Une Fiancée Très Volage
Bonsoir à tous,
Je me présente, Fabien. Jeune homme de 22 ans en couple une femme absolument magnifique de 21 ans.
Le récit que vous vous apprêtez à lire n'est pas fictif mais absolument réel.
Très douloureuse pour moi au départ, mais finalement très excitante, cette aventure que je vais vous retranscrire concerne tout simplement ma petite amie.
Elle se nomme Mélodie. D'origine congolaise et âgée de 21 ans, c'est une femme extrêmement belle, ayant eu un passé dans le monde de lesthétisme, de la beauté et de la mode. Très fines, avec des courbes sensuelles et des jambes d'une longueur interminable. Nous sommes fiancés, très amoureux et projetons de fonder une famille ensemble mais j'ai découvert que cette magnifique femme qui me fait tant rêver chaque jour et qui m'a prouvé de manière irrévocable son amour n'est en fin de compte pas si fidèle qu'elle ne le prétends. C'est lorsque je suis venu la chercher à son nouveau travail que j'ai commencé à me poser des questions. Ce jour là, ne sachant pas que je venais, elle se faisait raccompagner par l'un de ses collègues. C'était la première fois que je la voyais marcher, aux côtés d'un autre puis monter dans sa voiture. Habillée comme à son habitude bien sûr :une mini jupe vraiment très courte, des talons très hauts, un haut très serré et assez transparent pour que l'on puisse apercevoir sa poitrine sans que cela ne fasse vulgaire, sans sous-vêtements (comme pratiquement toujours), elle montait dans la voiture de ce mec qui bavait devant elle. Ce jour là, elle se contenta simplement de rentrer chez nous, mais cette vision m'avait heurté. En fait je n'étais pas habitué à ça. J'étais plutôt habitué à avoir des femmes folles amoureuses qui ne voyaient que moi et qui ne voyaient pas les autres hommes. Mais là ce que je voyais, c'était une femme belle, sexy, indépendante, qui savait qu'on la désirait et qui aimait ça. Le soir arriva et j'étais particulièrement frustré.
Elle pleurait car elle s'en voulait... Elle m'avoua désirer physiquement un autre homme, l'un de ses collègues de travail. Ses larmes m'attristèrent et sa sincérité m'empêchait de lui en vouloir.
Je lui laissa donc l'opportunité de parler, de se confier à moi, de se lâcher. Je lui faisais comprendre que c'était humain, que c'était normal et qu'elle n'avait pas à s'en faire. Elle m'avoua qu'elle s'imaginait, lorsqu'elle le regardait, qu'il la prenait sauvagement, comme une chienne. Elle me confia même qu'elle était persuadée qu'il pensait à la même chose lorsqu'il la fixait. Mais gênée de se comporter ainsi alors qu'on s'est promis fidélités, elle voulu alors démissionner.
Naturellement, je la dissuada de faire ça ! C'était impensable, tout simplement.
Les jours passèrent après notre discussion, notre relation s'améliorait mais malgré tout, je devenais toujours plus anxieux, jaloux et possessif, malgré qu'elle m'avait dit qu'elle ne me tromperait pas. Un beau jour je me pointais alors devant son taf pour lui faire une petite surprise et l'emmener au restaurant. Elle, elle n'était pas au courant et alors que j'attendais, sur le parking, qu'elle sorte pour lui faire sa surprise, je reçu un message de sa part :
"Bébé, je rentre avec une copine, je vais passer la soirée chez maman puis après on se retrouve à la maison."
Quelque peu déçu, je m'apprêtais à partir quand je la vis sortir. Elle était vêtue d'un espèce de legging/collant noir/transparent qui était assez discret mais qui, lorsqu'on observait bien, permettait d'entrevoir le bas de son corps en entier... En haut, elle portait un haut très décolleté et une légère veste en cuir. Magnifique, extrêmement sexy comme d'habitude. Sauf que là, je la voyais marcher aux côtés d'un homme avec lequel elle avait l'air très proche.
Un grand black, musclé, ayant l'air sûr de lui et visiblement pas romantique avec les femmes, plutôt macho même. Elle marchait à côté de lui puis monta dans sa voiture. Je décidais de les suivre.
