La Leçon D'Anatomie

Je suis chargée par ma belle sœur de faire la conduite accompagnée à mes 2 neveux, (vous savez les 2 affreux jojos de 16 et 17 ans), en effet, leurs parents possédant un ‘espace’ neuf, ils ont quelques réticences à le confier à leurs s. Moi je possède une vielle R5 qui ne risque rien et de plus, je ne travaille pas le samedi, jour où ils sont libres.
Allez, en voiture, clignotant, réglage du siège etc. Ils sont il faut l’avouer assez doués, c’est chacun leur tour de conduire et ils n’arrêtent pas de parler pendant le trajet.
« Tu sais Dominique, depuis qu’on t’as vu péter pour Noël ( voir anecdote Noël en famille)dans ton pantalon rouge le derrière bien en évidence, on ne fait que penser à toi et à tes fesses » On se fait tout un roman d’autant qu’on a entendu maman confier à papa que tu étais excitante et qu’elle t’avait vu expulser un énorme caca dans la salle de bain, elle disait qu’elle n’avait jamais vu une chose pareille.
« Votre mère a raconté ça à votre père, elle aurait pu garder ça pour elle, désormais je serais gênée devant votre père ».
« Tata, depuis on fantasme, nous voudrions te demander une chose un peu spéciale »
« Quoi donc les garçons ? »
« Est que tu pourrais nous faire voir tes fesses, mais tu sais, seulement voir »
« Quoi !!! vous n’êtes pas bien, vous vous rendez compte de ce que vous me demandez ? J’ai 25 ans de plus que vous, je pourrais être votre mère. Vous n’avez pas de petites copines pour faire ça ? »
« Oui mais elles ne veulent pas, on nous dit toujours que nous sommes une génération libérée, c’est pas vrai, dès qu’on leur met la main ne serait ce que sur le genou on se fait rembarrer ».
« Vous avez internet et des journaux spécialisés pour ça »
« Oui, on a déjà vu plein de sites de ce genre, ceux qui avertissent du contenu pornographique avec entrée ou sortie, tu penses bien qu’on appuie sur entrée. Et puis sur le micro, c’est du virtuel, nous, on voudrais voir en vrai avec l’odeur et tout, et comme tu es bien foutue on avait pensé que tu ne serais pas contre, ça ne sortirait pas de la famille ».

« Vous êtes bien gentils les garçons, vous m’en voyez flattée mais ce que vous me demandez, c’est tout de même délicat , il faut que j’en parle à votre oncle. Pour l’instant concentre toi sur la conduite de la voiture, nous rentrons ».

Le soir à la maison je fais part à Daniel de l’étrange requête de ses neveux, il partit d’un rire énorme, il s’est presque étouffé.
« Il ne manque pas d’air ces deux là, demandez à une femme de plus de quarante ans de se foutre à poil devant eux et en plus leur tante, tu me diras qu’il n’y a pas de lien direct avec toi. Ce sont les s de ma sœur. A ta place je serais flattée, c’est une sorte de compliment. Je ne sais pas ce que tu en penses mais ça pourrait être une expérience amusante. Tu pourrais faire la prof d’anatomie féminine. Moi à leur âge j’aurais bien aimé tenter une telle expérience. Mais attention, si tu dis oui, tu poses des conditions : on regarde mais on ne touche pas et on reste discret, rien ne doit filtrer ».
Toute la semaine je n’ai pensé qu’à ça et finalement je me suis décidée : ce serait ‘oui’ mais je n’en dirais rien, je veux leur faire la surprise.
Le samedi suivant, j’enfile mon pantalon rouge, celui qui les a fait fantasmer, et en voiture pour l’aventure.
Nous partons, pas un mot, eux non plus. Auraient –ils honte ?.
« Vous ne dites rien les garçons, ça ne vas pas ? »
« Ben nous avons pensé toute la semaine à notre demande et on s’est dit que ça ne marcherait pas, nous n’avons pas été toujours sympas avec toi. Mais nous voyons que tu as mis ta culotte rouge, c’est pour nous punir, ou pour nous faire saliver ? »
Silence de ma part. « Mets le clignotant et tourne dans le petit chemin à droite, arrête toi au bout du sentier nous allons descendre pour nous dégourdir les jambes ».

