Leslie La78
Leslie LA78 - Laure, le journal intime - Période saphique, Lesbiennes & Co, suite
Ah, que cest bon de se donner du plaisir en les regardant.
Karl continue de labourer Sophie. Il va et vient en elle, tandis que Sophie dune main lui masse les couilles.
Je suis toujours en train de les observer mais je ne veux pas me joindre à eux, enfin pas pour le moment, alors je me branle doucement les yeux rivés à cette grandiose poitrine et sur la fabuleuse queue de Karl, ne désespérant pas me la prendre à mon tour tout à lheure.
- Je vais jouir, dit Sophie. Lâches-toi, remplies-moi de toute ta jouissance.
- Non, je vais tenculer dabord !
Karl après sêtre détaché de Sophie, la retourne et elle saccroupit en levrette sur le lit, jai le temps de voir le membre de Karl, brillant des sécrétions de Sophie et je frémis en pensant quelle va se prendre ce monstre dans le cul.
Karl place le gland sur la rosette de Sophie et pousse doucement pour lintroduire en elle, Sophie se cambre et hurle en disant :
- La vache, elle est grosse !
Mais Karl arrive à lui forcer le fondement et sintroduit bien profond, le ressort et recommence. Il pistonne Sophie qui feule en disant :
- Ohhh, cest bon, continue comme ça
- Tes serrée comme une vierge, lui dit Karl, ça doit faire longtemps que tas pas été prise par-là !
Il ferme les yeux, bouge de plus en plus vite le bassin, pour senfoncer dans les entrailles de Sophie, rentrant le plus profondément possible dans le cul de Sophie.
- Je viens, encore, je viens, jexplose ! Dit Sophie.
Et elle retombe sur le lit en hurlant de jouissance
Cest à mon tour darriver à la jouissance, je referme la porte et je rejoins rapidement mon lit, pour mallonger en sueur
Peu de temps plus tard, on frappe à la porte communicante, je me lève et vais ouvrir, trouvant devant moi, Sophie nue et le regard hagard, qui me dit :
- Je narrive pas à trouver le sommeil, tu voudrais bien me tenir compagnie ?
Pour bien lui faire savoir que je ne suis pas dupe et quil ne faut pas me prendre pour une conne, je lui dis :
- Après les gueulements que tu as poussés quand Karl tas baisé et enculé, tu viens me chercher pour que la petite salope de Laure y passe elle aussi.
Elle me regarde en me dévisageant, le rouge aux joues, elle semble un peu hébétée, son mascara a légèrement coulé, ses lèvres sont un peu gonflées et son regard est lourd.
- Une pulsion, me dit-elle, il y a si longtemps
Jespère que tu ne men veux pas, mais je nai pas pu résister.
- Tu sais Sophie, lui dis-je, jaime autant les femmes que les hommes et jai tendance à oublier que tout le monde nest pas comme moi
Sophie minterrompt en posant sa main sur son bras.
- Tu mas troublé tout à lheure et je nai jamais eu de relations avec une femme, mais avec toi
- Tu veux moffrir à ton amant pendant que je te gouinerais ?
- Ça me ferait plaisir et ce serait nouveau pour moi !
- Tas réfléchi ? Alors attends-moi, jarrive
Je suis allé fouiller dans mon sac de voyage pour y prendre mon gode ceinture, en me voyant revenir, souriante, avec lengin dans les mains, elle ma dit :
- Tes vraiment une petite cochonne, viens membrasser.
- Et Karl ? Tu nas pas peur quil nous observe ?
- Je men fiche et puis il sait pour toi et ça lui plait. Viens me donner ta bouche.
Je la prends maintenant dans les bras et ne ressens aucune résistance. Sophie appuie ses lèvres sur les miennes jusquà ce que je les entrouvre. Elle en profite pour glisser sa langue qui vient caresser très doucement la mienne. Nos langues tournoient, nos salives séchangent, nos poitrines se touchent, je me frotte à elle jusquà la sentir frémissante et nos baisers se font de plus en plus profonds
- Ne restez pas ainsi, venez me rejoindre !
