Isabelle Va Finir Par Se Venger De Son Mari
EPISODE - 1
Isabelle et Bertrand forment un beau couple. Un peu plus de la trentaine pour Isabelle et à peine quarante pour Bertrand. Ils étaient globalement heureux de leur vie et ne souhaitaient pas en changer pour rien au monde. Mais Bertrand était joueur et il venait à nouveau de perdre. Les trois hommes à qui il devait de largent lui proposèrent un délai de six mois pour payer.
-Tu nas quà nous laisser quelques nuits avec ta femme, et on efface la dette Daccord les mecs ? proposa Noël.
- Isabelle ne voudra jamais.
-Essaie quand même sinon tu payes, et vite, conclut Jean-Joseph.
-Dis-lui quon est des hommes bien et quon accepte ça pour vous arranger, ajouta Noël.
-Toi qui connais ma femme, Albert, tu vois bien quelle ne voudra rien savoir.
-On se présentera à ta femme. Dis-lui quon nest pas des sales types et quon va la respecter. Comme ça tu vas la convaincre. Sinon, tu payes.
Arrivé chez lui Bertrand reçu une volée de bois vert et ce fut un non catégorique. Mais elle pensait aussi que payer cette dette allait mettre leur foyer en grande détresse et cela linquiétait. Et puis au fil des jours, elle se disait que tant pis si elle devait « y passer ». Cela lui faisait un peu peur, surtout que ces trois hommes étaient des inconnus. Isabelle, quà part une histoire insignifiante, navait connu quun seul homme : son mari. Bertrand, le mari avait un appel quotidien de Noël qui était chargé de suivre laffaire pour Jean-Joseph et Albert. Isabelle gardait aussi très présent dans sa mémoire que Bertrand lavait trompée et quelle navait pas pardonné. « Je vais me laisser faire » se disait-elle ; avec une pensée quau moins, elle allait connaître dautres hommes, même si cela ne lenchantait pas à priori.
Les présentations
Dix jours avant la mise en uvre du paiement de la dette, Bertrand la emmenée chez Jean-Joseph pour rencontrer les créanciers. Il lui a présenté les trois types les uns après les autres séparément.
-Vous avez deux nuits à passer avec moi. Vous en avez de la chance ! Je vous préviens, en une nuit je peux envoyer la purée six fois. Je préfère vous dire que jai une tendance un peu bizarre mais pas du tout violente
mais je suis un jouisseur cochon.
Un peu plus tard, ce fut Albert.
-Avec largent que vous me devez, je vais moccuper de vous pendant deux nuits à lhôtel ou chez moi ; comme ça vous convient. Votre mari ma demandé de bien me présenter. Je suis au mieux de ma forme. Je bande en pensant à vous.
-Cest moi qui commence le remboursement de la dette. Jespère quon va passer du bon temps. Je vais me retenir de juter pendant la semaine avant de vous avoir au bout de ma queue. Comme ça jen aurai plein les couilles. Ne vous inquiétez pas, ça va bien se passer avec nous, a essayé de rassurer Jean-Joseph.
Ensuite, elle passerait deux nuits avec chacun des créanciers de son mari.
Nuit du 31 mai avec Jean-Joseph
Isabelle est partie chez Jean-Joseph à 20 h 20. Elle avait emporté ses affaires de toilette et un pyjama. Dès quIsabelle est arrivée, Jean-Joseph la emmenée dans sa chambre.
-Allez, mettez-vous à laise.
Elle sest mise en sous-vêtements et nétait pas à laise du tout. Dans le lit, il la pelotée partout.
- Il y a des choses en trop ! Vous avez mis des beaux dessous, mais cest ce quil y a dedans qui mintéresse.
-Vous êtes direct vous.
Elle savait quelle ne pouvait pas rester en dessous ; elle a dégrafé mon soutif et a fait glisser sa culotte. Il lui a pris la chatte à pleines mains et la secouée.
-Jadore avoir une chatte dans la main.
-Hé ! Doucement sil vous plait.
Le matin, elle constatera quelle avait laissé pas mal de poils dans le lit. Jean-Joseph a été excité par les seins dIsabelle. Il sest installé accroupi à côté de moi. Il ma pris un sein en bouche.
-Ils sont petits mais ils sont bons ; je déguste.
Isabelle était un peu figée.
-Tenez moi lentrejambe, sil vous plaît. Dabord les couilles.
Isabelle a passé sa main et a constaté quelle ne pouvait pas prendre les deux en même temps tellement elles étaient grosses. Lui narrêtait pas de dire que cétait bon. Il sest mis à se tortiller des hanches.
-Le bâton, maintenant !
Alors, elle la pris en main sans pouvoir faire le tour. Elle a commencé à faire des va et vient. La position nétait pas très pratique mais il grognait de plaisir.
-Continuez, continuez ! Doucement, sil vous plaît, faut pas le faire juter trop vite.
Au bout dun dizaine de minutes, il est monté sur melle. Il sest placé en position du missionnaire et il a appuyé. Il narrivait pas à rentrer. Comme de toutes façons elle devait y passer, Isabelle apris son truc et la aidé à rentrer. Il y est allé progressivement. Il la mise entièrement ; elle était pleine. Il a tout envoyé dedans au bout d un quart dheure.
-Oui ! Oui ! Je jute !
