Une Soirée (2)
Jétais assez tenté par lidée de rester avec Nadège. Je venais de baiser sa sur, et lidée de me faire sucer par elle ne me déplaisait pas. Mais jaurais pu baiser avec Nadège en dautres circonstances. Ce soir dautres possibilités soffraient à moi, je comptais en profiter.
Jembrassais Nadège et lui dit que même si jadorais sa bouche, je préférais descendre, me joindre aux autres, participer à la fête. Elle se leva, me prit par la main et nous quittâmes la chambre. Comme me lavais dit Béatrice, le type qui baisait dans lescalier à notre arrivée était allongé dans la chambre dâ côté, mais il ne dormait pas, Félix et Erwann sétaient joints à lui, et tous les trois samusaient ensemble. Béatrice les observait sur le pas de la porte.
Cest beau des mecs entre eux dit-elle, je ne me lasse pas de regarder ce spectacle.
Nous la laissâmes et descendîmes. Dans la cuisine une nana suçait deux types. Accroupie devant leurs sexes dressés elle les pompait alternativement. Eux buvaient un verre, profitaient, discutaient. Ils avaient gardé leur chemise, et si lon arrivait à faire abstraction de ce qui se passait sous leur ceinture cela pouvait passer pour une situation banale, dans une soirée ordinaire. Nadège membrassa et alla rejoindre le trio.
Elle sen sort bien, mais je ne peux pas la laisser seule, elle va avoir besoin daide dans un moment, me dit elle en me laissant.
Je mavançais vers le salon où se déroulait le cur de la fête. Sur les canapés, sur les tapis, ce nétait que corps en fusion. Je comptais une douzaine de personnes. Toutes les combinaisons représentées. La pièce vibrait au son des gémissements, des râles de plaisir, des cris de jouissance.
Nina luisait de sueur, cheveux trempés. Elle suçait un type pendant quune nana lui bouffait la chatte, et lui doigtait le cul. Émilie se faisait prendre par deux mecs en même temps, chacun dans un trou. Son visage était déformé par le plaisir, des larmes coulaient sur ses joues.
Tout cela était à la fois étrange et beau. Jétais fasciné par cette débauche de sexe, cet esprit de liberté, de plaisir. Jaurais pu me contenter rester là, simple observateur, sans même me masturber alors que je sentais ma bite en pleine érection.
Moi aussi jaime bien regarder sans rien faire.
Je me tournais vers la voix qui venait de me tirer de mes pensées.
Éric, le mari de Béatrice se présenta à moi. Il était aussi nu et excité que moi. Je regardais son sexe tendu. Il me sourit.
Ce nest parce que je suis simple spectateur que ça ne mexcite pas pour autant, me dit-il.
Sans réfléchir, je pris son sexe en main et commençais à le branler. Il se laissa faire, sadossa au mur, et doucement posa sa main sur mon épaule, dune légère pression il me fit comprendre quil nétait pas contre une petite pipe. Je me mis à genou et prit sa bite en bouche. Je le suçais doucement, prennent mon temps pour gouter cette nouvelle queue.
Jaime bien me faire sucer pas un mec de temps en temps, dit-il, mais ne tattends pas à ce que jen fasse de même.
Je men fous, jaime sucer des bites, et la tienne me va très bien.
Ma langue jouait avec cette queue bien dure, glissait sur son gland, senroulait autour. Jaimais sentir vibrer dans ma bouche la bite de ce type. Je voulais quil jouisse en moi, et que ce soit une ce ses plus belles pipes de sa vie.
Ah, je vois que tu as trouvé un petit suceur, dit Béatrice en découvrant la situation.
Je relevais les yeux et vit le couple sembrasser à pleine bouche. La queue dÉric se tendit et un flot de sperme chaud envahit ma bouche. Nadège prit la bite de son mari en main et le branla au-dessus de moi, faisant couler les dernières gouttes de son foutre dans sur ma langue.
Maintenant on partage, dit-elle en venant membraser et boire dans ma bouche le nectar de son homme.
Notre baiser gluant dura longtemps, le sperme dÉric passant dune bouche à lautre, se mêlant de nos salives. Éric nous regarda un moment puis vint embrasser sa femme sur le front et parti.
Viens, dit Béatrice en se levant, va baiser avec les autres, profite, amuse-toi.
Je me relevais, et allait massoir dans un fauteuil libre. Très vite une nana vint se placer devant moi. Elle se caressa la chatte, se doigta, se tortilla, et sans mavoir dit un seul mot vint sempaler sur moi. Son sexe était chaud, et gardait encore les traces du dernier mec qui lavait baisée. Elle était excitée comme une puce. Ma bite nétait quun jouet pour elle, un moyen de jouir de nouveau. Elle hurlait, se malaxait les seins, se tirait les cheveux. Elle jouit encore et encore dans de grands cris, avec violence.
Au bout dun moment elle se calma, épuisée, la chatte en feu, le visage carmin. Son maquillage coulait sur ses joues. Elle retomba sur moi, sa poitrine sécrasant sur mon torse. Elle transpirait à grosses gouttes. Son souffle rauque me chatouillait le cou.
Merci, toi au moins tu tiens la distance, lautre con a joui en deux minutes. Je suis vannée, ma chatte est un boulevard, mais mon cul est a toi si tu veux.
Elle se releva, et moffrit sa croupe. Dun regard par-dessus son épaule elle minvita à lenculer. Ce que je fis sans attendre. Je me plantais en elle dun coup sec. Son cul avait lhabitude et maccueillit sans problème. Je pris mon pied en quelques minutes et la vit partir sans se retourner.
Le salon sentait la sueur, le sperme, le cul. Les corps fourbus se lovaient sur les canapés pour reprendre des forces. Je pris un verre sur la table, lavalais dun trait et allait vers Nina. Insatiable elle se caressait la chatte. Elle me sourit. Son visage rougi, luisant, fatigué sillumina en me voyant.
Jadore ce genre de soirée me dit-elle, je pourrais venir tous les jours, même si ma chatte et mon cul risquent de ne pas le supporter.
Cest étrange, mais moi aussi jaime bien.
Elle membrassa, se colla contre moi, et ferma les yeux. Dans un souffle elle me dit : « Je taime ».
Émilie de lautre côté de la pièce chevauchait un mec. Ses seins ballotaient en rythme. Elle menvoya un baisé que je lui rendis. Je me dis que javais de la chance, et deux amantes extraordinaires.
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