Leslie La70
Leslie LA70 - Laure, le journal intime - Linconnu, suite
Jai refermé mon portable, mais mon esprit continuait de penser, alors arrivée à la maison, je me suis déshabillée presque machinalement, avant daller glisser mon corps brûlant sous les jets dune douche glacée.
Où cette histoire allait-elle me mener ?
Cet inconnu avait pris possession de mon corps et de mon esprit, et je savais que je lui obéirais et que je ferais désormais ce quil me demandait, pour aller jusquau bout et voir
Leffet de la douche na pas duré bien longtemps et, après avoir avalé un sandwich, sans même prendre la peine de me rhabiller, jai arpenté nerveusement mon appartement, retardant le moment où jallais décider douvrir la penderie pour décrocher mon trench-coat.
Et quand ce moment est enfin arrivé, jai senti mon sexe sinonder à lidée de ce que je mapprêtais à faire.
Devant le grand miroir de la penderie, jai revêtu le vêtement en frémissant légèrement sous le contact froid de la gabardine sans boutons, dont les deux pans retenus par une large ceinture formaient un ample décolleté qui dévoilait profondément le sillon séparant mes seins et les révélaient dans toute leur splendeur lorsquon y plongeait le regard.
Plus bas, ce nétait guère plus discret. À la moindre inclinaison de mon corps, les rondeurs de mes fesses dénudées apparaissaient sous le vêtement. Javais réellement limpression dêtre complètement nue malgré le manteau et pourtant jallais oser bientôt sortir dans cette outrageuse tenue.
Les premiers mètres ont été les plus difficiles, les yeux cachés derrière de larges lunettes de soleil, malgré la nuit, chaussée de cuissardes noires remontant au-dessus du genou, jimaginais que tout le monde pouvait deviner mon impudique nudité sous le petit imper noir.
Mais peu à peu, jai pris du plaisir à observer les hommes se retournant sur mon passage, après avoir cru percevoir dans un éclair, qui un bout de sein, qui une cuisse dénudée apparaissant entre les pans de la gabardine.
Ces regards mexcitaient à présent, et ce soir-là, les regards masculins ne manquaient pas.
Arrivée au parc, je suis allée masseoir sur un banc, tirant désespérément sur le vêtement pour parvenir à le coincer sous mes fesses nues. Je sentais le petit vent venir me caresser la chatte et sans savoir pourquoi, je narrêtais pas de croiser et décroiser mes jambes.
Jusquau moment où un homme est venu sasseoir près de moi, jaurais pu remonter mes bras contre ma poitrine pour occulter la vue plongeante sur mes seins dénudés, mais je nai pas bougé, le laissant profiter de la vue. Et on peut dire quil en a bien profité...
Pendant quil me matait ouvertement, je regardais droit devant moi, lesprit tout entier absorbé par le vent qui caressait ma chatte et faisait naitre de délicieux frémissements qui montaient dans mon corps.
- Vous comptez me regarder encore longtemps ? Lui demandais-je brusquement.
- Euh
oui, tu es si belle !
- Et
Sans réponse, je lui ai laissé le privilège de continuer de me regarder en souriant intérieurement en constatant leffet de mon impudique exhibition sur lui et tandis quil baissait son regard sur mes cuisses dévoilées, jai décroisé les jambes, laissant mon trench-coat souvrir sur mon ventre et révéler furtivement mon pubis glabre au regard du jeune homme. Il a failli s devant mon impudeur, mais enfin me répondit :
- Tu es nue sous ton manteau ?
- A ton avis ? Lui dis-je.
- Euhh
Alors je me suis levée sans un mot et jai ouvert mon trench-coat, lui dévoilant ma nudité en lui demandant :
- Et vous allez rester là à me regarder ?
- Vous aimez quon vous regarde ?
- Oui, mais je préfère me faire baiser
Alors, il sest levé et me prenant pas la taille ma entrainé dans un bosquet darbres, puis me mettant en appui les deux mains contre un arbre, après sêtre placé derrière moi, il à remonter mon trench-coat sur mes reins, mettant ainsi mes fesses à nues, enfin à disposition, il a ouvert son pantalon qui sest retrouvé à ses chevilles.
Il ma pénétré aussitôt et le salaud en avait une grosse, la pénétration ma coupé le souffle et jai hurlé, autant par la surprise que par le bonheur dêtre ainsi embrochée.
