Leslie La76

Leslie LA76 - Laure, le journal intime - Période saphique, Lesbiennes & Co

Zahra est une fille superbe, après mon escapade avec Ashlee, je ne fais que penser à elle, malgré qu’elle ne met pas donner de nouvelles depuis trois semaines et notre éventuelle rencontre avec sa tante, Layla, dès que je pense à elle, je mouille et mon string s’humidifie, mes tétons doublent de volume, et je ressens de drôles de lancements dans le ventre et dans les reins tandis qu’un doux frisson me parcourt l’échine.
Je ne peux oublier notre rencontre et les merveilleux moments passés dans ses bras.
Son cul et sa chatte me rendent folles, toujours prêts à accueillir ma langue, ses petites fesses et sa chatte au clitoris qui s’érige comme un petit bonbon entre ses lèvres béantes me tournent la tête, et ses seins ravissants, peut-être trop volumineux pour son corps si frêle, me rendent dingue.
La dernière fois que Zahra est venue à la maison, ce fut si intense que depuis lors, je me repasse inlassablement les scènes en m’enfonçant trois doigts dans la chatte, attendant impatiemment un signe d’elle.

Ce lundi matin-là, comme tous les matins avant de partir au travail, j’étais allongée sur mon lit, les cuisses grandes ouvertes quand la sonnerie de la porte d’entrée se fit entendre.
Mais ce matin-là, impossible de me finir ! Et, en plus on tambourine impatiemment à la porte et c’est très énervé que j’ai été ouvrir.
- Salut Laure, c’est moi, je ne te dérange pas ? Je passais par-là avant d’aller au boulot et j’avais envie de te voir, on peut prendre le café ensemble ?
Zahra me sort de ma torpeur, elle est là, face à moi, ce n’était pas prévu et jamais aucune fille ne m’a mise dans cet état. Elle dandine du cul au milieu de l’entrée en attendant ma réponse, mais rajoute :
- Je te réveille ou quoi, t’as l’air complètement dans le gaz. Allez, dis oui ou alors je me casse et adieu notre belle aventure.


Je crois discerner un râle de satisfaction quand je lui dis :
- Oui, entre ma chérie !
- Super, me dit-elle, en plus j’ai une surprise pour toi !
Et se tenant maintenant devant moi, elle relève sa jupe pour me montrer, jambes écartées, sa chatte glabre, elle ne porte même pas de culotte.
- Ça te plait me demande-t-elle, maintenant je ne reste toute la journée sans culotte, c’est super jouissif, tu devrais essayer.

- Elle me fait rire et elle fait quelques pas vers moi. Et, bien sûr, je ne peux
résister à l’enlacer en lui tendant mes lèvres dont elle s’empare immédiatement.
Sa langue s’enroule autour de la mienne, vient caresser mes dents et mon palais. Elle sent bon, elle est fraîche. Ma main se dirige tout naturellement sous sa jupe et remonte. Je lui titille la rosette, passe ma main sur ses lèvres et sens quelques gouttes de mouille.
- Merde, tu mouilles déjà, lui dis-je en suçant mon doigt mouillé.
Zahra se presse dans mes bras et me susurre à l’oreille des mots tendres. Sa langue joue avec mon lobe, s’insère à l’intérieur, elle sait ce que j’aime et ce qui est bon
- Hum, tu m’as manquée ma Laure. Je n’ai pas arrêté de penser à notre dernière nuit. Pourquoi ne me lècherais-tu pas, tu sais si bien le faire, ainsi ma mouille ne coulerais pas sur mes cuisses, me dit-elle. Tiens pose ta main ici et sens comme je mouille quand je suis près de toi, tu me rends folle. Viens me lécher, viens me sucer, j’en ai tellement envie.
Zahra a pris ma main et la dirige vers son vagin. Elle est trempée. J’y enfonce facilement le majeur et l’index, lui caresse doucement le clito avec mon pouce, Elle halète tout doucement. Elle gémit, me presse contre elle…
Je sais qu’elle en veut plus mais je veux la faire languir, je serais en retard au boulot, mais qu’importe, l’occasion est trop belle, mais je me défends un peu pour la faire enrager.
- Tu es bien excitée mais ce matin, je n’ai pas le temps, il faut que je me dépêche, je suis déjà en retard, désolée, passe ce soir et je verrais ce que je peux faire…
- Fais pas la conne Laure, tu ne peux pas me laisser dans cette état jusqu’à ce soir, continue de me caresser, je ne suis pas loin d’exploser, dit-elle en m’embrassant tout doucement dans le cou.

