Je M'Encule

Je les vois dans le bassin : elles font gicler de l'eau sur elles. La nudité va bien avec la chaleur ambiante. Je crois qu'elles jouent. En un sens c'est vrai, mais leur jeu est très particulier. Elles se cherchent, se trouvent pour s'embrasser sur la bouche longuement.
Leur seins se caressent, s'oublient pour revenir encore. Je vois les mains de celle qui me tourne le dos caresser les épaules de son amie. Une main descend toujours, passe sur les hanches : elle disparaît. Je vois les jambes de l’autre s’écarter insensiblement : elle se donne aux caresses.
Je ne vois pas la suite sauf que la fille qui caresse l'autre se baisse. Sa bouche embrasse les seins, le ventre certainement. La « soumise » va s’asseoir sur le bord de la pièce d'eau. Là, je vois tout :
Elle accueille son amie entre ses jambes qu'elle ouvre en grand. Son sexe est magnifiquement adorable. J'aimerais aller lui dire deux mots avec ma bouche.
Les mains courent sur le corps de celle que je vois bien. Les lèvres sont collées, longtemps. Il me semble voir la langue jouer dans la bouche. Le ventre de la maîtresse est sur le sexe humide, je le vois, de la fille.
Elle s'écarte pour laisser passe la main. Là je la vois qui caresse doucement la colline d'en bas, puis s'introduire doucement dans la vallée. Si au début c'est la main entière qui tient le sexe, c'est vite deux doigts qui passent et repassent sur la chatte.
Le ventre se tend sur la main, se retire pour revenir, il se plisse selon l’intensité, la chaleur de la caresse. Elle se laisse masturber avec grand plaisir. Et d'un seul coup le ventre se tend complètement : la fille jouit.
Je pensais que l'amante aller cesser. Pas question : si elle arrête, quoi, trois secondes, elle reprend la caresse profonde. Si l'autre se donnait aussi ?
Non, elle continue sa caresse, même je crois qu’elle change un peu d'endroit sur la demande de l'amante. Oui, je vois la main descendre vers les fesses.


Elle lui donne son cul. Pour être plus à même de sentir la caresse elle soulève une jambe : je peux tout voir. La main caresse la cuisse, se glisse vers le petit trou. Un doigt entre dans l'anus. La fille est tendue, elle se donne encore plus. La tête dodeline doucement, marquant ainsi le plaisir ressenti. Je vois la main faire des aller et venue : elle encule réellement sa copine.
Et moi ? Je bande, je sors la queue, je me caresse doucement, sans vouloir me faire jouir rapidement, j'attends pour être synchrone avec les filles. J'aimerai partager avec elles ce plaisir suprême, la jouissance intégrale au bout de ma queue.
Et j’ai envie moi aussi de sentir un truc dans mes fesses. Je passe ma main vers l’anus. Il me semble bouillir de cet endroit. Je trouve le cul : il s’ouvre devant mes doigts.
Tant pis : pour la première fois de ma vie je vais me donner du plaisir au cul, seul. J’ouvre mes fesses, mon cul s’ouvre devant mes doigts. Je le caresse longtemps en hésitant encore. Je prends une bonne respiration et d’un seul coup j’entre deux doigts. Que c’est bon de se branler et de se doigter le cul ensemble. Je comprends les filles qui font pareil que moi. Mes doits vont et viennent en moi, à la même cadence que l’autre main sur ma bite.
Je suis penché même en avant pour pouvoir mieux m’astiquer les fesses. Je sens venir du plus profond de moi une vague : je vais jouir. Alors j’arrête de caresser ma pine en pensant arrêter l’orgasme. Trop tard, je sens ma queue se raidir seule, je la regarde, quand mon jet de semence sort à gros bouillon.
Je me suis enculé, je me suis branlé la queue, j’ai joui. Je n’ai pas sorti mes doigts. Je sens les spasmes autour d’eux.
Je ne sais comment j’arrive à bander encore. Non d’un chien, j’ai encore envie. Ma main gauche reprend l’enculade. J’hésite à prendre ma queue dans la main. Pourtant je meurs d’envie de me branler encore.
Je bande encore plus que tout à l’heure. Il faut que je me masturbe encore et encore.
C’est délicieusement bon de s’enculer et je caresser la queue.
Je reprends mss va-et-vient, mon gland devint plus rouge. J’entre encore plus dans mon cul. Je dois bien y mettre mes trois phalanges.

Je reprends la queue. Je rêve que je m’encule avec ma bite. Ma main sert de cul à la queue. Je sens la peau glisser sur le gland. Je regarde bien comment ça fait : je pars encore une fois. Mon sperme va rejoindre celui de tout à l’heure, juste devant moi à deux mètres.
Je regarde par curiosité les deux filles. Elles s’embrassent toujours, cette fois ce n’est plus la même qui branle l’autre, elles ont changé. Décidément elles sont plus résistantes que ma queue.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!