Madame La Directrice - Partie 2
Je ne peux pas faire ça. Je ne dois pas faire ça. Je ne veux pas faire ça. Et pourtant à peine sa phrase achevée je tends ma main en direction de son sexe et le prends entre mes doigts. Il est effectivement chaud au toucher et je commence un mouvement de friction de bas en haut. Rapidement il prend de la vigueur et se met à grossir dans le creux de ma paume. Effectivement il est bien plus massif que celui de mon ex, il doit environ avoir la circonférence dun poignet et bien quil ne soit pas plus long je suis fascinée par son diamètre, il est tellement gros. Je continue mon mouvement sans bien me rendre compte de ce que je fais quand soudain Serge minterrompt en attrapant ma main. Il se penche vers moi et laisse glisser un filet de bave dans ma paume avant de la reposer sur sa queue en poussant un soupir de satisfaction.
- Voilàààà, cest bien mieux comme ça. Allez continue à me branler petite chienne.
Je marrête aussitôt, comment ose-t-il minsulter ce bâtard ?
- Ça va pas non ? Quest-ce qui vous prend ?
Il att alors mes joues entre ses gros doigts et rapproche son visage mal rasé du mien en me regardant au plus profond des yeux.
- Quand je me fais branler par une chienne je ne mattends pas à ce quelle réponde. Contente toi de continuer à faire ce que tu fais de mieux, toccuper de la bite dun homme, et fais ça bien compris.
Sa voix grave et son ton impérieux me mettent mal à laise, dun côté je sens monter ma peur. physiquement il est bien plus fort que moi et, sil ne sest pas vraiment montré menaçant physiquement bien que je sois clairement contrainte de lui obéir, je ne peux mempêcher de trouver son comportement inquiétant. Mais dun autre côté je sens une chaleur monter en moi quand il me parle ainsi, quand il minsulte et me rabaisse plus bas que terre. Je ne suis pas une chienne, je ne suis pas une salope, je fais clairement tout ça contre ma volonté, mais la situation, la contrainte, ses mots, son attitude, ses ordres, tout ça ne me laisse pas que énervée et dégoûtée, je ressens aussi de plus en plus une sorte dexcitation se faire jour et prendre possession de moi.
- Ou
Oui cest compris
Monsieur Delmare, réponds-je en baissant la tête.
- Cest bien ce à quoi je mattendais Safya.
Il me relâche le visage et rebascule son corps vers larrière tandis que ma main reprend son va et viens, désormais humide, sur sa queue si gonflée. Elle commence à se nervurer de grosses veines qui remontent sinueusement de la base au sommet et à chacun de mes mouvements pour redescendre la tige se décalotte pour révéler un gros gland violacé avant de le recouvrir quand je refais monter mes doigts. Et ce spectacle me fascine, je suis comme hypnotisée par limage de ma main soigneusement manucurée qui découvre et recouvre par intermittence ce gland. Un liquide transparent et visqueux commence rapidement à perler de son urètre et rapidement se mélange à sa salive pour créer une mixture gluante qui facilite mes mouvements de poignet sur son vit.
Sans men rendre compte jaccélère graduellement le rythme de ma masturbation, peut-être pour en finir au plus vite mais aussi peut-être parce que jaime imprimer mon mouvement sur cette bite épaisse. Plus je le branle et plus je sens mon entrejambe devenir chaud. Comment est-ce que je peux ressentir de lexcitation dans une telle situation. Ce connard est en train de me forcer à lui branler la queue, je ne peux pas aimer ça non ? Je suis dans une situation de contrainte, ce nest pas moi qui le fais, je nai que mépris pour lui. Comme en réponse à laccélération de ma main je lentend commencer à pousser des soupir de plus en plus profond.
- Hmmmmmm, oui cest bon, tu fais ça bien salope.
-
- Jai toujours su que tu cachais une vraie crasseuse sous tes dehors bon chic bon genre, aaah oui continue.
Et je continue. Bon quitte à le faire autant en finir vite. Je vais le faire cracher rapidement et on nen parlera plus, je marrangerai pour régler les problèmes et pour oublier cette histoire. En attendant je redouble dapplication sur ce que je suis en train de faire.
Mine de rien je me prends au jeu, la chaleur de sa queue, le bruit spongieux de la salive entre mes doigts, les tressautements de sa verge aux moments où je lui écrase le gland, tout cela mobnubile totalement, je suis focalisée sur mon objectif qui est de le faire venir le plus rapidement possible. Ce sale porc. Alors je mapplique, je crois que je nai jamais aussi bien branlé mon ex, cest la meilleur masturbation que jai jamais faite et je me plais à observer les effets quelle a sur lui. Quand aux effets quelle a sur moi je
je commence à vraiment me sentir excitée par ce que je fais, et puis une bite aussi grosse je me demande ce que ça fait de se la prendre bien profondément. Le seul qui mai déjà pénétré cest mon ex, mais là on est sur un calibre totalement différent. Je ne veux pas me lavouer mais je sens ma chatte qui se liquéfie petit à petit. Il est temps que jen finisse et que je vire ce rustre.
- Avale la maintenant Safya !
Putain il ne peut pas me demander ça. Non, jallais le faire cracher là. Jallais me débarrasser de lui.
- Il y a des limites, réponds-je avec un nouvel aplomb, je nirai pas plus loin que ça.
- Tu iras aussi loin que je te le dirais madame la directrice ! Quand je te dis de me sucer la queue je ne te demande pas ton avis.
Je regarde sa grosse queue avec un certain dégoût mêlé dexcitation. Je ne peux pas tomber si bas. En plus elle est dégueulasse sa bite de vieux, avec son gland violacé, ses poils pas rasés et son aspect disgracieux. Elle est dégueulasse cette grosse queue gonflée. En plus je suis sûr que je ne pourrais pas la faire entrer dans ma petite bouche. Je mattends à ce quil pose sa main sur mon crâne pour me pousser vers son entrejambe mais non, il se contente de regarder. On dirait quil attend que je mhumilie, que je fasse moi-même la démarche de lengloutir. Cest vrai que depuis tout à lheure, alors que je le branlais et que mon visage était si près delle, je me suis imaginée la sucer, mais cétait plus par appréhension quautre chose. Sans men rendre compte je continue à le branler au ralenti, à caresser de mes mains ce membre viril si massif.
