Mon Prof De Math ( 3 ) Métro / Chez Lui

[ Suite du récit de l’auteur « N0RA » j’ai perdu le mot de passe . ]

Je sors du métro en souriant et en repensant à ma journée… Finalement, je crois que je vais quitter mon copain, le chemin que me fait prendre. Arnaud me plaît de plus en plus.

Deux semaines passent sans cours... Ma mère m'explique que comme mes notes sont bonnes, elle a dit à Arnaud que les cours n'étaient pas indispensables en ce moment :
- Mais, Maman ! J'ai un gros contrôle la semaine prochaine, je ne suis pas sûre de moi... Je préférerai vraiment passer une après midi à réviser. C'est un très bon prof tu sais ?
- Tu crois ? Je vais voir ça avec lui alors.

Le lendemain, mercredi, ma mère m'annonce avant de partir que je dois me rendre chez lui mais qu'il me contactera pour les horaires.
Je reçus sur mon portable :
Viens à partir de 14h. J'ai dit à ta mère que tu serais chez moi à 15h, cela nous laisse 3h pour nous.
Je veux te voir en robe et avec les sous vêtements de ma couleur préférée. Il ne te reste que 2 essais.

Des frissons me parcourent le corps en lisant ce message.


Le temps passe, je suis prête et sur le chemin. J'ai mis une petite robe noire moulante et, arrivant quelques centimètres sous mes fesses, sans bretelle. Et comme sous-vêtements, j'hésite longuement. Je réfléchis, les idées confuses, je finis par me décider. Un soutien gorge vert et un string de la même couleur. J'espère que c'est la bonne...

Je suis dans le train pour me rendre jusqu'à chez lui. Plus motivée que jamais à quitter mon copain et à profiter. Je vois un jeune homme me fixer. Je m'amuse à écarter les cuisses et à m'agiter pour que ma robe monte, lui laissant une vue sur mon entre jambe. Je me lève, il fait de même. Je me tiens à une barre, près de lui, faisant exprès de me coller à lui à chaque mouvement du train. Je fais semblant de tomber, prétextant cette chute pour agripper sa main et la coller à mes fesses en lui chuchotant :
- Je descends dans 5 minutes, le wagon est presque vide, à toi de voir ce que tu veux.


Pour toute réponse, je sentis un doigt s'introduire entre mes cuisses, j'ondule mes fesses contre lui. Je le vois faire tomber un papier, je me baisse, tenant mes fesses contre son jean, je sentis soudain deux doigts s'enfoncer en moi. Il me poussa sur un des sièges pour plus de discrétion et accélérait ses mouvements. Son autre main se glissait dans mes cheveux qu'il tira doucement.
Le son de l'appel de mon arrêt me sorti de ce moment de léger plaisir. Je le repoussais, laissant un suçon dans le haut du cou. Décidément, il était vraiment trop doux pour moi...

