Mieux Vaut Oter Sa Petite Culotte Que D'Aller Chez Le Psy
Récemment il mest arrivé une aventure digne dun roman érotique, voire pornographique
Jai vingt quatre ans et fréquente Laurine, une fille de vingt et un ans que jai connue à luniversité, le problème, cest les trois cents kilomètres qui nous séparent, les grandes vacances approchent et elle se morfond de notre séparation proche
- Comment allons-nous faire pour nous voir Ludo chéri ?
- Ça ne va pas être facile avec le job de serveur que jai dégoté, je naurais que certains après midi de libre, impossible de faire le trajet
- Jai bien une idée
- Dit toujours ?
- En ce moment maman nest pas bien, elle ne surmonte pas lépreuve de son récent divorce, je dirais même quelle a des idées suicidaires
- Excuse moi bébé, mais en quoi cela nous concernent ?
- Je peux la décider à louer quelques temps ici, mais, évidement, elle sera là
- Ha
.ça change tout
- Je devrais évidement lui proposer de nous accompagner certains jours, rassure toi elle nest pas du genre collante
- Elle est jolie ? comment sappelle-t-telle ?
- Murielle, cest moi, avec quelques années de plus et les cheveux de différente couleur !
- Muuuummmm ! elle doit être bonne
- Vilain vicieux ! je donnerais nimporte quoi pour quelle soit heureuse
caresse-moi Ludo
jai envie de ta verge en moi
En faisant lamour a ma copine jessaie dimaginer sa mère, a-t-elle les mêmes seins en pommes que sa fille ? Et cette toison ? Cache-t-elle le même clitoris ? Et ces lèvres finement ciselées protègent-elles une vulve délicate ? Donne-t-elle daussi bons coups de reins ? Si bien que jéjacule brusquement
- Hé bien ? tu me laisse en route ? je nai pas eu le temps de jouir !
- Excuse moi cest lexcitation, nous recommencerons ce soir
- Promis ?
- Juré !
Nempêche que la présence de sa mère ne sera surement pas sans conséquences sur notre relation, enfin nous verrons le moment venu.
Après les présentations dusages, je les conduis à leur appart, le boulot mappelle déjà, quelle poisse, Laurine me raccompagne dans lescalier, jai juste le temps de passer mes doigts dans son string qui shumidifie rapidement, je lèche un doigt et lui fait lécher lautre
- Huuuuuummmmmmm, cest autre chose que jaimerais lécher chéri !
- Vient ce soir à ma piaule, je te paie le taxi
- Ça me gêne de laisser maman seule
- Wouaaah ça commence !
- Ne te fâche pas ! pour quelques heures ça ira, je taime ! mais je veux garder un il sur maman
Vers onze heures Laurine arrive, je lattends a poil, dés son entrée elle mimite et me rejoint sur le lit
- Chose promise, chose due, je te suce ?
- Caresse-moi les bourses et la queue
comment va belle maman ?
- Ne te moque pas, en tous cas, elle te trouve super craquant!
- Je lui retourne le compliment, belle comme elle est, pourquoi ne trouve-t-elle pas de mecs ? tirer un bon coup, ça la calmerait
- Ça ne lintéresse pas, mais cest vrai, ça lui manque de faire lamour
- Nous allons la sortir et lui trouver un mâle
- Cest peut être une idée
donne moi ta queue à sucer avant que tu ne décharge dans ma main, wouuuuuaaaaaaaaahmuuuuuuummmmmm !
- HUUUUUMMMM ! je paris que ta mère suce aussi bien que toi !
- Rrrrrrrhhhhuuuuuuuummmmm
salaud ! bouffe moi le chat, ça te cloueras le bec
Cest la chatte de sa mère que je broute, je suis obnubilé par cette femme, et cest pire lorsque jenfonce ma queue dans la vulve détrempée de sa fille, est-elle aussi serrée ? Mouille-t-elle autant ? Une fois de plus je décharge trop tôt, mais je me ratt en ne cessant pas mes coups de reins, Laurine explose enfin en feu dartifice, elle sait que je nai pas déchargé une deuxième fois, alors elle se retourne et me montre son vagin dégoulinant de mon foutre sous un autre angle, ce qui est loin de me déplaire
.
