Un Week End À Trois.

Et ç'est donc comme ça que notre vie se déroula pendant un an et demi, Marie avais deux hommes pour elle. Luc venait a là maison quand il voulait. Que je soit là où bien pendant que j'étais au foot. Quand j'étais dans là maison, je descendais les épier et j'éprouvais une part de jalousie, jouissive. J'adorais voir Marie prendre son pied avec lui. Et avec moi quand on se retrouvais. De temps en temps les soirées finissaient en trio, et je savourais encore plus ces moments de partage et de plaisir. Au printemps nous avons eu envie de vivre notre truc a trois sans avoir a faire attention au regard des autres. Car il y avais toujours le risque de rencontrer une connaissance lors de nos balades où soirées au restaurant. Ç est décider nous irons en Espagne passer un Week Ends , assez loin de là frontière pour ne pas tomber sur quelqu'un de connu. Là date fur arreter. Les valise sont prêtes. Le vendredi nous partons, je conduis, Luc est devant et Marie derrière. De temps en temps, sa main caresse ma nuque où celle de Luc. Nous nous sentons libre. Ça y est là frontière est passée, je voit Marie qui passe sa main entre nous et qui se pose sur le sexe enfermer de Luc, elle le masse doucement tout en continuant là discussion. (discussion qui je l'avoue ne ma pas marquée.). Je bande en conduisant, heureux du Week Ends que nous allons passer. Un petit arrêt dans un Resto et nous continuons notre route. Après une heure et demi de route, on decide de chercher un hôtel pour passer la nuit. Par chance on arrive de suite a Tarragone, les Hotels a touristes ne manquent pas. Le premier fut le bon. Une chambre pour trois, un grand lit et un lit une place, mais dans nos esprits, il était assez grand pour nous trois. On decide de prendre une douche, Marie commence, puis Luc et enfin moi.quand je reviens dans la chambre ils sont allonger sur le lit nus, et déjà emboités, il la prend doucement, tendrement. Pour ne pas les déranger je m'installe sur le fauteuil au coin de la chambre en caleçon.

Je bande tout de suite, je me sert une biere et m'allume une cigarette, pour m'occuper les mains, je ne veut pas me caresser. Je reste la, a les regarder faire l'amour. Je suis au bord de l'orgasme de par la situation. Ma femme en train de faire l'amour avec un autre......ils sont de face et s'embrassent a pleine bouche, elle est sous le male qui la baise. Ses jambes serrent ses reins et accompagne les mouvement de bassins de Luc, je suis dans l'axe de de ces deux sexes, et je me délecte de cette vision. Ma femme remplie par mon ami et qui geint, couine a chaque coup de bite, qui profite pleinement du plaisir d'être bien remplie. Je voit ce sexe l'envahir mais ils ne baise pas ils font l'amour, ils sont seuls, et moi je profite du spectacle. Je ne peut, ne veut, par mon intrusion casser le charme et leur union. Je commence de me caresser, en accompagnant les mouvement de Luc, je guette le moment ou ils vont jouir, pour jouir en même temps. Ils s'enlacent et elle se retrouve a califourchon sur son amant lorsqu'elle se penche en avant, je voit son petit s'ouvrir, palpiter du plaisir qu'elle éprouve, j'ai une terrible envie d'y passer ma langue, mais je me retient.... Je comprend par les contractions de son cul qu'elle lui serre et desserre le sexe en rythme, chose qu'elle me fait regulierement, er qui procure cette sensation d'être pompé par une chatte, quand ses chair enserre votre sexe pour faire monter votre plaisir a son paroxisme, pour enfin vous faire exploser au plus profond de son antre... Elle accélère les mouvements et les contractions, ils sont de plus en plus bruyants les gémissements sont maintenant des cris, je me branle moi aussi d plus en plus vite mais en silence, malgré le plaisir que j'ai, pour ne pas les déranger, on dirai, non ils ont oublié ma presence. Et la ce sont deux cris de jouissance qui explose, moi aussi j'atteind le ciel...... Et je décharge au sol.