Il donnait des coups de hanches et sa bite frappait tout au fond. Ça a commencé à faire Floc ! Floc. Isabelle a senti que cela lui coulait entre les jambes.
-Tiens, il y en a encore !
Après, il sest allongé près delle et lui a fait la bise.
-Vous devez être pleine. Jai senti les paquets de sperme me passer dans la queue. Jai envoyé du lourd.
-Oui, et ça a coulé sur le drap.
- Normal, cest toujours comme ça ; je salis beaucoup les draps.
Jean-Joseph a été gentil avec Isabelle. Il lui a demandé si ce nétait pas trop difficile pour elle et ainsi de suite. Puis il a recommencé à lui caresser la chatte.
-Je voudrais bien une pipe ; ça fait longtemps que jen ai pas eu. Je vais profiter.
-Je nai pas le choix.
Quand elle la mise dans la bouche elle était un peu molle mais surtout elle était encore pleine de sperme.
-Passez votre langue sur le gland. Oui, cest bon, comme ça, continuez.
Pour les conseils, il est champion. Après être passé avec lui, elle allait avoir un savoir-faire certain sur les pipes. Au bout de vingt minutes elle avait mal au cou. Il lui a dit de poser la tête sur son ventre et de bien ramener mes fesses vers lui. Il était raide mais il ne finissait pas. Isabelle a plusieurs fois changé de position et elle la branlé en continuant de le sucer. Il disait toujours daller doucement.
- Je veux en profiter au maximum.
-Ou. heu, a-t-elle essayé darticuler la bouche pleine.
- Amusez-vous avec ma queue, amusez-vous avec mes balles !
À la fin, il ne parlait plus. Elle le sentait tressauter. Elle craignait den avoir plein la bouche et de vomir. Elle na pas évité la première giclée. Dun coup elle en a eu plein la bouche. Elle a tout craché en sortant sa bite de sa bouche mais elle a été sympa, elle a continué à le branler pendant quil jouissait. Elle en avait plein les mains.
- Le drap est trempé, jen ai envoyé partout.
-Oui, Vous aviez de la réserve. Je vais aller me rincer la bouche et me laver les mains.
Jean-Joseph sest endormi jusquau matin. Et elle a réussi à somnoler. Le matin quand il sest réveillé, il avait la trique et a demandé à Isabelle de monter sur lui. Elle navait presque pas dormi. Elle est allée sinstaller sur lui. Elle avait bien pensé quau réveil elle allait y passer à nouveau. Elle avait raison. II lui a enfilé le manche. Elle a commencé à bouger sur sa queue. Elle a vite fatigué et sest allongée sur lui. Il a compris et sest mis à la ramoner lentement mais surement. Il voulait faire durer et il y est arrivé. Ça a duré au moins 30 minutes. Heureusement, Isabelle ne sest pas trouvée mal au contact de ce torse costaud.
-Cest bon, mon gland tape bien au fond. Ça glisse bien maintenant. HUM ! Hum ! Jen ai plein les couilles. Ça y est ! Ça vient !
Jenvoie le bouillon ! Ha ! Ha !
Elle était pleine de sperme ; ça sortait de son sexe autant que ça rentrait. Elle sest dit quil était vraiment un gros juteur. Mais il avait aussi des habitudes bizarres. Jean-Joseph est allé étendre les draps dans son jardin à la vue de tous. Tout une partie était encore mouillée du coup du matin. Il avait lair fier de lui. On naurait dit quune bonne dizaine de types avaient largué dans les draps.
-Vous navez pas eu trop de mal ?
-Non, ça allait.
-Vous avez payé une partie de la dette de votre mari.
Jean-Joseph se disait quil avait apprécié : baiser cette belle femme très sage avait été un délice. Ce matin avec elle devant le petit déj quelle avait accepté, de prendre avec lui il pensait avec plaisir à la deuxième nuit quil aurait avec elle.
Isabelle est rentrée chez elle vers 10 h. Bertrand lattendait la mine déconfite de lhomme accueillant sa femme qui vient de se faire baiser toute une nuit. Il avait beaucoup bu durant la nuit et était un peu pâteux. Sa femme, Isabelle ne lépargna pas.
-Jy suis passée trois fois. Ton soi-disant copain en a bien profité.
-Ho, le cochon !
-Ce nest pas un cochon ; cest un baiseur
un baiseur qui prend son temps : un jouisseur, cest tout.
Des questions tiraillaient Bertrand. Il nosait pas demander des précisions à sa femme.
-Comment il a été avec toi ?
-Je te lai dit, il ma baisée deux fois et il a fallu que je le suce.
À ces mots, Bertrand sest pris la tête dans les mains, assez effondré. Il voyait sa femme avec une bite dans la bouche. Cétait horrible pour lui.
-Et puis, tu sais ce quon dit sur les hommes noirs et bien pour lui, cest vrai. Il en a une grosse. Pas extraordinairement longue mais grosse. Il a fallu que jouvre la bouche vraiment en grand.
-Ça me fait mal, arrête ! Arrête !
-Tavais quà y penser avant. Et dans quinze jours, il faut que je remette ça avec Albert. Cest un costaud, lui, jai remarqué quil est très poilu. Quand il sest présenté, il bandait, se plut à dire Isabelle à son mari.
-Tu me fais mal à dire ça.
-Et moi, tu crois que ça ne me fait pas mal.
« Bien fait pour toi, » pensa-t-elle avant daller se recoucher.
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