Et puis japproche ma tête de son entrejambe, il est assis avec le sexe érigé vers le haut. En men approchant je peux sentir lodeur forte qui sen exhale, un mélange de transpiration et,
non pas ça
, et de quelques relents durine. Putain ce connard sent la pisse. On ta jamais appris à te laver la queue après avoir pissé espèce de dégueulasse ? Cette odeur forte et entêtante me monte au crâne, jen ai presque des hauts le cur. Pourtant ça ne mempêche pas de poser mes lèvres sur son gland et de vite lengloutir au fond de mon palais. Putain mais je suis en train de sucer ce porc, je ne me reconnais plus. Je sens que ma culotte est trempée de mouille pendant que je mapplique à faire des vas et viens sur sa queue.
A peine lavais-je engloutie quil a posé ses deux mains sur mes cheveux pour mimprimer un mouvement vigoureux. Ma bouche est distendue par son membre, ça me fait presque mal aux lèvres de les ouvrir autant, et pourtant il senfonce en moi sans ménagement. Je sens son gland buter au fond de ma bouche avec force à chaque fois quil appuie.
Il me dégoûte mais je ne peux nier que je commence à y mettre du mien aussi, jaccompagne assez volontairement ses mouvements de bras et rien ni personne ne me force à émettre les bruits de déglutition et les gémissements que jémets. Cest comme ci jétais séparée en deux, la femme droite qui déteste la situation et une autre, plus insidieuse, qui prend plaisir à se voir dominer pour pouvoir peut-être se lâcher comme rarement. Je prends tellement sur moi au quotidien que cette petite dose de sauvagerie semble révéler quelque chose dautre en moi.
- Mmmmggnn
glurrp
slrp
- Ah oui suce moi bien grosse pute, enfonce bien ma queue tout au fond, mmmmm ça se voit que tu as lhabitude
Jai lhabitude moi ? Si tu savais. Il y a des années que je nai pas laissé un homme me toucher. Alors oui je lai déjà fait mais je pense quil dit ça plus sous le coup de lexcitation quautre chose, je ne suis pas une si bonne suceuse que ça. Mais je me sens comme motivée par les saloperies quil se permet de me dire, je redouble donc dardeur à lui pomper le dard. Jaspire autant que je le peux tout en le laissant enfoncer son chibre dans ma bouche de plus en plus rageusement. Je commence dailleurs à suffoquer, je narrive pas à reprendre de lair, des larmes commencent à séchapper de mes yeux tandis que ma bave coule en abondance sur mon menton et viens se mêler à sa touffe de poils pubien pour les coller. Je mapplique à avaler sa bite comme la chienne quil maccuse dêtre mais je sens que je ne vais plus pouvoir tenir longtemps.
Jai de plus en plus de mal à ne pas défaillir sous le manque dair, je pense quil sen rend compte et après deux ou trois aller-retour supplémentaires il ôte sa bite de ma bouche pour me laisser respirer. Tout en reprenant avidement de loxygène à grande goulée je le regarde dun air de défi et je lui lance :
- Alors cest ça que tu voulais salaud. Que ta directrice te suce la bite comme une pute du trottoir. Tu es content maintenant ?
Je ne sais pas pourquoi jai dis ça, javais besoin de mexprimer, de mextérioriser, dêtre vulgaire moi aussi, et quelque part de le mettre au défi. Certes je te laisse me remplir la bouche mais tu nes quune merde à mes yeux et ce nest pas mon humiliation qui changera ça. Ca a lair de lui plaire et il me répond dun air goguenard tout en me renfonçant son membre entre les mâchoires.
- Oui, de toute façon tu es meilleure à ça que sur ton poste, alors suce moi bien, tu vas sentir mon sperme bien chaud se répandre dans ta gorge. Aaaaahhh
Mais cette fois il ne mappuie plus sur la tête et me laisse moccuper de sa queue à mon propre rythme. Je me mets donc à lengloutir puis à la ressortir de ma bouche tout en branlant la base de son sexe dun mouvement vigoureux de la main. A chaque fois quil ressort de ma bouche je mamuse à lagacer du bout de la langue, le laper, le lécher sur sa longueur. Je me sens vraiment transformée en furie, toute la rage à son égard se matérialise dans ma propension à macharner sur sa queue. Alors oui je pense quun psy aurait bien des choses à dire sur cette manière de faire, cette façon de transformer lhumiliation en excitation, moi-même je ne comprends pas bien pourquoi jagis ainsi, mais je ne peux pas nier que je suis excitée comme jamais auparavant et que cette queue qui me fait face je veux la vider avec rage. Dailleurs je sens que de ma main qui le masturbe jécrase fortement sa bite, mais cela na pas lair de le déranger, bien au contraire.
- Aaaah ouiiii Safya, mmmm
on dirait que tu te prends au jeu et que tu aimes me sucer la queue finalement.
- Slurp
mmmgg
pas du tout, je veux juste te faire cracher le plus vite possible et en finir Serge, je
- Cest monsieur Delmare je tai déjà dit, et une chienne na pas à tutoyer son maître.
- Glurp
Slurp
tu vas trop loin
je ne suis pas
- Ferme ta gueule Safya, et fais ce que tu sais faire cest compris
En me disant cela sa voix a pris une ampleur profonde et vibrante, jai envie de lui répondre, de lenvoyer chier, mais quelque chose men empêche. Plus il me parle mal et plus je sens que ma mouille se répend entre es jambes, et plus jai envie davaler profondément cette queue pour en extraire son jus, plus mes mains se font fébriles sur son méat. Pourtant je ne me connais pas de tendances à la soumission, dailleurs ce genre de pratiques ne ma jamais attiré. Mais là il ne sagit pas dun jeu sexuel théorique bien au chaud dans mon lit avec mon ex-copain mais bien dune situation réelle dans laquelle cet homme me rabaisse continuellement. Et plus il insiste plus jy trouve mon compte. Je peux continuer à prétendre que je veux que ça sarrête mais je sais au fond de moi que jen veux encore et que cette expérience est la plus excitante de ma vie.