J’arrive en bas de l’immeuble de Arnaud. Je monte, j’ai dix minutes de retard… J’entre dans son appartement.
- Eh bien. La ponctualité ? Me dit-il.
-Je suis désolée, des problèmes dans le train…
- Viens là, le cours ne commence que dans une heure.
- Justement, je suis sûre de moi en ce moment en math. Je n’en ai pas besoin cette fois. Lui dis-je avec un sourire en coin.
Il me regardait de haut en bas.
- Ta robe est belle, tu es vraiment une très belle jeune femme me siffla t-il.
Excitée, je m’avançais vers lui. Il reculait jusqu’à sa chambre. Il me fait lui tourner le dos, et se place derrière moi. Je me laisse faire sans crainte. Un coup me pousse en avant, mais comme il me tenait fermement les hanches, seule le haut de mon corps parti en avant. Je suis donc les jambes assez écartées, debout et cambrée en avant les mains sur son lit.
Je sens Arnaud frotter son jean contre ma robe. Il promène ses doigts le long de mon string.
- Ce n’est pas ma couleur préférée. Tu seras donc punie, mais assez gentiment, il te reste encore un essaie.
J’entendis sa braguette s’ouvrir, sentis ses mains sur mes fesses. Elles remontaient ma robe juste au dessus de mes fesses. Il glisse ses doigts sur le fin tissu de mon string et passe un doigt pour le tirer et le relâcher.
- Aie !
Je me retourne pour le regarder, sa chemise était ouverte et laissait apercevoir une très belle vue de son corps parfait.
Une musculature de rêve, un sourire de dieu… Je me mords la lèvre en regardant ce torse qui me donnait tant envie.
- Eh bien ? Que regardes-tu comme ça ? Je t’ai dit que tu serais punie, n’espère pas que j’ai oublié cela. Es-tu toujours avec ton copain ?
- Oui, mais je pense le quitter… Je…
- Très bonne idée. Je veux te montrer ce que c’est qu’être épanouie ma belle.
Pendant tout le dialogue, sa main frottait mes fesses et mes cuisses. Je voulu me redresser, mais une main ferme m’obligea à rester cambrer ainsi.
- Non, reste ainsi, ne t’en fais pas, tu vas aussi profiter.
Il se positionne derrière moi et glisse une de ses mains sur ma poitrine qu’il sert fort. J’ondule mes hanches par plaisir, il le remarque très vite…
- Eh bien, je ne t’ai encore rien mis et tu gémis déjà ? Il t’en faut peu dis moi. Mais, tu es déjà toute humide. Je vois que tu te laisses désirer. Explique moi cela.
J’explique à Arnaud mes aventures dans le métro sans oublier de détails. Plus les détails étaient croustillants, plus je sentais sa main s’approcher de mon clitoris. Quand je lui racontais mon aventure avec le jeune homme en couple dans les wc du métro, je sentais un doigt s’enfoncer en moi. Il accélérait les mouvements quand je lui racontais mon aventure d’aujourd’hui, et enfonça trois doigts quand je lui dis que j’ai pris du plaisir à exciter le jeune homme dans le métro vide…
- Plus tu te dévergonderas, plus je te récompenserai. Tu me suis ?
Pour toute réponse, je gémis légèrement tant il me faisait plaisir de ses doigts…
- Assez profitée, à moi de prendre plaisir.
J’entendis sa braguette se défaire et senti une présence à l’entrée de mon vagin. J’ondulais mes hanches, impatiente. Doucement, il pénétrait le bout de son gland en moi, je frissonnais de plaisir, mon corps ne me répondait plus, j’attendais seulement de le sentir en moi, qu’il y aille à fond, je voulais sentir son sexe dur dans mon bas ventre. Il continuait toujours doucement, mes jambes tremblaient.
Je posa ma tête sur le lit, mes fesses lui étaient totalement tendues.
Soudain, je le sentis s’introduire en moi entièrement, et faire des mouvements violents. Mon corps se secouait au rythme de ses hanches, je gémissais sans me retenir, je gémissais son prénom. Ses deux mains étaient sur mes hanches pour accompagner ses mouvements, jusqu’à ce qu’une de ces mains aille agripper mes cheveux pour les tirer en arrière. Je gémissais encore plus sous cette violence douce mais tellement agréable. Dans un gémissement de plaisir, j’articulais une phrase…
- Je veux te sucer, laisse moi te sucer, et, hm, laisse ton foutre se rependre sur moi…
Ma phrase fut coupée par un gémissement.
- Entrepreneuse dis moi ?
Il gémissait aussi, me claqua une fesse et m’ordonna de me retourner.
Je pris mes mains et baissa un peu plus ma robe pour lui dévoiler une vue plongeante sur mes seins. Il me présenta son
sexe et je le pris en bouche goulument. Je suçais aussi bien que je pouvais, léchant le bout de son gland, glissant mes mains sur ses testicules, l’enfonçant tantôt entièrement, tantôt juste le bout… Il accompagnait mes mouvements de ses mains qui tenaient fermement mes cheveux.
- Ça vient…
J’ouvris la bouche face à son sexe en fermant les yeux. Il sourit en me voyant soumise à lui.
Il se lâcha à moitié dans ma bouche, en partie sur mes lèvres, et fit exprès de laisser couler la dernière giclée sur ma robe noire, au niveau de ma poitrine.

- Laisse moi tes sous-vêtements et va te mettre au bureau. Pas de répits pour les salopes comme toi. Mais tu es une bonne salope, la meilleure même.

Le cours se passa sans interruptions, j’aurai adoré sentir ses doigts encore en moi. J’étais fière de lui avoir donné du plaisir, je me sentais femme.



( excusez moi pour le manque de publication, je pense recommencer à publier plus souvent !

La suite ? Dans le métro ? Chez moi ? Chez lui ?
Une envie ? Proposez en commentaire ! )

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