La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°261)
Suite de l'épisode précédent N°260 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -
Dun ton particulièrement neutre, le Noble se met à poursuivre calmement, observant les réactions de sa chienne quIL connaît de mieux en mieux au fil des semaines, voyant les larmes qui coulent en flot presque continu maintenant sur le visage de sa belle et qui pourtant ne bronche toujours pas restant parfaitement immobile et les yeux clos, attendant la fin de sa punition, presque prête à accepter le sort que lui imposerait son Dominant, par fatalité et incapacité de vouloir ou de pouvoir y changer quoique ce soit, si tel était après tout le désir et lordre de son Maître.
- Ma belle chienne, je dois te dire que, hier après-midi surtout, tu as eu lair de passer de bons moments avec ton amant dun jour. On aurait vraiment dit que lAmour romantique à leau de rose te faisait grimper au septième ciel, bien plus que nos séances D/s. Moi qui croyais naïvement que tu aimais mieux ce que je te faisais subir avec délice et perversité, je commence à me demander si tu ne faisais pas semblant avec moi depuis le début, tu avais lair si à laise et si souriante devant ce jeune prétentieux qui te faisait profiter en bon père de famille de sa queue, dont il nest même pas maître. Finalement, jai dans lidée que vous pourriez faire un bon couple vanille, rentrant bien sagement à la maison après une dure journée de travail, dormant enlacés dans le même lit moelleux aux draps blancs, sortant au restaurant au moins une fois par semaine et soctroyant des câlins amoureux qui peuvent être aussi très réjouissants
Le Marquis dEvans reprenait son souffle, marqua un silence lourd avant de reprendre son propos, tout en toisant de la tête aux pieds sa belle chienne soumise exposée à Son regard dominateur, et continua toujours avec éloquence :
- En plus, comme il a lair épris, tu arriverais facilement à le mener par le bout du nez et il serait ravi de vivre à tes côtés.
Thaïs vit lenfer tandis quelle entend lanalyse de son Maître qui lui semble tellement à lopposé de ce quelle voulait et croyait ressentir. Mais elle sait aussi que les paroles de son Maître sont à ses yeux plus précieuses que paroles dévangile et elle ne voudrait même pas chercher à le contredire de quelque manière que ce soit si le droit de parler lui était accordé. Comment ne pouvait-IL pas comprendre ce quelle espérait au plus profond delle-même et comment pouvait-IL être sans le vouloir aussi cruel envers elle, en lui proposant de vivre un avenir vanille romantique auprès de celui pour lequel elle na pas le moindre sentiment ? Elle navait fait que jouer la comédie sur son ordre, son Maître ne le savait-IL donc pas !
Ou jouait-Il la comédie à son tour avec elle ?
Comment pouvait-elle faire comprendre la vérité de son cur et la véracité de sa soumission à celui quelle considérait comme le seul Maître et le seul Homme quelle pouvait désirer vouloir Vénérer avec une abnégation sans bornes. Bien sûr quelle préférait largement dormir par terre aux pieds du lit de son Maître Vénéré que dans un grand lit moelleux aux côtés de ce businessman qui ne lintéressait pas le moins du monde et qui à part lavoir baisé et encensé ne lui avait même pas demandé qui elle était et ce quelle faisait dans la vie, ne se voyant que comme un super-héros croyant ce qui flattait son égo, avoir pu sauver une jeune fille naïve et stupide, asservie contre son gré, ce qui était loin dêtre le cas.
