, c’est un carré en soie de couleur vives.
Il me dit « j’ai flashé dessus et j’ai pensé que les couleurs t’iraient à ravir » Je ne savais pas quoi lui dire, je fondais devant lui, je n’en revenais pas. Moi « merci beaucoup mon chéri, il est très beau, tu me gattes ». Il prit le carré pour le rouler et en faire un bandeau. Il se leva et passa derrière moi, pour me le mettre sur les yeux en me disant « maintenant tu te laisses faire tu poses tes main sur la table, c’est moi qui vais te donner à manger». Que me prépare-t-il. Je me disais que le cadeau n’était pas anodin. Il commença par me donner un morceau de gateau, ensuite il me massa les épaules et descendit la fermeture éclair de ma robe, je mouillais de plus belle. Il me passa sa main dans le dos, jusqu’à la naissance des fesses qui transpiraient d’envie, puis la remonta pour me dégrafer mon soutien gorge. Il passa ses main devant moi en me caressant les seins, qui étaient plus que durs et me le retirer en douceur. Ma respiration s’accélérait sérieusement. J’étais à deux doigts de la rupture, tellement j’avais envie de jouir. Il remonta la fermeture éclair et me redonna un autre cuillère de gateau accompagnée d’une gorgé de champagne.Il m’embrassa dans la cou, me mordit les oreilles, ses mains me parcouraient le corps à travers la robe, qu’il me remonta pour me caresser l’intérieur des cuisses que j’essayais d’ouvrir au maximum. Il me dit « lève toi un peu » Cela lui permit de la remonter, elle était à mi cuisses. Je sentis qu’il me présentait sa bite à sucer. Il n’eut pas besoin de me dire quoi que ce soit, je l’engloutis comme une affamé. J’avais envie de l’avoir dans mes reins. Je la suçais pendant environ 5 bonnes minutes. Ensuite il me la retira et me redonna à manger. Moi « Didier j’ai envie de toi prend moi » Didier « attends un peu, il faut que tu ais vraiment envie » Moi « je n’en peux plus » Didier venant me parler à l’oreille doucement « tu fais ce que je te dis, tu es à moi, tu obéis sans rien dire» Il recommença plusieurs fois, à me présenter sa bite, donner à manger.
D’un coup il me prit par le bras en me disant « lève toi ma chérie » Je me retrouvais debout, il tournait autour de moi. Ses mains me caressaient, toujours à travers ma robe, le ventre les fesses, les seins. J’avais des bouffées de chaleur. Il vint devant moi, me colla à lui et m’embrassa fougueusement. Je fondais littéralement. J’étais à sa merci. Ses mains me relevèrent ma robe, si bien que je me retrouvais les fesses à l’air, ses doigts me fouillèrent légèrement, je tendais mon cul, pour qu’ils entrent en moi le plus possible. Je sentais le désire monter graduellement. J’essayais de le masturber mais il me retira mes mains pour me les mettre autour de son cou. Il se recula et passa derrière moi, je croyais qu’il allait me prendre debout. Je tendais mon cul comme une chienne en lui disant « oui prend moi fort » Didier « chut » en venant m’embrasser les fesses en me les écartant. Je dégoulinais. Ses doigts s’introduisirent dans man vagin et mes fesses. J’haletais « humm humm ouuuiii »Il vient me dire à l’oreille doucement « met toi à genoux en écartant les jambes» Il me prit par le bras pour me guider afin de ne pas tomber. Il avait même prévu des coussins pour que je m’appuie dessus. Une fois à genoux au sol, Il était placé derrière moi et me fit descendre, jusqu’au moment ou je sentis un objet. Je m’arrêtais immédiatement. Moi « qu’est ce que c’est » Didier « chut, ça va te faire du bien ». Il guida l’objet à l’entrée de mon vagin et m’appuya sur les hanches pour que je m’empale à fond dessus, il était de bon diamètre. Il arriva au fond de moi, alors que je n’étais pas totalement accroupie. Moi « ahhhh » Didier « c’est bon ma chérie » Moi « je préférerais que ce soit toi » Didier « attends un peu après » Il se replaça devant moi avec son sexe au niveau de ma bouche. Je l’engloutis. Il me tenait la tête fermement en me l’enfonçant le plus possible. Didier « monte et descend sur le gode » C’était un gode vibrant. Il me faisait coulisser dessus tout en en le mettant en marche, tout en l’engloutissant comme une affamée.
