Mon Cousin Thomas
Je mappelle Stéphane, et lhistoire que je vais vous raconter sest déroulée il y a deux ans. Alors âgé de 21 ans, je faisais 1m 85 pour 73 kg. Sportif, je pratiquais régulièrement plusieurs sports, en particulier la natation. Blond aux yeux bleus, finement musclé et élancé, javais un certain succès avec les filles ce qui était loin de me déplaire. Je ne me posais pas trop de questions sur ma sexualité et prenais le temps de mamuser, tout en me consacrant à mes études.
Lété dernier, javais prévu de passer deux semaines dans la maison familiale près de Perpignan. La sur de ma mère, Violaine, et son mari Esteban devaient nous y rejoindre. La maison est grande, avec une belle piscine et dispose dune cabane aménagée au fond du jardin. Cest là que je minstallais habituellement, de manière à être indépendant. Quelques jours avant le départ, Violaine demanda si Thomas, son fils et donc mon cousin pouvait venir. Thomas venait de rompre avec sa copine et du coup les vacances prévues avec son ex tombaient à leau. Mes parents acceptèrent sans problème et pour ma part, je me disais que la compagnie de Thomas serait la bienvenue. Je proposais même quil occupe la cabane avec moi. Je navais pas vu Thomas depuis plusieurs années ; nous étions alors adolescents et nous nous entendions plutôt bien.
Cela faisait trois jours que nous étions arrivés lorsque ma tante, son mari et mon cousin Thomas débarquèrent. Je ne reconnus pas mon cousin. Ladolescent boutonneux de mes souvenirs était devenu un beau et grand gaillard d1m90 et 93kg. Thomas était musclé, très musclé même. Son tee-shirt laissait entrevoir de beaux pectoraux recouverts de poils noirs et ses tétons pointaient sous le tissu ; ses bras étaient puissants et velus et ses cuisses, très poilues aussi étaient quasiment deux fois plus grosses que les miennes. Thomas avait également un très beau visage, masculin, viril, adouci par deux magnifiques yeux bleus. Ses cheveux bruns coupés très courts et sa barbe de trois jours lui donnaient incontestablement un air sexe.
Alors que je le contemplais, il vint vers moi et me donnant laccolade me dit :
- Alors Stéphane, comment vas-tu ? Tu as beaucoup changé, je tai à peine reconnu !
- Je tai à peine reconnu moi aussi, tu as
grandi
- ment, je nallais pas marrêter de grandir à 13 ans
- On ne sest pas vu depuis 10 ans ? Tant que ça ? ça va nous faire pas mal de choses à nous raconter
- Oui, jai aussi besoin de me changer les idées
- Tu vas tinstaller dans la cabane avec moi, il y a assez de place et ça nous éviteras dêtre avec nos parents
je te fais visiter.
Thomas avait 23 ans et moi 2 de moins. Jétais sincèrement content de le revoir et je me disais que ça serait sympa davoir un pote de drague, dautant quil était à nouveau célibataire. Dans le même temps, jétais un peu troublé par sa présence, cette masculinité et cette virilité quil dégageait. Je navais connu que des filles mais je trouvais quun sexe dhomme pouvait être attirant. Je navais cependant jamais franchi le pas et javais limpression davoir raté quelque chose.
Une fois la visite faite, nous rejoignîmes le reste de la famille pour lapéro. Nous parlâmes de tout et de rien. Au bout dun moment, je proposai à mon cousin de faire un petit tour en voiture ; loccasion aussi dêtre loin de nos parents respectifs. La région est belle et cétait loccasion de bavarder en toute liberté. Thomas me demanda alors :
- Et toi alors, toujours célibataire ?
- Oui, complètement, ce qui ne mempêche pas de mamuser un peu. Mais tu sais, mes études ne me laissent pas le temps denvisager une relation sérieuse.
- Ça viendra
quand tu trouveras une fille qui te plaira vraiment. Tu vois, moi jétais engagé avec une nana, mais on a rompu au bout dun an.