Ils reprenne leurs esprits doucement, er Marie me regarde, reconnaissante de l'avoir laisser faire l'amour avec Luc, doucement , d façon inaudible elle me dit «je t'aime», je la crois. Luc retourne sous la douche, et Marie me rejoins, elle se met par terre,a mes pied et commence a me caresser, je durcit sous ses caresses et son regard. Puis elle me prend dans sa bouche, elle me suce langoureusement. Mais bientot je sens le plaisir arriver elle aussi, elle me serre les couilles puis glisse un doigt entre les fesses qui a pour effets de me faire éjaculer et là elle avale mon nectar doucement comme un met rare. Luc sort de là douche et nous y allons ensemble, une fois habiller direction le centre ville pour un apéro tapas. Nous avons donc fait l'apéro dans un petit café typique espagnol, des habitués et quelques jeunes mais aucun francais, tout été pretexte pour caresser le cul ou les seins de Marie. Notre jeu a trois ne passé pas inaperçu, on voyait quelques regards lubriques. Marie nous allumait, tantot en se léchant les doigts, tantot en gobant une asperge toute entiere, mais je pense que nous n'étions pas les seul a avoir là Gaule. Plus l'apéro avançais, et plus Marie buvais, ses inhibitions reculaient, d'un coup elle se tourna vers Luc et l'enlassa pour lui rouler une pelle, puis ce fut mon tour, là clientèle du bar qui vit ça a eu là confirmation de ce qu'ils pensait depuis le début, ça aller être sa fete au milieu de deux mecs. Vers 23h on sort d ce bar ou quelques gars auraient bien aimer se joindre a nous, mais Marie est a nous......on se trouve un resto sympa sans trop de monde le repas se passe, joyeux et gaie, quand arrive là carte des dessert Marie dit qu'elle n'en veut pas mais que nous devons en prendre, nous. Les desserts nous sont servis, et aussitôt Marie dit quelle va au toilette, et «je prendrai les miens au WC» nous avons avec Luc failli nous , mais le clin d'oeil de Marie et «j'attend le premier en bas.....» Puis elle s'éloigne en remuant ses fesses comme il n'est pas permis. Je nous sert un verre et je propose a Luc de descendre le premier rejoindre Marie au toilettes il se leve et part, je me leve pour sortir fumer une cigarette, je ne pourrai rester là, trop impatient de rejoindre ma moitié. Je retrouve ma place a table et dois patienter de longues minutes. Quand après un quart d'heure d'attente interminable Luc me rejoint et me dit que Marie m'attend.... Je la rejoint dans là cabine du sous-sol. Elle me defait le pantalon et me baisse le caleçon sur les genoux elle a les seins sortis, il me semble qu'il y a une goutte de sperme sur le droit, elle est assise sur la cuvette et me prend tout de go dans sa bouche.... Quand ma queue sort de sa bouche, elle me dit
«il m'en a donner une bonne rasade, a toi.»
Et là elle me suce avec appétit, me serre les couilles et me regarde avec un regard de chienne... Au bout d'une dizaine de minutes;
«donne moi tout!»
Et en même temps elle me glisse un doigt entre les fesses, elle me pompe litteralement le gland et j'explose dans sa bouche, elle n'en perd pas une goutte. Elle fini de me nettoyer le sexe et on se rhabille pour retourner a table. Le repas fini on est aller faire un tour dans les rites animés de là ville, Marie passant des bras de l'un a l'autre. Nous embrassant a tour de role. Là soiree s'est poursuivi dans different bars, on s'amusait comme des petits fou , libres.....