Je ne pu me contrôler longtemps et j’éclatais d’un orgasme qui venait du plus profond de moi. Il me tenais le tête et me disant « éclate toi ma chérie, c’est bon » J’eue 4 ou 5 orgasmes de suite, tellement j’avais envie. Ensuite il me dit « met toi à 4 pattes » en passant derrière moi. Il me poussa sur le dos, le gode se décolla du sol et il commença à m’introduire sa langue dans mon cul , tout en faisait coulisser celui dans mon vagin qui vibrait. J’ai encore joui. Moi « prend moi Didier prend moi, j’ai envie de ta bite en moi » Didier « chut » Je sentis un objet se présenter à l’entrée de mon cul et s’enfoncer, c’était un deuxième gode. Il repassa devant moi et m’introduit sa bite dans la bouche. Les deux godes se mirent route en même temps. J’avais la tête coincée, il se penchait pour bien me l’introduire au fond. Je jouissais de plus belle. Il se retira de ma bouche et se plaça derrière moi. Il me retira celui que j’avais dans le cul. je n’attendais que ça qu’il me prenne. Dès qu’il posa ses mains sur mes hanches, c’était le bonheur, j’allais enfin rejouir sur son sexe. Il s’introduisit fermement dans mon cul et j’ai joui plus que rapidement « ouuuiii, Didier vas y défonce moi encooooree » Didier « chut ma chérie » Il me pilonna un bon moment avant de se vider en moi. Je sentais le sperme couler dans mon cul et cela m’a refaite jouir. J’étais KO. Il m’aida à me relever, j’avais la tête qui tournait, je faillis perdre l’équilibre. Il me retira le carré de sur les yeux. Le temps de reprendre la vue. Je ne pu m’empêcher de m’assoir sur le bord du canapé et de l’engloutir complètement, malgré le fait qu’il venait de me sodomiser. Je lui nettoyais pour de nouveau l’avoir en moi. Didier « tu es gourmande ma chérie ». Moi le regardant droit dans les yeux, je hochais la tête pour lui dire oui. Il en profitait pour me descendre la fermeture éclair de ma robe qui tomba sur mes hanches. J’étais les fesses à l’air en bottes et porte jarretelles, assise en train de le sucer comme une fille de mauvaise vie. J’en voulais encore. Il me relava, la robe tombant à terre. Didier « reste comme ça » Il me pris dans ses bras et m’embrassa longuement. J’étais debout, nue, avec mes bottes ; nous sommes allés nous coucher. Il me mit à 4 pattes sur le bord du lit et me pénétra vaginallement ? J’avais orgasme sur orgasme. De qui m’excitait le plus était d’être sur le dos les jambes en l’air avec les bottes et les bas.
Il s’occupe de moi en me léchant les fesses je n’arrête pas de jouir. D’un coup il se lève et se dirige vers le couloir. Il revient 2 minutes après avec un objet. Je le regarde très surprise. Moi « qu’est ce que c’est » Didier « c’est un écarteur à molette » Moi « qu’est ce que tu fais avec ce truc » Didier « c’est pour te dilater et te faire jouir ». Moi « mais ça ne va pas, tu n’es pas bien ». Didier « c’est pour ton bien ma chérie, tu vas avoir beaucoup de plaisir » Moi « mais tu vas me déchirer avec » Didier mais non en venant contre moi et en commençant à m’embrasser. Didier « met toi sur le dos et écarte les jambes » Je m’exécute avec un peu d’appréhension. L’objet est en contact avec mes lèvres, il est froid. Moi « il est froid » Didier « il y en a pour 5 minutes »et il l’enfonce en moi. Une fois entré complètement. Didier commença à tourner la molette, je sentais mes parois vaginales s’écarter. Je dis plusieurs fois à Didier « arrête je suis suffisamment ouverte » Didier « ma chérie tu verrais c’est très beau, je peux voir ton clitoris, il est très beau bien rose » Arrête, fait moi jouir plutôt » Il commença à me masturber le clitoris, l’excitation montait en moi, je la sentais profonde, mon clitoris n’ayant jamais été autant accessible, il s’en donnait à cœur joie. J’eu un orgasme profond, chaque fois qu’un de ses doigt le frôlaient, cela m’électrisait. Il me fit jouir plusieurs fois de cette façon, je me tordais dans tous les sens tellement le plaisir était intense. J’étais dans un état second. Il me donna aussi quelques coups de langue. Ensuite il s’allongea à coté de moi en m’embrassant dans le dos pour arriver dans mon cou et ensuite ma bouche. Je l’ouvrais au plus grande. Il me poussa sur le coté, je sentis son sexe sur mon petit trou, il poussa et me sodomisa. Il s’introduisait en moi doucement. Une fois bien installé, il débuta les vas et vient tout en me caressant le clitoris et l’intérieur de mon vagin. J’avais orgasme sur orgasme. Je n’arrêtais pas de jouir aussi bien annalement qu’avec le clitoris. J‘étais dans un coma de jouissance prononcée. Je ne contrôlais plus mon corps, j’étais à sa merci. Il me faisait jouir comme il voulait, je m’abandonnais. Je criais tellement qu’il me mettait sa main devant ma bouche ou m’embrassait pour amortir le bruit. J’en étais vidée ; il jouit en moi, son sperme