Stage À Paris
Je dois suivre un stage pas loin de Paris. J'ai demandé à Julie, mon épouse de venir avec moi. Au moins le soir nous pourrons sortir, voir des spectacles, surtout de nu, comme j'aime. Elle aussi a pris gout à voir de jeunes femmes dénudées, à tel point que je me demande si pas hasard, elle n'aimerait pas faire un essai coquin.
Je laisse le matin Julie à l'hôtel. Quand je reviens, un après midi, elle est absente. Elle doit visiter un grand magasin, sans doute. Jattends sans crainte quand je reçois un coup de fil.
Ne l'attends pas, je suis occupée.
A quoi ?
Je ne suis pas seule : je vais baiser par une autre.
Aussitôt ma queue se lève : j'imagine ma femme dans les bras 'une autre comme elle. Je me sens obliger de lui demander la suite :
Comment elle est ?
Comme moi en plus grande.
Son corps ?
Comme tu aimerais de le payer. Tu bandes ?
Oui, je bande.
Branles toi. Quand je me serais faite bien mettre, je reviendrais, attends moi pour me baiser ou m'enculer, m'enculer plutôt.
Ainsi elle baise avec une autre. Je ne suis jaloux qu'en parti. Ma queue est droite, je ne peux me retenir. Je vais me branler en pendant à Julie, à ses fesses et surtout à la fille qui lui donne du plaisir. Elle m'expliquera tout quand elle reviendra. Ma main fait des miracles sur ma queue. Il me semble quelle est contre moi, que c'est sa main qui s'active sur ma bite. Je fais durer le plaisir tant que je peux en arrêtant souvent, en reprenant puis en cessant encore. Mais je sens venir du fond de mon corps un plaisir inavoué, celui de la masturbation. Je le dirais tout à lheure à mon épouse.
Le temps passe vite. Il est plus de 23 heures quand elle revient. Elle a faim, comme moi, sauf que jai faim delle. Au restaurant elle me raconte son aventure ;
« Jallais monter dans un taxi quand a surgit une fille de mon âge. Nous allions dans la même direction, alors elle nous sommes parties ensemble.
Je sais que le chauffeur nous regardait, il devant se demander jusquoù nous irions. Nous ne le savions pas encore. Cest lui qui a décidé pour nous : il nous a déposées devant un hôtel, pas un machin étoilé, non juste des chambres pour couples illégitime ce que nous étions.
Jai continué à prendre les décisions. Cest vite que nous sommes encore embrasées. Jétais toute mouillée. Javais envie delle, pas dune autre, delle. Je pensais à peine à toi, à ta queue. Jétais corps à corps avec une autre. Je sais que si tu avais été là, tu aurais voulu te la payer. Mais javais envie delle comme tu aurais eu envie. Je sentais mon corps de tendre vers son corps. Nous nous sommes tenues les fesses, les bas ventres serrés. Que javais envie de la sentir, de la lécher.
Quand nous nous sommes couchées, emmêlées, nous savions comment faire pour lautre. Je crois que cest elle qui a posé sa main sur moi la première, elle était chaude, très chaude. Moi aussi je lai touché pour la caresser, lui faire du bien. Nous nous sommes branlées.
Je sentais son sexe sous ma main : il était mouillé, comme le mien. Tu aurais aimé lui tripoter le clitoris, comme jai fait. Sous ma paume je sentais les poils de son pubis.
Elle me branlait presque mieux que toi. Jétais offerte à ses caresses. Je sentis bien quand elle réunissait deux ou trois doigt sur ma fente dabord puis dans mon con. Je me donnais totalement. Elle ma fait jouir plusieurs fois avec sa main.
Jarrivais moi aussi à mettre ma main dans sa chatte. Si tu savais comme elle état mouillée, plus que moi. Je lai faite jouir une seule fois. Jallais abandonner quand elle est venue me donner toute sa chatte sur ma bouche.
Nous nous sommes aimées en faisant un 69. Jétais dessus : comme avec toi. Nous nous sommes retournées, jétais juste sous elle. Je voyais son cul. Jai fait comme toi, jy ai mit mon doigt profond, je sentais bien son anus souvrir, se refermer autour de moi. Elle me la rendu. Mon premier doigt de fille dans le cul ».
Encules moi maintenant, je penserais à cette langue sur moi.
Branles moi un peu avant.
Après jai besoin de ta bite dans le cul. Vite sil te plait.
Elle est pressée de se faire mettre : elle prend de sa salive pour en tapisser lanus. Je sens ma bite avoir des mouvements incontolés.Elle ma excité profondément. Elle me veut dans le cul, jaime.
Elle reste sur le coté, en ouvrant ses fesses avec ses mains. Ma bite approche, elle la sent. Cest à peine si elle me touche. Je sens ses fesses autour de la queue. Je sens lanus tout au bout de la bite. Le gland va louvrir.
Oui, mets-la-moi
Comme ça ?
Cest bon te sentir dans le cul. Enfonces moi à fond, mets-moi là profond.
Ce dialogue méchauffe auconre. Elle le fait exprès ? Elle mexplique son souhait :
Branles moi aussi.
Je passe ma main sur ses hanches, je trouve ce que je veux : son clitoris. Je sens sur moi ses longs cheveux. Je menfonce doucement pour moi, pas pour elle. Pourtant cest qui cri brusquement :
Je jouis, encore.
Moi aussi je vais jouir dans ton cul. Salope.
Oui je suis je salope, je me suis faite niquée par une autre tout à lautre, cétait bon, je veux recommencer avec une autre devant toi, sans que tu me touche.
Le lendemain de devait retourner au stage. Je reste tranquille à Paris. Elle sort dans laprès midi. Je sais quelle va rejoindre une autre fille. Elle ma promis de mappeler quand elle se fera baiser avec lautre.
Je rejoins le plus vite possible lhôtel, la chambre où jente sans frapper. Elle est là, couchée avec une autre, son amante, sa belle amante. Elles ne font pas autre chose que de se toucher le sexe. Son sourire éclate prouve quelle me veut, quelles me veulent.
La quelle baiser en premier ? Jallais baiser ma femme : elle me demande de baiser lautre qui se donne à ma pine. Elle est bien mouillée comme me la déjà dit mon épouse. Jentre dans ce con offert. Je suis sur elle, je la lime. Je la baise sans remord. Jai une drôle de récompense, ma femme entre un doigt dans mon cul. Puis elle se déplace pour donne son sexe à la bouche de notre amante. Je vois son sexe ouvert la langue qui lèche son sexe. Et moi aussi je vais jouir dans le sexe dune autre avec son accord
.
Vive les stages à Paris.
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