- Très bien monsieur Delmare, lui réponds-je avant de reprendre ma fellation.
Et jenfonce derechef sa bite gonflée dans ma bouche, je le sens rapidement commencer à tressaillir et son gland commence à pulser sous ma langue tandis que sa tige se contracte et se rétracte de plus en plus rapidement.
- Mmmmmh je vais te cracher dessus saloooope, me dit-il en se retirant et en commençant à se masturber devant mon visage (les ravages des pornos font que tout le monde ne jure que par léjaculation faciale on dirait).
Je le regarde sans répondre quand un jet de sperme laiteux vient sécraser sur ma joue et commencer à couler en direction de ma lèvre, suivi d'un autre qui macule le verre de mes lunettes et de quelques autres moins intenses qui vont se perdre sur le devant de mon chemisier.
- AAAAAAAAARRRRRGGGG
. Hmmm cest bon de te repeindre le portrait Safya, putain quand je pense que tu prends tes grands airs pendant les réunions, quel plaisir de te voir recouverte de sperme, cest tout ce que tu mérites!
Les coulées de sperme chaud glissent petit à petit vers le bas tandis que je sors de la sorte de torpeur érotique dans laquelle je métais enfermée et reprends du poil de la bête. Je me relève et sans vraiment me rendre compte de la tête que je dois avoir recouverte de sa semence comme je le suis-je siffle avec vivacité entre mes dents.
- Cest bon tu as fini ? Maintenant sors de mon bureau et laisse-moi tranquille ! Jai fait ce que tu voulais.
Le colosse qui me fais face, toujours assis, le pantalon sur les chevilles et le sexe ramolli tenu entre les doigts sourit puis se lève et me toise de toute sa hauteur.
- Tu persistes à me tutoyer petite chienne, je naime pas ce ton-là. On en aura fini quand je laurais décidé. Pour linstant je compte encore profiter du corps de ma pute de directrice.
Puis il avance son doigt vers mon visage, recueil en son bout un peu de sperme et me lapproche de la bouche.
- Nettoie moi ça, mindique-t-il, et nessaie plus de vouloir te rebeller.
Je reste coite, à nouveau désarçonnée par son ton impérieux et sa présence imposante, puis comme guidée par ses mots jouvre la bouche et il y fourre sans ménagement le doigt recouvert de son jus. Je le lèche et laspire, chose que je navais jamais faite avant, me contentant habituellement daller recracher aux toilettes ou dans un mouchoir. Le goût est écurant, fade, âcre et salé, bizarrement je me rappelle que le foutre de mon ex avait meilleur goût que celui-ci, cependant je memploie à faire ressortir son doigt entièrement nettoyer. Il recommence alors son nettoyage de mon visage jusquà ce que jaie ingurgité toute les traînées qui me couvraient le visage. Pendant lopération, quand je suis occupée à sucer et lécher son doigt il me demande.
- Alors tu aimes le goût de mon sperme Safya ?
Je déteste ce goût, jen ai des nausées de devoir lavaler encore et encore en suçant tes doigts qui ont traîné je ne sais où. Mais je me complais dans cette obéissance passive et e qui me procure de plus en plus de sensations nouvelles.
- Oui monsieur Delmare, merci monsieur Delmare.
Je ne sais pas bien pourquoi jai ajouté le remerciement, peut-être pour entrer plus avant dans la position que Serge ma octroyée, mais en tout cas ces quelques mots font leur effet. Il me sourit de manière naturelle et me lance.
- Eh ben ya du progrès dans ton comportement, cest bien tu es sur la bonne voie. Maintenant que tu es toute propre enlève tes vêtements.
Je me recule de quelques pas et sans opposer de refus je déboutonne lentement les boutons de mon chemisier avant de le laisser à terre. Jai clairement arrêté de mopposer à sa volonté, je ne pense plus à rien dailleurs, plus à mon comportement honteux, plus à ce dossier qui risque de me faire couler, plus aux valeurs que jai toujours cru fermes en moi, je me contente dobéir à ses ordres telle un automate. Et jy trouve bizarrement une réelle satisfaction, voir son regard vicieux de vieux pervers sattacher à mes doigts qui ouvrent lentement mon haut me donne des frissons. Il est captivé par le spectacle que je lui offre et jaime ça. Je fais glisser lentement mon chemisier vers le bas et il vient sécraser sur le sol tel un chiffon tandis que Serge, monsieur Delmare, regarde mon corps se dénuder en sastiquant le manche comme le pervers dégoutant quil est.
- Alors ça ne vous a pas suffi de me cracher tout votre sperme au visage monsieur, vous voulez encore exiger quoi de moi ?
Putain je suis vraiment entrée dans mon rôle de salope allumeuse là, je ne réfléchis plus à ce que je fais, à qui je suis ni à qui il est, je me nourris juste de son regard concupiscent sur son corps, je suis fascinée par le mouvement de sa main en cadence sur sa grosse bite molle davoir lâché son jus. Jattends avec impatience et appréhension son prochain ordre, son prochain coup de fouet qui me révoltera mais également me poussera dans mes retranchements. Quest-ce quil va encore me forcer à faire ce porc ? Me faire lui tailler une pipe dans son bureau nétais donc pas suffisant pour sa vieille queue. Pourtant il me semblait quà cet âge-là rebander après avoir craché la purée nétait pas facile.
- Continue à te déshabiller pendant que je me branle grosse putain, tu es encore trop couverte à mon goût.
Alors je glisse les mains dans mon dos et dégrafe mon soutien-gorge qui rejoint le chemisier sur le sol, aux pieds de mon bureau. Je suis maintenant à demi-nue face à lui, la poitrine à lair, mes petits seins, dont létat des tétons ne peut dissimuler mon excitation, fièrement dressés devant lui.
