Plombier Et Chef De Service
Ma chef de service, celle que vous connaissez ( voir anectode du 19/01/14) arrive lautre jour au bureau, rue de Varenne, toujours bien sapée dans son petit tailleur noir, elle avait des difficultés à marcher. Elle se présente à notre réunion hebdomadaire en boitant, elle se tortillait devant le paperboard ce qui nest pas son habitude. Elle eu toutes les peines du monde à sasseoir en bout de table pour nous précisez nos tâches respectives. Nous la sentions distante, ce nest pas son habitude.
Nous la voyions marcher péniblement dans les couloirs.
«Elizabeth, nous pourrions savoir ce qui ne va pas, quelque chose vous tracasse ? »
« Cest gentil de prendre de mes nouvelles, en effet, jai toutes les peines du monde à marcher et à tenir en position assise, jai une sorte de gène dans le bas du dos » ».
Il ne faut pas rester comme ça, je connais un très bon ostéopathe, je vous donne son adresse vous y aller de ma part, vous savez un médecin ordinaire ny pourra rien si vous vous êtes déplacé quelque chose lui dit mon collègue, toujours prêt à rendre service et surtout à fayoter.
La journée passe et le lendemain notre boss avait toujours les mêmes difficultés pour sasseoir. Elle faisait peine à voir. En se pointant à la porte de notre bureau, elle nétait pas si hautaine que dhabitude et nous demande :
« Est-ce que quelquun parmi vous à des notions de plomberie. Jai chez moi un problème dévacuation et jaurai besoin dun coup de main. »
Comme un seul homme tous répondent que nous étions partant pour laider ( tu parles quand il sagit de se faire mousser) seules les femmes sont restées silencieuses.
« Je vois que je ne manque pas de chevaliers servants, vous Daniel, la plomberie cest votre truc ? »
« Vous savez, je my connais comme tous le monde, changer un joint, déboucher une canalisation cest bien tout ce que je peux faire et je ne suis pas outillé pour ce genre de tâche ».
« Eh bien cest parfait » me répondit-elle « vous savez où jhabite, ce ne sera pas long, on se retrouve en bas en fin daprès midi »
Impossible de dire non, je ne suis pas très doué en travaux manuels, je vais passer pour un con, pourquoi na-t-elle pas choisi un collègue, ils étaient tous enchantés, beaucoup plus que moi par ce travail.
Je retrouve donc Elizabeth près de sa voiture, avec dinfinies précautions elle sassoie au volant , je la suis avec ma voiture jusquà chez elle.
Limmeuble me rappela un certain soir de beuverie (voir anectode Ma chef de service). Elle monta lescalier devant moi en tortillant des fesses, non pas comme quelquun qui veut vous allumez mais comme un vieillard qui a du mal à se déplacer.
« Vous connaissez la maison, je crois, me dit elle avec un sourire. Asseyez vous, un petit whisky avant de vous mettre au travail ? »
On ne refuse jamais une telle offre.
« Voilà ce que je vais vous demander va, sans aucun doute, vous paraître singulier » me dit-elle en sasseyant péniblement « Vous êtes libre de refuser et je ne vous en tiendrai pas rigueur »
« Je ne vois pas pourquoi je refuserais, le travail ne doit pas être bien délicat, à moins que vous ayez peur que je ne fiche en lair toutes vos canalisations !! ».
« Bon, je me lance » dit elle en rougissant et en reprenant une grande gorgée de whisky.
« Vous savez que je suis célibataire, sans mec, sans nana non plus. Nous avons tous deux la quarantaine et vous savez ce que cest, nous avons des désirs nest ce pas, bien que ça ne soit pas mon truc. Mais parfois la nature est là et il faut bien se contenter »
Elle était écarlate. Que pouvait-elle bien me vouloir pour faire appel à moi comme plombier.
« Si je nai pas dhomme dans ma vie cest suite à une petite aventure quand jétais très jeune, mon petit ami de lépoque a failli me violer, pris de remords il nest pas arriver jusquau bout. Vous comprenez, je ne suis plus vraiment vierge mais je ne suis pas non plus vraiment femme.
Mais quest quelle veut . Jétais de plus en plus dubitatif.
