Série « Les Voisins » Épisode 5 : Sabine Et Carine Pour Une Partie À Quatre. Partie 2/2

Je m’appelle Sabine, j’ai quarante-trois ans. Dans la première partie de mon récit, à l’époque j’en avais que trente-neuf. Je vous ai raconté ma rencontre avec mes voisins Carine et Thomas, voilà la suite de mon histoire. Partis tous les deux en vacances, je m’ennuyais beaucoup car je n’avais plus mes voisins et surtout les câlins de Carine me manquaient. Toutefois nous nous appelions tous les jours, je lui avais raconté mon aventure désastreuse avec Julien et elle me promit qu’elle me réservait une surprise dès leur retour.

Pour ma part, je désirais renouveler l’expérience avec un mec, mais je m’étais jurée de ne plus utilisé le site de rencontre. Peu après le départ de mes amis, j’avais croisé un matin en allant au travail un homme comme je les affectionnais, la copie conforme à Thomas. J’étais persuadée que ce type pouvais me satisfaire pleinement. Pendant les jours suivant, je le croisais de plus en plus souvent, j’avais l’impression qu’il me suivait, mais il ne me parlait pas ou très peu, uniquement des politesses. J’avais donc engagé la conversation en me présentant. J’avais appris tout de même qu’il s’appelait Pierre et qu’il habitait ici depuis plus d’un an.

Si je ne l’avais jamais rencontré c’était uniquement parce qu’ayant pris un mois en vacances, il était rentré seulement ce week-end. Cet homme était charmant mais je compris vite que je ne l’intéressais pas. J’en avais même déduit qu’il pouvait être gay car avec mes allusions de plus en plus soutenues, il n’y avait peu d’homme qui refuseraient de telles avances. À partir de là, j’abandonnai ma drague inutile car j’étais impatiente de revoir mes amis, cette attente fut interminable. Cependant le moment tant attendu était enfin arrivé, Thomas et Carine étaient rentrée dans la nuit du samedi.

Le dimanche matin, j’avais attendu onze heures avant d’aller sonner à leur porte, lorsque je vis Thomas sortir faire son jogging. Carine ouvrit enfin et m'accueillit avec un tendre sourire.

Elle était encore plus belle que d’habitude, son visage était radieux et je vis dans ses grands yeux de biches qu’elle était heureuse de me revoir. Je fondis sur place, elle me semblait si douce. Elle était à peine maquillée, j’adorais lorsqu’elle mettait ses cheveux en arrière, elle portait une nouvelle petite robe blanche très sexy qui me fit craquer. Nous étions tombées dans les bras l’une de l’autre pour un baiser qui n’en finissait pas, nous étions sur le pas de la porte, nous nous fichions des voisins qui pouvaient nous surprendre.

Pourtant lorsque nous avions entendu le bruit de l’ascenseur, elle me prit par la main et m'emmena dans sa chambre. J’étais debout devant elle, j’étais tétanisée comme la première fois qu’elle m’avait embrassée. Carine, me voyant ainsi immobile, pris les choses en mains, elle enleva quelques boutons de mon chemisier, laissant à sa vue la naissance de mes petits seins et le tissu de mon soutien-gorge à dentelle. Elle passa son doigt entre et fit des petits mouvements du bout de ses doigts, tout en me fixant avec son magnifique sourire. Mon cœur battait la chamade dans ma poitrine, ma respiration s’accélérait, je lui caressais de mes mains, ses deux joues.

Puis elle pencha sa tête vers moi, je sentais son souffle chaud sur mon cou, ses lèvres et sa bouche me lécher la nuque. J'avais des frissons me parcourant le corps, je lui caressais ses hanches, son dos, ses épaules, sa peau était douce. J’avais d’énormes sensations dans le bas-ventre, je me sentais déjà humide. Elle suçait la peau de mon cou, me mordillait le lobe de mon oreille et embrassa ma joue. Elle me saisit le menton pour tourner mon visage vers elle, puis sa bouche se posa sur la mienne. J'ouvris mes lèvres instinctivement et nos langues se mélangèrent dans un baiser très sensuel, j’étais aux anges.

Nous étions toutes les deux en pleine ébullition, nous nous sucions lentement nos langues, nous nous mangions nos lèvres, nous nous léchions littéralement le visage.
Je me sentais de plus en plus humide, c'était un pur délice. Ce drôle de baiser très érotique dura une éternité, sa main se glissa entre mes cuisses que j’écartai légèrement et l'autre saisit délicatement mon sein. À cet instant, j’étais trempée, j'écartai un peu plus les jambes, afin de m’offrir à elle entièrement. Elle put ainsi passer plus facilement sa main sous mon string et ses doigts s’incrustèrent dans ma fente toute mouillée. Elle les enfonçait profondément et les retirait dans un mouvement lent de va-et-vient, tout ceci avec délicatesse et amour.