Karl est devant nous, nu, le sexe dressé, le sourire aux lèvres, prêt à nous honorer, mais une idée à germée dans ma tête, il va regretter de mavoir traité de petite pute de gouine et de salope, il va se souvenir de cette salope de Laure et nen fera pas état dans la société vendredi à son retour, avec ses potes
Je rentre lentement dans la chambre de Sophie, nue, après avoir dissimulé le gode sous un oreiller, je mapproche de Karl qui me regarde étonné que jaccepte de me faire baiser par lui.
- Alors, lui demandai-je, elle te plait la femme aux gros seins ?
Il ne dit rein, gêné par ma question et par la présence de Sophie. Mais je sens quil séchauffe en regardant mon corps et de ce quil va faire avec, en plus, baiser une gouine, en présence dune autre femme, le top pour un mec.
- Mais tu veux me baiser, baiser la petite gouine de la société ?
Je me colle à lui et il commence par me caresser doucement tandis que je me laisse aller dans ses bras. Sa queue gonfle et sa main sactive sur mes fesses, Sophie dans mon dos soccupe de ma poitrine.
- Viens me sucer
Suces-moi, jai la queue toute raide, me dit-il, touches-la. Peut-être que tu nas pas lhabitude ?
- Tinquiètes, jen ai vu dautres et je vais te surprendre ! Lui répondis-je.
- Touches-moi, tas vu comme je suis tout dur
Karl parle comme à lui seul, son ego laveugle et cest bon pour mon projet, ne pas le laisser se douter de quoi que ce soit et se faire lascive, tendre et câline pour lui, lemmener au bord du plaisir avant que
Je maccroupis et prends le membre de Karl dans ma bouche, puis après lui avoir bien fait sentir la douceur et la chaleur de ma bouche, ma langue rampe le long de la hampe de son sexe, puis ma langue tourne avec frénésie autour du gland, Karl se cambre en disant :
- Waouh ! Tu suces comme une pro, comme si tu avais fait ça depuis que tes toute petite.
Et pendant que je mapplique à le rendre fou, il continue de parler en disant :
Sophie, elle aime le cul comme une furie, je lai prise tout à lheure recto et verso, et elle a aimé, elle était déchaînée. Elle aime la bite, ça se sent
Il est en plein délire et je crois que Sophie vient de comprendre ce que je veux faire, alors elle ne dit rein, jouant le jeu et se laissant doigter par Karl.
- Viens-me donner ta chatte maintenant. Jai envie de te sucer un peu et puis je vais te la foutre bien au fond, dit Karl.
Je vais vers le lit, après avoir demandé à Sophie de sortir ses foulards et mallonge sur le dos, les cuisses grandes ouvertes.
- Tu vas voir, dit Karl en fanfaronnant, la bouche dun mec cest bien meilleur que celui dune femme.
Karl se penche vers moi et met son visage entre mes cuisses, il remarque que je nai pu me retenir et que ma chatte est trempée, alors il me dit :
- Tes quune petite jouisseuse, tes toute trempée !
Il me lèche un moment, faisant naitre en moi des frissons de plaisir, et me dit :
- Allez, maintenant viens sur moi, empales-toi sur mon pieu.
Je vais réaliser mon envie de membre avant le nouveau dans ma tête, alors je lui dis:
- A la seule condition, cest que tu le laisses attacher au lit !
- Si ce nest que ça, vous pouvez y aller, nous dit-il sûr de lui.
En moins dune minute, il se retrouve les poignets solidement entravés au lit, si bien quil ne peut plus bouger les mains, il est là sur le dos, le sexe dressé vers le plafond, attendant que je le chevauche.
Lenjambant, je mempale sur son sexe et ressens enfin la délivrance tant espérée, jai un vrai sexe en moi et je ronronne de plaisir :
- Ça te plait, dit Karl, histoire den rajouter un peu.
A présent, je monte et descends lentement sur ce pieu de chair, à mon rythme prenant le maximum de temps et de plaisir, je me lenfonce bien profond en moi et jaime le sentir dans mon ventre.
Puis en regardant Sophie, je lui dis :
- Suces-moi le bout des seins, pince-les, après tu moffriras ta chatte à ma bouche.
Sophie sexécute, faisant monter dun cran le plaisir en moi, je continue de me baiser sur Karl qui commence à haleter. Il me tend ses lèvres, mais je lignore, seul mon plaisir compte avant lapothéose finale.