- Mmmmm salope
continue
Tout en parlant il se branle encore le regard fixé sur ma poitrine, la bave et linsulte au coin des lèvres. Son sexe, qui reprend peu à peu de la vigueur se gonfle tandis quil le triture comme un obsédé. Il nest que partiellement gonflé et chaque passage de sa poigne le tort et le plie, le fait bouger comme sil était habité dune vie propre et que cétait mon corps qui le faisait mouvoir. Je fais tout aussi rapidement tomber la jupe que je porte et je me retrouve uniquement vêtue de ma culotte, mes collants et mes chaussures à talon devant monsieur Delmare. Il ny a pas quinze minutes jétais encore la digne DRH de ma société et voilà que si peu de temps après je me retrouve à me comporter comme la dernière des traînées et à obéir aux ordres libidineux dun homme que je méprise, la vie est pleine de surprises. Je mabaisse pour enlever mes escarpins afin densuite finir de me mettre à nue comme cest, je le suppose, son désire lorsquil minterrompt dune voix ferme et guttural.
- Ne fais pas dexcès de zèle chienne. Garde tes chaussures et tes collants, je te trouve beaucoup plus bandante comme ça.
Il sort un paquet de cigarette de sa poche, en tire une et se la met en bouche, puis me tend son briquet.
- Approche-toi et viens me lallumer Safya !
Alors jobtempère, jatt le briquet, allume la flamme et me penche vers lui pour atteindre la cigarette quil tient entre ses lèvres. Il profite de mon mouvement pour poser une main sur lun de mes seins, il le soupèse, le palpe, avant de semparer du téton et de le tordre dans un mouvement vif. Je ne peux refréner ni la douleur ni la surprise et je pousse un léger cri tout en reculant soudainement. Je masse ma poitrine endolorie et adresse un regard de reproche à monsieur Delmare
- Mais ça va pas non ? Vous mavez fait mal !
- Je te fais ce que je veux, on dirait que tu ne las pas encore très bien compris.
Tout en parlant il tapote de sa main qui tient la cigarette le dossier pouvant menvoyer dans les oubliettes de la profession et de lautre il continue de se branler. Le message est clairement passé, il peut faire pression sur moi et il ne sen prive pas. Il prend une taffe de sa cigarette.
- Tourne-toi maintenant que je vois ton gros cul de BCBG.
Je fais comme il dit, de toute façon je nai pas vraiment le choix. Il siffle dun air admiratif et beauf lorsque je lui présente mon côté pile.
- Tas un sacré cul madame la directrice, je sens que je vais bien mamuser, dit-il avec une admiration non feinte.
A peine ces paroles prononcées je sens sa main claquer lourdement contre mes fesses.
- Ahh
aïe
Cette fois-ci je réprime ma douleur mais je ne me fais aucune illusion, il a tapé pour faire mal et il a obtenu le résultat escompté. La fessée est suivie dune autre et dune troisième, toutes deux assénées avec autant de brutalité à lexact même endroit. Ma peau me cuit là où il la frappée, malgré le rempart du collant et de la culotte je lai sentie passer et je suis convaincue que ma fesse est marquée décarlate à lendroit de limpact. Jamais quelquun na levé la main sur moi comme ça, jamais je nai désiré ni apprécié ce genre de traitement. Et pourtant
Et pourtant je ne peux mempêcher dattendre avec un certain délice la quatrième claque qui tarde à venir. Je mimagine sa grosse main calleuse sabattre sur mon derrière une fois de plus, janticipe avec plaisir la montée de la douleur au moment où le claquement sec et violent se fera entendre. Une douleur intense, cuisante mais également tellement euphorisante quelle se mêle dans ma tête au plaisir que je ressens de plus en plus.
Et après tout jai accepté de mavilir pour des raisons bassement matérielles, pour épargner ma carrière tout en sachant pertinemment que ce nest pas une justification suffisante, alors quelque part est-ce que ce nest pas ma juste rétribution de me faire traiter comme la mauvaise fille que je me suis révélée être ? Je nen sais rien. A lheure quil est je ne fais pas de la psychologie de comptoir mais je tends mes fesses en arrière pour les faire fouetter par un pervers manipulateur et jaccentue mes gémissements à chaque nouvelle claque comme je lai entendu faire aux filles dans les films X. Mais cette quatrième fessée ne vient pas, pour ma plus grande déception et ma plus grande honte dêtre déçue.
- Ca cest pour que tu saches ce quil en coûte de vouloir désobéir comme tu las fait à plusieurs reprises. Jespère que tu as compris la leçon.
- Oui monsieur Delmare, sussuré-je avec la voix la plus faussement candide que je peux trouver, pardon monsieur Delmare.
- Je préfère ça. Maintenant retourne toi vers moi, assied toi sur le bureau et écarte les jambes.
Une fois encore je me conforme à ses directives et écrase mon postérieur sur mon bureau, jécarte les cuisses face à lui, à ce moment il se penche vivement vers moi et déchire dun coup mon collant au niveau de lentrejambe avant de se renfoncer dans le siège et de ramener la cigarette à sa bouche.
- Branle-toi pour moi le temps que je finisse de fumer !
Après une brève hésitation je fais glisser ma main sur ma culotte et commence à frotter ma vulve à travers le tissus. Comme je my attendais mon sous-vêtement est trempé par lexcitation, je ne peux plus feindre dêtre uniquement contrainte, je me masturbe devant mon collègue et jy prends un plaisir pervers, vicieux, mais tellement fort.
- Pas comme ça chienne ! Ecarte ta culotte que je vois tes doigts se glisser dans ta grosse chatte.
Dune main je tire le tissu de côté tandis que lautre sinsinue entre mes lèvres et commence à entrer et sortir les premières phalanges de mon index dans mon intimité. Mmmmmh ça fait tellement de bien, je ne me savais pas exhibitionniste et je découvre que je le suis à un point qui me laisse sans voix. Ce vieux connard fume lentement latte sur latte en faisant tomber ses cendres chaudes sur mes cuisses, ça ne me brûle pas vraiment mais je ressens mon collant qui se perce et de petits pics de chaleur qui séteignent rapidement à lendroit où se posent les résidus de cigarette. Parallèlement il continue à sastiquer sa grosse queue qui reprend du poil de la bête à vitesse grand V.
