Vers La Fin
Nous sommes vers la fin. Quoi attendre à 90 ans : Nous égrainons nos souvenirs, surtout moi qui était vierge :
Je venais davoir 18 ans, quand je lai vu pour la première fois. Il avait quelques petits boutons sur le visage. Au bal des conscrits, il minvitait à danser. Ma mère surveillait ce que nous pouvions faire. Malgré cette présence habituelle pour les filles de mon âge je suis sorti un petit moment avec Luc. Il me plaisait énormément. Je rêvais de faire des sottises avec lui, pas avec dautre, seulement lui. Je savais parfaitement ce que je voulais : passer un long moment dans ses bras, couchée, me laissant aller vers ce quil voulait.
Et puis il est parti de longs mois, là bas en Afrique, pays d'animaux sauvages, pleins de lions et éléphants Bien sur je dansais avec dautre, je ne rêvais pas avec eux. Il est revenu, me détrompant sur les lions et autre animaux sauvages. La Tunisie est presque comme le France. Il massurait quil navait pas fait comme des copains à chercher lamour dans des bordels : seule sa main et ma pensée lui servait. Comme pour moi en somme.
Javais besoin de son sexe dans le mien. Je le voulais lui pas un autre. Quand je lai présenté à mes parents, ils avaient lair satisfait. Nous pouvions sortir souvent à deux, seuls sans chaperon. Un soir assis sur le mur en bas du village, il ma serré tellement fort que jai cru . Jattendais cet instant depuis toujours. Jai quand même sursauté de sentir sa main sur ma culotte. Je me suis laissé faire quand il a passé des doigts dessous.
Il caressait doucement, il me faisait du bien, je me laissais faire. Jai eu lidée de toucher sa queue. Elle était dure sous le pantalon. Je la lui ai sortie avec difficulté. Je touchais ma première bite. Ce devait être ma seule de ma vie. Elle me semblait trop grosse, trop longue, trop épaisse. Cest pourtant avec elle que jai souvent jouit par la suite.
Je me suis donné à lui pour plusieurs raisons : dabord il me plaisait, javais envie de lui et pas dun autre, je voulais savoir ce que ça faisait.
Oh ma fait mal en entrant, bien mal. Je supportais assez bien. Chaque fois quil le pouvait il me baisait. Un soir, comme ça, cest venu, je métais décoincée, je jouissais. Je ne dis pas que je jouissais à chaque fois, mais très souvent. Je prenais goût au sexe.
Le soir de la nuit de noce, il a voulu innover. Je lui ai donné mes fesses. Il me léchait lanus plusieurs fois, me donnant des ravissements inconnus. Il insistait pour me la mettre dans le cul. Jaurais pu refuser. Je sentais le bout de sa queue sur mon petit trou. Je ne sais même pas comment jai fait : mon anus sest ouvert seul : il entrait en moi. Javais à peine mal. Mais, je sentais un plaisir différent. Quand il me donnait son jus dans le ventre, je jouissais aussi. Nous avons recommencé souvent. Des fois cest moi qui le lui demandais.
Il allait parfois au bistro pour boire un apéritif avec des copains. Il en revenait des fois avec des idées baroques. Comme une fois celle où il voulait que je me mette un légume dans le con.
Pour lui faire plaisir, un midi quand elle était attablée, jouvrais la réserve à légume, je sortais une courgette de la taille de son machin. Je me mettais juste à coté de lui, la robe relevée, la culotte au pied. Je me frottais le berlingot. Je le voyais bander, sans que je le touche. Je me suis baisée avec le légume devant lui : ce fut un des plus violents orgasmes de ma vie. Je sentais bien mes lèvres se serrer contre ce que javais dans le vagin. Jaurais admis autre chose par derrière à la fois. Il a du le comprendre quand il ma doigté le cul. Il sortait sa queue : il se branlait devant moi. Son jet allait bien haut et loin, presque sur moi.
Il ne se doutait pas que jaimerais ces façons. Je le fais souvent, surtout quand il nest pas là. Je vais sur la véranda, je massois sur le banc, jouvre les jambes. Je me caresse un peu pour méchauffer. Quand je mouille convenablement jenfile la courgette et même une fois une aubergine. Je me souviens que jétais défoncée par laubergine.
Quand elle est entrée jai eu un sursaut de plaisir : elle entrait dun seul coup fond. Tout mon con état plein de ce légume qui me donnait plusieurs orgasmes consécutifs.
Le jour où je me suis branlée devant lui avec laubergine, il a voulu menculer aussi. Je ne voulais pas, il insistait. Il a gagné. Javais mal quand il me sodomisai ainsi pour la première fois. Et puis jai ressentit un plaisir inconnu, une plaisir immonde. Enfin je jouissais par come dhabitude.
Il comprenait que dorénavant je ne me ferais remplir quainsi. Cest rare quand il me baise normalement. Les derniers temps, il menculait avec le légume : mon cul aimait. Jaimais le sucer, il me doigtait le con. Je devenais pourrie. Nous pensons que si nous allions dans une partouze je serais la première à participer aux débats avec plaisir...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!