Je reste emboité en elle tant que notre souffle nest pas régulier
- Chérie ? jai réfléchis, demain nous sortons avec ta mère
- Cest vrai ?
- Elle ne va pas refuser ?
- Pas si cest toi qui lu demande
Murielle a fini par accepter une sortie au resto et finir dans un bar pour siroter un digestif, elle est magnifique avec ce corsage qui laisse apercevoir un soutient gorge bien plein, et cette jupe évasée que cache-t-elle ? Des hommes lont remarquée mais elle ne veut pas les voir, il est très difficile de lui arracher un sourire, ce qui finit par exaspérer sa fille
- Tu veux rentrer maman ?
- Ce sera mieux, je ne veux pas gâcher votre sortie en amoureux, votre bonheur me fait mal
- Très bien, Ludo va te raccompagner, je vais tattendre chez toi chéri, prend tout ton temps, je te réserve une surprise
En disant cela Laurine me fixe longuement dans les yeux, comme pour madresser un message
Dans la voiture Murielle ne prononce pas un mot, raide sur son siège elle regarde défiler les néons de la ville, pourvu quelle ne fasse pas une bêtise une fois seule
.
- Ça va Murielle ?
- Oui-oui
- Parlez-moi un peu de vous, je sais que votre divorce a été particulièrement pénible
- Ho ça oui ! ce salaud sest tiré avec une nana plus jeune que sa fille
- Il faut tirer un trait sur le passé, vous devriez lui rendre la monnaie de sa pièce
- Je nen ai pas le courage...
- Nous voici arrivés, je vous accompagne jusqu'à la porte ?
Soudain elle se tourne vers moi, de grosses larmes coulent sur ses joues je lui tends les bras, elle se jette dedans pour éclater en sanglots, ça me fait tout drôle de la ceinturer ainsi, ses seins sécrasent sur ma poitrine
- Calmez vous, il nen vaut pas la peine ce con
Elle sanglote bruyamment, jembrasse ses cheveux, lui caresse lépaule, elle se calme peu a peu et se fait molle sur moi, innocemment, ma main glisse vers sa poitrine, la femme tressaille mais ne me repousse pas, ma paume masse le sein que je devine aussi ferme que chez Laurine, sa main se pose sur ma cuisse a quelques centimètres de mon érection, sans oser aller plus loin, ses doigts se crispent dans ma chair a me faire mal, son chemisier nest pas entré dans sa jupe , il mest facile de passer dessous et de bousculer le bonnet du soutien-gorge, sa respiration haletante qui se calmait reprend de plus belle , mais plus pour la même raison, je palpe le nichon rond et ferme comme un melon saturé de sucre
Son visage se lève vers le mien, je lèche une grosse larme encore accrochée a sa joue, de la joue aux lèvres il ny a que quelques millimètres que nos lèvres franchissent, du coup jabandonne son sein pour passer directement sous sa jupe, elle devait attendre ma venue puisque ses cuisses sont ouvertes, nouveau tremblement lorsque jécarte le tangua étroit, elle saisie enfin ma queue par-dessus le tissu,, mes doigts trouve une toison abondante, surement négligée, sans doute dût au fait de labsence de relations sexuelle, la fente entrebâillée est suintante , je my enfonce très facilement, non parce quelle est plus large que sa fille, mais depuis le temps quelle est sevrée, les glandes doivent être gorgées de jus intime, jai une envie irrésistible de la baiser, je décolle ma bouche de la sienne pour lui en faire part, cest elle qui me devance
- Ne restons pas ici, des voisins peuvent nous voir
- Je te suis
le corsage a moitié ouvert, le soutient gorge en biais , elle monte les escaliers quatre a quatre, je la colle de prés, mes doigts grattent le fond du slip humide a moitié mangé par la chatte, ça lui arrache de petits éclats de rire nerveux, preuve quelle a une envie folle de se faire monter, elle tâtonne pour mettre la clé dans la serrure, jen profite pour tirer la culotte vers le bas, elle entre entravée par le sous-vêtement a mis cuisses, je donne un coup de talon pour refermer la porte, elle me fait face, lair grave, elle se dévêt lentement
- Laurine sait ce que nous allons faire, nest-ce pas ?
