Un Plaisir Partagé Est Un Plaisir Double (15)

Un plaisir partagé est un plaisir double (15)

« - Bonjour ma chérie comment vas-tu ? Il fait beau aujourd’hui et cela ne te dirait pas de venir marcher un peu avec nous depuis le temps que nous sommes enfermés avec ce covid. »

« - Si tu veux, j’enfile une veste et j’arrive chez toi. »

Ma copine avait préparé le café et nous avons discuté un moment. Elle avait mis sa petite robe noire qu’elle avait achetée avec moi, j’ai vu qu’elle avait suivi les conseils d’Ahmed en ayant pas de soutien gorge. Elle lui moulait bien ses seins et ses tétons gros comme grains de café pointaient sous le léger tissu de sa robe.
Nous demandons à André s’il voulait nous accompagner mais il refusa étant occupé à jouer sur son ordinateur.

« - Où allons-nous ma belle ? »

« - Je ne sais pas j’avais pensé aller à la sablonnière, voir comment cela se passe dans la journée et s’il y a beaucoup de voyeurs. Lorsque ton mari nous y a emmené au retour du restaurant il faisait nuit. Et s’il n’y a personne sur le parking, nous pourrions toujours nous promener dans le bois. »

« - Tu à l’air d’aimer t’exhiber maintenant, mais tu n’es pas sérieuse, nous ne pouvons pas y aller seules. C’est un endroit pas très fréquentable où il n’y a que des hommes et même dans le bois, nous ne serions pas en sécurité. Nous n’avons jamais eu de problèmes, mais j’y suis toujours allée en compagnie de mon chéri. Nous aurions pu nous y rendre si André avait voulu nous accompagner. Si vraiment tu veux que nous t’y rendre nous pouvons retourner chez moi et si mon mari est rentré du travail, on peut lui demander de nous y conduire. »

Mon homme était sous la douche lorsque nous sommes arrivés. Nous sommes allés lui demander dans la salle de bain s’il voulait bien nous y conduire.

« - Ces dames ont envie de sexe ? Laissez-moi m’habiller et je vous y emmène et je serais votre accompagnateur. »

Un quart d’heure après nous étions en voiture en direction de la sablonnière.

Il y avait quelques voitures, nous nous sommes garés en marche arrière dans le fond du parking en laissant nos veilleuses allumées (signe distinctif qu’il y avait au moins une femme dans la voiture.) Nous étions postés de cette façon à voir tous les mouvements dans la clairière. Pendant dix minutes en attendant que ça bouge mon chéri à demandé à Annie :

« - Alors vous vous êtes éclatées sur la scène de peep show ? D’après ce que m’a raconté Chantal, et tu serais chaude pour t’y produire régulièrement comme Amhed vous l’a proposé ? En as-tu parlé à André ? Il a du être surpris de te voir avec un piercing, je crois qu’il n’était pas au courant. Comment l’as t-il pris ? »

« - Non, il ne sait pas que je me suis exhibée nue devant des voyeurs. Pour ce qui est d’accepter la proposition d’Ahmed et de faire le show si ta femme m’accompagne, je pense que je recommencerais mais sans en parler à mon mari. Pour le piercing, il l’a plutôt bien pris, sauf qu’il m’a reproché d’écarter mes cuisses un peu trop facilement en montrant ma chatte à ce tatoueur. J’ai beau lui expliquer que c’est son métier, il a toujours une petite réticence »

« - Il a encore bien du mal de te voir dans les bras d’un autre mais il à fait des progrès. Voilà une voiture peut être un client pour vous mesdames. Je vais passer à l’arrière avec Annie si cela ne te dérange pas ma chérie. Au fait je ne sais même pas ce que vous avez une culotte, peut-être que vous n’en portez pas ? »

« - Non cela ne me dérange pas que tu sois avec ma copine, comme c’est sa première véritable exhibition elle sera plus en confiance avec toi, tandis que moi ce n’est pas mon baptême, je ne suis plus une débutante. Et pour nos culottes, tu le découvriras en même temps que les autres si nous avons la chance d’avoir du public. »

Le conducteur depuis sa voiture nous fit un appel de phare, comme je m’étais mise au volant je lui ai répondu en lui faisant la même chose. Il est descendu de sa voiture en s’avançant vers nous.