« Jy arrive, je ne sais pas comment vous dire ça. Pour me satisfaire comme je vous le disais, jai parfois recourt à des artifices. Ce que vous appeler des gods, je nen possède pas et me sert dexpédients que je me mets dans lanus, dans le vagin je ne peux pas, jen ai un trop mauvais souvenir. Je ne sais pas si je vais pouvoir continuer tellement jai honte. ;;; Donc, avant-hier étant en manque, je menfonce dans lanus, surtout ne riez pas je ne pourrai pas continuer, un tube de comprimés effervescents , vous savez le grand modèle, cétait bon et emportée par lélan jai avalé, si je puis dire, le tube entier, il ma échappé des mains. Aïe Aïe Aïe te voila bien avancée. Je pensais pouvoir le récupérer mais niet impossible de le saisir, il était remonté trop loin. Jai essayé en forçant comme pour allez à la selle, rien, pire encore le bougre sest mis en travers et depuis il est coincé et bien coincé. Me voilà punie par où jai péché. Jai essayé à maintes reprises de le ressortir mais il faut faire des tas de contorsions impossibles. Mon problème dévacuation, eh bien, il est là, en moi.En fait si je vous ai demandé de venir cest pour extraire ce qui me gène depuis lautre jour comme vous avez pu le constater, le pire cest pour sasseoir, ça fait mal et ce nest pas désagréable en même temps, mais là ça devient insupportable ».
« Pourquoi moi ? Vous auriez pu demander à une de vos collègue, elle aurait été plus à même de faire ça »
« Ah non surtout pas, pour quelle aille se vanter de mes exploits dans tout le bureau »
« Les urgences, ils sont habitués à ce genre de situation ? »
« Encore moins, vous me voyez en position daccouchée, une bande de carabins rigolards penchés sur mon intimité en train de raconter des blagues salaces que lon retrouvera sur internet, ça jamais, Comme je vous lai dit je vous sais gentleman, vous connaissez déjà lendroit pour lavoir épongé ce fameux soir darrosage ».
« Oui, en effet, ce nest pas une demande ordinaire que vous me faites là. Eh bien va alea jacta escomment est ce quon procède » je lui réponds.
« Jai pensé que je pourrais me coucher dans le canapé, sur le dos, les fesses sur le bras du siège, les jambes en lair, vous aurez ainsi la place pour opérer. »
La dessus elle se lève et va se déshabiller dans la salle de bain, elle revient presque aussitôt les fesses à lair, elle navait conservé que le haut et elle sinstalle comme elle lavait dit.
Ouah !!! quel tableau, javais en face de moi un cul, et quel cul ; une fente avec le ticket de métro que javais aperçu précédemment,des cuisses, toute sa féminité en évidence, jaurais bandé si je ne savais pas la tâche qui mattendait.(quoique jétais quand même excité, on laurait été à moins ).
Et me voilà en train dessayer douvrir la rosette de ma chef de service, elle poussait et japerçu quelque chose de blanc à lintérieur, cétait le fameux le tube de comprimés effervescents . Je lui indiquais toutes les manuvres que jétais en train de faire car dans sa position elle ne voyait rien.
Jai réussi à faire entrer péniblement le bout de 2 doigts (elle nétait pas vierge de ce côté, vu ce quelle se mettait dans le cul, ça nest pas étonnant))ce qui me permit de saisir le tube pour le remettre dans laxe de la sortie, je lui dis alors de pousser que ça devrait se dégager. Elle me répond :
« Je ne vous ai pas tout dit, je vous ai parlé du tube de comprimés mais avant je métais introduit 4 ou 5, je ne sais plus, vous savez les petits tubes jaunes arrondis que lon trouve dans les Kinder surprise »
Pour une surprise ce fut une surprise. Ma chef qui senvoie en lair avec des capsules de jouets pour les gosses.
« Je veux bien pousser mais ça fait 2 jours que cest bouché là dedans et entre temps jai mangé, si vous voyez ce que je veux dire et ce qui va sortir risque de ne pas être très propre, ça me gène de vous dire ça, mais avez-vous mis une cuvette en dessous ».
« Rassurez vous la cuvette est là et si cest ça qui vous bloque, je suis habitué à ce genre de situations (voir mes autres histoires) ».
Pendant quelle poussait jai aidé le tube, (qui était dun diamètre fort confortable ma foi,) à sortir, et en suivant, en effet, se sont pointés 4 ampoules jaunes Kinderengluées dans ce quelle avait prévu le tout suivi dun bel étron qui attendait sa libération tellement il est sortit rapidement.
