Soirée Chez Nadège (3)

Nina prit une bouteille de champagne, but une gorgée, avala un petit gâteau.

— Vous venez, j’aimerais bien voir les deux autres baiser, dit-elle en se levant du canapé.

Nous suivîmes Nina, regardant son petit cul se tortiller devant nos yeux ravis alors qu’elle se dirigeait vers la chambre de Nadège.

— Elle est super ta nana, me dit Gabriel.

Effectivement elle était super. J’avais parfois du mal à la suivre, et du mal à reconnaitre celle que j’avais connue au lycée. Enfin croisée au lycée, mais qui bien que déjà bandante, était timide, et réservée. Comme je l’avais retrouvée l’été d’avant. Depuis, selon ses propres termes, elle s’était libérée, et vivait pleinement sa sexualité.

Nina me passa la bouteille, je bus une longue gorgée avant de la passer à Gabriel. Nadège et Émilie avaient trempées les draps, mais n’en avaient pas encore fini de leurs ébats.

— J’adore cette fille, dit Nina en désignant Émilie. Elle est sauvage, insatiable, infatigable.

Émilie dévorait la chatte de Nadège qui se tordait de plaisir. Poussait des petits cris. Hurlait des obscénités.

— Tu veux les rejoindre, demandais-je à Nina ?
— Pas tout de suite, je préfère profiter de la vue pour le moment.

Reprenant la bouteille des mains de Gabriel, elle alla s’installer sur le fauteuil dans le coin de la chambre. Je demandais à Gabriel ce qu’il voulait faire, il me proposa de nous assoir et de nous reposer un peu. Nous nous installâmes sur le sol à côté de Nina.

— Vous allez voir dans un moment elle va commencer à la fister, j’adore quand elle me fait ça. Ça me fait jouir dans la minute.

Effectivement Émilie fit doucement glisser son poing dans le sexe trempé de Nadège. Celle-ci n’en pouvait plus, elle hurlait. Des oui et des non. Des encouragements, et des demandes de grâce. Elle se tordait, arrachait les draps. Émilie la tenait au bout de ses doigts.

Nadège explosa, se cambra, et inonda le lit de son orgasme. Nadège tremblait, vibrait, embrassa Émilie, lui lécha le visage, lui suça les seins, se caressa la chatte.

— Encore, encore, baise-moi encore, bouffe-moi, fiste-moi, dit-elle avant de s’effondrer sur le lit.

Émilie l’embrassa, se lova contre elle, caressant ses cheveux trempés de sueur. Après la violence de la scène précédente, ce moment de douceur, de tendresse était magnifique. Les deux femmes épuisées s’assoupirent dans les bras l’une de l’autre. Nina alla se glisser dans le lit avec elles.

— Elles sont mignonnes nos trois grâces, dit Gabriel.
— Quand elles sont comme ça, elles sont mignonnes, mais attend qu’elles se réveillent et elles vont vite redevenir des furies.
— On pourrait profiter de ce moment de calme pour aller prendre une douche. Tous les deux.

Alors que l’eau chaude nous coulait sur le corps, nos corps fourbus, mais avec encore assez d’énergie pour retrouver une érection en nous savonnant mutuellement. Nous nous embrassâmes sous le jet chaud, un baiser humide et torride. Nos sexes s’entrechoquaient, tels des fleurets pas mouchetés, prêts à repartir à l’assaut de nos intimités.

Gabriel coupa l’eau. Je restais collé à lui, mon torse pressé contre le sien. Le froid nous fit frissonner, nous quittâmes la salle de bain et après nous être essuyé, nous allâmes nous réinstaller dans le salon où nous nous nous livrâmes à un 69. La bite de Gabriel dans ma bouche, roulant sous mes lèvres, sur ma langue. La mienne livrée au même traitement dans celle mon partenaire. Cette double fellation, tendre et excitante, douce et torride, réveilla nos sens. J’eus du mal à me concentrer sur la bite de Gabriel tant il excellait à me sucer. Je relevai la tête, délaissant cette queue bien dure, si douce, si bonne. Je gémissais, poussait de petits râles, et au comble de l’excitation, hurlait mon envie d’enculer mon suceur.

Gabriel s’installa jambes écartées sur le bord du canapé, et je le pris en face à face, plongeant dans son regard, regardant sa belle bite se balancer au rythme de mes coups de reins.
Il se mordit les lèvres, enroula ses jambes autour de mes hanches. Quelques gouttes de sperme coulèrent le long de son sexe quand je le fis jouir.

— Viens dans mon cul, me dit-il, je veux te sentir jouir en moi.

Je lui limais le cul encore un moment avant de le vider une nouvelle fois les couilles. Je n’en pouvais plus, ma bite glissa hors de son cul, je jetais ma capote pleine sur le sol, et m’effondrais sur le canapé. Gabriel m’embrassa, me serra contre lui, le m’assoupis dans ses bras musclés.

Les bougies étaient toutes éteintes que je repris conscience. Gabriel dormait à mes côtes. Je n’avais aucune idée de l’heure qu’il pouvait être. Je vis Nina traverser le salon suivie de Nadège. Signe que pour elle la nuit n’était pas terminée.

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