Leslie La80

Leslie LA80 - Laure, le journal intime - Période saphique, Lesbiennes & Co, suite

Le vendredi, j’avais donc pris ma demi-journée et après avoir fait une sieste et pris un long bain, dans la salle de bain j’ai eu tout loisir de m’observer.
Je crois très honnêtement que j’aime mon corps, rien à changer, et en me regardant je me suis masturbée sans me donner trop de plaisir, préférant finalement me réserver entièrement pour ce soir.
C’est le moment de m’habiller, lingerie ou pas, sexy ou candide, je retourne tout cela dans ma tête en me regardant dans la glace de ma chambre… J’ai le temps, il n’est que dix-sept heures, alors je décide de m’épiler intégralement, n’ayant que les peu de poils courts qui entourent ma vulve, cela ira assez vite.

Après cette opération, je me suis de nouveau regardée dans la glace assise sur le bord de mon lit et je n’ai pu m’empêcher de me donner à nouveau du plaisir…
Puis je me suis habillée, tout d’abord la lingerie, un micro string coordonné avec un porte-jarretelles et un soutien-gorge demi-seins, garantissant un bon maintien de ma poitrine et laissant les bouts libres. Puis je passe une paire de bas gris clair que j’accroche aux jarretières, une jupe longue noire, fendue le long de la cuisse qui laissera certainement apparaître la lisière des bas lors de mes déplacements et un chemisier blanc à lacer, à manches longues bouffantes, coupe cintrée paré de lacets en satin formant de jolis croisillons devant et le dos entièrement lacé de façon très original. Puis je me suis maquillée et parfumée…

Je suis prête et pleine de désirs d’aller vers une aventure avec deux femmes, je suis excitée et je suis partie chercher ma voiture pour aller chercher Zahra, chez elle.
Arrivée devant chez elle, Zahra m’attendait sur le trottoir, très en beauté…
Quand Zahra s’est assise dans la voiture, sa mini-jupe est remontée très haut sur ses cuisses, dévoilant à mon regard un micro string qui ne cachait pratiquement rien de son intimité, et son petit top moulant laissait deviner qu’elle ne portait pas de soutien-gorge.



- Tu sais, me dit Zahra, je suis terriblement excitée !

- Là, lui dis-je, tu ne m’apprends rien.

- Toi aussi ?

- Oui, dis-je, terriblement !

Et durant tout le trajet, elle s’est caressée la vulve, en gémissant doucement…

Arrivées, Layla nous attendait sur le perron de sa villa, en un clin d’œil, j’ai découvert une belle femme d’une quarantaine d’années, qui nous a dit :

- Entrez vite, ne restez pas comme ça !

Layla porte une robe noire qui souligne harmonieusement sa poitrine, sa robe descend jusqu’aux chevilles, mais constate qu’elle doit être nue dessous, je la regarde tandis qu’en faisant de même elle me dit :

-Tu es très belle Laure et cette robe te va très bien.

- Merci, dis-je, doucement.

- Allez dans le salon et mettez-vous à l’aise, j’arrive, rajoute-t-elle.

Elle est partie dans la cuisine, certainement pour finir les préparatifs du repas, nous laissant avec Zahra nous installer.
Elle est revenue, un instant plus tard et nous demande :

- Vous voulez boire quelque chose ?

- Qu’est-ce que tu vas prendre ? Me demande Zahra.

- Un truc fort, j’en ai besoin, dis-je, je vais prendre un petit whisky.

- Un martini, ce sera très bien pour moi, dit Zahra, avec de la glace.

- Je vous prépare cela, dit Layla.

Quand elle revient, après avoir disposé les verres sur la table basse, Layla s’assoie dans le fauteuil, en face de moi, sincèrement j’aurais préféré qu’elle opte pour le canapé afin qu’elle soit près de moi.
Mais je comprends qu’en présence de Zahra, pour l’instant, elle garde une certaine distance en attendant de voir comment les choses évoluent pendant la soirée.

Zahra boit une gorgée de martini, Layla, elle, s’est servi un bourbon. Je la regarde et l’oblige à soutenir mon regard. J’ai là, face à moi, une femme de quarante ans, qui ne cache pas son amour du sexe, mais reste un peu sur la réserve.
Layla est attirante, excitante.