Je limitais, je lui faisais tout ce qu’elle me faisait, certainement avec moins d’expérience mais au vu de ses gémissements se confondant aux miens, elle aimait ce que je lui prodiguais. Je me lâchais, j’étais sous son emprise, je gémissais de plus en plus fort, je couinais sous ses doigts. Moi aussi je lui fouillais la fente, elle était chaude, serrée et terriblement humide. Mes doigts se retrouvèrent vite recouverts de cyprine, nous nous doigtions tout en nous embrassant à pleine langue, c’était interminable. Les tétons de mes seins pointaient, mon clitoris était dur et sensible. Soudain Carine me prit par la taille et me fit assoir sur le lit.

Elle déboutonna entièrement mon chemisier et le retira ainsi que mon soutien-gorge, m'allongea sur le dos, enleva ma jupe et attrapa mon string des deux mains et me le fit coulisser le long de mes jambes. Les cuisses écartées, mon entrejambe presque devant son visage, je m’offrais une nouvelle fois à ma voisine. Elle commença par m'embrasser et me lécher l'intérieur des cuisses, sa bouche était douce et humide. Puis elle posa ses lèvres délicatement sur ma fente, en me prodiguant de tendres bises puis bien d’autres. Elle écarta mes grandes lèvres avec ses pouces, tira sur les côtés pour ouvrir ma vulve et plaqua sa bouche pour pénétrer sa langue dans mon intimité. Je mouillais terriblement, instantanément un flot important de cyprine s’écoula de mon vagin, j’étais en extase.


J’emprisonnais fortement sa tête entre cuisses, je ne voulais pas que cela s’arrête, Carine persistait sa bouche colée sur mon sexe, je ressentais la pression de ses lèvres pendant que sa langue aspirait mon petit bouton, je profitais de chaque instant de ce merveilleux cunnilingus. Ma petite chatte n’avait jamais été mangé de la sorte, rarement je n’avais été léchée ainsi. Je sentais monter en moi ma jouissance. Les yeux fermés, la bouche ouverte, j’étais au bord de l’explosion. J’attrapai l’oreiller que je serrai contre mon visage, je poussais des petits cris. Carine me fit grimper au septième ciel avec sa langue et ses doigts en me provoquant plusieurs orgasmes à la suite. Mon corps se contractait à chaque jouissance mon plaisir fut immense.

Carine avait le bas du visage trempé de mes jouissance, elle me fit me relever et nous nous étions enlacées et embrassée longuement à pleine bouche. Tellement prise dans l’action, je n’avais pas entendu une troisième personne arriver dans l’appartement. Carine se dirigea vers la commode et sortit d’un tiroir un bandeau qu’elle me plaça devant les yeux et attacha mes mains avec une paire de menottes. Je savais que Carine ne voulait que mon bien, je ne m’en inquiétai pas mais je me demandais bien où elle voulait en venir. Je n’eus pas longtemps à réfléchir car elle me dit au creux de mon oreille :
— Une surprise t’attend ma chérie.

Ce fut à cet instant que j’entendis cette troisième personne pénétrant dans la pièce en refermant la porte, suffisamment fort afin que je l’entende :
— Qui est-ce Carine ? C’est toi Thomas ?
L’homme ne répondit pas mais j’entendais sa respiration :
— C’est un homme en effet Sabine mais ça reste la surprise, ne t’inquiète pas. Si tu ne veux pas, il est encore temps de tout arrêter. Es-tu prête à jouer le jeu ?

Je n’avais pas encore répondu que je sentis se coller à moi le corps puissant d’un homme. Je n’eus aucun doute, celui-ci bandait fortement, il prit les initiatives.
Il se frottait le sexe contre mes fesses puis contre mon ventre pendant que Carine me caressait sensuellement, tout en me déposant des bisous un peu partout sur le corps. Je n’osais pas bouger, je me laissais aller au plaisir et à la surprise :
— Non ! Vous pouvez continuer. Lançais-je à contre temps.