Le Marquis dEvans sait que sa soumise a atteint un niveau presque intolérable de tension interne et quIL va maintenant pouvoir lui faire découvrir un nouveau monde de délices encore plus puissants que ce quIL avait jamais tenté datteindre avec elle. IL se rapproche tout près de son corps, se positionne derrière son dos, prêt à lagripper si elle tombe pour la plaquer le cas échéant contre lui et la retenir dans ses bras en évitant quelle ne se blesse. Dans létat où elle se trouve, les jambes de Thaïs pourraient bien ne plus la porter, sIL continue jusquau bout ce quIL avait prévu dexpérimenter. Thaïs a bien senti le corps de son Maître collé contre son dos et elle a surtout remarqué la bosse que forme sa queue dure et gonflée qui se trouve collée juste contre ses fesses à la hauteur de son creux des reins. Ceci ne fait quaccen à la fois son excitation tout à la perturbant encore plus. Elle se demande si elle va vraiment devoir renoncer à cette vie qui lui plait tant, qui est parfois dure à supporter car son Maître est très intransigeant et exigeant, même sIL sait se montrer particulièrement doux et tendre, mais globalement elle est consciente que sa nouvelle vie de soumise reste si merveilleuse par tous les moments de vrais bonheurs quelle ressent quand elle est au service de son Maître.
Le Marquis passe son bras gauche autour de la taille de Thaïs lagrippe fortement et tandis quIL sécrie « 16 » sachant très bien que la belle sera incapable de prononcer quelque mot que ce soit dans une seconde, IL abat la cravache sans grand ménagement en oblique sur la poitrine de Thaïs. Comme IL la prévu, les jambes de Thaïs sont devenues flageolantes et cest bien dans ses bras qui lempoignaient que la belle a atterri, nayant pas pu sempêcher de crier, car elle navait jamais été frappée de la sorte sur ses seins et ne sattendait pas à la douleur vive que cela pouvait provoquer.
- Du calme la belle ! Reprends-toi, IL en reste quatre. Tu as été très courageuse, soit-le jusquau bout.
Le Marquis lui a parlé dune voix très douce qui contraste avec le coup quIL a porté et quIL a accompagné de gestes dune toute autre nature, se servant du bout de la cravache pour caresser dans les secondes qui ont suivi le clitoris de Thaïs qui arrêtant de pleurer sent petit à petit la douleur qui lui strie pourtant encore les deux mamelles se transformer en un vrai plaisir qui est en train de la dépasser de douceurs exquises. Elle se tort dans les bras du Marquis qui la tient fermement, et qui retirant la cravache du sexe humide, assène un 17eme coup également sur les deux seins de manière à lui laisser la marque dune croix oblique sur la face supérieure des deux monts majestueux. Mais à peine son geste est-IL tombé quIL a repris lexploration de la caverne humide sattardant sur le bouton de rose qui semble de plus en plus turgescent et stimulé, en utilisant pour cela le même instrument pouvant provoquer sur le corps de la soumise autant de sensations multiples et variées qui la conduisent inexorablement vers lorgasme.
- Coule ma belle femelle fontaine, coule pour moi Ma soumise, à partir de maintenant, et jouit de tout ton corps, je ty autorise autant que tu voudras. Je veux te voir planer sur la vague des plaisirs, le plus longuement possible.
Le Marquis dEvans vise tour à tour les deux mamelons pour les 18eme et 19eme coups qui font hurler Thaïs, mais non plus de douleur, mais dun orgasme de vrais plaisirs dont les causes en sont si multiples. Sa fontaine expulse à plusieurs reprises de grands jets translucides et son corps nest plus que spasmes et contractions, dans des cris non retenus que son Maître encourage en lui mordillant loreille.
- Grimpe, grimpe encore Ma belle chienne, lacmé est toujours plus haut dans le plaisir.
Et cest sur ces quelques mots, quIL abat le 20ème et dernier coup directement sur le pubis en feu de Thaïs, se frayant un passage entre les lèvres roses et humides et heurtant par là même le clitoris irradié de la soumise en plein orgasme qui coule de plus belle à grandes eaux.