Je l’imagine dans diverses positions et ces pensées tétanisent mon corps, il y a des courants électriques qui me parcourent l’échine. Je me sens frémissante à l’intérieur de moi.
Je voudrais voir son cul, sa chatte, ses seins, savoir comment elle réagit sous les caresses, si elle aime aussi la bite des hommes, mais pour le moment elle reste réservée…

Soudain, Zahra m’attire vers elle et me colle ses lèvres sur les miennes pour un baiser profond qui ne doit pas laisser Layla indifférente, je sens que ce soir ça va être la fête à nos trois corps, puis après un long baiser, elle dit :

- J’en avais vraiment trop envie…

Pendant que nous nous embrassions avec Zahra, Layla, tout en nous observant, s’est activée pour disposer le repas que nous allons prendre, tout est maintenant sur la table basse du salon.
Petits canapés, une quiche, de la salade, un plateau de fromage, de la salade et du vin.
Elle remplit les verres assez rapidement, comme pour nous entraîner dans l’ivresse des raisons et d’accéder à nos envies, et nous dit :

- Allez, buvons à notre soirée !

Nous discutons en mangeant, riant aux moindres bêtises de l’une ou de l’autre, nous buvons sans réserve, nous laissant emporter par l’alcool qui fait monter la chaleur dans nos corps, nous parlons de plus en plus de nos désirs et de nos envies.
Layla est maintenant très loquace, surtout en ce qui concerne ses goûts sexuels, car sans pudeur elle déclare :

-C’est vrai que j’aime les femmes ou plutôt les jeunes filles, mais j’aime bien aussi, et ne déteste pas les mecs, surtout quand ils sont bien montés.

Et la voilà qui pouffe de rire…

- Bon, je rigole, rajoute Layla, il est vrai que le fantasme de la grosse bite est débile, car petite, grosse, moyenne, l’important est que le mec sache s’en servir.
Quoiqu’une grosse…

Zahra est près de moi sur le canapé, et ne se prive pas, maintenant que l’ambiance est de plus en plus chaude, à glisser de plus en plus souvent une main sur mes seins et son pied dénudé qu’elle balade sous ma jupe à la recherche de mon intimité.


Layla nous fait face, dans le fauteuil, mais s’arrange pour nous laisser entrevoir l’intérieur de ses cuisses, qu’elle garde largement ouvertes, laissant apparaître le haut de ses jambes ainsi que la peau libre de ses cuisses blanches que ses bas laissent apparaître, en plus sa poitrine tressaute agréablement à chaque fois qu’elle rit et je vois bien que Zahra s’en fait une joie parce qu’elle me le montre de son pied inquisiteur.

La vue ces deux femmes excitées près de moi et l’effet du vin, finissent de me tourner la tête et les sens, mon corps a atteint un état d’excitation que j’ai du mal à réfréner. Mon bas-ventre est tendu jusqu’à m’en faire mal et si cela continue, je vais être obligée de me soulager…
Alors, je me lève et vais rejoindre Layla, je m’assoie près d’elle et colle mes lèvres sur les siennes, le mouvement de son corps est éloquent. Elle se glisse contre moi et c’est elle qui entrouvre en premier les lèvres en laissant échapper un petit gémissement. Une petite plainte qui hésite entre souffrance et libération.

J’appuie ma bouche, ses lèvres se font de plus en plus molles sous les miennes. Elle émet de petits râles tandis que nos langues tournoient l’une à la poursuite de l’autre. J’ai l’impression que nous sommes figées dans l’éternité du bonheur des amantes.

Je ne parviens pas à rester douce, nos bouches se quittent pour mieux se retrouver et nos salives se mélangent.

Nous nous levons et debout, liées, imbriquées l’une dans l’autre, nous sommes incapables de nous détacher. Nos corps se frottent l’un contre l’autre, mais je veux voir Layla toute nue, maintenant !
Les idées les plus folles galopent dans mon esprit, Layla me regarde, les yeux vifs et remplis de désirs, je la sens tituber dans mes bras, sans résistance elle s’offre à présent…

Je tends, à nouveau mes lèvres vers les siennes, alors que Layla m’entraîne vers la chambre, je la plaque contre le mur, Layla n’offre plus aucune résistance, prise par le désir qui la submerge, alors ma main remonte sa robe et trouve sa vulve ruisselante, elle ne porte pas de culotte.


Mes doigts écartent ses lèvres pour s’y introduire tout doucement. Elle souffle à mon oreille, y pénètre la langue et me murmure des mots d’encouragement :

- Oui, oui, comme ça, fouille-moi, oui Laure…

Ses seins gonflent, sa respiration est courte, elle me caresse un sein à travers mon chemisier, alors je guide son autre main vers ma fente, lui saisis l’index que le frotte sur mon clito au travers de mon micro string.
Nos bouches se joignent une nouvelle fois dans une danse endiablée qui limite nos cris. Je me sens comme une bête et j’attire Layla dans la chambre, suivie de Zahra qui referme la porte derrière nous.