En me limant furieusement comme un forcené, il ma lanus de son pouce en disant :
- Les salopes comme toi, ça sen prend dans tous les trous.
Il me baisait et je commençais à ressentir les prémices de la jouissance, dautant plus quen me pénétrant toujours plus fort et toujours plus profondément, il me disait :
- Ce cul là, il en a déjà reçu des queues, je vais tenculer salope !
Je venais de jouir quand il ma défoncé lillet, et cambrée comme une vulgaire trainée il a jouit dans mes entrailles en me faisant hurler de bonheur et en disant :
- Je savais que tadorais ten prendre plein le cul !
Il sest détaché de moi, en disant que jétais un bon coup, puis il ma dit au revoir en glissant furtivement un doigt dans sa chatte inondée et en disant :
- Tes une sacrée salope, mais tes bonne !
Puis tandis quil se rajustait, je lui ai déposé un baiser sur ses lèvres, puis après mettre essuyer avec des kleenex, je suis partie, non sans avoir remonté subrepticement le bas de mon trench-coat pour offrir à mon partenaire une dernière vision de mon joli derrière, tandis que je méloignais dans les allées du parc.
Je souriais en marchant dun pas léger, le visage et le corps rayonnants, envahie dune plénitude radieuse née de la jouissance intense quil venait de me donner, le cul et le con à lair, sous le regard lubrique dun parfait inconnu.
Mon inconnu, xiam avait raison, jétais faite pour moffrir aux regards et profiter de linstant quand une queue se présentait, et en plus jaimais cela plus que tout, et de fait ce petit sentiment de honte ne faisait quaccroître mon plaisir.
Jallais sortir du parc lorsque mon téléphone mobile se mit à vibrer, je venais de recevoir un message.
« Bonne nuit
»
Je suis restée sans nouvelles plusieurs jours, rien pas de message, alors je suis sortie le soir, mais je me suis aperçue que je navais pas le goût à cela, Carole était en déplacement et je navais personne à qui me confier.
Alors que je commençais à désespérer, le vendredi mon téléphone mobile se mit à vibrer, je venais de recevoir un message.
« Rendez-vous au 88 Rue Saint-Denis, dites que vous êtes Laure à Didier et laissez-vous guider.
Cela vous plaira, jen suis sûr. »
Le numéro était masqué mais le message était signé xiam.
Le jeu continuait et cette perspective ma aussitôt comblée de joie et tandis que javançais dun pas décidé dans les rues de la capitale, la vision dune superbe créature, montée sur ses bottes cuissardes, que joffrais, avec mon petit trench-coat dévoilant le haut de mes cuisses et les premières rondeurs de ma poitrine, ne manquait pas dattirer lattention des passants de plus en plus nombreux qui croisaient ma route.
Heureusement que ladresse nétait pas trop éloignée doù jétais, sinon il est bien possible que je me sois faite agresser et qui sait, violer
Jétais impatiente de découvrir où son mystérieux correspondant avait choisi de me conduire et ce quil mavait réservé.
Mon excitation impatiente sest brusquement transformée en angoisse lorsque jai réalisé devant ladresse indiquée, que sétait un sex-shop, le Club 88.
Jai hésité de longues minutes, passant et repassant devant les néons clignotants du magasin, avant de me décider enfin à passer la porte.
La boutique était faiblement éclairée, encombrée de présentoirs de revues, libres, disques et dune multitude de gadgets plus effrayants les uns que les autres, au fond il y avait des cabines pour regarder dans des cabines privées des films.
Me présentant au comptoir, jai demandé Didier en disant que jétais Laure, le jeune homme en me regardant ma dit :
- Ah ! Vous voilà enfin !
En me disant cela, il ma tendu une clé accrochée à un médaillon, en rajoutant :
- Au premier. Dépêches-toi, les clients tattendent.
- Pardon ?
- Au premier étage, porte de service « privé », les clients ont payé pour une demi-heure, alors ne les déçois pas !
Jai pris la clé sans vraiment comprendre, préférant ne pas poursuivre la conversation avec ce jeune homme et je suis montée au premier étage.
- Attends, je vais taccompagner et te montrer, me dit-il.
Il sest précipité pour me rejoindre dans lescalier, et monter derrière moi, ne perdant certainement pas une miette de la vision que je lui offrais, juste devant lui.