Son trou ne se referma pas immédiatement si bien que lair si engouffra avec force, un pet à lenvers en quelque sorte.
En moins de temps quil nen faut pour le dire elle sétait relevée et courait sasseoir sur les toilettes.
Je restais là hébété les mains sales une cuvette odorante à mes pieds. Pendant ce temps dans la salle de bains le concert de mucus, pets et autres déjections était commencé, il fallait bien évacuer lair qui était entré.
« Je peux entrer vider la cuvette » lui demandais je à travers la porte.
« Non, mettez là dans la cuisine, jai peur que les objets plastiques bouchent mes toilettes, je prends une douche, je vous rejoins, servez vous un autre apéritif ».
Elle revient, en se séchant les cheveux, vêtue dun peignoir blanc immaculé. Comme elle était belle et désirable.
« Eh bien, cétait plus facile que jaurais cru. Je me sens libérer vous ne pouvez pas savoir à quel point. Merci, merci ».
Moi, jétais là à la contempler, mon verre de whisky à la main, mon membre meurtri dans un slip maintenant trop étroit.
« Mais, ma parole, vous avez une bosse difficilement dissimulable dans votre pantalon. Lopération ne vous a pas laissé indifférent à ce que je vois. Ca ne vous a pas dégouté. Je vous fais de leffet à ce point ? »
Tu parles si elle me faisait de leffet, elle na pas dû bien se rendre compte de la position quelle avait prise et le spectacle quelle moffrait lors de lextraction de ces corps étrangers.
« Je vais être bonne fille, je vous dois bien ça. Alors sautez moi là tout de suite sur le canapé. Mais attention, je nembrasse pas, je ne suce pas, je ne branle pas, je veux un minimum de contact, comment est ce que je pourrais vous satisfaire ? »
On est con parfois, je lui bafouillais que jétais marié et tout et tout. A ça elle me répondit que ça ne lenchantait pas outre mesure mais que cétait maintenant ou jamais, à prendre ou à laisser.
Jai pris , au diable nos bon vieux sentiments judéo-chrétien.
« Vous posez votre peignoir, vous reprenez la position de tout à lheure couchée sur le canapé les fesses sur laccoudoir »
Reouahh !!!la belle femme, petits seins, mais un cul, un cul, je ne vous dis que ça.
Quand elle fut en position, je posais pantalon et slip, Popaul est sorti tel un ressort. Elle eut un regard soupçonneux, en effet, jétais au dessus delle (qui cétait le chef maintenant) des bites elle nen avait sans doute pas vu beaucoup, même à quarante ans.
« Vous y allez doucement, si jai le moindre recul vous arrêtez » elle me dit inquiète tandis que je me présentais à lentrée de sa grotte sous le ticket de métro. Contrairement à ce que je pensais, elle mouillait, ce qui permit un glissement délicat sans à coup jusquau fond, je ne pouvais aller plus loin, elle était bien emmanchée et ça sans cri, sans éclat de voix. Elle nétait, en effet, plus vierge comme elle me lavait expliqué, si cétait le cas lintroduction aurait été plus laborieuse. Je commençais mes aller-retour doucement, aucune réaction quand soudain elle se mit à gémir, voir feuler comme une lionne, cambrer les reins, se tortiller en retombant sur le canapé en me rejetant en arrière puissamment, je nétais plus en elle. Elle venait de jouir. Elle me regardait, les yeux grands ouverts en se demandant ce qui se passait, elle serrait les cuisses. Moi jétais là, la bite au garde à vous, impossible de faire quelque chose.
« Je crois bien que jai jouie »elle me dit « Quand je me mets des choses dans mon petit trou ce nest pas la même jouissance. Ce nest pas désagréable
. Mais je vois que vous ne vous êtes pas fini, je manque à tous mes devoirs ; Il faut me pardonner vous savez, je nai jamais vraiment connu dhommes. Je vous lai dit, je ne suce pas, je ne branle pas alors finissons en, que voulez vous faire maintenant. Je ne peux pas vous laisser dans cet état ».
« Vous vous mettez à genoux sur le tapis, le cul en lair ».
« En levrette, en quelque sorte » elle me répond. Elle connaît donc le terme. Et la voilà qui se positionne me montrant une autre face (fesses) de son personnage.