-
.
- Ma petite fille chérie
pardonne moi
.
Elle se jette dans mes bras, jappuie a peine sur ses épaules, Murielle glisse a mes pieds, ses mains fébriles sattaquent a ma boucle de ceinture, puis tire mon pantalon, le boxer suit le mouvement, ma queue na pas le temps de voir le jour, elle est engloutie par la bouche avide, je lui caresse amoureusement les cheveux, mes couilles ne sont pas privées de caresses, javance par petits coups dans sa gorge, impatiente de sentir couler mon jus elle aspire goulument mon gland, provoquant des bruits de succions, le bassin cambré, je regarde ses joues creusées dans lattente de mon sperme, elle est belle
je laisse ma sauce jaillir dans sa bouche, elle se relève une coulée encore accrochée au menton , je passe mon doigt pour récupérer la sauce et lui fait lécher
- Jen mourrais denvie
merci
jenvie ma fille davoir une si belle verge a sa disposition
- Heureux de tavoir satisfaite, ma bite est a toi maintenant
Le tenant par les épaules je la fait reculer vers un clic-clac ouvert dans un coin de la pièce, le slip toujours a mis cuisses elle perd léquilibre et saffale sur le lit improvisé, les jambes en lair, ma tête passe entre le slip et son entrecuisses odorant sur lequel je me jette bouche ouverte, langue sortie, la femme agrippe vigoureusement mes cheveux
- Frotte-toi sur ma moule, enfonce ton nez dans mon vagin
Nayant pas la possibilité de répondre je la laisse me guider, son bassin bouge de haut en bas, du front au menton, tout mon visage est enduit de cyprine, pour la calmer jenfonce deux doigts dans son fondement, mais cela fait leffet inverse
- HOOOOOOOUUIII ! Je te veux dans tous mes trous !
Hyper excitée elle jouit très vite, je bois une partie de ce jet chaud et doré avant de me hisser a sa hauteur, elle lèche les dégoulinades restées sur ma figure, ma queue bandée a mort cherche instinctivement le trou a bitte, après deux dérapages infructueux, je menfonce dans le volcan débordant de lave, ses talons se rejoignent dans mon dos on ne peut pas être plus soudés
Cest une furie qui se débat sous moi, je subis ses assauts, rien à voir avec la baise pépère de sa fille, cest elle aperçue quand jai déchargé ? Sans doute, car ses ongles se sont plantés dans mes épaules en jouissant
- BAISE-MOI ! DEFONCE-MOI ! ENCORE ! ENCORE ! Plante ta pine là ou tu veux mais baise moi
- Je vais tenculer
tes mauvaises pensées ont disparut ?
- Demain je me trouve un mec !
Je retire lentement mon manche, elle relève davantage ses fesses, en maidant dune main jappuie sur le cratère qui accepte lentement mon gland, nous sommes essoufflés, en sueur, mais la rage de baiser et toujours aussi vivace, jespère que les murs sont bien insonorisés car elle mugit comme un animal
.
Je lui laisse le soin de manuvrer elle-même, je reste immobile pendant quelle semmanche à loisir sur ma queue
Nous avons jouis ensemble, elle sest endormie alors que jétais encore en elle, jai rejoins Laurine qui mattendait nue entre les draps, impatiente de savoir ce qui cétait passé avec sa mère
- Elle na plus envie de se suicider
.je lai léchée, baisée et sodomisée, dailleurs tu peux contrôler je ne me suis pas lavé
.
- Je taime mon amour, merci davoir sauvé maman de la déprime, mais maintenant cest à mon tour dêtre léchée, baisée et sodomisée !!!!!!
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