Mon vœu allait être exhausser, j’avais tellement désiré Thomas que j’étais comme sur un nuage, sachant qu’il était ici uniquement pour me satisfaire. Pourtant, étant jalouse de nature, une question me venait à l’esprit : « Comment Carine pouvait laisser son homme baiser une autre femme ? » Ne les voyant pas, je me posai une autre question : « Eh si ce n’était pas Thomas ! Quel homme pouvait bien avoir invité Carine ? » je ressentais une multitude de caresses et de bisous, de mon ventre aux parties les plus intimes. Je savais que c’était mon amie car derrière-moi, le sexe coincé de mon inconnu dans la raie de mes fesses, l’homme m’embrassait le cou tout en me malaxant tendrement ma poitrine.

Tout cela me troublait, c’était une première pour moi, jamais je ne fus aux prises avec deux partenaires, je frissonnais de plaisir et d’excitation. Nue à leur merci, l’inconnu m’aida à m’allonger et prit mes mains et les avait attachées au-dessus de ma tête sur la tête du lit. Pendant que Carine m’administrait un cunnilingus dont elle avait le secret tout en jouant avec ses doigts, l’homme me couvrait la poitrine de petits baisers, me caressant délicatement, me léchant et suçant mes tétons avec douceur et tendresse. J’étais en extase, je gémissais puissamment, ma respiration s’accélérait.

Je m’arc-boutais, offrant mes seins à l’inconnu et écartait les jambes afin de laisser plus de passage à la langue et aux doigts de Carine qui me fouillait, j’étais littéralement trempée, mouillant énormément. Avec quatre mains et deux bouches uniquement pour mon plaisir, c’était un pur délice. Lorsque je sentis le type venir au-dessus de moi pour déposer ses lèvres sur les miennes, je sortis ma langue pour un baiser passionné et je jouis sur la bouche de Carine qui m’avalait. Elle vint prendre la place de l’homme et m’embrassa à son tour tout en continuant à me malaxer la poitrine que je tendais vers l’avant, je gémissais de plus en plus fort.

Soudain, une main masculine avait glissé sur ma chatte afin de caresser ma fente. Puis il enfonça un puis deux doigts entre mes grandes lèvres, le passage était bien mouillé, je frissonnai de plus belle lorsque ceux-ci me fouillaient profondément, un nouveau filet de cyprine s’échappa sans que je puisse l’en empêcher, j’étais dans un état indescriptible, la situation était très excitante. Son autre main était allée vers mon anus et du bout de mon index, il massait la peau tendre de mon petit trou, je refusais souvent, mais cette fois j’avais très envie qu’il poursuive. Son doigt suffisamment mouillé y pénétra. Pas très surprise, je poussai un petit cri et m’ouvris un peu plus, j’appréciais ce contact.

Je râlais de bonheur, mon désir devenait insupportable, mes petits cris remplacèrent mes gémissements, son bassin s’activait de bas en haut, je n’en pouvais plus, j’avais qu’une idée en tête, d’être possédée. Néanmoins, je n’osais pas le demander. Carine me plaça un sextoy devant la bouche que je suçai afin de le mouiller de ma salive et très vite, l’homme se plaça sur moi, j’avais ses fesses sur ma poitrine et sa queue contre mes lèvres. Je relevai un peu la tête, j’ouvris la bouche pour avaler son gland. Sans hésiter une seconde, je m’activais dans une douce fellation. J’avais failli m’ lorsque je sentis un sexe en silicone me pénétrer, tout en suçant et léchant le pénis de mon partenaire, je me faisais prendre par ce sextoy que Carine magnait avec talent.

Ma voisine retira le jouet de ma petite chatte, et vint m’embrasser pendant que l’inconnu à genoux entre mes jambes, sa verge au maximum de son érection, pressait sur ma fente, je jetai un coup de rein en même temps que lui et son membre disparut d’un seul coup entres mes grandes lèvres. Je couinais de joie, je mouillais de plus belle en ressentant sa queue me remplir ma petite chatte, je gesticulais de toute part, remuant mes fesses pour venir au contact de cette verge qui me possédait. C’était un pur bonheur, cela faisait si longtemps que j’attendais ce moment que j’en avais presqu’oublié le bien que cela me procurait.

J’étais en transe, j’haletais, ma chatte pleine était en feu et les mains et la langue de Carine m’en faisaient voir de toutes les couleurs. Les coups de boutoir de mon amant devenant plus puissants, je criais à présent à chaque fois qu’il s’enfonçait jusqu’à la garde. J’explosai une nouvelle fois, ma jouissance fut soudaine, je m’étais raidie et tremblais de partout. Ils me laissèrent reprendre mes esprits puis il me détacha les mains et délicatement, il m’avait retournée les fesses en évidence. Dès que je fus en position, mon inconnu s’activa un long moment avec ses doigts dans son anus et d’un seul coup de rein, sans que je ne sois avertie, il avait perforé mon anus dilaté.