Je me branle avec entrain en fixant cette verge qui grossi de plus en plus jusquà atteindre le diamètre de mon poignet. Une bonne grosse bite bien juteuse, je ne peux mempêcher dy penser, de ressasser son odeur écurante, son goût fort, sa texture chaude et sans que je men rende vraiment compte mon majeur vient rejoindre lindex dans ma vulve.
- Tu es trempée madame la directrice, on dirait bien quen fait tu es une vraie salope hein ?
-
anh
mmmh
- Réponds-moi, tu es une salope oui ou non ?
- Anh
non
vous me forcez à faire ça
mmmh
monsieur Delmare
je ne suis pas une saloope
Aaaangh
- Salope et menteuse on dirait Safya. Ta chatte coule comme si on avait laissé le robinet ouvert et tu ne lâches pas ma bite des yeux. Je suis sûr que tu imagines déjà comment elle va te défoncer une fois bien enfoncée en toi.
- Ammmhh
Nooooon
Pas
pas du tout
mmmmh
je nai pas le choix mais je ne prends aucun plaisiiiiir
- Branle-toi plus fort !
- Ahh
A vos ordres monsieur Delmare
Aaannh
Et jaccélère la cadence de mes doigts dans lantre de mon vagin, sans même regarder je sens que je mhumidifie de plus en plus, jentends le bruit spongieux de ma mouille quand je ressors les doigts, et surtout je ressens ce putain de plaisir qui prend de plus en plus possession de moi. Jai conscience de me comporter comme une chienne et putain jaime cette sensation. A chaque mouvement de doigts une nouvelle vague de volupté monte en moi, jai envie denfoncer mes doigts plus profond, jai envie de me faire remplir la chatte à ras bord de me faire empaler sur quelque chose de dur pour arriver au paroxysme de cette sensation. Je ne suis plus moi-même mais en même temps je suis entièrement focalisée sur mon plaisir, sans membarrasser des concepts de dignité ou de retenue.
- Aahmm
mmmmmhhhh
Je regarde monsieur Delmare en tirant la langue et en prenant lair le plus provoquant que je puisse faire, ce qui nest pas bien difficile vu le spectacle que joffre. Il écrase sa cigarette sur le sol de la pièce et se lève, présentant son membre turgescent à hauteur de mon bassin. Il pose ses mains fortes sur mes hanches, me soulève et sans ménagement me retourne. Jappuie mes mains sur la tranche de mon bureau et dinstinct je me cambre. Sans prévenir je sens son gland gonflé qui force lentrée de mon vagin, il sintroduit en moi comme un bulldozer en écartelant les parois de ma chatte.
Heureusement que je suis bien lubrifiée par toute la mouille que jai sécrétée car sinon ça aurait été encore plus douloureux que ça. Et pourtant même là je la sens bien passer. Jamais je ne me suis sentie aussi remplie quen ce moment lorsque je couchais avec mon ex, ce qui constitue les seules expériences sexuelles auxquelles je puisse me référer, et pourtant il ne sest même pas encore enfoncé totalement en moi.
- Aaaaahhh
aaaahh
oooohhh. Annngh
Je sens sa queue continuer à sinsinuer en moi progresser le long du col de mon vagin et plus il senfonce plus je me sens comblée. La progression de sa bite mélectrise et menvoie des décharges de plaisir de plus en plus intenses. Mon vagin sécarte à grand peine pour laisser passer lengin taille XXL qui sy introduit. Je ressens le frottement de son membre simultanément sur tout le tour de mes parois internes et plus il senfonce plus une sensation de pleinitude monte en moi. Ma chatte forme pour sa queue un fourreau accueillant, chaud et étroit dans lequel il fait sa place avec force.
- Mmmm ta chatte est tellement serrée petite pute, je vais te la déchirer bien comme il faut.
- Aaaaahnn
mmm
nooonn
ça fait maaal
Et cest vrai que ça fait mal, je ne suis pas habituée à me prendre un tel organe, je ne suis plus habituée à grand-chose dailleurs donc quand il me pénètre le plaisir saccompagne dune douleur diffuse mais bien réelle, elle ne prend pas le pas mais elle ne disparaît pas pour autant. Je sens enfin quil a introduit tout son sexe en moi. Il demeure immobile quelques instants comme pour profiter du moment, puis il se met à me pilonner de coups de reins rageurs. Il prend du recul, jusquà amener son gland au bord de mes lèvres avant de le renfoncer avec force, mécartant à chaque fois derechef le vagin. Chacun de ses coups de butoir saccompagne dun mouvement vers lavant de tout mon corps qui est entraîné dans lélan. Mes seins, bien que ne pendant pas dû à leur taille et leur fermeté, ne sont pas en reste et suivent le mouvement en légers ballotements. Je commence à me laisser aller à donner de la voix de plus en plus fort, sans réellement me soucier, ni même me rappeler, du fait que je suis dans mon bureau et que le personnel de ménage pourrait se rendre compte de quelque chose.
- Tiens encaisse ça madame la directrice, et arrête de gémir comme ça salope, on risque de nous entendre
Il a raison, mais putain cest dur de me pas gémir vu comme il me pilonne la chatte depuis deux minutes, je prends sur moi et me mords les lèvres tout en sentant sa queue continuer à glisser tout au fond de moi. Jen ai les jambes qui tremblent. Il me pistonne dun rythme effréné, comme une machine et dans le même temps il maccable dinjures toutes plus vulgaires les unes que les autres.
- Ah putain Safya elle est trop bonne ta chatte. Tu cachais bien ton jeu hein grosse pute, tu prend ton pied à te faire fourrer comme une truie.