« - J’ai entendu dire qu’il y avait des couples qui s’exhibaient sur ce parking. C’est la première fois que j’y viens, êtes-vous un de ces couples ? » Nous demanda t-il en me regardant. »

« - Oui nous sommes des adeptes du dogging, et vous aimeriez mater ma copine ? » Dit Bob en caressant les cuisses d’Annie.

« - Elle est très jolie et très sexy dans sa petite robe, je suppose que ce qu’il y a dessous doit être superbe. »

« - Vous êtes un habitué de ce genre d’endroit ? Vous savez qu’il y a des règles à respecter. Si la femme abaisse une des vitres de la voiture, c’est qu’elle vous invite à la toucher, autrement elle s'exhibera devant vous en se caressant ou en se faisant tripoter. De l'extérieur de la voiture vous pourrez la mater et vous branler devant elle. Elle peut également accepter ou non de vous masturber et de vous pratiquer une fellation et de vous laisser prendre son sexe debout, sur le capot, contre un arbre... mais toujours avec préservatif. Et enfin elle peut accepter de recevoir sur son visage, sur son corps votre offrande. Vous avez bien compris qu’elle est la seule cheffe à bord et que c’est elle qui dirige la tendance de se faire tripoter selon ses envies. »

Annie avait bien écouté les règles du dogging, elle avait l’air étonnée de voir que cela pouvait aller aussi loin dans les rapports avec des inconnus.

Mon chéri la prise dans ses bras et elle l’enlaça de ses deux bras autour de son cou, chercha ses lèvres pour l’embrasser. La main posée sur ses cuisses remonta doucement le long de ses bas pour sentir la chaleur de son intimité.

« - Je peux toucher, ton piercing ne te fait plus mal ? » En écartant sa petite culotte

« - Non, cela est bien cicatrisé, et toi ma chérie ? » En s’adressant à moi

« - Mon homme a déjà épingler sur mes petites lèvres le petit diamant qu’il m’a offert. »

« - Tu me le montreras, il faudra que nous allions choisir ensemble un petit bijou pour moi, ton mari pourras me le poser ? »

Mon mari était trop occupé à s’occuper d’elle pour lui répondre, il avait passé sa main sous sa robe, et lui caressait son sein, il écarta le tissu qui le recouvrait pour en faire profiter le mec qui les matait en se branlant.


Un, deux puis trois hommes sortirent du petit bois en voyant les veilleuses allumées de notre voiture, ils s'agglutinèrent autour. Parmi eux j'ai reconnu Daniel, un homme devant lequel je m’étais déjà exhibée ici même. Il nous a reconnus de suite en me faisant de grands sourires.

« - Quel plaisir de te revoir depuis le temps, ton mari t’a abandonné pour une autre jolie femme, si tu veux, je peux le remplacer, tu m’ouvres la portière ? »

J’ai lancé un regard vers mon mari, pour avoir son accord, il me répondit en me faisant un clin d’œil en signe d’approbation.

J’ai déverrouillé la voiture pour que Daniel s’installe à côté de moi. Il ne tarda pas à remonter doucement ma jupe jusqu'en haut de mes cuisses laissant apparaître la fin de mes bas et le fond de ma petite culotte, ses copains qui l’accompagnaient déboutonnèrent leur braguette en me montrant leur queue qu’ils masturbaient. Deux sexes en érection se dressaient à ma vitre latérale, m'incitant à leur en montrer un peu plus, mais je laissais mon compagnon prendre en main mon exhibition. Sa main baladeuse était maintenant montée en haut de mes cuisses et caressait mon entre jambes par-dessus ma culotte qui commençait à se mouiller. Daniel écarta ma petite culotte en me masturbant devant ses copains. Il glissa son doigt dans ma fente à la recherche de mon clitotis.

