Huguette, Mon Seul Amour
Pourvu quelle ne me surprenne pas. Jai la mauvaise (bonne) habitude de me masturber quand elle part au travail. Et là, j'en crève denvie, aussi je fais tomber le jean, je fais suivre le string. Je suis plus libre pour me livrer à mon plaisir quotidien. Pourtant elle me baise au moins une fois par jour (plutôt le soir).
Je reste assise pour commencer. Ma main caresse lintérieur des jambes, en montant depuis le genou vers ma chatte déjà humide. Quand mes doigts arrivent là où jaime, je ferme les yeux. Je me concentre sur ma caresse. Cest meilleur que bon de sentir mes doigt aller et venir pour arriver au but : un orgasme. Je me sers de lindex et du majeur repliés légèrement. La pulpe des doigts est souple, elle fait ressortir mon petit rocher.
Je le frotte doucement, et je me sens flotter vers un monde ignoré. Je prends un peu de cyprine dans mes doigts : je veux me gouter un fois de plus. Elle est toujours aussi bonne. Cest meilleur que le sperme : je nen ai gouté quune seule fois il y a longtemps. Berk
Jentre mes doigts au fond du vagin. Jaime me doigter à ce moment.
Un soir, au pensionnat, jai fait un essai avec ma culotte. Je lenfonçais en moi. Je devais forcer un peu. Jarrivais à la faire pénétrer là bas au fond de mon ventre. Je me souvient encore de cette sensation dêtre remplie. Elle était toute entière en moi. Avec deux doigts je la poussais encore un peu puis elle revenait vers le haut. Je recommençais pour le même résultat, sauf que je sentais mon plaisir plus fort à chaque fois. Je ne pouvais mempêcher de gémir et dire tout haut ce que je ressentais. Si javais du me taire, je naurais pas connu les caresses dHuguette, ma voisine, qui un soir juste avant que je jouisse est venue tout contre moi, ses mains sur mon corps. Je les sentais me caresser à peu près partout, surtout quand sa main a remplacé la mienne. Oh, cette nouvelle masturbation en compagnie dune autre copine. Jallais quand sa bouche est venue sur le mienne.
Sa langue état douce contre la mienne, pendant que sa main prenait en entier ma chatte offerte. Je me souviens de leffet quelle me faisait avoir : je me laissais branler par une autre. Elle savait bien me donner du plaisir, elle était la championne de la branlette.
Je cherchais à rendre ce quelle me faisait. Je commençais par caresser un sein, puis je descendais vers sa chatte. Quelle joie darriver sur ses poils. Je le peignais un peu avant denfoncer ma main dans sa fente. Ma première fente autre que la mienne. Elle changeait de position, venait sur le dos, écartait ses jambes. Javais libre accès à son intimité. Elle était toute mouillée, mes doigts glissaient en elle. Le clitoris état gonflé, je le caressais sans cesse. Elle se tordait sous la caresse : je devinais que je la faisais jouir. Elle voulait davantage :
Lèche-moi la chatte.
Branles moi.
Oui, encore, lèche moi narrête pas.
Cest là que jai compris que je navais plus besoin de garçon, quune fille me suffisait que jaime les filles. En plus mes relations avec Huguette étaient toutes sensuelles. Jaimais sa foune, elle aimait la mienne. Nous ne passion pas un soir sans nous aimer à notre façon.
Tout a une fin : un soir nous étions sur le point de partie au 7° ciel quand la surveillante nous a surprise. Il a fallu la suivre vers sa couchette séparée.
Là elle nous a ordonné de nous mettre nues devant elle. Nous avions un peu honte.
Elle nous a fait assoir sur son lit, nous a obligés à nous caresser encore. Le faire devant une autre femme devenait plus érotique, pour moi en tout cas. Javais envie quHuguette entre ses doigts au fond de moi. Elle la fait en se trompant de trou. Jétais tourné vers la surveillante, elle pouvait tout voir. Je devais lexciter pour quelle ouvre se jambes, quelle se branle aussi devant nous. En plus les doigts dans mon anus me faisaient du bien. Sur le moment jaurais même autorisé une bite à menculer.
Je me souviens des spasmes de ce sexe sous mes caresses, de ma fierté davoir donné du plaisir à une autre fille. Jai vue quHuguette se donnait aussi à cette langue. Elle se faisait lécher plusieurs fois en me regardant. Je lui donnais mes doigts dans sa bouche : elle me les léchait aussi, la garce.
Le temps a tourné, nous vivons ensemble. Huguette seule travaille. Des fois elle rentre tard : je crois bien quelle se fait mettre par un homme dehors. Je ne lenvie pas du tout.
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