- Non, il faut que j’y aille, lui dis-je en la repoussant doucement, j’en crève d’envie mais il faut vraiment que j’y aille car j’ai une réunion à laquelle je ne peux pas arriver en retard.
Zahra se retourne et part, boudeuse vers ma chambre, lorsque je rentre dans ma chambre, elle est là, en levrette sur mon lit, ses petites fesses à l’air devant moi.
- Laure, ne me laisse pas ainsi, supplie-t-elle.

Ce que je vois est exquis. Sa petite chatte est entrouverte et luisante et son anneau serré palpite de désir.
- Ça te plaît ce que tu vois, me demande-t-elle, en se passant un doigt sue le petit trou.
Zahra cherche à m’exciter, elle passe sa langue sur ses lèvres et continue de se toucher l’anus, elle gémit et je ne peux m’empêcher de m’approcher d’elle, en disant :
- T’es vraiment qu’une petite salope. Viens ici !
Je la retourne sur le lit, mais c’est elle plutôt qui se retourne pour se placer aussitôt les jambes grandes ouvertes, et elle écarte d’une main ses grandes lèvres, en disant :
- Regarde comme je mouille, je suis à toi, viens ça fait des jours que j’attends ce moment !
Je n’en peux plus, je m’approche d’elle et me mets à genoux au bord du lit et mon visage va vers sa chatte, je la hume, elle sent bon le sexe de la fille qui attend qu’on la suce et qu’on la lèche. Elle s’offre toute entière, car toute entière elle veut vibrer.
Des gouttes perlent à la surface de ses lèvres, son bouton est gonflé et palpitant. Je résiste et me maintiens à distance, en lui disant :
- Branles-toi si tu en as tant envie, je te regarde !
Zahra avance son index qu’elle fait tournoyer sur son clito, elle l’humidifie de sa propre mouille, l’agace, revient, repart. Son vagin est ouvert et elle passe sa main libre sur tout son corps et tire violemment sur ses pointes de ses seins en poussant à chaque fois de petits gémissements.
Toujours à genoux et me régalant de ce spectacle, je n’en peux maintenant plus.
Elle dégage une odeur si forte de luxure que mon nez vient très vite remplacer ses doigts. Je pratique sur son gros bouton des mouvements circulaires, j’aspire, lèche les grandes lèvres et me régale de toute cette mouille qui se répand sur ma figure. Zahra accroche mon tête des deux mains, en disant :
- Lèches-moi bien Laure, vas-y ! Enfonce bien ta langue… Doucement, je vais partir !
Ma main s’empare de ses fesses et pendant que son corps décolle sous la jouissance, j’en profite pour lui enfoncer un doigt dans chaque trou. Je la pistonne en continu en tétant son clitoris, elle se trémousse, halète, gémit.
- Viens sur moi Laure, viens que je te suce, viens t’asseoir sur ma figure que je j’enfonce ma langue en toi. Viens ma petite gouine.
Je m’assois sur son visage et lui malaxe ses seins. Elle va de mon bourgeon à mon anus. Elle s’empare de mon vagin et enfile sa langue qu’elle fait tantôt dure comme une petite bite tantôt souple et lisse, baveuse.
Elle entame une longue danse dans laquelle son corps entier vibre. Je remets à nouveau ma bouche sur son sexe et la lape et nous hurlons ensemble de plaisir.

Zahra, se relève et debout, me regarde. Elle est toute débraillée, comme elle est belle. Je suis encore sur le lit et la contemple. Je l’aime.
J’aime sa bouche, ses baisers profonds, la rondeur de ses lèvres et les fantaisies de sa langue, j’aime ses fesses, son ventre et son dos. J’ai à nouveau envie de la caresser mais cette fois-ci longuement, la journée, la nuit entière.
- J’ai encore envie, me dit-elle.
- Moi aussi mon cœur, amis il faut que j’aille vite prendre une douche. Je ne peux pas aller à cette réunion dans cet état, tu m’accompagnes ?
Nous sommes douchées en nous caressant et en nous embrassant et je lui dis :
- Viens ce soir, nous nous aimerons la nuit entière !
- D’accord, me dit-elle, ce soir mais avant, viens que je t’embrasse.