Ils devaient penser ‘qu’est ce qu’elle veut nous faire’.
Nous sommes maintenant sur l’herbe au milieu de la nature, je leur dis :
«Alors on se dégonfle, vous n’êtes plus partant pour voir votre tante à poil ».
Médusés qu’ils étaient.
« regardez bien, ça va être rapide »
je baisse alors pantalon et petite culotte que je relève aussitôt.
« Voilà, ça vous a plu »
« Oh, non ! on n’a pas eu le temps de voir grand-chose, on a seulement aperçu ta foufoune bien garnie »
« Et si je comprends bien ça ne vous suffit pas. Je vais faire la même chose avec mon soutif » et je relève mon pull plus longtemps que tout à l’heure, je ne portais pas de soutien gorge et là ils ont pu en profiter .
« Ah, là c’est mieux,mais ce qui nous intéressent ce sont tes fesses, ta fente, ta féminité en quelque sorte ».
Ils m’avaient bien mis en chaleur nos deux jeunes lascars.
« Quelle position vous irait le mieux pour voir et uniquement voir, vous ne tentez rien pour me toucher ou autre. C’est promis je ne veux pas avoir de problème pour détournement de mineurs ».
« A genoux, le derrière bien relevé, un peu comme pour Noël dernier quand tu as laché un pet ».
Et me voilà à genoux dans l’herbe le pantalon rouge baissé, les fesses bien tendues en arrière avec mes deux observateurs qui n’en perdaient pas une miette.
« Dominique tu as un cul sublime pour ton âge. Il est plus beaux que tes nichons que l’on trouve un peu petits par rapport à ceux des nanas d’internet. T’as une raie des fesses poilue, ça doit être soyeux, bien qu’on trouve le poil un peu raide. Nous voyons bien ta rosette qui se détache parmi ta fourrure. Ce que c’est beau un trou du cul de femme avec tous ces petits plis, on pourrait presque les compter. On a vu sur le web qu’une étude a démontré que le point commun entre tous les humains est le nombre de plis de leur anus, y’en aurait 36. Si tu veux Dominique on peut s’approcher plus près pour vérifier, mais tu nous fais pas le coup de Noël dernier, tu ne nous pètes pas au nez».
« Vous ne comptez rien du tout, on a fait un pacte, on ne touche pas, c’est bien compris. Sinon rideau. » que je leurs dis.J’étais un peu inquiète des initiatives qu’ils auraient pu prendre, d’autant que je ne voyais pas ce qui se passait dans mon dos.
Je ne sais pas si c’est la position ou le fait d’être admirée par des jeunots, ou de les entendre détailler mon intimité, toujours est-il que je ne restais pas insensible à leurs compliments. Ma fente se dilatait nerveusement et mon clito sortait le bout de son nez.
« Ah ! voilà une vraie belle femme, t’as vu sa fente avec son trou ni rosé ni noir au milieu des grandes et petites lèvres comme on en voit dans les bouquins d’anatomie . On peut dire que ce trou noir, c’est troublant. On avait vu des moules sur des livres et sur notre ordi mais en vrai c’est tout de même autre chose.C’est de la 3D avec l’odeur en plus. Et nous qui pensions que ça ne sentait pas très bon par ici, c’est vrai on raconte toujours cette blague au lycée de l’aveugle qui passe devant une poissonerie et qui dit’Bonjour Madame’.Eh ben, c’est pas vrai là ça sent la femme, on comprend pourquoi les hommes veulent y mettre leurs langues. C’est là dedans que tonton et toi prenez du plaisir ? Nous avons trouver un vieux bouquin d’éducation sexuelle ou il est dit ‘l’homme se couche alors sur la femme qui en écartant les cuisses lui offre les trésors de sa féminité’ il est un peu ringard ce livre avec ces trésors de la féminité, ça c’est vrai mais il existe bien d’autres positions plus acrobatiques. Nous avons même vu que certains hommes prenaient les femmes par l’anus, ça doit faire mal non ?. Vous faites ça avec tonton ? ».