Alors que nous étions dans un couloir sombre, sentant le sperme séché, il a glissé sa main dans mon trench, pour me palper les fesses, et je nai rien fait pour le repousser.
- Cest ici.
Après avoir ouvert la porte de la porte, il a soudain défait la ceinture du trench, avant de me le retirer, sans me laisser le temps de réagir.
- Je te le rendrais dans une demi-heure ! Bon amusement.
Il a refermé la porte et jai entendu la clé tourner, me laissant entièrement nue dans la pièce de dix mètres carrés ne contenant quun lit circulaire recouvert dune couverture en simili peau de tigre, un petit panier garni de sex-toys et une corbeille remplie de serviettes usagées. Les murs étaient recouverts de vastes miroirs, sarrêtant à un peu plus dun mètre du sol et reflétant à linfini mon corps dénudé et le masque angoissé de mon visage.
Je ne pouvais voir que mon reflet, debout au milieu de la pièce, mal à laise, le corps traversé de frissons, un bras en travers de ma poitrine et une main posée pudiquement sur mon pubis.
Javais lair dune petite fille effrayée, regardée par des hommes qui attendaient sans doute avec impatience derrière leur glace sans tain, que je leur livre mon corps et que je me fasse couler de plaisir sous leurs yeux.
Cétait donc cela quil voulait, le nouveau défi que xiam avait imaginé pour moi, minvitant à approfondir ce penchant exhibitionniste et de me livrer à ce nouveau jeu. Il était là, jen étais sûre, me regardant de lautre côté du miroir, avec dautres hommes sans doute, tandis que les liqueurs tièdes du plaisir commençaient à sécouler dentre mes doigts qui senfonçaient irrésistiblement entre mes lèvres frémissantes.
Je me suis allongée sur le lit et jai fermé les yeux, avant décarter largement les jambes pour leur offrir le spectacle de ma chatte brillante. Puis, je me suis caressée lentement, longuement, jusquà ce que mon corps soit traversé de spasmes nerveux. Je transpirais et me tordais les seins, sentant les éclairs électriques de la jouissance me traverser les chairs.
Je me suis arrêtée brusquement, quelquun frappait de lautre côté du miroir, alors jai ouvert les yeux pour découvrir une bite somnolente, dont la tête mauve et la hampe épaisse sortaient dun trou ouvert dans la cloison, sous le miroir.
Je me suis approchée, timidement tout dabord, avant de me mettre à jouer avec le membre à moitié endormi, fixant mon corps nu et brillant dans le miroir, imaginant lhomme qui se tenait de lautre côté, et qui me regardait, sentant le sexe grandir sous mes caresses.
Puis je me suis agenouillée, pour le prendre dans ma bouche et le déguster, longuement, sensuellement. Je navais plus rien de la petite fille apeurée qui était rentrée dans la cabine quelques minutes plus tôt, jétais redevenue une femme, brûlante, passionnée et assoiffée de sexe. Je me caressais la chatte tout en sentant le membre viril grossir dans ma bouche, jusquà atteindre des proportions impressionnantes.
Puis le membre noueux disparu, me laissant un instant perplexe, avant de refaire son apparition revêtu dun préservatif.
Je me suis aussitôt retournée pour offrir au miroir le spectacle de mon cul aux fesses largement écartées et sous lesquelles brillaient mes lèvres frémissantes de mon con.
La queue monstrueuse sest glissée en moi, occupant chaque centimètre carré de ma chatte béante, jusquà sécraser au fond de ma caverne. Les fesses écrasées contre la glace, je me suis laissé pistonner avec délice, jouissant violemment sous les glissements de lépais gourdin entre mes chairs écartelées.
Je lai senti exploser dans son étui de latex et jai explosé en même temps que lui.
Cétait fini, il sétait retiré, me laissant pantelante, allongée sur le lit en position ftale. Quelques minutes, plus tard, le gérant est venu ouvrir la porte de la cabine, jetant mon trench-coat sur le lit.
- Bravo, ma belle, tu peux te rhabiller à présent, je tattends en bas.
Je me suis essuyée, regardant mon corps nu dans la glace, puis je suis descendue rejoindre le jeune homme qui mavait reçu en arrivant, Didier.
- Beau spectacle que vous nous avez offert, Miss. Les clients étaient ravis et voudraient savoir quand vous comptez remettre cela.
A suivre
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