- Elle est partie ?
- Non, cest moi qui ai décidé darrêter. Elle belle et intelligente, mais niveau sexe ce nétait pas parfait ! Alors ment ça a fini par craquer
- Ah bon ? Elle naimait pas ça?
- Disons que nous navions pas les mêmes besoins.
- Et tu es parti pour ça?
- Non, pas que ça
elle manquait dimagination au lit, et puis je voulais essayer de nouveaux trucs, mais pour elle pas question !
- Nouveaux trucs comme quoi ?
- Ben, je suis très branché sodo
enfin, jai jamais essayé, mais jen avais très envie. Elle a toujours refusé, disant quelle avait peur davoir mal. Je ne suis pas une brute, jaurais aimé essayer et puis si ça ne va pas, on arrête
non, pour elle, nada... elle ne voulait rien savoir, et disait ma queue est trop grosse
- Oui, les nanas seffraient pour un rien.
- Un rien, non ! Je reconnais que jen ai une grosse
mais bon, elle aurait du me laisser essayer.
- Elle est grosse à ce point ? Ou cest toi qui manque de modestie ?
- Ben 26 cm de long et 7 cm de large cest pas mal
Et il éclata de rire ; un rire viril, masculin. Je sentis mes joues sempourprer et une chaleur envahir mon torse. A vrai dire, Thomas portait un large bermuda qui ne laissait rien deviner de ce qui se cachait dessous. Ses propos excitèrent ma curiosité et javais très envie de voir son sexe ; je préférais cependant changer de sujet.
Après la ballade en voiture, nous rentrâmes à la maison. Le reste de la journée se passa tranquillement. Un diner familial autour du barbecue vint conclure la soirée, puis Thomas et moi rejoignîmes la cabane pour nous coucher.
- Je vais me doucher à moins que tu ne préfères commencer ?
- Vas-y, jirai après toi
Une petite vingtaine de minutes après, Thomas ressorti de la salle de bain. Il portait un caleçon aux motifs bigarrés, mais il était diablement sexy, avec ses larges épaules et ses pectoraux saillants couverts de poils noirs. Ses tétons rosés tranchaient avec le noir de sa pilosité ; son ventre était délicieusement herbu avec un tourbillon de poils autour de son nombril ; ses cuisses puissantes et velues étaient impressionnantes
A mon grand désespoir, son caleçon ample cachait bien lobjet de ma curiosité.
Pendant que je lexaminais de la tête au pied, il me dit :
- Ben alors, tu rêvasses ? Tu as la salle de bains pour toi maintenant.
Il ne semblait pas avoir remarqué mon trouble. Je me précipitais alors vers la salle de bain, pour me doucher à mon tour, tandis quune forte érection déformait mon slip. Jessayais alors de me calmer en laissant leau froide couler sur mon torse puis sur mon bas ventre.
La douche finie, je mis un slip propre avant de sortir dans la salle de bain. Thomas était en train de sortir le lit de camp du placard. Saisi par je ne sais quel démon, je lui dis :
- Le lit de camp est plutôt inconfortable, je propose quon partage le lit. Il est assez large et tu y dormiras beaucoup mieux.
- Je ne veux pas te déranger mais tu as sans doute raison. Une bonne nuit de sommeil ne sera pas de trop.
Je me couchai alors sur le côté, faisant face au mur tandis que Thomas se mis sur le dos, jambes légèrement écartées. Jétais très excité à lidée davoir ce corps splendide juste à côté de moi, et surtout cet énorme sexe à portée de main
Thomas ne tarda pas à sendormir, et il commençât à ronfler légèrement. Je narrivais pas à trouver le sommeil, ma queue était raide et je ne cessais de penser aux petites confidences de mon cousin. Après presque une heure passée a me tourner et à me retourner dans le lit, je me redressais bien décidé à voir ce que le caleçon de Thomas cachait à ma vue. Je mapprochais ainsi lentement de son caleçon, et écartais délicatement louverture du sous-vêtement. Thomas dormait profondément et je menhardis à saisir sa verge molle et à la sortir à travers louverture du caleçon. Mon rythme cardiaque saccélérait tandis que je découvrais le sexe de Thomas. Il était simplement gigantesque ; une large et longue hampe avec un prépuce qui couvrait complètement un énorme gland. Bien quau repos, le sexe de Thomas avait des dimensions impressionnantes, avec de grosses veines qui le parcouraient. Mon sexe était raide et mon excitation était à son comble.