- Annnh
annnh
annnh
Mmmm
non monsieuur Delmaare
mmmmh je naime pas çaaaaa
Annnnh
- Arrête de mentir sale catin, je tentends gémir, tu en veux encore ? Anh
- Annnn
ouiiiii
.nooon
Mmmmm
encore
plus fort
dans ma chatte
annh
- Tu veux aaah
que jy aille plus fort ? Tu veux que je te transperce la chatte Safya ? MMmh
- Annh Ouiii
Baisez-moiii
Baisez-moi comme une pute
Je me lâche complètement et je suis en pleine montée de plaisir, je nai jamais ressenti ça avant, je ne sais plus où je suis, ce que je fais, pourquoi je le fais, la seule chose qui importe vraiment cest ce mandrin qui me remplit le ventre. Qui me bourre de lintérieur et me fais ressentir tant de bien-être. Oui je veux quil me baise, quil me fourre bien profond, je veux continuer à sentir sa grosse queue coulisser en moi encore et plus. Je veux quil y aille plus fort, quil me défonce de lintérieur, la douleur a depuis un moment fait place à une torpeur étrange. Je nai pas mal mais je me doute quaprès notre affaire je vais morfler pendant un moment. Quimporte, ça en vaut la peine. Monsieur Delmare tape de plus en plus fort au fond de ma chatte, je sens son gland qui vient cogner tout en haut de mon vagin et chacun de ces chocs me pousse plus loin dans cette sensation de luxure intense.
Dans le même temps il accable mon cul bien bombé dune rafale de fessées tout en me traitant de tous les noms, il ny va pas de main morte et les claquements secs et forts sont une bonne indication de la puissance quil met dans ses coups. Mais la brûlure quil occasionne ainsi ne fait quaiguillonner mon plaisir, je ne savais pas quil pouvait être tellement bon de se faire traiter comme une chose, un objet sexuel uniquement là pour encaisser les assauts vigoureux du mâle, et pourtant cest ce qui se passe et je ne voudrais pour rien au monde que ça sarrête. Et heureusement ça ne sarrête pas, on dirait que le fait de sêtre vidé sur mon visage juste avant lui a donné une nouvelle endurance car à ce rythme-là normalement un homme gicle assez rapidement. Mais pas ce soir avec monsieur Delmare, il semble parti pour ne jamais sarrêter et plus il me pénètre fort plus je me mords les lèvres pour ne pas crier mon plaisir.
Je pensais que de telles extrémités nétaient que des mises en scènes de scénarios de films pornos, une femme qui se fait fourrer à toute allure en hurlant tellement cest bon. Certes je ne hurle pas mais cest vraiment parce quil me reste un dernier semblant de crainte de me faire entendre par quelquun dans limmeuble. Mais malgré cela jai envie de crier, de me libérer de ce trop-plein de plaisir en extériorisant par la voix. Mais je me retiens, je me contiens. Quand il ne me fesse pas je sens les doigts de monsieur Delmare sagripper à mes fesses, sy enfoncer et sen servir comme appui pour plonger son bassin contre le mien encore et encore.
- Aaaaah.. Aaaahh
ouiii cest bon monsieur, monsieur, monsieur aaaaanh
AAAAHHHH, ça vous plaît de me baiser ? De aaaahh
de baiser votre directrice ???
- Ooh
oui cest bon
quand je pense
han
que ton petit cul fait bander tous les gars de latelier
hun
quand tu viens faire ta visite et que tu passes avec tes talons
Raah
et que je suis en train den profiter à fond
mmmmh
- Ah ouiii
? Ils veulent tous me baiser aussi
aaah
aaanh
mais je ne suis pas une salope moiiii
je ne me donne pas comme ça
aaaaaanh
Il matt les fesses de plus en plus fort et les acrése, les écarte, les tire vers larrière, sy accroche comme à une bouée. Cest fou ce que jaime la façon dont il soccupe de moi, dont il me fourre sans chichi, sans chercher à me ménager. Il me baise au sens premier du terme, avec toute la bestialité et la sauvagerie contenue dans ce mot, et il a raison car je me sens moi-même plus proche de la chatte en chaleur que de la femme distinguée en ce moment. Je sens ses gouttes de sueur couler de son visage et sécraser sur ma peau et se mêler à la mienne. Dune main il att ma chevelure épaisse et tire dessus tout en senfonçant un grand coup au fond de mon vagin. Quelle sensation grisante, je suis comme écartelée, poussée en avant par son coup de rein et tirée en arrière, douloureusement, par sa main sur ma chevelure. Je creuse mon dos et lâche un râle profond et guttural.
- Raaaaaaaaaaahhhhhh
Aaaaaah
Encorrreee
- Tu en veux plus grosse pute ?
- Aaaah
oui
monsieur Delmare
Fourrez-moi comme une pute
AAAAhhh
cest booon
- Tiens Safya
Tiens
Tiens
Tiens
et Tiens
Et à chaque fois quil répète le mot « Tiens » il me brutalise la chatte en y imprimant un solide coup de rein tout en continuant à agripper mes cheveux. Jai limpression quil va me déchirer le vagin, jai limpression quil va marracher le cuir chevelu, mais je continue à encaisser, à en demander plus, à renvoyer à chaque fois mes hanches en arrière à la rencontre de son membre quand il me pénètre, à pencher ma tête vers lavant tout en sachant quil va la tirer de plus belle vers larrière. Est-ce que je suis en train de devenir maso ? Je nen sais rien mais jadore me sentir totalement à la merci de cet homme.
- Mmmmhh
ce cul
Je vais te le remplir bien comme il faut
- Quoi non ne
- Tu as quelque chose à dire chienne ?
Quelque chose à dire ? Oui, bien sûr. Je ne me suis jamais faite sodomiser. Ca ne mattire pas, cest sale, cest dégradant, cest
et surtout jappréhende la douleur, dautant plus vu le calibre qui me pilonne la chatte en ce moment, si cette queue doit me rentrer dans le cul jai bien peur quil ne me déchire lanus, quil me léclate et me crucifie de douleur. Non je ne peux décemment pas le laisser faire. Mais en même temps cette perspective ne me laisse pas de marbre, jexpérimente la douleur depuis quelques instants et je me complais de plus à plus dedans, je constate que cest un réel moteur à mon excitation donc pourquoi pas ? Non je délire totalement, il est hors de question que je laisse ce porc menculer, me dépuceler le cul.