Zahra vient de partir, ce soir elle viendra me retrouver, peut-être m’en dira-t-elle plus sur la rencontre avec sa tante.
Sa venue m’a laissé dans un état bizarre, je me sens amoureuse de cette bombe coquine et bien que je prenne du plaisir dans ses bras je me sens partiellement insatisfaite, comme un goût d’inachevé, d’incomplet.
Je pense qu’une bonne bite me ferais du bien, j’adore sentir une bonne queue virile me posséder et me faire jouir, il va falloir que j’y pense sérieusement…
Dans le trajet qui me mène au boulot, mon esprit en ébullition est envahi de pensées, j’ai encore envie de faire l’amour avec Zahra, j’ai envie de sentir son corps vibrer sous mes caresses, j’ai envie de sentir son poids sur moi, de me sentir envahie par sa langue, ses lèvres, ses doigts, j’ai envie de la faire gémir jusqu’à ce qu’elle jouisse et de jouir à mon tour. J’ai envie de rencontrer Layla, sa tante, pour voir, mais j’ai aussi envie d’un homme, de sa force et de sa puissance quand il me prend, le sentir s’enfoncer en moi, sentir son sexe palpiter dans mon ventre et l’entendre hurler quand il se lâche.
Ohhh, comme j’ai envie de sexe sous toutes ses formes à cet instant…

Comme prévu, je vais à la réunion à laquelle j’arrive un peu en retard. Je me suis habillée comme en pareille circonstance d’un tailleur gris avec jupe juste au-dessus du genou, petit top noir et veste cintrée. J’ai passé sur mes jambes des bas noirs et j’ai ramené mes longs cheveux en chignon serré.
Pas le temps de me maquiller, juste un peu de rouge sur mes lèvres.
Il y a une majorité d’hommes autour de la table, j’ai un mal fou à me concentrer dans cette réunion qui ressemble à plein d’autres, mon esprit vagabonde, je suis ailleurs.
Puis soudain, une voix féminine me sort de ma rêverie, pour être franche, je ne l’avais même pas regardée, elle a environ quarante ans et est habillée d’une longue robe bordeaux.
C’est la première fois que je la vois, elle est consultante et vient nous exposer les tendances actuelles du marché, bien qu’elle paraisse timide au premier regard, ses compétences dans son domaine lui donne une bonne assurance.
A la fin de son court exposé, une brève discussion ouverte suit, et bientôt, c’est l’heure de déjeuner, je l’invite à le partager avec moi.
Vite, je l’emmène dans mon petit bistro habituel, où nous allons avec Carole, le garçon, nous dégote une petite table à l’écart, nous sommes tranquilles et pouvons discuter librement.
- Tu viens souvent ici ? Me demande-elle.
- Ça m’arrive, lui dis-je dans un sourire, c’est bon et rapide et j’ai mais habitudes.

J’ai tout le loisir de l’observer, Sophie est une belle femme, mais ce qui attire le regard chez elle, c’est son énorme poitrine et à chaque fois que Sophie respire, elle se gonfle encore un peu plus. Je ne peux m’empêcher de la mater.
- Oui, je sais me dit-elle, j’ai de gros seins et ce n’est pas drôle tous les jours.
- Désolée de regarder, lui dis-je, ce n’est pas pour te mettre mal à l’aise.
- Oui, ils attirent le regard et me font supporter les remarques d’hommes peu courtois qui font des réflexions.
- Je suis désolée, pardonnes-moi.
- Ce n’est pas si grave…

Nous nous mettons à discuter de choses et d’autres. D’abord du boulot bien sûr et ensuite de la vie en générale et des hommes en particulier.
Sophie montre beaucoup d’humour quand elle décrit sa vie, les impuissants, les bonnets de nuit et les rares amants de passage qui l’ont fait jouir, tous y passent, et termine en me disant qu’elle vit maintenant seule depuis un an.
- Ce n’est pas trop dur ?
- Un peu au début et puis non, je sors dans les musées et les cinémas, et ma vie est bien remplie.
- Attends, je ne parlais pas de ça… Heu, ça te manque pas de ne… ?
- De ne pas avoir de rapports sexuels ? Un peu, beaucoup, ça dépend des jours mais je n’y pense…
Je la regarde, et je ne peux m’empêcher de passer mon bras autour du cou et de lui déposer un baiser léger à la commissure des lèvres, elle se dégage en disant !
- Laure ! Je te trouve charmante, mais je n’ai jamais été avec une femme.
- Il y a un début à tout, lui dis-je en souriant.
- Bon, je te l’avoue, je me sens bien avec toi et j’ai l’impression de te connaître depuis longtemps, mais de là à finir dans un lit avec toi…
- Laissons le temps et nous verrons bien !
- Je te remercier de ce moment passé ensemble et j’espère que nous allons nous revoir bientôt !
Elle me dit cela après avoir payé et juste avant de disparaitre.

A suivre…

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