Une Vraie Pute.
Récit plus ou moins fictif.
Cela faisait déjà quelques jours que ma femme et moi prenions un réel plaisir à copuler dans différents endroits, plus excitants les uns que les autres. Cependant aujourd'hui, après une longue journée de travail je me décidais à l'emmener au restaurant. Étant rentré plus tard que cette dernière et l'ayant prévenu de notre petite sortie, je la vis, assise dans le canapé, dans ce même canapé où hier encore, elle me suçait langoureusement durant un match de foot. Je m'en souviens car j'ai pu lui éjaculer tout ce que j'avais sur ces seins, qu'elle avait ensuite léché comme une pure salope avant de tout avaler. Parenthèse finie, continuons. Elle s'était habillée d'une robe noire à bustier, très courte car il me permettait d'entrevoir son string, rouge. Nous étions dans la voiture quelques minutes plus tard en route pour ce petit restaurant parisien. Alors que le serveur nous montrait notre table, elle me jetait quelques regards malicieux. Nous commandions nos plats, le serveur nous indiqua une longue période dattente car le chef de cuisine étant malade, il ne pouvait faire plus vite et sen voyait désolé.
Notre synchronisation du regard à ce même moment fut incroyable. Elle avait envie de moi, et moi javais envie delle. Elle se leva puis descendit les escaliers afin daller aux toilettes. Je fis de même moins dune minute après. Les toilettes étaient grandes mais disponible que pour une personne à la fois. Elle avait déjà commencé.
Cette dernière se touchait, assise sur la cuvette, elle avait légèrement décalé son string afin de laisser passer ses doigts longs et fins. Elle se caressait le clitoris, tout en logeant son majeur à lintérieur de sa chatte, voire en y introduisant lindex en même temps. Cela faisait déjà au moins une minute que je la regardais, javais, pendant ce temps-là descendu mon pantalon, et je me masturbais lentement, debout. Mon envie était très forte, je me mis à quatre pattes et descendit son string au niveau de ces chevilles.
Elle se mit à me sucer langoureusement, en léchant mon gland. Elle me masturbait en même temps et effectuait de nombreuses gorges profondes. Ma bite avait repris du poil de la bête. Elle grandissait à vue dil. Ma femme me demanda de la pénétrer telle une pute, de lui faire tout ce que je voulais. Jétais impressionné par une telle soumission. Je lui mis une gifle en guise dacceptation. Elle mouillait encore, ça coulait sur ces cuisses. Elle se releva, je la plaquai contre le mur et lembrassait en lui rappelant son rôle de salope. Elle se cambra tout en relevant sa robe. Ces hauts talons brillaient à la lumière tout comme ces cuisses. Pas de quartiers pour elle jai tous les droits. Je lui mis un doigt, puis deux et jenduisais sa chatte afin de la pénétrer au plus vite. Un orgasme de plus. Sans même la prévenir, je commençais les va et vient, elle gémissait de plus en plus fort. Elle avait ses mains sur la barre pour handicapés. Elle remonta tout en restant cambré comme une chienne.
Ses mains étaient à présent sur le carrelage froid au niveau de ces seins. Je lui tenais les cheveux lorsquelle eut à nouveau un orgasme puissant. Quelques secondes après, elle me tira jusquà la cuvette et me fit asseoir dessus. Elle me chevaucha en écartant ces fesses avec les mains. Je ne pouvais pas résister à lenvie de
je la remontai un peu, toucha son vagin humide, et mit mes doigts à lintérieur de son anus, encore vierge. « tu... , non, tu ne veux pas me
» Disait-elle. Elle neut pas le temps de finir sa phrase que mon gland était rentré dun coup sec à lintérieur.
Ma femme se remit à genoux, et me suça à pleine bouche elle voulait ma semence bien chaude. Il ne fallut que quelques secondes pour que sa bouche et ses seins soient inondés de foutre. Elle me montra sa langue, blanche. Elle avala. Naimant pas le gâchis, elle prit tout le reste avec ces doigts et le mit en bouche. Elle avala une seconde fois. Elle me lava ma bite, puis on remonta, exténués.
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