- Je nai encore jamais
haaaaan
Jamais fais
haaiiii
Jamais fais çaaaa
Ce salopard a changé le rythme de ses coups de reins, ils sont devenus saccadés, moins fluide dans le mouvement mais beaucoup plus puissant. Il a lâché mes cheveux et mon corps sécrase littéralement sur le bureau à chaque assaut. Putain si cest si violent dans ma chatte je nimagine même pas ce que je ressentirais sil faisait subir ce traitement à mon cul.
- Je vais tenculer comme tu le mérites, han
et tu vas en redemander tu vas voir hann
tu vas la sentir ma grosse queue qui va técarter lanus han
Et tout en parlant je sens quil introduit son pouce entre mes fesse et lappuie contre mon sphincter qui sécarte petit à petit en le laissant passer.
- Mmmmm
ouiiiiii
. Aaaaanhhh
Ca brûûûle
- Tu veux que je lenlève ou tu veux garder mon doigt au fond de ton cul madame la directrice hhhaaaa
- Non.. ah.. cest
cest booon
mmmh
je vous sens bieeen
Il commence à faire aller et venir son doigt dans mon fondement. Mon petit anus qui na pas lhabitude menvoie des décharges de douleur accompagnées à part égale de plaisir. Comment deux sensations si éloignées peuvent-elles cohabiter avec tant de puissance. Mais une chose est sûre jaime ce quil me fait, cette sensation est incroyable, cest comme sil me pénétrait des deux côtés à la fois. Je me sens pleine, repue de plaisir, la jouissance est en train de monter du creux de mes reins le long de mon ventre puis de mes membres, je sens que je vais exploser, je sens que je vais finir en apothéose. Mais cest ce moment quil choisit pour ralentir la cadence, peut-être a-t-il senti que mon corps commençait à se tétaniser sous le plaisir et fait-il ça pour me frustrer, peut-être doit-il ralentir pour ne pas arriver trop tôt à léjaculation, je nen sais rien mais une chose est sûre cest quil nen a pas fini avec moi.
Il continue à me baiser avec des mouvements plus calmes, plus doux, et ce nest pas si désagréable. Le plaisir ne vient plus par pics mais se diffuse en continue, bien que moins intense que lorsquil me pilonnait, je me laisse aller au rythme souple et décontracté quil mimpose. De son côté il se concentre plus sur son pouce qui me bourre le trou du cul. Il semble avoir pris acte du fait que jétais inexpérimentée en la matière et sattarde donc dessus pour le préparer avant de le prendre dassaut. La sensation de brûlure si présente au début a été remplacée par une langueur très agréable. Je sens son doigt bouger dans mes entrailles, il joue à le faire entrer et sortir de mon anus, à chaque fois plus facilement, et ce serait mentir que de dire que je naime pas ça.
Au bout de quelques minutes de ce traitement je sens sa queue sortir de ma chatte et son pouce de mon anus, la frustration monte instantanément en moi, il ma donné beaucoup de plaisir mais je nai pas encore joui, il ne peut pas sarrêter là, non pas ça, pas aujourdhui, pas maintenant, pas après tout ce quil a fait. Jen veux plus, je veux jouir, je veux quil me prenne à nouveau, quil me chevauche et me remplisse.
- Noooon encoreee
Monsieur sil vous plaaîîît
- Tu en veux encore salope ? Tu veux que je tencule maintenant ?
- Tout ce que vous voulez mais continuez
encore
- Cest vous qui le demandez madame la directrice.
Et joignant le geste à la parole je sens un filet de bave couler entre mes fesses puis son gland qui se positionne contre mon anus. Il prend bien le temps détaler sa salive du bout du sexe avant de commencer à forcer vers lavant très doucement. La sensation na rien à voir avec son doigt qui senfonçait en moi, cest tellement plus gros, tellement plus énorme, je sens mon sphincter se détendre de plus en plus pour laisser passer le mandrin qui me pénètre. Je me mords littéralement les lèvres pour ne pas crier sous la douleur qui massaille, je nai jamais ressenti quelque chose de si intense. Jai limpression quil fait entrer un tison ardent en moi, quil lacère mon colon avec des lames de rasoirs. Si la douleur est bien réelle je ne peux nier cependant quun peu de plaisir laccompagne, pas énormément certes mais suffisamment pour avoir envie quil continue, pour avoir envie de savoir ce que ça fera une fois quil sera entièrement implanté en moi. Et bien devant la douleur et le plaisir cest lexcitation qui a pris le pas.
Je me sens chienne plus que je ne lai jamais été, je ne suis quune masse de désir emporté par ses tourbillons inconnus qui me submerge. La peine, la volupté, tout cela nest que ressenti infime par rapport à mon excitation. Il me baise sur mon bureau, il mencule sur mon bureau, sans respect, sans discernement, et jen veux encore, jen redemande, cette situation me comble daise alors que je devrais me sentir avilie et méprisable de me laisser faire ainsi. Comme quoi lâme humaine est tortueuse et incompréhensible.
- AAAAAAAAHHHHH
.MMMMMMGGGGNNNHHHH
- Tu la sens bien ?
- OUUUUUIIIIIIiiiiiiiiii
- Je vais te la rentrer au fond Safya
- MMMMmmnnnmmnngggnngggnn
.
Et cest ce quil fait, ça a pris du temps mais je sens quil sest finalement enfoncé de toute sa longueur au plus profond de mon anus distendu. Cest une sensation vraiment étrange si on fait abstraction de la douleur. Il me remplit à un endroit qui na jamais ressenti ce type de sensation. La brûlure ne sest pas apaisée bien au contraire, je la ressens toujours avec autant dintensité mais je la supporte de mieux en mieux. Peu à peu il se met à bouger au tréfonds de moi. Sa tige volumineuse me ravage les entrailles à chaque mouvement, je sens le battement dans sa queue qui palpite à lintérieur de moi. Il commence doucement, par petits mouvements précautionneux, voyant bien que je dois encore me roder à ce type de pratiques, puis au fur et à mesure ses mouvements deviennent plus amples, plus arrondis.