Même s’il arrive que Daniel m’encule, je n’allais quand même pas leurs révéler nos pratiques intimes.
« T’as vu on voit même le petit trou à pipi et son clitoris, on dirait une bite minuscule. Et tout ça c’est recouvert par une couche de poils noirs drus et frisés qui remonte sur son ventre. Ca me fait penser au bouquin qu’on a lu en cachette ‘L’amant de Lady Chatterley’ tu sais celui où on a coché la page, je m’en souviens par cœur ‘Et le bout de ses doigts toucha les deux ouvertures secrètes de ce corps. - Et que tu chies ou que tu pisses, je m’en réjouis. Je n’ai rien à faire d’une femme qui ne peut ni chier ni pisser. - Toi, t’es vraie, même un peu salope. C’est par ici que tu chies, et ici qu’tu pisses. J’les ai tous les deux en main, et c’est pour ça qu’tu m’plais.Tu as un vrai cul de femme fier de l’être»
« Bon, c’est fini de réciter de la littérature qui n’est pas faites pour vous. La revue de détails est finie, mon anatomie vous a plu, je peux me rhabiller et aller faire pipi, l’air frais sur le derrière et vous entendre parler de pisser ça m’a donné envie. Remontez dans la voiture pendant que je vais me soulager derrière le buisson là bas ».
« Pssst-pssst-ppssstt »qu’ils se sont mis à faire quand je leur ai parlé de mon envie de pipi.
« Ne faites pas ça, j’ai déjà du mal à me retenir, je sens que ça va partir, vous serez bien embêtés et moi aussi».
«Au point ou nous en sommes on pourrait voir comment tu fais pipi, Dominique ? »
« Vous en demandez toujours plus, on vous donne le petit doigt et vous voulez la main. Bon d’accord mais c’est parce que vous avez respectés les consignes de ne pas toucher et que j’ai une terrible envie de pisser, je n’aurais pas le temps d’aller jusqu’à la haie » et je m’accroupis face à eux. Mais problème, de savoir ces deux paires d’yeux rivées sur mon triangle poilu à attendre ma délivrance, ça me bloque. On a beau avoir une envie d’uriner phénoménale quand quelqu’un vous regarde, le cerveau refuse de commander aux sphincters de s’ouvrir. Mais là l’envie était tellement forte que ma vessie prête à rompre força le passage, un jet puissant et bruyant me passa à travers les jambes en shuintant pour aller s’abattre à près d’un mètre plus loin sur le bord du chemin formant ainsi une mare moussante.
Relevant la tête, je vis mes deux neveux qui, tandis qu’ils me regardaient pisser, avaient sorti leurs queues tendues. Ils s’astiquaient avec une belle dextérité ; Oh ce ne fut pas long, ils crachèrent rapidement leur semence en de longs jets crémeux qui montèrent à la verticale. C’est à ça que l’on voit qu’ils sont jeunes, ils éjaculent forts et loin et en grande quantité.
« Ça les garçons ce n’était pas au programme, je ne pensais pas vous avoir tant excités. Une vielle de plus de 40 ans, car pour vous c’est vieux, qui fait encore bander des jeunots comme vous, ça me rassure. Maintenant assez joué, en voiture, vous avez votre provision de souvenirs dans la tête pour un moment ».
« Pas que de souvenirs, tantine, on a aussi pris des photos avec nos portables ».

Ah les petits salopards, ils vont se branler en cachette en regardant mon intimité.
Après tout ce n’est pas fait pour me déplaire. Ils me font mouiller et Daniel devra être à la hauteur à mon retour ce soir. Nous allons, je pense, passer tous les deux un très bon moment.