Ils roulèrent jusqu'à arriver en bas de chez sa mère. Là la voiture se gara puis plus rien. Je pris soin de faire le tour pour me garer devant de sorte à pouvoir observer et je vois le mec seul dans la voiture, Mélodie qui a disparu ! Au bout de quelques temps je vois le mec faire des mouvements étranges, il semble pousser des cris de plaisir, et là j'ai de suite compris. Je remarque peu à peu la tête de celle que j'aime, penchée au niveau de l'entre-jambe de cet homme, en train de faire des vas-et-viens. Elle s'appliqua à lui faire plaisir, et lui avait l'air d'aimer ça.
J'étais fou de rage mais à la fois tétanisé et surpris. Elle qui ne m'avait fait ce plaisir qu'une fois depuis le début de notre relation, qui me disait avoir horreur de ça... Elle le faisait aussi facilement et avec tant d'application à un autre qu'elle connaissait depuis 2 semaines ! Au bout d'une quinzaine de minutes, je vis le mec poser sa main sur le haut du crâne de ma belle, comme pour lui appuyer la tête et lui enfoncer sa queue au fond de la gorge. Une poignée de minutes plus tard, il se mit àse tortiller comme un malade puis se stoppa. Je compris qu'il se vida, dans sa bouche.
Elle se releva, s'essuya, s'apprêta, puis elle sortit de la voiture, direction l'appartement de sa mère. Le mec repartait heureux, soulagé et vidé. Moi pour ma part, énervé, attristé et frustré, je rentrais chez nous, attendant son appel pour venir la chercher et la ramener à la maison.
Les semaines passèrent sans que le sujet soit abordé. A dire vrai, elle ne voulait pas me le dire, de peur de me perdre et moi je ne voulais pas qu'elle sache que je l'ai suivi. On vivait normalement et peu à peu je reprenais confiance et assurance.
Après cet échec, je décidais de prendre les choses en main, j'avais besoin de faire naître du désir en elle. Non pas qu'elle en manquait, mais je voulais vraiment qu'elle se sente à l'aise, épanouie et qu'elle puisse profiter d'une complicité inébranlable avec son homme. Je me suis donc décidé à parler de ses fantasmes qu'elle avait avec d'autres hommes et en particulier avec ce collègue qu'elle ne se doutait pas que je savais qu'il était son amant. Dans la discussion, pour rire, elle me demanda comment je réagirais si elle me trompait un jour, je n'osais pas lui dire clairement que je n'aurais pas le courage de la quitter, mais je tentais de lui faire passer le message. Quelques semaines plus tard je me rendis compte qu'elle avait compris que je ne pourrais pas partir...
Un soir, on décida de partir ensemble en boite de nuit, elle, moi et des amis à nous.
Une fois sur place, on s'amusait tous ensemble quand on commença tous à se perdre dans ce club qui était immense.
Au bout d'une heure, je tournais en rond, cherchant désespérément ma petite princesse.
Lorsque je l'aperçu enfin, elle était dans le carré VIP, impossible donc pour moi de rentrer. En observant mieux, je la voyais en train de danser avec un mec, de manière très suggestive, limite sexuelle...
Elle se frottait à lui, l'allumait et elle était extrêmement chaude ! Elle se laissait toucher la poitrine et laissait le mec passer ses mains sous sa mini robe en soie ultra sexy qui, à dire vrai, ressemblait plus à une nuisette très courte et très fine qu'à une robe.
Elle essayait de jeter quelques coups dil de temps à autre au cas où j'arriverai mais elle n'y vit que du feu. Au bout d'un certain temps, elle ne supportait plus de se faire caresser et de passer simplement sa main à l'intérieur du jean du mec et ce dernier le comprit très vite. Il la traîna alors dans les toilettes. Je décidais de les suivre, déboussolé mais bizarrement, cette fois j'étais aussi rassuré et excité. Rassuré car je me disais que si elle était avec un autre homme ce soir, c'est qu'elle n'avait pas fait une fixette sur son collègue de travail, et donc que c'était purement des attirances physiques. Arrivé aux toilettes, je m'enfermais dans la cabine à côté de la leur, et tentais le plus discrètement possible d'observer la scène.