En silence je me laisse envahir par la jouissance afin de ne pas déclencher celle de Karl, puis heureuse de mêtre satisfaite, je me relève et sort la queue de Karl de ma chatte, il pense que je vais lui offrir mon petit trou, alors sûr de lui une nouvelle fois, il dit :
- Ohhh, oui, donnes-moi ce petit trou et laisses-moi jouir au fond !
Mais, je le laisse ainsi, me relevant et prenant Sophie dans mes bras, je lui colle mes lèvres sur les siennes pour un baiser torride, puis lui dit :
- Aimons-nous un peu !
Sophie se laisse guider, ce sont des caresses, puis un soixante-neuf, puis une fois harnachée du gode ceinture, je baise Sophie sous les yeux de Karl.
- On va enculer ce gros salopard, pour lui faire rabattre un peu son caquet.
Sophie parait heureuse du projet et me dit quelle est daccord.
Alors je me suis placée entre les jambes de Karl, que Sophie a relevé pour me laisser accéder à lanus de Karl.
Comprenant ce qui allait lui arriver, Karl a tenté de resserrer les jambes, en disant :
- Non, non pas ça, vous êtes vraiment timbrées.
- Ah oui, dis-je, toi tu encules les femmes, et tes pas timbré, et tout à lheure tu mas traité de petite pute de gouine et de salope, et bien la salope elle va tenculer avec son gode et ensuite ce sera la tour de Sophie de tenculer, ainsi tu connaîtras ce que ça nous fait et tu pourras en parler avec tes potes.
- Tarées, vous nêtes que deux tarées !
Jai placé le gland du gode sur la rosette de Karl, elle était serrée et il devait en rajouter pour éviter la pénétration, mais javais la ferme intention de lui fourrer le gode entier au fond de son cul.
Je lai attrapé par les hanches et jai poussé, il a grimacé de douleur, nayant même pas pris la peine de lubrifier le gode, il devait le sentir, se faire prendre à sec pour une première fois, ce nest pas lidéal.
A force de persévérance, le gland est entré, le faisant hurler, puis lentement je lui ai rentré le gode en entier, je lai enculé pendant de longues minutes, le faisant hurler et jurer à, la fois, jai même cru voir perler des larmes aux coins de ses yeux.
- Alors petit enculé, ça te plait de te faire défoncer le trou du cul par une petite pute de gouine, lui dis-je.
Le souffle court et manquant dair, honteux aussi peut-être, il ne ma pas répondu.
Alors jai laissé la place à Sophie, qui pour une première dans cet exercice sen tira fort bien, prenant même un malin plaisir à enculer son enculeur
Nous lavons laissé ainsi, lanus entrouvert, pour nous aimer plus longuement, prenant du plaisir ensemble et nous laissant mater par Karl. Nous avons utilisées le gode sur nous et Sophie a adoré.
Puis nous sommes allées dormir dans ma chambre, laissant Karl entravé sur le lit, u gode fiché dans son cul.
Le lendemain, jeudi matin, il était toujours là, sur le lit de la chambre de Sophie, entravé au lit et le gode dans son cul. Dune voix implorante il nous a demandé :
- Détachez-moi, ça suffit maintenant !
Après avoir embrassé Sophie à pleine bouche, je lui ai dit :
- La femme de ménage sen chargera et tu lui expliqueras par quel mystère tu tes retrouvé attaché au lit et tes fait sauvagement enculé par deux furies et laissé ainsi le cul godé.
Avec Sophie nous nous sommes préparées, entendant les supplications et les jurons de Karl, un petit déjeuner vite avalé, la signature du contrat et retour à Paris, heureuses et comblées, imaginant la situation dans laquelle Karl était.
Le vendredi matin, de retour au bureau, Karl nétait pas là, Sophie avait terminé sa mission, alors jai été demandé ma mutation dans une autre agence.
Le lundi suivant jallais démarrer dans de nouveaux locaux et avec une nouvelle équipe
Jai quitté le bureau à midi, une nouvelle vie professionnelle allait commencer pour moi, mais avant, il y a eu la soirée du jeudi soir, avec Sophie, et le week-end, avec
Zahra et Layla
A suivre
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