- Mmmmh tu es tellement serrée sur ma bite Safya.
Jai limpression quon a introduit en moi une machine qui mécartèle de lintérieur, mais plus le frottement dure plus il se transforme en une onde de plaisir indicible. Je commence doucement à accompagner le rythme de monsieur Delmare, à me joindre à son mouvement de balancier. JE ne crie pas, je ne gémis même plus, je me contente de geindre dun ton sourd tandis que je me fais perforer par derrière.
- Mmmmmmmggggnnnn
hhheeeeennnn
Dun coup je sens le corps massif de monsieur Delmare se pencher sur moi et une de ses énormes mains semparer de mon cou et le serrer tandis quil augmente la cadence de ses coups de reins, sans pour autant y aller à toute allure. Sa main menserre la gorge et je commence à peiner à trouver ma respiration, je sens quil serre de plus en plus fort mais loin de me faire paniquer, je suis bien consciente que tout cela a un cadre purement sexuel, je ressens de manière exacerbée tout ce qui se passe dans mon corps. Mon cur qui bat à tout, rompre, mon anus qui me lance et me fais monter dans le plaisir en même temps, ma chatte qui palpite encore du traitement quelle a reçu et qui continue à perler dexcitation,
Jessaie davaler ma salive mais sans succès, elle ne trouve pas davantage de passage que lair, je ne peux pas déglutir et ma bave commence à couler à la jointure de mes lèvres. Jai envie de happer de lair, de remplir mes poumons mais la strangulation de monsieur Delmare men empêche. Et plus je suffoque plus il me pistonne le cul, il commence à reprendre un rythme plus soutenu et je suis totalement perdue entre la sensation d et le plaisir qui monte en moi à cause de sa pénétration. Ma bouche souvre sur un cri silencieux, étant bien incapable de faire sortir lair de ma gorge, et je sens la gland gonflé qui tape et tape et retape encore profondément dans mes entrailles. Il est en train de me détruire, de menculer, de me perforer sans plus aucune précaution et jaiiiime ça, jadore ça, ça fait si maaal, ça fait tellement de biiien, je ne sais plus quoi penser, je suis dépassée par la situation je, je
- AAAAAHHHHH OUIIIIIIIII HHHAANANNAAANHHHH
MMMMMMMMMMM
.
Sous lintensité de la vague de plaisir qui me submerge je me suis dégagée de sa main qui obstruait ma respiration et je peux finalement vocaliser ma jouissance, cest trop bon, trop intense, tandis que je jouis, que tout mon corps se contracte sous leffet du plaisir je le sens qui commence à perdre le contrôle également. Probablement que les spasmes de mon sphincter, qui se contracte puissamment et à répétition autour de sa queue à cause de ma jouissance, a eu raison de lui aussi. Je sens quelque chose de nouveau couler en moi, bien enfoui au fond de mon anus. Ce salopard est en train de vider tout son sperme dans mon cul. Sa bite massive lâche plusieurs jets avants que je le sente sextraire de mon fondement.
La sensation est étrange, après avoir été tellement remplie je ressens comme un vide au fond de moi. Et en même temps la brûlure ne sapaise pas, elle reprend même de plus belle maintenant que je ne suis plus pleine de son membre viril. Jentends le bruit dun corps qui saffaisse sur la chaise derrière moi. Je suppose que Serge sy est assis le temps de récupérer. Un silence profond règne dans le bureau, à peine brisé par nos respirations ahanantes tandis que nous récupérons peu à peu nos esprits après cette chevauchée intense. Au bout de quelques minutes jentends Serge qui commence à bouger, un pantalon qui remonte et quon referme. Je ne me retourne pas, je nai pas envie de voir ce porc qui ma procuré tant de plaisir.
- Bien. Je suis content quon ait pu traiter ce dossier en commun madame la directrice, nous avons une belle collaboration qui nous attend. Bonne soirée.
Et ce connard sort de la pièce sans un autre mot ni regard pour moi qui reste avachie, allongée sur le bureau, les fesses encore ouvertes surmontées dun collant déchiré et dune culotte sur le côté, un filet de sperme gluant dégoulinant de mon anus pour venir souiller les tissus . Je prends encore quelques instants pour me remettre, une douleur lancinante me tord à la fois le vagin et lanus. Et pourtant cétait si bon, je nai pas de regrets pour ce qui vient de se passer, jai pris le plus grand pied de ma vie. Et pourtant cétait avec ce connard haïssable aux méthodes ignobles.
Ce soir-là quand je sors des locaux de lentreprise pour rentrer chez moi, dun pas mal assuré, je souhaite une bonne soirée aux agents daccueil qui bien heureusement semblent navoir rien entendu et je serre contre moi une sacoche dans laquelle se trouvent de dossier. Le premier est celui que mas remis ce connard, je compte bien régler la situation au plus vite et faire preuve de mes qualités de directrice. Lautre est le dossier du personnel de monsieur Serge Delmare. Je compte le fouiller en détail, surveiller ses faits et gestes au sein de la société et dès que jaurais repéré la faille je lui tomberai dessus. Et il ne sen sortira pas. Il va finir renvoyer pour faute grave dès que la situation me permettra de prendre ce genre de mesure sans être moi-même attaquée sur mon bilan. Ah tu mas baisée sale porc, tu mas baisée et jai aimé ça certes, mais maintenant cest moi qui vais te baiser, sans pitié, jusquà ce que tu te retrouves au chômage, et à ton âge ça ne pardonne pas. Cest moi qui vais te baiser bien comme il faut tu verras.
Et en attendant, quest-ce que je vais faire sil revient me voir. Ben en attendant sil y a une chose que jai apprise ce soir cest bien que la haine nempêche pas le plaisir non ? Donc je vais peut-être continuer à me faire plaisir.
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