Elle était là, à genoux devant ce mec, en train de lui masser et lui lécher les bourses pendant qu'il bandait durement aussi de son visage. Quelques instant plus tard, elle avait son dar enfoncé dans sa bouche. Elle faisait des vas-et-viens lents et appliqués, elle avait l'air de déguster avec plaisir la queue de cet inconnu. D'un coup, il se mit à enfoncer sa queue plus profondément dans sa bouche alors qu'elle accélérait le mouvement. C'est alors qu'il n'en pouvait plus, il tenta de la lever puis la souleva, lui écarté les jambes et frotta sa queue contre sa chatte, tentant à chaque mouvement de la pénétrer. Il n'y arrivait pas lui non plus, mais elle était là, les cuisses écartées en train de prendre du plaisir en laissant un inconnu essayer de la dévirginiser. A deux doigts de jouir il la lâcha, elle se mit à genoux et le laissa se vider dans sa bouche. La voir ainsi me frustrait toujours autant mais m'excitait comme un malade ! Lorsque je la retrouvais plus tard dans la boîte, elle décida de ne plus me lâcher, et de rester avec moi tout le reste de la soirée. Elle me dit dans l'oreille qu'elle était folle de moi et aussi étonnant que ça puisse paraître, je savais qu'elle était sincère.
Les mois s'étaient succédés et elle était devenue plus calme. Plus casanière et voulant s'occuper au mieux de son homme, elle se consacrait à moi. Comment ne pas être heureux lorsqu'une femme aussi belle se consacre entièrement à vous ? Bah pourtant, quelque chose me manquait. Ce petit côté piquant, pétillant et libre qu'elle avait me manquait. Mais il n'allait pas tarder à refaire surface.
En effet, lors d'une soirée entre amis organisée chez nous ma belle s'était présentée plus sexy que jamais. Une robe extrêmement courte, en dentelles pratiquement totalement transparente. Nue en dessous, elle ne faisait malgré tout pas vulgaire, bien qu'elle faisait très, très sexy. Lors de cette petite fête, elle et ses copines se mirent à danser... D'un coup, elle était au milieu de la piste et dansait de manière hyper sexy et hyper provocante au sol (le mapouka, pour ceux qui connaissent la danse africaine). Mes potes, qui étaient aussi là, bavaient comme des chiens en rut.
Bien entendu j'étais gêné, mais aussi très fier et très excité. Quelque minutes plus tard elle discutait avec l'un de mes meilleurs amis. Très proche de lui, je la vis sortir de notre appartement pour descendre avec lui. Intrigué, je décidais donc de les suivre.
Ils étaient donc en bas du bâtiment, posés dans la voiture de mon ami, en train de s'embrasser, de se câliner et de se chauffer mutuellement. J'hallucinais ! Quelques minutes plus tard, elle remonte sans lui, apparemment il était parti. La soirée touchait à sa fin, chacun rentrait chez soi et j'ai décidé de raccompagner un ami qui était complètement saoul. De retour chez moi, je vois la voiture de mon pote garée en bas du bâtiment... J'entre donc discrètement et me dirige vers la chambre sans faire de bruit. J'entends une présence dans la maison, alors j'observe par l'ouverture de la porte et je la vois : elle était avec mon ami, complètement nue, à quatre pattes en train de se faire prendre sa virginité. Il la prenait sauvagement, tandis qu'elle, se soumettait comme une salope, et elle adorait ça ! Il tapait de plus en plus fort, je la voyais se tortiller dans tous les sens à chacun de ses coups. J'étais dérouté, mais horriblement excité de la voir se donner de la sorte. Il la prenait à quatre pattes, puis sur le dos, les jambes grandes écartées, totalement ouvertes. Elle ne faisait pas l'amour avec lui, elle se faisait baiser! Pendant près d'une heure je les observais, je voyais celle que j'aime enlacer l'une des personnes que je considérais comme mon meilleur ami pour qu'il enfonce sa queue au plus profond de sa chatte. Il la soulevait, les cuisses écartées, la prenait contre le mur pour la baiser toujours plus fort et toujours plus profondément pendant qu'elle se mettait à crier de plus en plus tellement elle aimait ça. Plus il la lui mettait au fond, plus elle adorait et en redemandait. Et lui ne se faisait pas désirer, il lui donnait ce qu'elle voulait en lui faisant comprendre qu'elle n'était qu'une pute. Il adorait aussi, et le lui faisait sentir en accélérant le mouvement et en tentant de s'enfoncer toujours plus profondément jusqu'à finir par se vider les bourses à l'intérieur de son intimité !
A l'heure d'aujourd'hui elle ne sait toujours pas que je sais, et lui n'est plus sur la région parisienne. Pourtant, malgré qu'elle soit une femme libre et extrêmement coquine, je sais qu'elle m'aime, car elle a su me le prouver d'une manière toute simple : malgré toutes ses infidélités, le père de son bébé aujourd'hui, c'est moi.
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