Je dois dire que Thomas navait pas menti ; il était particulièrement bien doté par la nature. Jai vu beaucoup de mecs à poil dans les douches après mes entrainements mais je navais jamais rien observé de tel entre leurs jambes. Javais moi même un sexe de 20 cm de long pour 5 bons cm de large, mais la vue de ce démonte-pneu me complexait et mexcitait en même temps. Thomas continuait à dormir et sans trop réfléchir à ce que je faisais, japprochais mes lèvres de lextrémité de sa queue et laissais ma langue titiller son méat. Je ne me contrôlais plus, ma bite turgescente déformait mon slip, des décharges électriques parcouraient mon torse et faisaient se dresser mes tétons. Je gobais alors lextrémité de la queue de Thomas et pratiquais ainsi ma première fellation sur mon cousin endormi. Je découvrais alors son gland avec ma langue et petit à petit la bite de Thomas devenait dure et raide. Son sexe est ainsi devenu absolument énorme et je ne réussissais à enfoncer guère plus du tiers de son pieu dans ma gorge. La hampe de thomas était dressée à la verticale, les veines qui la parcouraient était dilatées et palpitaient pour faire affluer le sang dans cet organe surdimensionné. Je sentais un liquide salé, translucide et filant couler sur ma langue. Le pré-sperme de Thomas était abondant et son odeur se mêlait à celle plus musquée de son bas ventre. En réponse à cette caresse buccale, Thomas écartait davantage les cuisses tout en ronronnant. Absorbé par cette fellation nocturne improvisée, je ne me rendis pas compte quil émergeait progressivement du sommeil. Je sentis alors une grosse main se poser sur ma nuque pour mieux guider mon mouvement.
- Vas y, prends bien ma bite
ne sois pas timide, enfonce là bien dans ta gorge me dit-il
- Elle est vraiment trop grosse lui dis-je en reprenant mon souffle
- Vas y, masse bien mon gland avec ta gorge et remonte sur ma hampe, encore plus profond
putain, tu as une bonne bouche bien humide. On dirait que tu as fait ça toute ta vie. Continue, laisse ta langue rouler autour de mon gland !
Je métouffais presque alors que moins de la moitié de la bite de Thomas était dans ma gorge.
- Arrête une minute me dit-il, je vire mon caleçon !
Aussitôt dit aussitôt fait. Thomas était à présent demi assis et javais la tête enfouie dans la masse noire des poils de son bas-ventre. Ses couilles hyperpoilues étaient énormes et il sen dégageait une odeur de sueur virile et masculine. Je continuais à sucer lénorme membre de Thomas et gobait ou tentait de gober ses boules poilues.
- Tu es un expert, jamais mon ex ne ma sucé comme ça ! Ta bouche est bien gourmande
Dans le même temps, alors que jétais à quatre pattes face à Thomas, ma tête entre ses cuisses et ma bouche autour de son chibre, je sentis une main se glisser dans mon slip et un doigt fureter dans ma raie et sattarder sur mon anus serré. Thomas humidifia son majeur avec sa salive et revint à la charge en introduisant progressivement son doigt dans mon cul vierge.
- Non Thomas
je ne pourrais pas
- Détends toi
on va se faire du bien
- Non, non, je suis vierge et je nai jamais fait ça
- Je ne fais que jouer avec ton cul
Pas daffolement, je nirai pas plus loin.