Zahra, en nous regardant, se déshabille et se retrouve vite nue, Layla, debout face à moi, se précipite à mon cou. La tension est si forte que nous ne savons pas par quoi commencer, la violence d’un désir exacerbé nous colle l’une à l’autre, je n’en peux plus...

Le corps de Layla collé contre le mien me fait monter des désirs, je veux m’en imprégner, le sentir, le caresser et le faire se cabrer sous le plaisir, je veux la faire monter au ciel, s’y accrocher, redescendre et recommencer encore et encore.
La robe de Layla tombe au sol, elle ne porte pas de soutien-gorge et se retrouve nue devant moi, je tombe à genoux et respire sa vulve fraîchement épilée.
J’embrasse doucement son pubis, ajoute quelques coups de langue pour la faire écarter les cuisses et enfonce deux doigts dans son vagin trempé. Layla s’assoit maladroitement sur le lit et me saisit la tête à deux mains. C’est elle qui s’allonge et qui guide mon visage vers son intimité, c’est fou ce qu’elle sent bon et ce qu’elle est profonde.
Je lèche tout ce que je peux, embrasse la peau sensible de ses entrecuisses et suce d’une langue nerveuse son petit bouton jusqu’à ce qu’elle hurle.

Zahra, nue, nous regarde en se caressant, sans bruit, puis est allée près de Layla et je la vois à quatre pattes sur le lit jouer avec les pointes dressées de sa tante. Elle tient dans sa paume un sein et mordille doucement le téton. Elle suce, mordille en essayant de retenir la rage de sexe qui la brûle. Layla est maintenant déchaînée, elle crie et gémit, en disant :

- J’adore quand deux jeunes filles s’occupent de moi, ça m’excite, continuez, c’est bon les filles…

Je me retrouve rapidement en lingerie, avec mes deux compagnes nues.
Layla est étendu sur le dos, Zahra et moi nous occupons d’elle et de ses seins avec lesquels nous jouons, le visage de Layla se crispe sous les caresses de nos langues, et Layla jouit des seins, aussitôt Zahra descend le long de son ventre pour explorer sa vulve maintenant entrouverte et brillante.
Zahra entrouvre les lèvres intimes de sa tante et le clitoris érigé apparaît, il forme une grosse boule que Zahra pince des lèvres, puis sa langue se perd sur l’anus de sa tante, qui se cabre sous la divine caresse. Zahra tire la langue, forme une pointe qui part à l’assaut de ce trou. Trois doigts dans la chatte et Layla hurle.

À l’oreille, je lui dis :

- Layla, je vais te donner ma vulve et avec ta bouche, fait moi jouir…

Sans attendre de réponse, je passe au-dessus de la tête de Layla et la chevauche faisant face à Zahra qui, se doigte avec frénésie, Layla attire mes fesses contre elle et sa langue entre en contact avec mes chairs intimes.

Je me sens comme possédée et Layla me lèche avec douceur, je caresse ses seins d’une main, pendant que l’autre part à la recherche de Zahra qui me présente son cul à embrasser et à lécher.

Sa rosette s’ouvre et c’est un et puis deux doigts que j’enfonce dedans, je sais que Zahra aime jouir du cul, alors je la pilonne ainsi tandis que je jouis sur Layla qui jouit à son tour.

Une fois dégagée du corps de Layla, qui reste inerte allongée sur le lit, je lèche la chatte de Zahra, pendant que je prends mon gode afin de lui mettre bien profond dans le cul.

Layla en profite pour se mettre sous Zahra et elle regarde cette petite chatte lisse, sans aucun poil et sort sa langue pour laper la chatte de Zahra qui l’encourage d’un mouvement de bassin.
Pendant ce temps, je dirige le gode sur son anus qui l’aspire d’un seul coup, je vais et viens tandis que Layla s’acharne sur le clitoris de Zahra qu’elle suce avec entrain, ses doigts fouillant sa propre chatte en feu. Zahra semble retenir sa respiration mais finit par éclater et tombe sur le corps inerte de Layla.

Nous venons de jouir ensemble et je regarde ces deux femmes, troublée par cette formidable envie de jouir, je les embrasse tour à tour, et puis ensemble nous nous allongeons sur le lit afin de reprendre nos esprits.
L’alcool et la jouissance ont raison de nous et nous tombons rapidement toutes trois dans le sommeil, mais plus tard, dans la nuit, je suis réveillée par Zahra qui, la tête entre mes cuisses, me lèche doucement la vulve et le clitoris…

A suivre…

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