Séminaire (2)
Le lendemain, je suis réveillé par le soleil qui emplie la chambre. Le corps encore tout collant de sueur, je pars pour prendre un bain en attendant larrivée des collègues prévue dans deux heures seulement. Je fais couler mon bain et me prélasse dedans. Jen profite pour me remémorer la nuit passée
Après mon bain, je me prépare. Je me rase de près, enfile ma chemise blanche, mon costard, ma cravate et descend petit déjeuner. En arrivant dans la salle de repas, japerçois au fond mon amant de la nuit dernière qui me fait un clin dil lubrique. Je le lui retourne et petit déjeune rapidement.
Mes collègues arrivent enfin. La réceptionniste leur attribue leurs chambres respectives mais il semble quil ny ait plus de place pour le stagiaire qui a été recruté pour le séminaire à la dernière minute. Courtois et pas mal attiré par le jeune stagiaire de 19 ans, je mempresse de lui proposer de dormir dans ma chambre étant donné que jai un grand lit. Il accepte et nous montons dans nos appartements. Il sappelle Dylan, il a 19 ans, légèrement plus petit que moi, la peau bronzée, une musculature plus quévidente grâce à ses vêtements qui semblent trop petits comparé à sa carrure. Nous discutons brièvement et le jeune a lair très sympa. Mais ce qui mintéresse le plus chez lui, cest lincroyable bosse à son entrejambe. Elle ne semble pas bandée mais incroyablement conséquente. Mais le devoir nous appelle et nous partons en réunion.
La réunion sachève après deux bonnes heures et nous bénéficions ensuite de quartier libre jusquau lendemain. Nous en profitons pour découvrir les activités de lhôtel. Lhôtel offre une piscine, une salle de sport, des terrains de tennis, un spa, un bar, un minigolf et une salle de cinéma. Nayant pas envie de menfermer en ce premier jour, je décide de me rendre à la piscine. Et qui dit piscine dit ment vestiaires, maillots de bain moulants et torses nus. Autant dire le paradis pour moi. Je me rends donc à la piscine où je croise des collègues ainsi que mon compagnon de chambre.
Nous sommes cinq dans le vestiaire. Deux hommes quinquagénaires que je connais peu, un collègue dà peu près mon âge et Dylan. Je me change sans aucune pudeur dans le vestiaire commun, les autres en font de même sauf Dylan qui rentre dans une cabine privée par pudeur surement. Passage aux douches, je mintéresse peu aux hommes mûrs et les laisse se doucher. En revanche, mon collègue et Dylan arrivent. Mon collègue est plutôt bien foutu lui aussi, ancien rugbyman amateur, il est petit et très carré, des puissants pectoraux, des bras épais comme mes cuisses et un cul bien rond tels deux ballons bien fermes. Je regarde son maillot et ne voit pas de quoi être surpris. Il doit être monté dans la moyenne. A ses côtés, Dylan, tel un mannequin, avance la serviette autour de la taille. Décidément quelle pudeur ce gamin ! Il est cependant obligé de lenlever pour se doucher. Pour mon plus grand plaisir, je nai pas rêvé quant à lampleur de son serpent tout à lheure. La bosse est toujours aussi imposante voire même plus dans son maillot de bain qui lui moule parfaitement son cul rebondi. Nous nous baignons une petite heure puis Dylan va se mettre un peu sur les transats pour bronzer. Mon collègue et moi décidons daller nous rhabiller. Dans les douches, je remarque que mon camarade me mate discrètement. Je tente de lexciter en prenant ma douche de manière plus sexy, en mettant ma main dans mon maillot pour me nettoyer. Il finit de se doucher tout en continuant de me mater puis retourne au vestiaire. Cette fois ci, il prend une cabine privée. Au bout de quelques secondes, il mappelle pour me faire voir quelque chose : « Robin ? Vient voir jai comme un truc qui me gratte dans le dos tu peux regarder ce que cest ? » Je pénètre dans la cabine ou mon collègue est dos à moi, nu. Je referme la porte, mate son superbe cul et il me demande de regarder pour son dos. Je regarde attentivement mais ne vois rien. Il se retourne, me plaque contre la paroi de la cabine, verrouille la porte et membrasse langoureusement.
Son baisé est divin. Je ne sais pas combien de temps il a duré mais jaurais voulu quil ne prenne jamais fin. Leau ruisselait de nos cheveux encore mouillés sur nos visages soudés. Il me glissa à loreille « jen peux plus ça fait deux ans que jai envie de te prendre, alors fais-moi plaisir sil te plait ! » Je ne me fais pas prier et le plaque à son tour contre le mur, descend le long de son torse, mordille ses tétons et entame une pipe sur sa queue qui comme je lavais deviné était plutôt commune quoi que assez épaisse. Elle atteint environ 17cm et je la suce longuement. Lorsque que je sens quil commence à venir, je ralentis le rythme et accélère par la suite. Une fois assez bandé, il crache dans sa main et me tartine la rondelle. Il y glisse directement deux dois ce qui marrache un petit cri de surprise et de douleur. Je mouvre très vite et enfile une capote sur la queue de mon rugbyman préféré. Il matt alors dans ses bras musclés, en me portant tel un bébé, les bras autour de son cou. Je lui mordille loreille et sens son gland se positionner devant mon entrée. Il pousse un peu et le voilà dans mes entrailles. La position est telle que je menfonce dun seul coup sur son pieu jusquà la garde. Il me soulève tel un kilo de plumes et me lime le cul en membrassant tendrement. Pendant quinze minutes, il garde la même cadence tout en me portant. Je me sens venir et après un coup de rein violent, éjacule contre nos torses serrés et humides. Il ne tarde pas non plus à venir. Il me soulève et me repose pour se dégager. Alors quil retire la capote, je lèche mon sperme sur son torse et lui fais gouter à travers ma langue. Il me fait mettre à genoux et se branle frénétiquement. Il gémit de plus en plus fort, jespère que personne ne nous entend
Il gicle enfin trois épais filets de sperme dans ma bouche. Javale le tout, roule une grosse pelle à mon amant et part me changer, la rondelle bien ouverte.
Je remonte ensuite dans ma chambre, Dylan est sous la douche
(À suivre)
admin
Jan. 31, 2023
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