Il était temps, jallais partir rien quen la regardant. Je lenfilais mais cette fois sans précautions, je limais ardemment. Oh ce ne fut pas très long, elle repartit comme la première fois, feulement danimal sauvage, reins creusés, alors que moi je lui arrosais copieusement le dos à grands jets incontrôlés. Oui jétais ressorti, in extremis, on ne sais jamais.
A peine étais je ressorti quelle se mit à pisser, arrosant abondamment son tapis. Elle urinait sans pression, elle se lâchait tout simplement en riant. Tous ses conduits venaient dêtre débouchés. Elle riait mais elle riait, je ne pensais pas quelle pouvait rire ainsi, elle toujours si sévère et sur ses gardes.
« Vous êtes en train de dévaster votre tapis, cest vraiment dommage »
« Je men fous du tapis, je suis aux anges , je suis libérée de tous les côtés, je ne peux plus marrêter tellement ça fait du bien, vous ne vous attendiez pas à ça que je vous pisse au nez. hein !! » dit elle en sécroulant sur le côté.
Jétais là en extase moi aussi, je navais pas souvenir davoir eu autant de plaisir. Je repensais à cette phrase dun ami suisse qui dit :
changement dherbage, réjoui les veaux
Cétait vrai, changer de partenaire, ça fait du bien parfois. Pourquoi cette fichue morale nous freine toujours dans nos élans.
« Allez Daniel, je fais un brin de toilette, je me sens toute poisseuse, je mhabille, vous remettez de lordre dans votre attirail, je vous emmène au resto ».
« Ce serait avec plaisir mais ma femme va sinquiéter, il faut que je rentre ».
« Ah oui toujours cette sacro sainte vie familiale. Il vaut mieux que vous rentriez, je ne voudrais pas que vous ayez des ennuis à cause de moi. Dailleurs toute cette gymnastique ma épuisée, je me sens vidée je crois que je vais dormir ».
Je me rajuste, elle avait repris son peignoir immaculé et je mapprête à lembrasser en simple copain avant de partir.
« Ah non vous savez bien que je nembrasse pas, que je ne branle pas, que je ne suce pas, pour le reste, ! surprise !. Et pas un mot au bureau, à demain» me dit elle en riant.
Le reste de la soirée je lai passé sagement avec Dominique, mon épouse, devant la télé.
Elizabeth nest pas venue travailler le lendemain et jai eu droit à tous les commentaires de mes collègues aussi bien hommes que femmes.
alors cette tuyauterie, tu ten es sorti, etc. etc.
« Oui, cétait un tube de comprimés qui était bloqué juste à la sortie de lévacuation, il a fallu péter la rondelle pour arriver à lextraire, jy suis arriver à la plus grande satisfaction de notre cheftaine »
Jexpliquais mon travail de plomberie tout en restant vague sur lendroit ou javais travaillé, ça sappelle un mensonge par omission.
Le surlendemain Elizabeth était là sanglée dans son tailleur noir qui lui moulait son petit cul. Elle marchait maintenant normalement et sasseyait normalement. Tous le monde à létage en fît la remarque.
Nous constatons que vous allez mieux, vous avez été voir quelquun ?
« Non, cest Daniel qui ma débloquée ».
« Elle va tout de même pas leurs raconter nos galipettes davant-hier ».pensais je
« Oui, cest lui sans être lui. Il marrive davoir des crises parfois alors je prends un cachet qui me fait énormément deffet, et là le tube ma échappé des mains et est allé se fourrer dans une canalisation, cest ce tube que Daniel a été retiré lautre jour, voilà tout ».
Ouf, elle faisait les mêmes allusions que moi, je ne sais pas sils ont compris mais elle ajouta et ça cétait pour moi :
« Je vais vous avouez un de mes petits secrets : comme une gamine, je collectionne les cadeaux des Kinder surprise vous savez les ufs en chocolats ou vous trouvez à lintérieur un tube jaune renfermant le jouet à monter. Pâques approche et si vous voulez faire plaisir à votre chef de service offrez moi donc un maxi Kinder, ceux de taille XXL
. Bon, maintenant assez plaisanté, les grandes discutions font les petites journées, alors au boulot ».
Taille XXL elle narrivera jamais à se carrer çà dans loignon ou si elle y parvient il faudra quelle fasse appel à un plombier pour la déboucher
..On peut toujours rêver.
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