A moitié rassuré, je laissais Thomas enfoncer un puis deux en enfin trois doigts dans mon trou. Je mouillais du cul et cette sensation rajoutait à mon excitation. Je narrêtais pas pour autant ma fellation, grisé par cette grosse bite qui remplissait ma bouche et mouillait abondamment.
- Putain, elle est bien serrée ta fente ; je me demande ce que ça ferrait de fourrer ma queue dans ton trou de mec.
Soudain, Thomas minterrompit et sans même me laisser le temps de réagir se plaça derrière moi. Jétais à quatre pattes, face à la tête de lit quand Thomas vint se positionner et plaça sa queue raide contre mes fesses. Il tirât alors sur mon slip et me le retira complètement. Il avait alors une vue imprenable sur les fesses musclées et légèrement écartées et sur mon cul duveteux et vierge.
- Ne tinquiète pas, je vais juste frotter ma queue contre ton cul. Je nai pas lintention de te faire mal
Il commençât alors à faire coulisser sa verge dans ma raie, son pré-cum faisant office de lubrifiant. Mon sphincter anal palpitait dexcitation et je me disais que Thomas ne tenterait pas daller plus loin.
- Putain, avec la chatte que tu as jai du mal à croire que tu sois encore vierge
Personne na essayé de te violer dans les vestiaires ?
- Je nai jamais fait ça avec un mec
- Moi non plus ! Mais cette fente aux lèvres rosées et humides, cernée de duvets blonds est un appel au viol.
- Pas ça Thomas, je ne suis pas
je ne suis pas homo
Je disais vraiment nimporte quoi. Lénorme bite de Thomas faisait des va-et-vient, calée dans ma raie humide, alors que je tendais les fesses comme une catain.
- Attends, faut vraiment que jessaye. Cest trop tentant ! Une bonne chatte comme ça, loccasion est trop rare pour la laisser passer.
Thomas crachat sur mon cul et introduisit brutalement le bout de son gland dans mon anus. La douleur fut brutale et une intense sensation de brûlure parcourut mon sphincter anal, me coupant littéralement le souffle.
- Non Thomas, arrête, je ne veux pas. Arrête
- Calme toi, je veux juste mettre mon gland
respire un bon coup et pousse
- Jai trop mal, arrête !
Dans le même temps je tendais les fesses à mon enculeur. La douleur était trop vive, ce qui nempêchait pas Thomas de progresser centimètre par centimètre dans mon rectum et dy enfoncer sa verge géante. Jétais complètement déchiré par sa bite, rempli par se monstre de chair
Progressivement la mouille de Thomas commença à lubrifier les parois de mon anus ; sa bite monstrueuse coulissait de plus en plus facilement dans mon cul béant. Je sentais les veines de sa verge frotter mes muqueuses humides et tièdes.
Thomas se penchât alors sur moi, caressant mon sein de sa main droite, titillant mon téton et me murmurant à loreille :
- Vas y
ouvre ton cul, je vais te remplir. Putain, ta chatte me serre bien. Tu nimagines pas comme cest bon. Allez, ouvre toi et donne moi ton boule
pas de pudeur entre nous.
- Doucement Thomas, ta queue est vraiment trop grosse.
- Trop grosse peut être mais elle est complètement rentrée dans ton trou. Jenfonce presque mes couilles dans ta fente là !
Je me sentais complètement dominé. Javais très mal mais un vague plaisir commençait à parcourir mes entrailles. Thomas avait sa bite complètement enfoncée dans mon cul écartelé et commençât de lents mouvement de va et vient. A chaque mouvement, je le sentais buter au plus profond de mon antre. Ses couilles battaient contre mes fesses et je sentais la chaleur des poils de son torse contre mon dos. Il ne cessait de me murmurer à loreille.
- Si tu savais comme ta chatte de mec est bonne. Bien plus serrée que tous les vagins que jai rempli. Oui, ton trou palpite autour de ma queue
putain
je naurais jamais cru que cétait si bon.