Sur le siège arrière mon chéri avait fait glisser la culotte d’Annie en bas de ses pieds et lui caressait son minou. Elle avait une jambe relevée et elle écartait les lèvres de sa boite à coucou pour montrer au mec qui se pignolait devant elle son petit oiseau caché à l'intérieur. Un de mes voyeur passa à la vitre arrière et lui montra son membre en érection, il était superbement bien membré par rapport aux deux autres. Mon mari avait lui aussi baissé son pantalon, la main chaude de ma copine lui asticotait son sexe, à quatre pattes dans la voiture, les fesses collées contre la vitre elle se pencha sur lui pour la sucer.
Sa position, offrait au nouveau venu, une vue imprenable sur son petit jardin qui n’avait plus rien de secret. Elle avait mis le feu en montrant ainsi son popotin.

Les envies de nos voyeurs devenaient plus pressantes et les sexes s'agitaient de plus en plus vite devant les vitres de la voiture, Daniel retira ma culotte et baissa la vitre de mon côté et m'encouragea à m'occuper d'eux en les caressant et en les branlant. Il me regardait faire tout en palpant mon cul. Comme j’étais habillée chaudement, il renonça à leur montrer mes seins, (à l’inverse de vous, qui pouvez les voir sur mon avatar) il lui était difficile de retirer où de soulever mon pull, mon sous pull et mon soutien gorge pour mettre mes seins à l’air. Je n’avais pas prévu qu’Annie aurait eu envie de venir à la sablonnière pour une exhibe, d’ordinaire lorsque je viens ici, je porte des dessous beaucoup plus sexy et des vêtements plus faciles à retirer.

J’ai entré ma main dans le pantalon de l'un de mes fans qui n'osait pas me tripoter en passant sa main par la vitre, je l'ai mise en condition pour qu'il soit moins timide en lui soupesant ses testicules tout en me réchauffant les doigts. Il s’est approché pour que je le suce. L’autre voyeur s’était collé contre la portière en me présentait sa queue. Il passa sa main par ma vitre ouverte et la remonta jusqu'à la limite de mes bas me faisant frissonner avec sa paluche froide sur ma chair dénudée. J'écartais les jambes pour qu'il puisse caresser mon mollusque. Non content que je m'offre à lui, il demanda en s'adressant à mon compagnon :

« - Je peux baiser votre femme, j'ai toujours des préservatifs sur moi ? »

Bob lui répondit :

« - Ce n’est pas à moi de vous donner la permission, seule mon épouse peut vous donner son approbation. »

Comme je désirais aller plus loin avec cet homme qui n’était pas mal du tout et qui avait l’air de savoir s’y prendre, je suis sortie de la voiture et j’ai pu regarder ma copine aux prises avec deux gars qui avait l’air de s’éclater en lui caressant son troufignon.

Elle était en position de levrette et le cul en buse pour sucer mon homme, devant ces hommes qui se masturbaient en lui regardant sa jolie fissure. Il n’y avait que l’épaisseur de la vitre qui empêchait la communion de leurs sexes avec la moule de ma chérie. Mais s’était fini mon mari venait d’ouvrir la vitre de son côté. Il retroussa sa robe sur son dos, ses cuisses ouvertes, leur donner l'opportunité de la caresser et même d’introduire leurs doigts dans sa chatte. Je l’ai vu se relever lorsqu’elle à senti un doigt se glisser dans son fion. Mon chéri l’encourageait et la réconfortait en lui caressant les seins pendant que l'on s'occupait de son arrière train. Mais sous les contestations de ses soupirants qui ne pouvaient pas accéder assez facilement à son fourreau de chair, Bob déverrouilla la portière pour que ses admirateurs puissent avoir libre accès à ses charmes. Ils écartèrent son joufflu pour avoir un panoramique sur son corridor des braves. Leurs envies devenaient trop grandes à la vue de sa craquette et de son troufignon, l'un d’eux glissa sa langue dans son jardin secret et lui fit une feuille de rose pour aguicher son trou de balle, puis lentement il descendit le long de sa raie en effleurant les contours de ses babines. Elle s’est cambrée pour lui offrir le fruit de ses désirs. Sa langue chercheuse se glissa dans un premier temps dans sa fente. Il lui colla sa tête dans le cul et se mit à lui aspirer les chairs tendres de mon vagin qu'il enserra entre ses lèvres et se mit à asticoter son clitoris en le léchant. Inutile de vous dire qu’elle n’a pas tenu bien longtemps avant d'avoir un orgasme.

