Ma Machine
Mes besoins dépassent ses possibilités. Un jour il a fait venir une de ses connaissances : un type de mon âge, brun, grand, musclé.
Tiens je te loffre pour baiser à la maison.
Et toi, alors ?
Je regarderais comment il te la met et où.
Je peux choisir ?
Oui, bien sur.
Il pourra me baiser, menculer, me sucer, je pourrais avaler son sperme ?
Tout ce que tu veux.
Plusieurs fois par jour ?
Sil le peut.
Jai un mari extraordinaire. Il sait que jaime baiser, il moffre une bite rien que pour moi.
Des fois je peux les avoir ensemble. Je me régale dêtre enculée et baisée. Si un autre homme était là, je sais que je le sucerais pour avoir son sperme dans la bouche.
Mais, avec le temps, juse aussi mon amant.
Mon mari est plus quaimant. Il ma acheté une machine à baiser. Je lai mise au salon cachée derrière un paravent pour ne pas indisposer mes amies. Cest un engin formidable. Je peux changer facilement les godes, je peux régler la hauteur pour pouvoir me baiser ou menculer.
Elle est composée dun moteur électrique silencieux, dun bras télescopique qui va et vient selon mes désirs. Je mallonge devant sur une espèce de coussin.
Quand jai besoin de jouir, au lieu de me branler bêtement avec ma main ou un gode, je me couche nue devant la machine. Je règle la hauteur, jy mets le gode voulu (fin, moyen, gros, très gros même) Je prends sur mon ventre la manette de réglage des vitesses.
Jaime quand mon mari regarde ce que je me fais : il bande et se masturbe presque toujours, ajoutant ainsi son plaisir au mien.
Je minstalle, je pose le gode sur le clitoris, la machine commence à me faire du bien. Je la laisse faire son uvre jusqu'au premier orgasme. Jattends la fin de la jouissance pour mettre le gode à lentrée du vagin. La machine est réglée sur la vitesse la plus lente. Je suis baisée mieux que dans la réalité.
Je sens bien lengin me baiser, aller et venir en moi. Je ne change pas dendroit. Jaccélère la vitesse, mon plaisir sen ressent. Mes cris pourraient alerter un immeuble entier ; Nous habitons isolés. Après deux ou trois jouissances, je change de lieu. Je nai que peu de chose à faire pour menculer, pour moi mettre le plus gros gode qui défonce bien. Je fais comme pour le vagin. Sauf que je peux me caresser le minou et le bouton. Parfois je suis en levrette. Je reçois le gode dans le cul avec amour. Souvent mon mari vient me donner sa queue. Jaime son gout de fauve, son gland doux et sa colonne épaisse. Il me remplir bien la bouche. Je le lèche longtemps, doucement. Jadore passer ma langue juste sous le gland. Et quand je le sens venir, jouvre la bouche en grand : il gicle dedans. Jaime son gout à peine salé, et surtout la perception de son jet en moi.
Une fois jai voulu quil essaie de se faire mettre par la machine : il était à ma place, la bite bien bandée. Pour que tout soit parfait, cest moi qui ai mis la machine en route, qui ai mis le gode voulu et lai posé juste sur son anus. Javais bien huilé le passage, il ne risquait rien. Jai mis la machine en route : le gode entrait doucement dans le cul. Jai accéléré lengin, comme pour moi ; Jétais surprise de voir son sperme délever bine haut pour retomber sur sa poitrine.
Un après midi linévitable se produit ; jai déjà écrit que javais des amies. Donc mes amies viennent à la maison. La curiosité pousse lune delles à regarder. Il faut que jexplique en détail les possibilités de mon engin. La plus sensuelle de mes copines tient à lessayer.
Elle est nue devant les autres. Elle enjambe le siège, les jambes ouvertes prête à se donner à lengin. Il a fallu que je mette en route ma machine, que jinstalle le gode, que je le lui mette en place. Les deux autres filles regardaient curieuse de la suite prévisible.
Javais réglé le rhéostat au maximum : nous voyons ses seins tressauter au rythme effréné de lengin. Elle jouissait vite, plusieurs fois.
Elle était crevée en se levant. Nous y sommes toutes passées. Le plus drôle était que nous nous masturbions en regardant lautre se faire mettre devant ou derrière ; une de nous se faisait enculer seulement selon son gout. La visite devenait intéressée pour certaines qui ne venait là que pour se faire mettre, ce qui finalement ne me dérangeais pas du tout, au contraire.
Le plus morale de la situation est que jamais nous ne nous sommes conduites en lesbiennes. A tord sans doute.
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