Thaïs est carrément tombée presque à la renverse, seuls les bras du Marquis dEvans la retienne. Elle semble être partie dans un état de bien-être qui dépasse ce quelle avait vécu jusque là. Très délicatement le Marquis se baisse tout en tenant sa soumise dans ses bras et peu à peu la dépose sur le sol, en position allongée, pour lui permettre de reprendre ses esprits après cette jouissance si extraordinaire, si puissante. Le Marquis regarde au sol, étalée sur plus de 60 cm de diamètre limmense flaque que sa belle a laissé séchapper de sa fontaine, et qui est tombée sur le parquet de la chambre dhôtel. Jamais IL na vu dans sa vie de femme fontaine couler aussi abondamment. IL se sent très heureux davoir pu conduire sa belle chienne jusquà un état de jouissance aussi intense. IL voulait lui apporter tant de plaisirs pour la remercier après tout ce quelle avait fait pour lui depuis deux jours, même sIL avait pour cela emprunté des chemins détournés, un peu broussailleux et ténébreux, qui avaient servi à déstabiliser sa soumise pour lui permettre de pouvoir se lâcher enfin encore plus.
Le Marquis se penche sur sa soumise qui est encore parcourue de soubresauts. IL pose sa main sous le menton de Thaïs qui est allongée par terre, qui sest presque inconsciemment recroquevillée en position ftale. A loreille, IL lui murmure.
- Ne parle pas encore Ma belle Thaïs, Ma soumise, Ma chienne, MA propriété, reprends tes esprits et remets toi tranquillement. Je pense que tu as aimé ce que tu viens de vivre, parce que tu ne mavais jamais autant inondé de ton éjaculat féminin. Ouvre les yeux, je veux voir ton regard maintenant.
Thaïs ouvre petit à petit les yeux, largement éblouies par la clarté de la pièce. Elle aperçoit le visage de son Maître Vénéré et lui offre un large sourire radieux qui montre létat de bonheur absolu dans lequel elle se trouve. Elle voudrait lui dire mille fois Merci, mais sa gorge ne peut émettre aucun son, tellement ses cris ont fait vibrer pendant quelques secondes fortement ses cordes vocales.
- Voilà ma belle chienne, si obéissante, je voulais temmener vers des routes encore inconnues pour toi, car je suis très fier de Ma soumise et de tout ce que tu as accompli depuis deux jours. Oublie tout ce que jai pu te dire, juste avant, ce nétait que pour te mettre en condition, et puis tu sais bien que jaime tellement te taquiner. Ne croit surtout pas que je vais te laisser partir vivre une vie vanille romantique avec qui que ce soit, et à fortiori sûrement pas avec ce Thierry que tu verras bientôt ramper comme le chien quil est, à Mes pieds. Tu mappartiens, tu le sais bien et jai un sens très pointu de la propriété, pour tout ce à quoi je tiens. Tu as été vraiment très habile pour amener à Mes pieds ce businessman quil va falloir songer à réveiller maintenant; le temps nous est compté, car nous devions être en réunion de travail dès 11h du matin. Je tai trouvé très à ton aise dans ton rôle de comédienne et jai apprécié la maîtrise dont tu as fait preuve pour conduire ton faux-amant là où tu le voulais et pour lui faire prendre conscience de son désir enfoui de soumission, mais attention, il ne faudrait pas que tu y prennes goût à vouloir ainsi dompter mes futurs esclaves, car rappelle toi, le seul Maître ici, cest Moi. Thaïs sentant que sa voix commence à revenir tente quelques mots
- Mon Maître Vénéré, Merci pour tout ce que Vous mavez fait vivre. Nayez aucune crainte, je suis Votre soumise, Votre propriété, et je nai quune envie, celle de rester à Vos nobles pieds.
- Ma belle Thaïs, ton sourire me réjouit. Va te rafraîchir dans la salle de bains quelques instants quand tu te sentiras assez remise pour te relever, fais attention à toi surtout. Ton corps et ton esprit sont encore sous leffet rebond de tout ce que tu as traversé de si intense. Vient ensuite me rejoindre, je vais moccuper dici là de celui qui, jen suis presque sûr, va désirer plus que tout devenir mon futur esclave à Mes pieds.
(A suivre
.)
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