Son sexe était un peu trop épais, j’eus un peu mal, je poussai un cri perçant qui s’atténua très rapidement. Carine me caressait en même temps, ce qui eut pour effet que la douleur semblait avoir disparu, je gémissais de nouveau en jouant moi-même du bassin. Il allait et venait dans mon recteur tout en douceur, jusqu’à ce que je crie mon plaisir. Je jouis puissamment en m’écroulant à plat ventre. Il me retourna une nouvelle fois et me présenta son sexe entre ses lèvres. Je compris son désir que c’était à mon tour de le soulager. Avec ma langue, je léchais sa hampe et avala son gland et une bonne partie de sa queue entre mes lèvres.

Ne désirant pas l’enfoncer entièrement, j’avais ma main autour de la base de sa verge pour le masturber, son gland cognait mon palais. Dès que j’accélérai le mouvement, il ne put résister plus longtemps, son sperme explosa dans ma bouche. Immédiatement après, Carine vint m’embrasser, le sperme coulait de nos bouches et disparaissait sur nos poitrines. J’entendis la porte se refermer, lorsqu’elle m’enleva le bandeau, nous nous retrouvions toutes les deux dans la chambre, j’étais épuisée. Elle sortit à son tour en me demandant de rester un moment afin de me reposer. Je lui pris la main et lui dit sans aucune arrière-pensée :
— Oh merci pour tout, merci, merci, merci. Vous avez été supers vous êtes adorables, vraiment merci.
— Repose-toi un peu avant de prendre ta douche, je te laisse la place dans un petit moment. Au fait ! Tu n’as pas l’air pressée de savoir qui était cet homme ?
— C’est Thomas évidement.

Après une petite demi-heure de repos, Carine m’ayant mis le doute, j’avais les idées plein la tête. Il était 14 heures lorsque j’avais enfin pris la douche. Quelques pizzas étaient au menu, je rejoignis mes amis au salon et là ! Quelle stupéfaction lorsque je vis Thomas assis face à moi, Carine à ses côté un homme de dos qui se leva dès mon arrivée :
— Je te présente Pierre le meilleur ami de Thomas. Me lança Carine.

J’étais stupéfaite, je n’arrivais plus à parler, je ne lui avais même pas répondu lorsqu’il me dit : « Bonjour Sabine ! » J’étais blanche de honte, je me demandais si c’était lui qui m’avait fait l’amour quelques minutes plus tôt. Thomas s’était levé aussi et me prit par la main et me déposa une bise sur la joue. Je ne comprenais plus rien, nous nous étions tous remis assis autour de la table basse pour manger les pizzas. Je m’étais remise de mes émotions, mais je ne savais toujours pas qui était cet homme avec lequel j’avais fait l’amour. Plus je regardais Pierre, plus j’espérais que ce soit lui car s’il m’avait déjà tapée dans l’œil dans l’ascenseur, à cet instant précis, j’étais fascinée, j’étais comme une adolescente et j’avais hâte de savoir :
— Alors Carine ! Tu peux me dire maintenant.
— Tous les deux ma chérie, à tour de rôle. Un pour ta petite chatte, l’autre pour ton petit trou. Mais nous ne t’en dirons pas plus. Tu le découvriras cet après-midi. Nous allons remettre le couvert mais moi aussi je profiterai de leur puissance sexuelle.

Je n’avais jamais connu une journée de folie comme ce jour-là, nous avions fait une partie à quatre pendant toute l’après-midi. Puis après le repas du soir, je n’étais pas rentrée seule, Pierre fut très heureux de venir dormir avec moi. Cependant épuisés, nous n’avions pas refait l’amour cette nuit-là, mais je n’avais pas failli à mes devoirs le dimanche matin. Depuis, il n’avait plus quitté mon appartement, deux mois plus tard j’étais enceinte et nous nous sommes mariés après la naissance de la petite Léa. Carine, elle aussi, mis au monde son petit garçon un mois plus tard.

Aujourd’hui, résidant à plusieurs kilomètres les uns des autres, nos petites parties que nous faisions régulièrement toutes les semaines, se sont espacées. Cependant, cela ne nous empêche pas de nous retrouver comme par le passé quelques fois dans l’année. Principalement en vacances.

Prochain récit Samedi matin

Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Sabine, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!