La douleur de lenculade se dissipait peu à peu et le plaisir que me donnait Thomas était indicible. Je tendais encore plus les fesses vers mon enculeur et secouait mon boule de manière à mieux me faire remplir par cette bite dexception. De temps en temps, Thomas faisait complètement ressortir sa queue de mon trou pour lenfoncer sans ménagement quelques fractions de seconde après. Il me limait vigoureusement et javais limpression que mon cul ne pourrait jamais se refermer. De temps en temps, les grosses couilles velues et pleines de sperme de mon cousin venaient buter contre mon entre-fesses. Du liquide séminal séchappait de mon méat tandis que Thomas sondait mon orifice de son membre turgescent. Ses mouvements se faisaient de plus en plus rapides et sa respiration saccélérât.
- Putain, jai les couilles pleines. Je vais bien tengrosser ma salope. Tu vas prendre tout mon foutre
Han
Je vais lâcher la purée !
Dans le même temps, il se redressât et me saisit par les hanches de manière à maintenir sa bite bien au fond de mon trou défloré. Jéclatais alors dun violent orgasme et plusieurs jets de mon sperme épais atterrirent sur le drap. Thomas jouit en même temps que moi, et tandis que je me vidais de mon sperme laiteux, le foutre épais et gluant de Thomas emplit mon rectum recalibré par sa pine et commençât à séchapper de mon orifice anal. Son éjaculation semblait interminable, les saccades de sperme se succédant les unes aux autres et venant lubrifier davantage ma chatte violée et livrée aux assauts de mon cousin en rut.
Je mécroulais alors à plat ventre sur le lit. Thomas était encore sur moi et je sentais son corps chaud en sueur contre mon dos, et surtout sa bite toujours bien grosse et bien raide dans mon cul. Il restât ainsi de longues minutes avant de me déculer et de sécarter. Il me tournât le dos tandis que je me mis sur le côté, lui tournant le dos aussi. Mon trou restait béant et je sentais des flots de sperme séchapper de mon anus explosé et couler sur les draps.
Thomas sendormit très vite sans me dire un mot. Je ne tardais pas non plus à trouver le sommeil malgré toutes ses sensations nouvelles que je venais de découvrir.
Le lendemain matin, je me réveillais en découvrant un lit vide. Les nombreuses taches de sperme séché sur les draps mindiquaient que je navais pas rêvé et que mon cousin Thomas mavait bel et bien enfoutré avec sa bite de cheval. Je tirais rapidement les draps pour masquer les traces de notre jouissance. Je me levais alors en me dirigeais vers la salle de bain. Ma démarche était un rien hésitante, mon cul endolori navait pas récupéré des outrages que lui avait fait subir la bite de Thomas. Après une bonne douche, je mhabillais rapidement et sortais dans le jardin où toute la famille prenait le petit déjeuner. Mes parents et ceux de Thomas prenaient leur petit-déjeuner tranquillement. Thomas était là, torse nu, plus sexe que jamais. Je me dirigeais alors vers la chaise à côté de lui, la seule chaise restée libre
- Bonjour tout le mode, vous commencez sans moi ?
- On nallait pas tattendre me répondit ma mère. Dautant que Thomas nous a dit que vous aviez dormi tard. Jimagine que vous avez pas mal papoté !
- On a quasiment refait connaissance, cela faisait si longtemps rajoutât Thomas. Je redécouvre Stéphane là !
Je me sentis un brin gêné quand ma mère me demanda :
- Vous comptez faire quoi Thomas et toi aujourdhui ? Nous autres on va sans doute sortir toute la journée. Le temps sannonce magnifique.
Je neus pas le temps de répondre que Thomas annonçât, en posant discrètement sa main sur ma cuisse :
- On avait prévu de rester à la maison et de profiter de la piscine en toute tranquillité. Depuis le temps quon ne sest pas vu, on a encore plein de choses à faire et à se raconter
- Je ne vais pas me mêler de vos histoires de mecs dit alors ma mère ; le plus important est que vous profitiez de vos vacances.
- On en profite déjà répondit Thomas.
A suivre
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