Vers trois heures on decide de rentrer se coucher. Dans l ascenseur, de l'hôtel nos quarts mains sont sur Marie il faut dire que sur le trajet du retour, elle avais frotter son cul sur nos pantalons comme une femelle en chaleur. Sitôt dans là chambre on lui a sauter dessus trop exciter par son petit jeu, en quelques instant elle est nue, on se déshabille aussi. Je là pose vers le sol ou elle se met a genou, on lui presente alors nos deux bites qu'elle suce comme si sa vie en dépendait.elle passe de l'une a l'autre, on là force a nous avaler tout entier. On là fait mettre a quatre pattes au milieu de là piece
«Ah, ça ta plu de nous allumer, tu va voir ce qu'on va te mettre Salope» a dit Luc, je pense que notre état d'ébriété y été pour quelque chose. Mais le jeu nous a allumer a tout les trois.
«tu veut de là bite tu va en avoir»
Luc se met derrière elle, et là pénètre d'un coup sec, elle crie.
«ta gueule et et suce»
Elle obéit, elle est a nous.
Luc se retire, car il est prêt a se vider. On là prend a cru cette fois. Je prend donc sa place et lui là mene dans là bouche de Marie.
«suce moi, mais ne me fait pas jouir Salope!»
Je commence a là baiser tout en lui caressant son trou du cul elle n'apprécie guere là sodomie, mais accepte que je joue avec son oeillet, ce qui me laisse un espoir.je sent son sexe qui me serre.elle veut nous faire éjaculer. « cette Pute est en train de m'essorer là bite». Avant de me vider je me retire, nouveau changement de place, elle me nettoie là bite et Luc se déchaîne dans sa chatte.nous avons changer de nombreuses fois, pour faire retomber là pression dans sa bouche. A un moment entre deux bites elle nous dix avoir mal au genoux sur là moquette Luc va s'allonger sur le lit , «vient là Salope ç'est pas fini» elle se met a califourchon sur lui en se remplie seule, elle s allonge sur lui, ce qui a pour effet de me dégager là vue sur sa rondelle, je m'approche et commence a lui branler son cul, mais elle me fait comprendre que non il n'y aura pas de double.
«quoi, t'est une pute, tu a deux bites pour toi, et tu veut pas en profiter? Bien sur qu'on va te les mettre!!» Et là Luc l'enlace fermement contre lui elle ne peut bouger que son cul. Moi aussi j'enjambe Luc et vient presenter ma queue sur le cul de ma femme. Elle nous dit qu elle veut pas que ça va faire mal.
«ta gueule on va te remplir comme tu le mérite.»
Je joue un peu avec son oeillet, puis je rejoint le sexe de Luc un peu plus bas, et là je pousse doucement pour que je puisse trouver mon espace, Marie ne dit plus rien elle a compris mon intention, je là sent se détendre pour me laisser là pénétrer. Luc ne bouge plus, et l embrasse, «ce soir, tu est notre objet, notre pute.....». Tout doucement ma bite rejoins celle de Luc, sensation quelque peu bizarre de ce contact avec un sexe masculin mais dans là chatte de ma femme.ça y est j'y suis, je commence des va et viens, Luc aussi doucement, Marie gémit.
«Ohhhhh putain je suis remplit là, vous allez me ........»
On accélère, les gémissement se tranforme en petits cris. Ç'est là dernière chevauchée de là nuit on est tous concentrer sur le plaisir nous mouvements s'accélère, Marie cri, hurle, ce qui je crois nous encourage a là défoncer encore plus fort. Elle joui a grandes eaux, nous sommes tremper mais le rythme ne faiblit pas. Luc se vide je sent les contraction de sa bite contre là mienne est j'entends ses cris, quelques secondes après ç est a moi de remplir Marie. Je me retire et Marie s'allonge sur le dos en travers du lit exténuée, les jambes ouverte je peut voir sa chatte ouverte qui coule du jus de ses deux mâles.....
«vous m'avais défoncer... Salops.....».
Nous nous sommes endormis après certe débauche de sexe les deux jours qui ont suivi furent plus calmes. Restos, plages, apéros, et bien sur nous faisions l'amour a Marie. Mais un seul a là fois.le dimanche nous sommes rentrer un peu triste de retrouver le train train quotidien.....