Quant à moi, je faisais face à mon partenaire, il baissa son pantalon sans aucune pudeur et naturellement son sexe s’érigea en pleine érection, il était dur et tendu vers moi. J'ai commencé à sucer son gland violacé, décalotté
J'avais désormais sa verge jusqu’au fond de ma gorge.

Une nouvelle voiture ne s’est garée pas très loin de nous. Un autre homme un peu plus jeune s’est approché de nous et s'adressant à mon premier voyeur, j'entendis qu'il lui disait tout bas :

« - Combien prend t-elle ? » Et l'autre de lui répondre :

« - Profites-en pour une fois que c'est gratuit, c'est son mari qui nous l'offre. »

Le deuxième homme, descendit son pantalon en attendant son tour et pendant que je continuais à sucer, il me caressait les fesses en essayant d’atteindre ma chatte. Je lui ai ouvert le passage en écartant mes cuisses, ses caresses étaient très douces. Le premier se retira pendant qu’il me laissait faire une fellation au plus jeune il déroula une capote sur son sexe en érection. Retira son pantalon, me pris dans ses bras pour me transporter sur le capot de la voiture, troussant ma jupe jusqu'à ma taille, il installa mes jambes sur ses épaules, collant ses chairs aux miennes. Son pieu chercha un moment l'ouverture et s'introduisit lentement en moi en écartant ma fente. J'avais les fesses au chaud sur le capot du moteur. Cette situation de faire l'amour de cette façon pratiquement nue, en plein air et à la fraîcheur, m'excitait et je commençais à prendre du plaisir.
Sous ses coups de butoir, je devais m'accrocher aux bouches d'aération de la voiture pour ne pas glisser. Offerte à cet inconnu sur ce parking me faisait couler ma cyprine le long de mes fesses et ce gland qui avait pris possession de ma fente glissait doucement en profondeur. Des jets de foutre complétèrent ma jouissance. Il me palpait les seins par-dessus mon pull en me disant que j'étais une belle cochonne.

« - Tu es une vrai petite salope, mais putain que tu es bonne. »

Annie et Bob sont venus me rejoindre, la séance de dogging était terminée pour eux aussi, les hommes remontèrent leur pantalon et nous avons pris congé de tout le monde. Annie avait prit un mouchoir en papier pour se nettoyer les fesses, elle avait reçu son cadeau de bienvenue de la part de ses admirateurs qui lui avaient giclé sur sa croupe. Après avoir rajusté notre tenue, nous sommes remontés en voiture.

Mon mari ramassa sur le plancher ma petite culotte, m’ouvrit les cuisses, m'essuya ma chtoune avec et la jeta par la fenêtre comme une mariée qui jette son bouquet pour savoir qui sera la prochaine, ils se seraient presque battus pour la récupérer mais cela ne voulait pas dire que celui qui s'en ai saisie pourra coucher avec moi.

« - Tu vois nous avons fait un heureux, ce soir dans son lit il va se masturber en reniflant ta culotte tout en repensant à toi. Alors Annie comment as tu trouvé ta première exhibition en public ? »

« - Je trouve cela superbement excitant, d’être caressée par des mains inconnues, j’ai ressenti une poussée d’adrénaline, c’est en même temps stressant et euphorisant, j’ai même eu un orgasme. Je remercie ta femme de m’avoir laissé entre tes bras, cela m’a permis de m’apaiser mais aussi de me déculpabiliser envers mon mari et de me détendre lorsque ces étrangers s’en sont pris à mon fessier. Je ne pense pas que j’aurais eu l’audace d’entreprendre ces messieurs en leur faisant une fellation ou de me faire prendre comme l’a fait ta femme par l’un d’eux pour le moment. Bien que lorsque l’on m’a bouffé l’abricot, j’ai trouvé cela bien agréable et si au lieu d’y mettre la langue il m’avait mis son Jésus, je ne sais pas si j’aurais eu le désir de lui dire non. »

Et elle ajouta :

« - Quel dommage que je sois toujours obligé de cacher tout cela à André, ce serait tellement plus simple qu’il soit comme toi et de pouvoir prendre le plaisir, lorsqu’il se présente. »







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