m’envahissait ce qui accentua mon plaisir. Je croyais en avoir terminé, car j’avais eu tellement du plaisir que j’en avais mal au ventre. Il desserra l’écarteur et commença à m’introduire sa main. Moi « non Didier arrête, tu vas me déchirer » Didier « mais non ma chérie je vais te fister et te faire jouir » Il poussa et sa main à ma grande surprise entra assez facilement. Il la bougeait tout en me mangeant mon clitoris qui était plus que sensible. Une nouvelle série continue d’orgasmes incontrôlés arriva je criais fortement, Didier « chut ma chérie tu vas réveiller tout l’immeuble » J’essayais de trouver un oreiller pour me le mettre sur la figure. J’ai tellement joui que j’en avais faim. Lorsqu’il retira sa main de mon vagin, je sursautais et sentis un vide en moi. Il m’a déshabillée , je me suis blotti dans ses bras complètement vidée et endormie aussitôt, je ne l’ai même pas senti revenir de la douche. Au réveil, j’avais un sentiment de légèreté. J’étais bien totalement zen. Le salaud m’avait fait jouir au delà de mes espérances. Je n’avais jamais eu autant de plaisir. Pendant le petit déjeuné, j’aborde le sujet de ma liberté complète dans 3 semaines
« Bruno part pour normalement 2 ou 3 mois pour son travail fin mars, si tu veux, je serais plus disponible, je pourrais être à toi » erreur de lui avouer mon envie. Il me répond « oui c’est une idée à développer, tu pourrais venir avec moi en déplacement, je te ferai passer pour ma collaboratrice, surtout que je dois aller dans le midi »
Nous n’avions pas beaucoup dormi, je m’étais fait visiter par tous les trous. Une bonne nuit en tête à tête, je suis sur un nuage.
Didier m’emmène au travail, je lui dis « dépose moi avant pour que personne me voit descendre de ta voiture pour éviter les polémiques» en ajoutant « c’est bon de se retrouver que tous les deux ». Il me répond « oui c’était très bon, ma chérie », on recommencera bisous bon we».
Moi je suis fatiguée mais heureuse. Bruno m’appelle dans la journée, chose qu’il ne fait jamais, lorsque l’on ma dit que c’était lui, j’ai pensé en bonne salope, il doit avancer son départ ;mais non il me dit « Bonjour, ma puce, mon départ est décalé d’une semaine au moins et je partirai moins longtemps que prévu, c’est super non ». J’en ai eu les bras qui me sont tombés. « J’essayais de lui rendre son enthousiasme, en lui disant « tu aurais pu m’appeler sur mon portable, c’est bien tant mieux » assez sèchement. Bruno « je t’ai appelé plusieurs fois, mais sans succès, je voulais t’annoncer la bonne nouvelle, a ce soir ma puce ». En raccrochant j’avais le moral au plus bas. Je pensais, j’allais faire comme Sophie, comme cette semaine nous serons absente que le mardi soir, je prendrais, mon vendredi après midi pour aller voir Didier. J’en profitais pour le rappeler, afin de me redonner le moral, mais il était sur messagerie. Bruno était tellement content qu’il m’a rappelé « je viens te chercher ce soir et nous dinerons dehors ».
Bruno était très satisfait, il m’a fait l’amour deux fois dans le we, j’ai simulé le plaisir.
Le lundi à peine arrivé au bureau je téléphone à Didier, il est encore sur messagerie. Il me rappelle dans la matinée en me disant « bonjour ma chérie, tu as passé un bon we, j’espère que tu vas bien »
Moi « Bonjour, un we exécrable, tu es libre quand cette semaine » j’avais envie de me faire sauter le plus vite possible. Didier « je t‘ai dit que cette semaine était chargée, je suis submergé »
Moi « demain tu ne serais pas sur Paris, nous pourrions déjeuner ensemble »
Didier « demain oui mais rapidement à la brasserie où on va d’habitude»
Moi « non celle un peu plus loin, la brasserie xxx, j’ai envie que l’on soit tranquille, je viendrais avec Karine » Didier « ok demain 12h30 »Je sors de mon bureau et dit à Karine discrètement « Didier nous invite à déjeuner toutes les deux demain pendant que Sophie ira à la gym » Karine « C’est gentil merci » Le mardi matin nous arrivons avec nos sacs de voyage car nous partons toutes les 3 en fin d’après midi.
Karine et moi laissons partir Sophie à la gym et nous allons rejoindre Didier qui cherche à se garer.
Nous nous installons à table. Il commande 3 coupes de champagne. Karine le remercie « Didier réponds « c’est un vrai bonheur de déjeuner avec 2 très jolies femmes » Karine rougit et baisse la tête comme d’habitude. Et de rajouter « si la semaine pouvait se passer comme ce déjeuner »
Moi « pourquoi tu es surbooker » Didier « oui et en plus des rendez vous pas faciles ».
Le repas se déroule très bien, il est très plaisant Karine rit et se détend. Nous sortons, Didier nous a inviter, Karine le remercie, je l’embrasse et lui disant « je te revois quand » Didier « téléphone-moi en fin de semaine » et il s’en va.

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